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Nous espèrons que cet homme deviendra bientôt un exemple pour le monde entier / Amnesty International
Nous espèrons que cet homme deviendra bientôt un exemple pour le monde entier : Slobodan Milosevic doit être traduit devant le TPI [document graphique à deux dimensions] / Amnesty International . - [s.d.] . - pp. 0 - 10.
ISSN : AFF/26
Langues : Français (fre)
Catégories : (497.1)"1918-1990" Yougoslavie
(497.1)"1990-" Yougoslavie
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
347.9(100) Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie (TPIY La Haye)
929 Milosevic, Slobodan (1941-2006)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Nous espèrons que cet homme deviendra bientôt un exemple pour le monde entier : Slobodan Milosevic doit être traduit devant le TPI Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Amnesty International Importance : pp. 0 - 10 ISBN/ISSN/EAN : AFF/26 Langues : Français (fre) Catégories : (497.1)"1918-1990" Yougoslavie
(497.1)"1990-" Yougoslavie
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
347.9(100) Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie (TPIY La Haye)
929 Milosevic, Slobodan (1941-2006)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18247/1 AFF/26 Documents divers Réserve - Exclu du prêt 18247/2 AFF/26(2) Documents divers Réserve - Exclu du prêt
Nous étions des enfants [document projeté ou vidéo] / Jean-Jacques Lemêtre (1952-....), Compositeur ; Jean-Gabriel Carasso (1948-....), Metteur en scène, réalisateur . - Paris : l'Oizeau rare, cop. 2011 . - 10 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (15 h 02 min) : 16/9, coul. (PAL), son.
Langues : Français (fre)
Catégories : 352(44) Paris
929 Biographies et témoignages
929:791.4 Témoignage Audiovisuel
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
Le Comité Ecole de la rue Tlemcen est né de la volonté d’anciens élèves de cette école de Paris, rescapés des rafles et des camps, d’honorer la mémoire des 1100 enfants juifs du XXe arrondissement, déportés et exterminés durant la seconde guerre mondiale. Depuis 1997, à leur initiative, de nombreuses plaques commémoratives ont été placées dans et hors de nombreuses écoles, des témoignages ont été réalisés dans les classes et un livre a été publié, qui garde trace des témoignages et des actions du Comité.
Prolongeant ces actions, les 10 DVD édités aujourd’hui constituent une autre manière de garder trace et de témoigner de cette période de l’histoire. Les 18 récits complets qui s’y trouvent sont tous singuliers et bouleversants. Ils ont été recueillis au cours de deux années de tournage auprès de ces derniers témoins directs, pour être mis à la disposition des enfants, des enseignants, des parents, des historiens et de tous ceux qui veulent désormais «se souvenir, pour construire l’avenir»
Un film de synthèse «Nous étions des enfants» de Jean-Gabriel Carasso permet d’aborder les principaux thèmes évoqués par les 18 témoins et constitue un rappel historique de la période.
Un entretien exclusif avec Boris Cyrulnik, psychiatre, psychanalyste, lui-même enfant caché et traqué tout au long de la guerre, complète ces documents et aide à mieux comprendre les difficultés du témoignage, mais aussi le sens et la nature du «travail de mémoire».Note de contenu : Sommaire des DVD :
- DVD 1 (lycéens, adultes, parents, enseignants...)
