Détail de l'auteur
Auteur Jean-Louis Quermonne (1927-....) |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Les régimes politiques occidentaux / Jean-Louis Quermonne
Les régimes politiques occidentaux [texte imprimé] / Jean-Louis Quermonne (1927-....), Auteur . - 5e éd. . - Paris : Éditions du Seuil, 2006 . - 1 vol. (337 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Points. Essais, ISSN 1264-5524; 290) .
ISBN : 2-02-085775-8
Bibliogr. p. 329-337
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : 4e de couverture :
Gouvernement de la majorité dans le respect de la minorité, fondé sur des élections libres au rythme régulier de l'observance de l'état de droit : telle apparaît, aujourd'hui, la démocratie occidentale. Cette démocratie a une histoire et inspire depuis longtemps les régimes politiques de l'Europe de l'Ouest et de l'Amérique du Nord. Mais si, depuis quelques années, la plupart des pays s'en prévalent, moins d'un Etat sur dix la pratique réellement.
Les étudiants trouveront dans cette synthèse pédagogique ce qu'ils cherchent sur l'histoire, les institutions, les forces politiques et sociales qui animent les régimes politiques occidentaux. Plus ou moins d'Etat ? La division gauche-droite a-t-elle encore un sens ? Par rapport aux systèmes politiques de ses voisins, l' "exception française" existe-t-elle ? Des éléments de réponses, tirés de l'analyse comparative, sont proposés à la lecture du citoyen. Mais, en lui fournissant des connaissances, ce livre soulève aussi bien des questions.Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Du principe de légitimité à l'aptitude à gouverner : le concept de régime politique, le principe de légitimité, la démocratie pluraliste, les régimes politiques occidentaux
LES PROCESSUS HISTORIQUES
* La fondation et l'institutionnalisation des régimes politiques
* Les crises de régime et les crises de gouvernement
* Alternance et permanence au pouvoir
* Démocratie médiatisée, démocratie directe et démocratie participative
LES INSTITUTIONS POLITIQUES
* Le constitutionnalisme et l'Etat de droit
* De la séparation des pouvoirs à l'émergence de contre-pouvoirs
* Le principe majoritaire et les modes de gouvernement
* Les modes de scrutin et la démocratie élective
LA SOCIETE CIVILE ET LES FORCES POLITIQUES
* La société civile
* Les partis politiques
* Les systèmes de partis
* Les tempéraments politiques : la droite et la gauche
L'ETAT ET L'ADMINISTRATION PUBLIQUE
* L'origine et la diversité des Etats occidentaux
* La souveraineté des Etats, le fédéralisme et la décentralisation
* L'Etat comme organisation et comme symbole
* L'Etat partisan et le pouvoir d'Etat
Conclusion : la démocratie occidentale : unité ou fractionnement ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les régimes politiques occidentaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Quermonne (1927-....), Auteur Mention d'édition : 5e éd. Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2006 Collection : Points Sous-collection : Essais num. 290 Importance : 1 vol. (337 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-085775-8 Note générale : Bibliogr. p. 329-337 Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : 4e de couverture :
Gouvernement de la majorité dans le respect de la minorité, fondé sur des élections libres au rythme régulier de l'observance de l'état de droit : telle apparaît, aujourd'hui, la démocratie occidentale. Cette démocratie a une histoire et inspire depuis longtemps les régimes politiques de l'Europe de l'Ouest et de l'Amérique du Nord. Mais si, depuis quelques années, la plupart des pays s'en prévalent, moins d'un Etat sur dix la pratique réellement.
Les étudiants trouveront dans cette synthèse pédagogique ce qu'ils cherchent sur l'histoire, les institutions, les forces politiques et sociales qui animent les régimes politiques occidentaux. Plus ou moins d'Etat ? La division gauche-droite a-t-elle encore un sens ? Par rapport aux systèmes politiques de ses voisins, l' "exception française" existe-t-elle ? Des éléments de réponses, tirés de l'analyse comparative, sont proposés à la lecture du citoyen. Mais, en lui fournissant des connaissances, ce livre soulève aussi bien des questions.Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Du principe de légitimité à l'aptitude à gouverner : le concept de régime politique, le principe de légitimité, la démocratie pluraliste, les régimes politiques occidentaux
LES PROCESSUS HISTORIQUES
* La fondation et l'institutionnalisation des régimes politiques
* Les crises de régime et les crises de gouvernement
* Alternance et permanence au pouvoir
* Démocratie médiatisée, démocratie directe et démocratie participative
LES INSTITUTIONS POLITIQUES
* Le constitutionnalisme et l'Etat de droit
* De la séparation des pouvoirs à l'émergence de contre-pouvoirs
* Le principe majoritaire et les modes de gouvernement
* Les modes de scrutin et la démocratie élective
LA SOCIETE CIVILE ET LES FORCES POLITIQUES
* La société civile
* Les partis politiques
* Les systèmes de partis
* Les tempéraments politiques : la droite et la gauche
L'ETAT ET L'ADMINISTRATION PUBLIQUE
* L'origine et la diversité des Etats occidentaux
* La souveraineté des Etats, le fédéralisme et la décentralisation
* L'Etat comme organisation et comme symbole
* L'Etat partisan et le pouvoir d'Etat
Conclusion : la démocratie occidentale : unité ou fractionnement ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41380 32/QUE Livre Libre-accès Adultes Disponible
[article] L'Union sera plus sociale : L'Europe libérale est-elle une fatalité ? [texte imprimé] / Jean-Louis Quermonne (1927-....), Personne interviewée ; Sandrine Tolotti, Auteur . - 2005 . - p. 36.
