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[article] Le peuple juif, une invention ? [texte imprimé] / Olivier Rogeau, Auteur . - 2009 . - pp. 70-75.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 2723 [05/06/2009] . - pp. 70-75
Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
94(33) Histoire du Peuple juifRésumé : entre mythe et histoire, le rabbin Floriane Chinsky, de la communauté israélite libérale de bruxelles, et Thomas Gergely, profeseur à l'ULB et directeur de l'Institut d'histoire du judaïsme, portent un regard critique sur la thèse controversée de l'historien Shlomo Sand ("Comment le peuple juif fut inventé", Fayard) Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le peuple juif, une invention ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Rogeau, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 70-75 Langues : Français (fre) Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
94(33) Histoire du Peuple juifRésumé : entre mythe et histoire, le rabbin Floriane Chinsky, de la communauté israélite libérale de bruxelles, et Thomas Gergely, profeseur à l'ULB et directeur de l'Institut d'histoire du judaïsme, portent un regard critique sur la thèse controversée de l'historien Shlomo Sand ("Comment le peuple juif fut inventé", Fayard) Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 2723 [05/06/2009] . - pp. 70-75Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un peuple qui voudrait redevenir vraiment "normal" / JAN ROSS in Courrier International, 424 (17/12/98)
[article] Un peuple qui voudrait redevenir vraiment "normal" : paru dans Die Zeit (Hambourg). le souvenir d'Auschwitz ne peut plus servir de boussole politique pour affronter les problèmes du siècle prochain [texte imprimé] / JAN ROSS . - 0000 . - pp. 6 - 7.
Langues : Français (fre)
in Courrier International > 424 (17/12/98) . - pp. 6 - 7[article]
Titre : Un peuple qui voudrait redevenir vraiment "normal" : paru dans Die Zeit (Hambourg). le souvenir d'Auschwitz ne peut plus servir de boussole politique pour affronter les problèmes du siècle prochain Type de document : texte imprimé Auteurs : JAN ROSS Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 6 - 7 Langues : Français (fre) Catégories : (430) Allemagne
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
316 Sociologie
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
32(430) Politique de l'Allemagne
321.6"1933/1945" Nazisme
94(430) Histoire de l'Allemagne
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Courrier International > 424 (17/12/98) . - pp. 6 - 7Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30633/1 dossier 17/12/98 Périodique Libre-accès Farde Dossiers Disponible Peuple tsigane : le silence et l'oubli
Peuple tsigane : le silence et l'oubli : dossier de presse [texte imprimé] . - Lyon : Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation, 2007 . - 1 vol. (10 p.) ; 30 cm.
Exposition du 21 juin au 9 décembre 2007
Langues : Français (fre)
Catégories : 069 Musées Muséologie Muséographie Exposition
341.485(=214.58) Génocide Tsiganes
94(100)"1933/45" Camp de Saliers (F)
94(44)"1940-1945" Vichy
Tsiganes / Roms / Gitans / Gens du VoyageRésumé : Site Culture Lyon :
Si les connaissances sur la Seconde Guerre mondiale semblent aujourd'hui exhaustives, certains aspects n'en demeurent pas moins méconnus. L'internement des Tsiganes en France en est un. Dans un souci de renouveler l'approche historique de la période, et afin d'ancrer cet épisode dans la mémoire collective, le CHRD consacre une exposition à l'histoire de la communauté tsigane, tout particulièrement entre 1939 et 1946. Elle évoque notamment comment le durcissement progressif de la politique de Vichy, allié aux mesures allemandes prises à partir de 1940, a conduit à la généralisation de leur internement sur le territoire français. En zone libre, c'est au camp de Saliers (Bouches-du-Rhône), que la plupart des gens du voyage était internés. Conçu dans un but de propagande, comme un camp modèle ayant l'aspect d'un village camarguais, il a pu contenir jusqu'à 700 personnes. Les conditions de vie y étaient pourtant identiques à celles des camps de la zone occupée : Poitiers, Montreuil-Bellay, Jargeau, etc., également évoqués dans l'exposition, où le surpeuplement, la malnutrition et l'insalubrité régissaient la vie quotidienne des prisonniers.
