Discours de circonstance sur la question noire ; Suivi de la réponse de John Stuart Mill [texte imprimé] / Thomas Carlyle (1795-1881), Auteur ; Thierry Gillyboeuf (1967-....), Traducteur . - Paris : Mille et une nuits, impr. 2010 . - 1 vol. (118 p.) : ill., couv. ill. ; 15 cm. - ( Mille et une nuits, ISSN 1251-6465; 576) . ISBN : 978-2-7555-0573-3 : 3,50 EUR Bibliogr., 3 p. Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Catégories : |
326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains 330.82 Libéralisme - Capitalisme
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Index. décimale : |
342.7 Droits humains |
Résumé : |
Site éditeur :
En 1849, cela fait déjà plus de quinze ans que l’esclavage a été aboli dans les colonies britanniques. Toutefois, bien que l’émancipation des esclaves soit acquise, la « question noire » est toujours vive, car la transition économique ne va pas sans mal.
C’est dans ce contexte que l’écrivain écossais Thomas Carlyle (1795-1881) jette anonymement de l’huile sur le feu en défendant le caractère « acceptable » de l’esclavage. Si son pamphlet mérite d’être lu aujourd’hui, ce n’est pas pour les préjugés racistes qu’il reprend, mais pour sa lucidité sur le capitalisme qui vient et répand la misère, sur l’hégémonie éminente du tout-économique qu’il appelle la « science lugubre ». À son Discours de circonstance, troublant exemple d’un esprit brillant qui se fourvoie, répond le penseur libéral John Stuart Mill.
Texte de Thomas Carlyle paru en 1853 dans "Latter-day pamphlets", version reprise et augmentée du texte paru anonymement en décembre 1849 dans "Fraser's Magazine for town and country. La réponse de John Stuart Mill a paru anonymement dans le même journal en 1850
S. Forgeur in Aide-Mémoire, 55, janvier-mars 2011 :
Quinze années après l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques, la « question noire » reste quand même leur souci numéro un. Mais pas pour Thomas Carlyle. Dans ce petit texte très dur, il revient sur le capitalisme qui détruit beaucoup sur son passage et les ouvriers anglais qui travaillent, eux, comme des esclaves pour ne rien obtenir en retour. 118 pages dures qu’il faut lire afin de comprendre ce que Thomas Carlyle veut vraiment défendre… |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
Titre : |
Discours de circonstance sur la question noire |
Autre titre : |
Suivi de la réponse de John Stuart Mill |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Thomas Carlyle (1795-1881), Auteur ; Thierry Gillyboeuf (1967-....), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Mille et une nuits |
Année de publication : |
impr. 2010 |
Collection : |
Mille et une nuits, ISSN 1251-6465 num. 576 |
Importance : |
1 vol. (118 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. |
Format : |
15 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7555-0573-3 |
Prix : |
3,50 EUR |
Note générale : |
Bibliogr., 3 p. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Catégories : |
326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains 330.82 Libéralisme - Capitalisme
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Index. décimale : |
342.7 Droits humains |
Résumé : |
Site éditeur :
En 1849, cela fait déjà plus de quinze ans que l’esclavage a été aboli dans les colonies britanniques. Toutefois, bien que l’émancipation des esclaves soit acquise, la « question noire » est toujours vive, car la transition économique ne va pas sans mal.
C’est dans ce contexte que l’écrivain écossais Thomas Carlyle (1795-1881) jette anonymement de l’huile sur le feu en défendant le caractère « acceptable » de l’esclavage. Si son pamphlet mérite d’être lu aujourd’hui, ce n’est pas pour les préjugés racistes qu’il reprend, mais pour sa lucidité sur le capitalisme qui vient et répand la misère, sur l’hégémonie éminente du tout-économique qu’il appelle la « science lugubre ». À son Discours de circonstance, troublant exemple d’un esprit brillant qui se fourvoie, répond le penseur libéral John Stuart Mill.
Texte de Thomas Carlyle paru en 1853 dans "Latter-day pamphlets", version reprise et augmentée du texte paru anonymement en décembre 1849 dans "Fraser's Magazine for town and country. La réponse de John Stuart Mill a paru anonymement dans le même journal en 1850
S. Forgeur in Aide-Mémoire, 55, janvier-mars 2011 :
Quinze années après l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques, la « question noire » reste quand même leur souci numéro un. Mais pas pour Thomas Carlyle. Dans ce petit texte très dur, il revient sur le capitalisme qui détruit beaucoup sur son passage et les ouvriers anglais qui travaillent, eux, comme des esclaves pour ne rien obtenir en retour. 118 pages dures qu’il faut lire afin de comprendre ce que Thomas Carlyle veut vraiment défendre… |
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