Nous étions des enfants Extraits des témoignages et présentation des 18 témoins à l’occasion d’un récit historique croisé. (52’)
Des mots pour comprendre Boris CYRULNIK, psychiatre, psychanalyste, lui-même enfant caché et traqué, indique aux adultes, parents et enseignants, le sens d’un travail sur la mémoire. (36’)
- DVD 2
Léon ZYGUEL (né en 1927) Interné à Mérignac, puis à Drancy et Pithiviers, déporté, il participe à la «marche de la mort» et à l’insurrection du camp de Buchenwald. Il sera un témoin majeur du procès de Maurice Papon. (78’) (lycéens)
Henri ZYTNICKI (né en 1934) Il échappe à une rafle à Lyon, se retrouve dans un orphelinat à la Croix-Rousse, avant d’être envoyé à la campagne, passant le reste de la guerre dans une ferme en Auvergne. (23’)
- DVD 3
Marie AUBERT (née en 1932) Elle échappe à la rafle de juillet 1942 grâce à la concierge, se cache dans les caves, échappe à une seconde rafle, puis est placée dans une famille du Maine et Loire. (20’)
Rachel JAEGLE (née en 1934) Sa mère refuse de se laisser emmener avec ses filles lors de la rafle du Vel’d’hiv. Elles parviennent à se cacher dans plusieurs familles en région parisienne et en Charente-Maritime. (64’)
- DVD 4
Hélène SIMONY (née en 1933) Sa mère refuse d’ouvrir lors de la rafle de 1942. Elle est cachée dans différents lieux avant de fuir dans le Vaucluse. Son père a vécu caché toute la guerre, sa mère et son frère ont été déportés. (39’)
Rachel JEDINAK (née en 1934) Arrêtée lors de la rafle du Vel’d’hiv, elle parvient à s’échapper de la Bellevilloise puis du commissariat du XXe. Elle est cachée tout au long de la guerre, notamment à Château-Renault. (62’)
- DVD 5
Jean ROZENTAL (né en 1935) Après la déportation de son père en 1941, il est caché avec son frère dans des familles en région parisienne, puis dans une ferme à St Amand-Montrond. (20’)
Maurice JAKUBOWICZ (né en 1941) Membre d’une famille de 9 enfants, il est sauvé d’une rafle en février 1944 faute de place suffisante dans le car de police. Par chance, tous seront survivants à la fin de la guerre. (52’) (lycéens)
- DVD 6
Jacob SZMULEWICZ «Jacquot» (né en 1925) Réfugié à Lyon dès 1941, entre dans les FTP-MOI en 1943. Membre du groupe «Liberté» à Grenoble, il mène de nombreuses actions et participe à l’insurrection de Villeurbanne. (55’)(lycéens)
Léna DONERSTEIN (née en 1932) Echappe à la rafle de juillet 1942, sa mère refusant d’ouvrir la porte, puis à une seconde rafle cachée chez une voisine. Elle est cachée en Bretagne. (27’)
- DVD 7
Lola GRYNBERG (née en 1934) Elle échappe à la rafle, dissimulée chez une voisine. Emmenée à Nice, elle change de nom et travaille sur les marchés. Elle retrouvera ses parents, eux aussi cachés pendant toute la guerre. (47’)
Henri MALBERG (né en 1930) Echappe à la rafle de 1942, caché dans l’atelier de son père. Suit ses parents, notamment au camp d’internement de Douadic. Ils retrouvent leur atelier à la Libération, au retour à Paris. (37’)
- DVD 8
Jacques KLAJNBERG (né en 1928) Passe la guerre à Ozoir-la-Ferrière, caché dans une cabane, ne sortant que la nuit pour se nourrir. Engagé dans la résistance il participe à la libération d’Ozoir. (54’)
Annette KLAJNBERG (née en 1930) Son père est arrêté, interné à Drancy puis relâché pour maladie. Elle est envoyée grâce à l’OSE (Organisation de secours aux enfants) dans le Loir et Cher pendant toute la guerre. (34’)
- DVD 9
Régine LIPPE (née en 1932) Elle échappe par chance à une rafle en juin 1942. Elle est cachée dans une famille d’accueil dans la Sarthe, puis dans le Loiret où elle passe le reste de la guerre. (45’)
Georgette BLAJCHMAN (née en 1932) Réfugiée à Montauban, puis en Savoie, enfin en Suisse. Son père est dénoncé par le maire du village français où il se trouvait et déporté en 1943. (45’)
- DVD 10
Addy FUCHS (né en 1926) Dénoncé au passage de la ligne de démarcation, il est déporté à Blechammer. Sur les 1000 déportés de son convoi, 29 ont survécu. Il raconte dans le détail la vie dans les camps et son retour à Paris. (42’) (lycéens)
Rebecca CUKIERMAN (née en 1927) Restée seule à Paris, son père étant interné à Cherbourg et sa mère décédée, elle voit de sa fenêtre ses amies raflées et les enfants emportés. Elle a la chance de ne jamais être dénoncée. (43’)En ligne : http://www.nousetionsdesenfants.com/ Format de la ressource électronique : Site du film Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Nous étions des enfants Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Jacques Lemêtre (1952-....), Compositeur ; Jean-Gabriel Carasso (1948-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : l'Oizeau rare Année de publication : cop. 2011 Importance : 10 DVD vidéo monofaces simple couche toutes zones (15 h 02 min) Présentation : 16/9, coul. (PAL), son. Langues : Français (fre) Catégories : 352(44) Paris
929 Biographies et témoignages
929:791.4 Témoignage Audiovisuel
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
Le Comité Ecole de la rue Tlemcen est né de la volonté d’anciens élèves de cette école de Paris, rescapés des rafles et des camps, d’honorer la mémoire des 1100 enfants juifs du XXe arrondissement, déportés et exterminés durant la seconde guerre mondiale. Depuis 1997, à leur initiative, de nombreuses plaques commémoratives ont été placées dans et hors de nombreuses écoles, des témoignages ont été réalisés dans les classes et un livre a été publié, qui garde trace des témoignages et des actions du Comité.