Une des parties de l'exposition est entièrement consacrée à la mémoire du camp de Saliers, notamment grâce à la richesse des fonds d'archives des Bouches-du-Rhône et au regard rétrospectif de Mathieu Pernot. Ce photographe et historien, qui a découvert l'existence du lieu en 1997, a entrepris un vaste travail de recherche sur l'histoire et l'itinéraire des familles internées. Trois ans lui ont été nécessaires pour recueillir des témoignages, étudier les nombreux documents des Archives départementales des Bouches-du-Rhône et saisir une dernière photographie des survivants, pour qu'enfin ressurgisse l'image du camp et des gens qui y vécurent.
L'exposition rappelle aussi que la politique discriminatoire à l'égard des Tsiganes a été inscrite dans la législation durant une majeurs partie du XXe siècle : dès les années 1910, des mesures de surveillance sont mises en place, comme le carnet anthropométrique, dont plusieurs exemplaires figurent dans l'exposition. Ce n'est qu'en 1969 que ces lois seront finalement abrogées, démontrant ainsi une continuité dans la politique de contrôle, bien au-delà de la césure habituelle de la Seconde Guerre mondiale.
Enfin, l'exposition explore plus largement les aspects culturels et ethnologiques. Dépassant l'approche historique, elle fixe une mémoire nomade, couche sur le papier le souvenir de ceux qui ne l'avaient jamais écrite, et redonne un nom et un visage à des personnes jusque-là reléguées au rang de victimes anonymes d'une histoire oubliée.Note de contenu : Table :
- Introduction
- L'exposition
- Le camp de Saliers : un camp modèle ... du dysfonctionnement des camps
- Entretien avec Mathieu Pernot
- Autour de l'exposition
- Informations pratiquesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Peuple tsigane : le silence et l'oubli : dossier de presse Type de document : texte imprimé Editeur : Lyon : Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (10 p.) Format : 30 cm Note générale : Exposition du 21 juin au 9 décembre 2007 Langues : Français (fre) Catégories : 069 Musées Muséologie Muséographie Exposition
341.485(=214.58) Génocide Tsiganes
94(100)"1933/45" Camp de Saliers (F)
94(44)"1940-1945" Vichy
Tsiganes / Roms / Gitans / Gens du VoyageRésumé : Site Culture Lyon :
Si les connaissances sur la Seconde Guerre mondiale semblent aujourd'hui exhaustives, certains aspects n'en demeurent pas moins méconnus. L'internement des Tsiganes en France en est un. Dans un souci de renouveler l'approche historique de la période, et afin d'ancrer cet épisode dans la mémoire collective, le CHRD consacre une exposition à l'histoire de la communauté tsigane, tout particulièrement entre 1939 et 1946. Elle évoque notamment comment le durcissement progressif de la politique de Vichy, allié aux mesures allemandes prises à partir de 1940, a conduit à la généralisation de leur internement sur le territoire français. En zone libre, c'est au camp de Saliers (Bouches-du-Rhône), que la plupart des gens du voyage était internés. Conçu dans un but de propagande, comme un camp modèle ayant l'aspect d'un village camarguais, il a pu contenir jusqu'à 700 personnes. Les conditions de vie y étaient pourtant identiques à celles des camps de la zone occupée : Poitiers, Montreuil-Bellay, Jargeau, etc., également évoqués dans l'exposition, où le surpeuplement, la malnutrition et l'insalubrité régissaient la vie quotidienne des prisonniers.
Une des parties de l'exposition est entièrement consacrée à la mémoire du camp de Saliers, notamment grâce à la richesse des fonds d'archives des Bouches-du-Rhône et au regard rétrospectif de Mathieu Pernot. Ce photographe et historien, qui a découvert l'existence du lieu en 1997, a entrepris un vaste travail de recherche sur l'histoire et l'itinéraire des familles internées. Trois ans lui ont été nécessaires pour recueillir des témoignages, étudier les nombreux documents des Archives départementales des Bouches-du-Rhône et saisir une dernière photographie des survivants, pour qu'enfin ressurgisse l'image du camp et des gens qui y vécurent.
L'exposition rappelle aussi que la politique discriminatoire à l'égard des Tsiganes a été inscrite dans la législation durant une majeurs partie du XXe siècle : dès les années 1910, des mesures de surveillance sont mises en place, comme le carnet anthropométrique, dont plusieurs exemplaires figurent dans l'exposition. Ce n'est qu'en 1969 que ces lois seront finalement abrogées, démontrant ainsi une continuité dans la politique de contrôle, bien au-delà de la césure habituelle de la Seconde Guerre mondiale.
