Université Paris VIII Vincennes - Saint-Denis. Les écritures différées de l’enfance pendant la Shoah : Aharon Appelfeld, Georges-Arthur Goldschmidt et Imre Kertész [document électronique] / Claire Laloyaux, Auteur . - Paris : Université Paris VIII, 2012 . - 1 fichier pdf (129 p.).
Mémoire de Master 2 sous la direction de Catherine Coquio, Département de littérature générale et comparée - UFR Histoire, littératures, sociologie.
Soutenu le 15 octobre 2012 . Mention Très Bien (18/20).
Langues : Français (fre)

Catégories :	-053.2 Enfants / Jeunes 179.2 Cruauté envers les enfants 82-940.531 Littérature lazaréenne 929 Biographies et témoignages 929 Kertész, Imre Judéocide / Shoah
Index. décimale :	929 Biographies
Note de contenu :	TABLE DES MATIÈRES Introduction Première partie : La perception enfantine de la Catastrophe 1. Les sens en alerte et le dessillement a. L’observation jusqu’à la contemplation b. Autres sens : l’ouïe, l’odorat et le toucher c. La perception du corps souffrant chez Kertész d. Le regard porté sur les enfants 2. Les modèles perceptifs a. La nature et l’animal b. L’idiot et le motif de la cécité c. L’univers du conte d. La « nudité » de l’enfant et le modèle musical 3. Perception et bribes de paroles a. Se méfier des mots jusqu’au mutisme : Appelfeld b. L’ « entre-mots » : Goldschmidt c. Le mime du « pas à pas » et du déchiffrement Première conclusion Deuxième partie : Les savoirs de l’enfant. Entre connaître et comprendre 1. « Eurêka ! » ou l’absorption de la terreur par le corps a. Champ lexical de la « surrection initiale » chez Goldschmidt b. Les enjeux du récit d’illumination chez Kertész c. Le deuil par l’hallucination chez Goldschmidt d. Le corps refuge et menace e. Le jeu comme assimilation de la réalité 2. De « l’innocent coupable » et « persécuté » à l’innocent en apprentissage ? a. Un rapport ambivalent à la tradition juive : le retour du Juif errant b. La honte d’être juif : lire Kafka après la Shoah c. Actualité du roman d’apprentissage Deuxième conclusion Troisième partie : Faire d’un destin imposé un destin d’écrivain 1. « La petite madeleine » : la survie pendant la Shoah relue au regard de la survie d’après-guerre a. Origine de l’expression chez Kertész b. La nécessité de l’abri pour écrire l’enfance c. Reconquérir la voix de l’enfance à l’âge adulte d. La maturité de l’oeuvre et la vieillesse de l’écrivain 2. Comment se réécrire et se revoir enfant ? D’un âge à l’autre, d’un genre à l’autre a. Le travestissement de la confession par la fiction b. Du devenir témoin au devenir écrivain (Kertész) c. Une écriture de l’écart 3. Avec quelle langue écrire le génocide des enfants ? a. Un imaginaire des langues b. Une réécriture de soi par la traduction c. Relégitimer la « contre-langue » des enfants Troisième conclusion Conclusion générale Bibliographie
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Titre de série :	Université Paris VIII Vincennes - Saint-Denis
Titre :	Les écritures différées de l’enfance pendant la Shoah : Aharon Appelfeld, Georges-Arthur Goldschmidt et Imre Kertész
Type de document :	document électronique
Auteurs :	Claire Laloyaux, Auteur
Editeur :	Paris : Université Paris VIII
Année de publication :	2012
Importance :	1 fichier pdf (129 p.)
Note générale :	Mémoire de Master 2 sous la direction de Catherine Coquio, Département de littérature générale et comparée - UFR Histoire, littératures, sociologie. Soutenu le 15 octobre 2012 . Mention Très Bien (18/20).
Langues :	Français (fre)
Catégories :	-053.2 Enfants / Jeunes 179.2 Cruauté envers les enfants 82-940.531 Littérature lazaréenne 929 Biographies et témoignages 929 Kertész, Imre Judéocide / Shoah
Index. décimale :	929 Biographies
Note de contenu :	TABLE DES MATIÈRES Introduction Première partie : La perception enfantine de la Catastrophe 1. Les sens en alerte et le dessillement a. L’observation jusqu’à la contemplation b. Autres sens : l’ouïe, l’odorat et le toucher c. La perception du corps souffrant chez Kertész d. Le regard porté sur les enfants 2. Les modèles perceptifs a. La nature et l’animal b. L’idiot et le motif de la cécité c. L’univers du conte d. La « nudité » de l’enfant et le modèle musical 3. Perception et bribes de paroles a. Se méfier des mots jusqu’au mutisme : Appelfeld b. L’ « entre-mots » : Goldschmidt c. Le mime du « pas à pas » et du déchiffrement Première conclusion Deuxième partie : Les savoirs de l’enfant. Entre connaître et comprendre 1. « Eurêka ! » ou l’absorption de la terreur par le corps a. Champ lexical de la « surrection initiale » chez Goldschmidt b. Les enjeux du récit d’illumination chez Kertész c. Le deuil par l’hallucination chez Goldschmidt d. Le corps refuge et menace e. Le jeu comme assimilation de la réalité 2. De « l’innocent coupable » et « persécuté » à l’innocent en apprentissage ? a. Un rapport ambivalent à la tradition juive : le retour du Juif errant b. La honte d’être juif : lire Kafka après la Shoah c. Actualité du roman d’apprentissage Deuxième conclusion Troisième partie : Faire d’un destin imposé un destin d’écrivain 1. « La petite madeleine » : la survie pendant la Shoah relue au regard de la survie d’après-guerre a. Origine de l’expression chez Kertész b. La nécessité de l’abri pour écrire l’enfance c. Reconquérir la voix de l’enfance à l’âge adulte d. La maturité de l’oeuvre et la vieillesse de l’écrivain 2. Comment se réécrire et se revoir enfant ? D’un âge à l’autre, d’un genre à l’autre a. Le travestissement de la confession par la fiction b. Du devenir témoin au devenir écrivain (Kertész) c. Une écriture de l’écart 3. Avec quelle langue écrire le génocide des enfants ? a. Un imaginaire des langues b. Une réécriture de soi par la traduction c. Relégitimer la « contre-langue » des enfants Troisième conclusion Conclusion générale Bibliographie
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