Prolongeant ces actions, les 10 DVD édités aujourd’hui constituent une autre manière de garder trace et de témoigner de cette période de l’histoire. Les 18 récits complets qui s’y trouvent sont tous singuliers et bouleversants. Ils ont été recueillis au cours de deux années de tournage auprès de ces derniers témoins directs, pour être mis à la disposition des enfants, des enseignants, des parents, des historiens et de tous ceux qui veulent désormais «se souvenir, pour construire l’avenir»
Un film de synthèse «Nous étions des enfants» de Jean-Gabriel Carasso permet d’aborder les principaux thèmes évoqués par les 18 témoins et constitue un rappel historique de la période.
Un entretien exclusif avec Boris Cyrulnik, psychiatre, psychanalyste, lui-même enfant caché et traqué tout au long de la guerre, complète ces documents et aide à mieux comprendre les difficultés du témoignage, mais aussi le sens et la nature du «travail de mémoire».Note de contenu : Sommaire des DVD :
- DVD 1 (lycéens, adultes, parents, enseignants...)
Nous étions des enfants Extraits des témoignages et présentation des 18 témoins à l’occasion d’un récit historique croisé. (52’)
Des mots pour comprendre Boris CYRULNIK, psychiatre, psychanalyste, lui-même enfant caché et traqué, indique aux adultes, parents et enseignants, le sens d’un travail sur la mémoire. (36’)
- DVD 2
Léon ZYGUEL (né en 1927) Interné à Mérignac, puis à Drancy et Pithiviers, déporté, il participe à la «marche de la mort» et à l’insurrection du camp de Buchenwald. Il sera un témoin majeur du procès de Maurice Papon. (78’) (lycéens)
Henri ZYTNICKI (né en 1934) Il échappe à une rafle à Lyon, se retrouve dans un orphelinat à la Croix-Rousse, avant d’être envoyé à la campagne, passant le reste de la guerre dans une ferme en Auvergne. (23’)
- DVD 3
Marie AUBERT (née en 1932) Elle échappe à la rafle de juillet 1942 grâce à la concierge, se cache dans les caves, échappe à une seconde rafle, puis est placée dans une famille du Maine et Loire. (20’)
Rachel JAEGLE (née en 1934) Sa mère refuse de se laisser emmener avec ses filles lors de la rafle du Vel’d’hiv. Elles parviennent à se cacher dans plusieurs familles en région parisienne et en Charente-Maritime. (64’)
- DVD 4
Hélène SIMONY (née en 1933) Sa mère refuse d’ouvrir lors de la rafle de 1942. Elle est cachée dans différents lieux avant de fuir dans le Vaucluse. Son père a vécu caché toute la guerre, sa mère et son frère ont été déportés. (39’)
Rachel JEDINAK (née en 1934) Arrêtée lors de la rafle du Vel’d’hiv, elle parvient à s’échapper de la Bellevilloise puis du commissariat du XXe. Elle est cachée tout au long de la guerre, notamment à Château-Renault. (62’)
- DVD 5
Jean ROZENTAL (né en 1935) Après la déportation de son père en 1941, il est caché avec son frère dans des familles en région parisienne, puis dans une ferme à St Amand-Montrond. (20’)
Maurice JAKUBOWICZ (né en 1941) Membre d’une famille de 9 enfants, il est sauvé d’une rafle en février 1944 faute de place suffisante dans le car de police. Par chance, tous seront survivants à la fin de la guerre. (52’) (lycéens)
- DVD 6
Jacob SZMULEWICZ «Jacquot» (né en 1925) Réfugié à Lyon dès 1941, entre dans les FTP-MOI en 1943. Membre du groupe «Liberté» à Grenoble, il mène de nombreuses actions et participe à l’insurrection de Villeurbanne. (55’)(lycéens)
