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Active Clubs : une plongée dans la violence d’extrême droite [document électronique] / Ricardo Parreira, Auteur . - Ballast, 1er décembre 2023 . - 1 article en ligne (consulté le 09/01/2024).
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(4) Extrême droite Europe
329.18(44) Extrême droite France
329.18-055.1 Milices d'extrême droite Skinheads
796 Sports Jeux sportifs AthlétismeRésumé : Introduction
La chose n’est pas nouvelle : arts martiaux et politique cheminent de concert, pour le meilleur comme pour le pire. Le meilleur, d’abord, qu’on cherche dans l’histoire : en Angleterre, au début du XXe siècle, les suffragettes se forment au jiu-jitsu dans une perspective d’autodéfense ; trois siècles plus tôt, au Brésil, des personnes esclavagisées résistent à leur condition avec un mélange de combat et de danse, qui prendra le nom de capoeira. Le pire, ensuite : il y a quelques jours, 80 militants d’extrême-droite ont fait une descente dans le quartier populaire de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, une semaine après la mort d’un jeune homme de 16 ans au cours d’un bal dans la même commune. Parmi eux, et dans le silence complice d’une classe politique atone, des néonazis venus des quatre coins de la France, dont certains se forment à la violence au sein de structures dédiées. Leur nom : les Active Clubs. Issus d’un mouvement né aux États-Unis il y a quelques années, les Active Clubs ont essaimé en France et en Europe sur une base idéologique composite, alliant suprémacisme blanc, ultra-nationalisme et fantasmes néonazis. Le journaliste Ricardo Parreira a enquêté sur leurs fondements et leurs manifestations récentes.En ligne : https://www.revue-ballast.fr/active-clubs-une-plongee-dans-la-violence-dextreme- [...] Format de la ressource électronique : Lien vers l'article Active Clubs : une plongée dans la violence d’extrême droite Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Active Clubs : une plongée dans la violence d’extrême droite Type de document : document électronique Auteurs : Ricardo Parreira, Auteur Editeur : Ballast Année de publication : 1er décembre 2023 Importance : 1 article en ligne (consulté le 09/01/2024) Langues : Français (fre) Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(4) Extrême droite Europe
329.18(44) Extrême droite France
329.18-055.1 Milices d'extrême droite Skinheads
796 Sports Jeux sportifs AthlétismeRésumé : Introduction
La chose n’est pas nouvelle : arts martiaux et politique cheminent de concert, pour le meilleur comme pour le pire. Le meilleur, d’abord, qu’on cherche dans l’histoire : en Angleterre, au début du XXe siècle, les suffragettes se forment au jiu-jitsu dans une perspective d’autodéfense ; trois siècles plus tôt, au Brésil, des personnes esclavagisées résistent à leur condition avec un mélange de combat et de danse, qui prendra le nom de capoeira. Le pire, ensuite : il y a quelques jours, 80 militants d’extrême-droite ont fait une descente dans le quartier populaire de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, une semaine après la mort d’un jeune homme de 16 ans au cours d’un bal dans la même commune. Parmi eux, et dans le silence complice d’une classe politique atone, des néonazis venus des quatre coins de la France, dont certains se forment à la violence au sein de structures dédiées. Leur nom : les Active Clubs. Issus d’un mouvement né aux États-Unis il y a quelques années, les Active Clubs ont essaimé en France et en Europe sur une base idéologique composite, alliant suprémacisme blanc, ultra-nationalisme et fantasmes néonazis. Le journaliste Ricardo Parreira a enquêté sur leurs fondements et leurs manifestations récentes.En ligne : https://www.revue-ballast.fr/active-clubs-une-plongee-dans-la-violence-dextreme- [...] Format de la ressource électronique : Lien vers l'article Active Clubs : une plongée dans la violence d’extrême droite Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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Indextrême : observer, répertorier et faire connaître les symboles graphiques réappropriés par l’extrême droite en France. [document électronique] / Ricardo Parreira, Auteur ; Geoffrey Dorne, Auteur ; Sylvain Denyse, Auteur . - 2023-.... . - 1 site internet (consulté le 22/05/2024).
Langues : Français (fre)
Catégories : 003.6 Symboles, diagrammes ...
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
329.11 Tendance conservatrice
329.17 Tendance nationaliste
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(091) Histoire de l'extrême droite
329.18(44) Extrême droite FranceRésumé : Introduction
« Le pouvoir d’un symbole réside dans sa capacité à produire du sens et à communiquer ce sens*. »
Indextrême est un outil qui a pour objectif de comprendre, dans le contexte français, les symboles utilisés et détournés par l’extrême droite. En connaissant leur histoire, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes sémiotiques de ces symboles et leur impact dans notre société.