Langues : Français (fre)
in Alternatives internationales > 24 (mai 2005) . - p. 36
Catégories : 32(4) Politique Union Européenne
33(4) Economie politique et sociale de l'Europe et de l'Union européenne
364.1 Bien-être social
369 Assurance sociale. Sécurité socialeRésumé : Article complet :
“L’Union sera plus sociale”
Entretien avec Jean-Louis Quermonne, juriste et professeur émérite des universités. Référence au plein emploi, à l’économie sociale de marché, Charte des droits fondamentaux : refuser le Traité, c’est dire non à des avancées importantes.
Une chose m’étonne dans la stratégie politique des partisans d’un “non” de progrès au projet de Traité constitutionnel. Leur cible est la troisième partie du texte, portant sur le contenu des politiques de l’Union, dont l’orientation libérale est avérée. Mais cette partie n’est qu’un résumé des traités existants. Elle restera donc en vigueur si le non l’emporte ! L’on se privera en revanche des deux premières parties sur les objectifs de l’Union et la Charte des droits fondamentaux, lesquelles donnent un sens plus social et plus démocratique à l’Europe.
Le Traité constitutionnel rassemble des références contradictoires entre lesquelles le jeu démocratique devra trancher, mais beaucoup vont dans un sens progressiste. L’article 3 de la première partie, qui définit les objectifs de l’Union, reprend l’objectif numéro 2 du traité de Rome de 1957 sur la « concurrence libre et non faussée ». Mais un peu plus loin, le projet de traité innove de manière substantielle en faisant référence à l’« économie sociale de marché » et au « plein emploi », alors que les traités ne mentionnaient jusqu’à présent qu’un objectif de « niveau d’emploi élevé ». La troisième partie na va peut-être pas assez loin dans les modalités de mise en œuvre concrète de ces principes - notamment en raison de l’opposition de la Grande-Bretagne à toute harmonisation fiscale ou sociale - mais une constitution ne gouverne pas. Il revient aux responsables politiques - Conseil des ministres et Parlement européen - d’adopter une législation mettant en œuvre ces politiques progressistes, dans les domaines qui relèvent de la compétence de l’Union. Et dans les autres domaines, les gouvernements nationaux doivent faire face à leurs propres carences : ce n’est pas la faute de l’Union si la France ne construit pas assez de logements sociaux. Le Traité constitutionnel n’est ni de droite, ni de gauche. Il offre un cadre susceptible d’accueillir des politiques différentes en fonction des alternances électorales. Certes, c’est plus compliqué à l’échelon européen qu’à l’échelon national. Car l’orientation politique de l’Union dépend à la fois de la couleur politique du Parlement européen et du Conseil des ministres, qui change en fonction des échéances électorales des Etats membres. Ces deux institutions sont aujourd’hui de centre-droit, mais cette réalité peut changer. Si les mouvements sociaux et politiques décident de le faire vivre, ce traité contient des éléments protecteurs de nos modèles sociaux. La Charte des droits fondamentaux (civils, civiques, économiques et sociaux) a été intégrée au texte, ce qui lui donne une valeur juridique. Les Britanniques s’y sont opposés à cause de la reconnaissance du droit de grève. Ils ont fini par accepter, sous réserve qu’une déclaration précise que cette Charte sera interprétée dans le respect des traditions nationales, déclaration sans valeur juridique. Désormais, toute violation de ces droits pourra être sanctionnée par la Cour de justice de Luxembourg ou par les juridictions nationales, lorsqu’elles se prononceront sur des lois ou décrets pris en application des directives européennes. Le Traité constitutionnel contribue à la démocratisation de l’Union. La reconnaissance d’un droit à l’initiative populaire est importante : un million au moins de citoyens relevant d’un nombre significatif d’Etats membres pourront adresser à la Commission une proposition. Ce qui ouvre la voie à une forme de démocratie participative. »
Propos recueillis par Sandrine TolottiEn ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/article.php3?id_article=111 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : L'Union sera plus sociale : L'Europe libérale est-elle une fatalité ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Quermonne (1927-....), Personne interviewée ; Sandrine Tolotti, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 36 Langues : Français (fre) Catégories : 32(4) Politique Union Européenne
33(4) Economie politique et sociale de l'Europe et de l'Union européenne
364.1 Bien-être social
369 Assurance sociale. Sécurité socialeRésumé : Article complet :
“L’Union sera plus sociale”
Entretien avec Jean-Louis Quermonne, juriste et professeur émérite des universités. Référence au plein emploi, à l’économie sociale de marché, Charte des droits fondamentaux : refuser le Traité, c’est dire non à des avancées importantes.