Léna DONERSTEIN (née en 1932) Echappe à la rafle de juillet 1942, sa mère refusant d’ouvrir la porte, puis à une seconde rafle cachée chez une voisine. Elle est cachée en Bretagne. (27’)
- DVD 7
Lola GRYNBERG (née en 1934) Elle échappe à la rafle, dissimulée chez une voisine. Emmenée à Nice, elle change de nom et travaille sur les marchés. Elle retrouvera ses parents, eux aussi cachés pendant toute la guerre. (47’)
Henri MALBERG (né en 1930) Echappe à la rafle de 1942, caché dans l’atelier de son père. Suit ses parents, notamment au camp d’internement de Douadic. Ils retrouvent leur atelier à la Libération, au retour à Paris. (37’)
- DVD 8
Jacques KLAJNBERG (né en 1928) Passe la guerre à Ozoir-la-Ferrière, caché dans une cabane, ne sortant que la nuit pour se nourrir. Engagé dans la résistance il participe à la libération d’Ozoir. (54’)
Annette KLAJNBERG (née en 1930) Son père est arrêté, interné à Drancy puis relâché pour maladie. Elle est envoyée grâce à l’OSE (Organisation de secours aux enfants) dans le Loir et Cher pendant toute la guerre. (34’)
- DVD 9
Régine LIPPE (née en 1932) Elle échappe par chance à une rafle en juin 1942. Elle est cachée dans une famille d’accueil dans la Sarthe, puis dans le Loiret où elle passe le reste de la guerre. (45’)
Georgette BLAJCHMAN (née en 1932) Réfugiée à Montauban, puis en Savoie, enfin en Suisse. Son père est dénoncé par le maire du village français où il se trouvait et déporté en 1943. (45’)
- DVD 10
Addy FUCHS (né en 1926) Dénoncé au passage de la ligne de démarcation, il est déporté à Blechammer. Sur les 1000 déportés de son convoi, 29 ont survécu. Il raconte dans le détail la vie dans les camps et son retour à Paris. (42’) (lycéens)
Rebecca CUKIERMAN (née en 1927) Restée seule à Paris, son père étant interné à Cherbourg et sa mère décédée, elle voit de sa fenêtre ses amies raflées et les enfants emportés. Elle a la chance de ne jamais être dénoncée. (43’)En ligne : http://www.nousetionsdesenfants.com/ Format de la ressource électronique : Site du film Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47891 dvd/138 Audiovisuel Réserve Multimédia Disponible
Nous n'irons pas voir Auschwitz [texte imprimé] / Jérémie Dres (1982-....), Auteur ; Jean-Yves Potel (1948-....), Préfacier, etc. . - Paris : Cambourakis, impr. 2011 . - 1 vol. (non paginé [ca 208] p.) : ill., couv. ill. en noir et en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-916589-76-3 : 19 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
94(438) Histoire de la Pologne
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Site éditeur :
Nous n’irons pas voir Auschwitz est le premier roman graphique de Jérémie Dres. À la recherche de leurs origines, l’auteur et son frère partent en Pologne sur les traces de leur grand-mère décédée. Cette quête familiale leur permettra de rencontrer la communauté juive polonaise d’aujourd’hui et de mesurer son renouveau. A travers une multitude de rencontres, avec la jeune génération d’artistes polonais à Varsovie, avec un rabbin progressiste américain ou encore avec l’historien Jean-Yves Potel, c’est une image moderne et contrastée de la nouvelle communauté juive de Pologne qui émerge de ce récit intimiste.