Enfin, l'exposition explore plus largement les aspects culturels et ethnologiques. Dépassant l'approche historique, elle fixe une mémoire nomade, couche sur le papier le souvenir de ceux qui ne l'avaient jamais écrite, et redonne un nom et un visage à des personnes jusque-là reléguées au rang de victimes anonymes d'une histoire oubliée.Note de contenu : Table :
- Introduction
- L'exposition
- Le camp de Saliers : un camp modèle ... du dysfonctionnement des camps
- Entretien avec Mathieu Pernot
- Autour de l'exposition
- Informations pratiquesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42776 dossier 21/06/2007 Documents divers Libre-accès Farde Dossiers Disponible Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 22633/1 940/MAR Livre Libre-accès Adultes Disponible
La peur : l'antisémitisme en Pologne après Auschwitz [texte imprimé] / JAN T. GROSS, Auteur ; Jean-Pierre Ricard, Traducteur ; Xavier Chantry, Traducteur ; Audrey Kichelewski, Préfacier, etc. . - Paris : Mémorial de la Shoah : Paris : Calmann-Lévy, 2010 . - 1 vol. (381 p.) : couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7021-4126-7
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Polonais (pol)
Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
329.15(091) Histoire du communisme
94(100)"1939/45" Libération Fin de la Seconde Guerre mondiale
94(33) Histoire du Peuple juif
94(438) Histoire de la PologneIndex. décimale : 940.55 Histoire de l'Europe après 1945 Résumé : 4e de couverture
La Pologne de 1945 est sans doute la seule nation d’Europe où l’on dissimule le fait d’avoir sauvé des Juifs durant la guerre. Le pays a alors perdu 90 % des 3,5 millions de Juifs qui y vivaient. Malgré cela, les rares survivants sont accueillis avec animosité à leur retour des camps de concentration ou de leur exil forcé en URSS. L’antisémitisme est très virulent : plus de Juifs y sont tués après 1945 qu’avant 1939. Et le plus meurtrier des pogroms en temps de paix se déroule dans la ville de Kielce le 4 juillet 1946.
Jan T. Gross tente de comprendre comment cela fut possible. Il reconstitue minutieusement le pogrom de Kielce, en s’appuyant sur des documents d’archives et des témoignages, et étudie les réactions des Polonais témoins du meurtre de leurs concitoyens juifs. Il dissèque les réactions, en particulier au sein de l’intelligentsia, que suscitèrent ces meurtres, ces lapidations publiques. Partant du postulat que l’antisémitisme persistant n’est pas la simple continuation des comportements d’avant-guerre, Gross analyse les positions de la résistance polonaise, de l’Église catholique et des forces liées au régime instauré en Pologne après le conflit. Il s’attaque notamment au mythe du « judéo-communisme » polonais, qui voudrait que les Juifs aient participé à l’instauration du nouveau régime. Ce dernier a au contraire achevé de vider la Pologne de ses derniers Juifs. Depuis plus d’un demi-siècle, la culpabilité et la honte ont entouré le sort des derniers survivants de la Shoah en Pologne. Avec passion mais lucidité, Jan T. Gross fait enfin la lumière sur ces événements.Note de contenu : SOMMAIRE
SOMMAIRE
Préface d’Audrey Kichelewski .
Introduction
1.L’ABANDON DE LA POLOGNE
L’État clandestin .
La découverte des fosses communes de Katyn
La destruction de Varsovie...
Les « Polonais de Lublin » ou la politique soviétique
du fait accompli
Le symbole de Yalta
La démobilisation des clandestins fidèles à Londres
La monopolisation du pouvoir par le Parti communiste
Paysage après la bataille
2.COMBIEN DE MILLIONS DE CHRÉTIENS ONT ASSISTÉ DE PRÈS AU MARTYRE DE LEURS
TROIS MILLIONS DE COMPATRIOTES JUIFS ?