Une chose m’étonne dans la stratégie politique des partisans d’un “non” de progrès au projet de Traité constitutionnel. Leur cible est la troisième partie du texte, portant sur le contenu des politiques de l’Union, dont l’orientation libérale est avérée. Mais cette partie n’est qu’un résumé des traités existants. Elle restera donc en vigueur si le non l’emporte ! L’on se privera en revanche des deux premières parties sur les objectifs de l’Union et la Charte des droits fondamentaux, lesquelles donnent un sens plus social et plus démocratique à l’Europe.
Le Traité constitutionnel rassemble des références contradictoires entre lesquelles le jeu démocratique devra trancher, mais beaucoup vont dans un sens progressiste. L’article 3 de la première partie, qui définit les objectifs de l’Union, reprend l’objectif numéro 2 du traité de Rome de 1957 sur la « concurrence libre et non faussée ». Mais un peu plus loin, le projet de traité innove de manière substantielle en faisant référence à l’« économie sociale de marché » et au « plein emploi », alors que les traités ne mentionnaient jusqu’à présent qu’un objectif de « niveau d’emploi élevé ». La troisième partie na va peut-être pas assez loin dans les modalités de mise en œuvre concrète de ces principes - notamment en raison de l’opposition de la Grande-Bretagne à toute harmonisation fiscale ou sociale - mais une constitution ne gouverne pas. Il revient aux responsables politiques - Conseil des ministres et Parlement européen - d’adopter une législation mettant en œuvre ces politiques progressistes, dans les domaines qui relèvent de la compétence de l’Union. Et dans les autres domaines, les gouvernements nationaux doivent faire face à leurs propres carences : ce n’est pas la faute de l’Union si la France ne construit pas assez de logements sociaux. Le Traité constitutionnel n’est ni de droite, ni de gauche. Il offre un cadre susceptible d’accueillir des politiques différentes en fonction des alternances électorales. Certes, c’est plus compliqué à l’échelon européen qu’à l’échelon national. Car l’orientation politique de l’Union dépend à la fois de la couleur politique du Parlement européen et du Conseil des ministres, qui change en fonction des échéances électorales des Etats membres. Ces deux institutions sont aujourd’hui de centre-droit, mais cette réalité peut changer. Si les mouvements sociaux et politiques décident de le faire vivre, ce traité contient des éléments protecteurs de nos modèles sociaux. La Charte des droits fondamentaux (civils, civiques, économiques et sociaux) a été intégrée au texte, ce qui lui donne une valeur juridique. Les Britanniques s’y sont opposés à cause de la reconnaissance du droit de grève. Ils ont fini par accepter, sous réserve qu’une déclaration précise que cette Charte sera interprétée dans le respect des traditions nationales, déclaration sans valeur juridique. Désormais, toute violation de ces droits pourra être sanctionnée par la Cour de justice de Luxembourg ou par les juridictions nationales, lorsqu’elles se prononceront sur des lois ou décrets pris en application des directives européennes. Le Traité constitutionnel contribue à la démocratisation de l’Union. La reconnaissance d’un droit à l’initiative populaire est importante : un million au moins de citoyens relevant d’un nombre significatif d’Etats membres pourront adresser à la Commission une proposition. Ce qui ouvre la voie à une forme de démocratie participative. »
Propos recueillis par Sandrine TolottiEn ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/article.php3?id_article=111 Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Alternatives internationales > 24 (mai 2005) . - p. 36Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40517/1 p/5202 Périodique Réserve Périodiques Disponible