Au-delà d’un simple travail de mémoire, ce que les deux frères vont découvrir va profondément enrichir leur identité, faire la lumière sur les relations judéo-polonaises et interroger les préjugés, notamment d’antisémitisme, qui ont pu leur être transmis durant leur enfance. De Paris à Varsovie, entre recherche identitaire et enquête documentaire, Jérémie Dres dresse avec un ton plein de justesse et de drôlerie un portrait de la communauté juive de Pologne. Par son aspect documentaire, ce roman graphique original aborde avec une perspective inédite, toute en finesse, des problématiques peu traitées par la bande dessinée contemporaine : le rapport à l’avenir de la communauté juive de Pologne, à travers ses aspirations et ses contradictions.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Nous n'irons pas voir Auschwitz Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérémie Dres (1982-....), Auteur ; Jean-Yves Potel (1948-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Cambourakis Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (non paginé [ca 208] p.) Présentation : ill., couv. ill. en noir et en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916589-76-3 Prix : 19 EUR Langues : Français (fre) Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
94(438) Histoire de la Pologne
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Site éditeur :
Nous n’irons pas voir Auschwitz est le premier roman graphique de Jérémie Dres. À la recherche de leurs origines, l’auteur et son frère partent en Pologne sur les traces de leur grand-mère décédée. Cette quête familiale leur permettra de rencontrer la communauté juive polonaise d’aujourd’hui et de mesurer son renouveau. A travers une multitude de rencontres, avec la jeune génération d’artistes polonais à Varsovie, avec un rabbin progressiste américain ou encore avec l’historien Jean-Yves Potel, c’est une image moderne et contrastée de la nouvelle communauté juive de Pologne qui émerge de ce récit intimiste.
Au-delà d’un simple travail de mémoire, ce que les deux frères vont découvrir va profondément enrichir leur identité, faire la lumière sur les relations judéo-polonaises et interroger les préjugés, notamment d’antisémitisme, qui ont pu leur être transmis durant leur enfance. De Paris à Varsovie, entre recherche identitaire et enquête documentaire, Jérémie Dres dresse avec un ton plein de justesse et de drôlerie un portrait de la communauté juive de Pologne. Par son aspect documentaire, ce roman graphique original aborde avec une perspective inédite, toute en finesse, des problématiques peu traitées par la bande dessinée contemporaine : le rapport à l’avenir de la communauté juive de Pologne, à travers ses aspirations et ses contradictions.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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"Nous pouvons vivre sans les Juifs" : Novembre 1941 : quand et comment ils décidèrent de la Solution finale [texte imprimé] / Édouard Husson (1969-....), Auteur . - Paris : Perrin, 2005 . - 179 p. : couv. ill. ; 20 cm.