3. L'HOSTILITÉ À L’ÉGARD DES SURVIVANTS JUIFS
Les violences antijuives
L’appropriation des biens appartenant à des Juifs par leurs
voisins polonais
L’appropriation des biens juifs par l’administration polonaise
Les poursuites engagées contre les coupables de crimes
contre les Juifs
Les préjugés contre les Juifs dans l’administration à l’échelon local
La discrimination dans le monde du travail
L'antisémitisme dans les écoles
Un pogrom non reconnu
4.LE POGROM DE KIELCE : LES FAITS
Le goût des cerises
La première phase
L'attaque contre l'immeuble du 7 delà rue Planty .
L'effondrement des autorités légales
Changement de cadre .
Des meurtres commis sans passion
Conversations entre inconnus..
Dans le train
5.LE POGROM DE KIELCE: LES RÉACTIONS
Les réactions de la classe ouvrière au pogrom de Kielce
et leur utilisation par le Parti communiste
Le Parti tire ses conclusions
Les réactions de l'élite intellectuelle polonaise
Les réactions du clergé catholique au pogrom
Rapport confidentiel de l'évêque de Kielce
La réaction de l'évêque Kubina
La discrétion officielle au sujet du pogrom de Kielce
Le goût du pain azyme
6.DISTANCE SOCIALE ET AVEUGLEMENT
La rhétorique de l'éloignement
Un avertissement...
L'interface oubliée
Ce qu'on disait de l'assassinat des juifs polonais de Podlasie
Les limites de la compréhension
7.ZYDOKOMUNA
Le contexte de l'entre-deux-guerres
Attitudes des Soviétiques à l'égard des Juifs
pendant et après la guerre
Le Comité antifasciste juif et le Livre noir des Juifs de Russie
Les Juifs dans le PPR
La Prakcja PPR dans le CKZP
Les Juifs et le régime d'après-guerre
La cooptation des nationalistes radicaux
Les Juifs dans l’appareil de répression
Une approche pragmatique de la « question juive »en Europe orientale
Récapitulation
Épilogue
Notes
Abréviations
Index
Bibliographie
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La peur : l'antisémitisme en Pologne après Auschwitz Type de document : texte imprimé Auteurs : JAN T. GROSS, Auteur ; Jean-Pierre Ricard, Traducteur ; Xavier Chantry, Traducteur ; Audrey Kichelewski, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Mémorial de la Shoah Année de publication : 2010 Autre Editeur : Paris : Calmann-Lévy Importance : 1 vol. (381 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7021-4126-7 Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Polonais (pol) Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
329.15(091) Histoire du communisme
94(100)"1939/45" Libération Fin de la Seconde Guerre mondiale
94(33) Histoire du Peuple juif
94(438) Histoire de la PologneIndex. décimale : 940.55 Histoire de l'Europe après 1945 Résumé : 4e de couverture
La Pologne de 1945 est sans doute la seule nation d’Europe où l’on dissimule le fait d’avoir sauvé des Juifs durant la guerre. Le pays a alors perdu 90 % des 3,5 millions de Juifs qui y vivaient. Malgré cela, les rares survivants sont accueillis avec animosité à leur retour des camps de concentration ou de leur exil forcé en URSS. L’antisémitisme est très virulent : plus de Juifs y sont tués après 1945 qu’avant 1939. Et le plus meurtrier des pogroms en temps de paix se déroule dans la ville de Kielce le 4 juillet 1946.
Jan T. Gross tente de comprendre comment cela fut possible. Il reconstitue minutieusement le pogrom de Kielce, en s’appuyant sur des documents d’archives et des témoignages, et étudie les réactions des Polonais témoins du meurtre de leurs concitoyens juifs. Il dissèque les réactions, en particulier au sein de l’intelligentsia, que suscitèrent ces meurtres, ces lapidations publiques. Partant du postulat que l’antisémitisme persistant n’est pas la simple continuation des comportements d’avant-guerre, Gross analyse les positions de la résistance polonaise, de l’Église catholique et des forces liées au régime instauré en Pologne après le conflit. Il s’attaque notamment au mythe du « judéo-communisme » polonais, qui voudrait que les Juifs aient participé à l’instauration du nouveau régime. Ce dernier a au contraire achevé de vider la Pologne de ses derniers Juifs. Depuis plus d’un demi-siècle, la culpabilité et la honte ont entouré le sort des derniers survivants de la Shoah en Pologne. Avec passion mais lucidité, Jan T. Gross fait enfin la lumière sur ces événements.Note de contenu : SOMMAIRE
SOMMAIRE
Préface d’Audrey Kichelewski .