ISBN : 2-262-02356-5 : 18 €
Bibliographie. - Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
321.6"1933/1945" Nazisme
35 Administration publique et Art militaire
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture :
L'élimination physique de six millions de Juifs européens, entre 1939 et 1945, est le crime collectif le plus terrifiant de l'histoire de l'humanité. Personne ne doute qu'il y eut préméditation chez Hitler, entraînant de nombreux Allemands à commettre, avec lui, un tel massacre. Mais, comme les grands criminels, Hitler a tout fait pour effacer les traces de son implication. Personne n'a retrouvé d'ordre écrit de sa main ; il n'y en a vraisemblablement jamais eu. Les historiens, qui sont toujours à la recherche d'un document d'archives, en ont conclu que Hitler n'avait fait que couvrir de son autorité le meurtre de masse, que d'autres avaient pris la décision et l'avaient mise en oeuvre. Un tel point de vue est absurde car il méconnaît le fonctionnement du IIIe Reich : il était impensable que la décision la plus grave jamais prise par le régime nazi ait été simplement entérinée par son chef. Hitler a ordonné, à un moment, oralement, le meurtre de tous les Juifs. Peut-on savoir quand ? Comme dans toute enquête sur un crime, il faut partir à la recherche d'indices. Si la preuve directe manque, des éléments permettent, indirectement, de retracer le processus de décision. Nous avons la trace d'ordres venus d'en haut, écrits ou oraux - aujourd'hui détruits. Dans le système nazi, le responsable local a beaucoup de latitude dans les moyens d'exécution d'un ordre - c'est un acquis de la recherche historique des vingt mais il ne fait rien sans ordre. En fait, les chefs nazis avaient prévu deux étapes : le massacre des Juifs d'Union soviétique à partir de juin 1941, puis la déportation (et donc la mort lente) de tous les autres Juifs européens en Sibérie, après la défaite de Staline. C'était dans la perspective où l'URSS aurait été vaincue à l'automne 1941. Or elle tint bon, malgré les défaites de l'été 1941. Mais le Führer ne voulait pas renoncer à son projet de génocide. La deuxième partie du génocide commença alors, celui des Juifs vivant en Pologne, dès la fin de l'été. Beaucoup d'indices convergent vers la même conclusion : c'est dans la première quinzaine de novembre 1941 qu'il donna l'ordre de tuer tous les Juifs d'Europe. Une fois la décision prise, il fallait encore organiser la déportation vers les centres de mise à mort polonais des Juifs d'Europe. La conférence de Wannsee, relue dans cette perspective, n'est pas le moment de la décision, mais celui de l'organisation d'une décision prise deux mois plus tôt.Note de contenu : Table :
1. L'intention génocidaire : la "prophétie" du 30 janvier 1939
2. L'échec du projet de "réserve juive" dans la Pologne occupée (septembre 1939-mai 1940)
3. De la "solution Madagascar" à l'"évacuation des juif vers l'est"
4. Le "coup décisif contre la juiverie mondiale" : la mise en oeuvre progressive du génocide des juifs soviétiques durant l'été 1941
5. la "Solution finale de la question juive en Europe" : une affaire de calendrier
6. la radicalisation de la persécution des juifs hors d'Union soviétique (septembre-octobre 1941)
7. "Il est bon que la rumeur publique nous prête le dessein d'exterminer les juifs" (Adolf Hitler, le 25 octobre 1941)
8. "Nous pouvons vivre sans les juifs" (Adolf Hitler, le 5 novembre 1941)
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : "Nous pouvons vivre sans les Juifs" : Novembre 1941 : quand et comment ils décidèrent de la Solution finale Type de document : texte imprimé Auteurs : Édouard Husson (1969-....), Auteur Editeur : Paris : Perrin Année de publication : 2005 Importance : 179 p. Présentation : couv. ill. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-262-02356-5 Prix : 18 € Note générale : Bibliographie. - Index Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
321.6"1933/1945" Nazisme
35 Administration publique et Art militaire
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture :
L'élimination physique de six millions de Juifs européens, entre 1939 et 1945, est le crime collectif le plus terrifiant de l'histoire de l'humanité. Personne ne doute qu'il y eut préméditation chez Hitler, entraînant de nombreux Allemands à commettre, avec lui, un tel massacre. Mais, comme les grands criminels, Hitler a tout fait pour effacer les traces de son implication. Personne n'a retrouvé d'ordre écrit de sa main ; il n'y en a vraisemblablement jamais eu. Les historiens, qui sont toujours à la recherche d'un document d'archives, en ont conclu que Hitler n'avait fait que couvrir de son autorité le meurtre de masse, que d'autres avaient pris la décision et l'avaient mise en oeuvre. Un tel point de vue est absurde car il méconnaît le fonctionnement du IIIe Reich : il était impensable que la décision la plus grave jamais prise par le régime nazi ait été simplement entérinée par son chef. Hitler a ordonné, à un moment, oralement, le meurtre de tous les Juifs. Peut-on savoir quand ? Comme dans toute enquête sur un crime, il faut partir à la recherche d'indices. Si la preuve directe manque, des éléments permettent, indirectement, de retracer le processus de décision. Nous avons la trace d'ordres venus d'en haut, écrits ou oraux - aujourd'hui détruits. Dans le système nazi, le responsable local a beaucoup de latitude dans les moyens d'exécution d'un ordre - c'est un acquis de la recherche historique des vingt mais il ne fait rien sans ordre. En fait, les chefs nazis avaient prévu deux étapes : le massacre des Juifs d'Union soviétique à partir de juin 1941, puis la déportation (et donc la mort lente) de tous les autres Juifs européens en Sibérie, après la défaite de Staline. C'était dans la perspective où l'URSS aurait été vaincue à l'automne 1941. Or elle tint bon, malgré les défaites de l'été 1941. Mais le Führer ne voulait pas renoncer à son projet de génocide. La deuxième partie du génocide commença alors, celui des Juifs vivant en Pologne, dès la fin de l'été. Beaucoup d'indices convergent vers la même conclusion : c'est dans la première quinzaine de novembre 1941 qu'il donna l'ordre de tuer tous les Juifs d'Europe. Une fois la décision prise, il fallait encore organiser la déportation vers les centres de mise à mort polonais des Juifs d'Europe. La conférence de Wannsee, relue dans cette perspective, n'est pas le moment de la décision, mais celui de l'organisation d'une décision prise deux mois plus tôt.Note de contenu : Table :
1. L'intention génocidaire : la "prophétie" du 30 janvier 1939
2. L'échec du projet de "réserve juive" dans la Pologne occupée (septembre 1939-mai 1940)
3. De la "solution Madagascar" à l'"évacuation des juif vers l'est"
4. Le "coup décisif contre la juiverie mondiale" : la mise en oeuvre progressive du génocide des juifs soviétiques durant l'été 1941
5. la "Solution finale de la question juive en Europe" : une affaire de calendrier
6. la radicalisation de la persécution des juifs hors d'Union soviétique (septembre-octobre 1941)
7. "Il est bon que la rumeur publique nous prête le dessein d'exterminer les juifs" (Adolf Hitler, le 25 octobre 1941)
8. "Nous pouvons vivre sans les juifs" (Adolf Hitler, le 5 novembre 1941)
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42051 940.531/HUS Livre Libre-accès Adultes Disponible
Le Nouveau bréviaire de la haine : antisémitisme et antisionisme [texte imprimé] / Gilles William Goldnadel . - Paris : Ramsay, 2001 . - p. 154. - (Coup de gueule) .
ISBN : 2-84114-572-7
Langues : Français (fre)
Catégories : (44) France
(569.4) Israël
03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
323.118(=924) Antisémitisme
323.13 Sionisme
329.14 Tendance socialiste/gauche
343.6:323.12 Actes racistes
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Nouveau bréviaire de la haine : antisémitisme et antisionisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles William Goldnadel Editeur : Paris : Ramsay Année de publication : 2001 Collection : Coup de gueule Importance : p. 154 ISBN/ISSN/EAN : 2-84114-572-7 Langues : Français (fre) Catégories : (44) France
(569.4) Israël
03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
323.118(=924) Antisémitisme
323.13 Sionisme
329.14 Tendance socialiste/gauche
343.6:323.12 Actes racistes
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37104/2 323.12/GOL Livre Libre-accès Adultes Disponible 37104/1 323.12/GOL Livre Réserve Adultes Disponible 26 - Le nouveau combat des laïques (Bulletin de Le Vif / L'Express, 26 [26/06/2015])
PermalinkUn nouveau projet audiovisuel de la Fondation Auschwitz : une série d'intervies post-interviews / Yannis Thanassekos in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 5 (septembre 2000)
PermalinkLe Nouveau roman de Manès Sperber. un "midrach" de notre temps / ARNOLD MANDEL in Revue d'histoire de la Shoah, 176 (septembre-décembre 2002)
PermalinkPermalinkPermalinkUne nouvelle approche de la Shoah en Belgique in Le Vif / L'Express, 39 ([28/09/2012])
PermalinkPermalinkPermalinkNouvelles mesures en faveurs des victimes juives de la Seconde Guerre mondiale in Regards, 543 ([08/04/2003])
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