Introduction
1.L’ABANDON DE LA POLOGNE
L’État clandestin .
La découverte des fosses communes de Katyn
La destruction de Varsovie...
Les « Polonais de Lublin » ou la politique soviétique
du fait accompli
Le symbole de Yalta
La démobilisation des clandestins fidèles à Londres
La monopolisation du pouvoir par le Parti communiste
Paysage après la bataille
2.COMBIEN DE MILLIONS DE CHRÉTIENS ONT ASSISTÉ DE PRÈS AU MARTYRE DE LEURS
TROIS MILLIONS DE COMPATRIOTES JUIFS ?
3. L'HOSTILITÉ À L’ÉGARD DES SURVIVANTS JUIFS
Les violences antijuives
L’appropriation des biens appartenant à des Juifs par leurs
voisins polonais
L’appropriation des biens juifs par l’administration polonaise
Les poursuites engagées contre les coupables de crimes
contre les Juifs
Les préjugés contre les Juifs dans l’administration à l’échelon local
La discrimination dans le monde du travail
L'antisémitisme dans les écoles
Un pogrom non reconnu
4.LE POGROM DE KIELCE : LES FAITS
Le goût des cerises
La première phase
L'attaque contre l'immeuble du 7 delà rue Planty .
L'effondrement des autorités légales
Changement de cadre .
Des meurtres commis sans passion
Conversations entre inconnus..
Dans le train
5.LE POGROM DE KIELCE: LES RÉACTIONS
Les réactions de la classe ouvrière au pogrom de Kielce
et leur utilisation par le Parti communiste
Le Parti tire ses conclusions
Les réactions de l'élite intellectuelle polonaise
Les réactions du clergé catholique au pogrom
Rapport confidentiel de l'évêque de Kielce
La réaction de l'évêque Kubina
La discrétion officielle au sujet du pogrom de Kielce
Le goût du pain azyme
6.DISTANCE SOCIALE ET AVEUGLEMENT
La rhétorique de l'éloignement
Un avertissement...
L'interface oubliée
Ce qu'on disait de l'assassinat des juifs polonais de Podlasie
Les limites de la compréhension
7.ZYDOKOMUNA
Le contexte de l'entre-deux-guerres
Attitudes des Soviétiques à l'égard des Juifs
pendant et après la guerre
Le Comité antifasciste juif et le Livre noir des Juifs de Russie
Les Juifs dans le PPR
La Prakcja PPR dans le CKZP
Les Juifs et le régime d'après-guerre
La cooptation des nationalistes radicaux
Les Juifs dans l’appareil de répression
Une approche pragmatique de la « question juive »en Europe orientale
Récapitulation
Épilogue
Notes
Abréviations
Index
Bibliographie
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53111 940.55/GRO Livre Libre-accès Adultes Disponible PermalinkLa peur du rouge
PermalinkPeut-il revenir ? Comment Hitler est arrivé au pouvoir, causes de la victoire des nazis, l'Allemagne aujourd'hui, l'extrême droite en Europe in L'Evénement du jeudi, ([28/01/1993])
PermalinkPeut-on appliquer la théorie de l'évolution aux sociétés ? / Jean-Claude Ruano-Borbalan in Sciences Humaines, 119 (août-septembre 2001)
PermalinkPeut-on changer de vie ? in Philosophie magazine, 41 (juillet-août 2010)
PermalinkPeut-on critiquer Israël? in Regards, 806 (octobre 2014)
Permalink806 - octobre 2014 - Peut-on critiquer Israël? (Bulletin de Regards)
Permalink173 - octobre 2023 - Peut-on être en accord avec soi-même ? (Bulletin de Philosophie magazine)
PermalinkPeut-on oublier l'extermination des malades mentaux sous le régime nazi ? / HEDWIGE PEEMANS-POULLET in Souviens-toi, 32 (mars 1993)
Permalink100 - mai 2017 - Peut-on sortir du capitalisme? (Bulletin de Politique)
PermalinkPermalinkPermalinkUn pharmacien liégeois dans la tourmente en 1940 / Jean-Louis Rouhart in Souviens-toi, 84 (janvier-mars 2007)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink28-29 - Philippe: l'ombre écrasante de Baudouin (Bulletin de Le Vif / L'Express, 28-29 [01/07/2013])
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