Présentation du projet
Le projet INDEXTRÊME a pour objectif d’observer, de répertorier et de faire connaître les symboles graphiques utilisés et détournés par l’extrême droite en France.
L'extrême droite française, qu'elle soit parlementaire ou extraparlementaire, utilise une panoplie de signes, insignes et slogans, ainsi que le récit national pour propager son idéologie haineuse. En connaissant l'histoire de ces symboles, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes sémiotiques utilisés par l'extrême droite et leur impact dans notre société.
Certains de ces symboles graphiques sont utilisés en tatouage, en insigne, en écusson, en drapeau, et également sous forme de photos de profil, de mèmes et d'emojis sur les réseaux sociaux. Selon leur nature, on retrouve des symboles haineux chez les groupes néonazis, skinheads, hooligans, et autres groupuscules extraparlementaires d’extrême droite comme le GUD, Auctorum, Ligue du Midi, Actives club, Novelum Carcassonne, L'Action Française, etc. À plusieurs reprises, ces mêmes symboles détournés par des fascistes se retrouvent au sein d'instances étatiques telles que la police, la gendarmerie et l'armée.
Il est important de rappeler que l'origine d'un grand nombre de symboles présents sur ce site n'est pas fasciste. Nous vous invitons à lire leur histoire. Ainsi, pour les symboles qui sont le fruit d’une réappropriation fasciste, nous expliquons leur histoire puis leur utilisation idéologique au profit d’un système politique fasciste, autoritaire, nationaliste et totalitaire.
Le collectif Indextrême étudie des symboles créés, détournés, réappropriés dans toutes leurs variations par l'extrême droite néofasciste et néonazie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale à nos jours. Cet index ou guide textuel et graphique créé par Indextrême se circonscrit à l'analyse des symboles identifiés sur le territoire français.
Plusieurs symboles répertoriés sur Indextrême sont également utilisés par les mouvements progressistes, voire antifascistes. D'ailleurs, ce phénomène de récupération par l'extrême droite des "symboles" dits de "gauche" n'est pas le fruit du hasard, mais plutôt une stratégie visant à créer de la confusion pour faciliter le recrutement et la normalisation des idéologies fascistes.
Le collectif Indextrême, à travers sa base de données et la manière dont ces informations sont présentées au public, utilise des catégories pour faciliter la recherche et la compréhension des symboles utilisés par l'extrême droite. Cependant, Indextrême s'oppose fermement à établir une hiérarchie basée sur le degré d'usage lorsqu'il s'agit des symboles utilisés pour promouvoir la haine raciale, la xénophobie et toutes formes de discrimination.
Il est important de noter qu'environ 4% des symboles répertoriés sur Indextrême sont principalement utilisés par des mouvements de gauche. Les 96% restants des symboles indexés ont été détournés de leur contexte culturel initial pour servir les idéologies fascistes, ou bien ont été créés par les extrêmes droites.
Créé en septembre 2022 par Geoffrey Dorne et Ricardo Parreira, aujourd'hui Indextrême est un collectif composé d'une dizaine de personnes, dont la majorité choisit de rester anonyme. Le collectif Indextrême est indépendant de tout parti politique, instance étatique ou religieuse.
Indextrême ne travaille pas sur les symboles utilisés par d'autres spectres politiques que l'extrême droite. L’ajout d’un nouveau symbole sur ce site est soumise à vérification, analyse contextuelle et à l’intérêt public.Note de contenu : Sommaire
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A proposEn ligne : https://indextreme.fr/ Format de la ressource électronique : Lien vers le site internet Indextrême Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Indextrême : observer, répertorier et faire connaître les symboles graphiques réappropriés par l’extrême droite en France. Type de document : document électronique Auteurs : Ricardo Parreira, Auteur ; Geoffrey Dorne, Auteur ; Sylvain Denyse, Auteur Année de publication : 2023-.... Importance : 1 site internet (consulté le 22/05/2024) Langues : Français (fre) Catégories : 003.6 Symboles, diagrammes ...
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
329.11 Tendance conservatrice
329.17 Tendance nationaliste
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(091) Histoire de l'extrême droite
329.18(44) Extrême droite FranceRésumé : Introduction
« Le pouvoir d’un symbole réside dans sa capacité à produire du sens et à communiquer ce sens*. »
Indextrême est un outil qui a pour objectif de comprendre, dans le contexte français, les symboles utilisés et détournés par l’extrême droite. En connaissant leur histoire, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes sémiotiques de ces symboles et leur impact dans notre société.
Présentation du projet
Le projet INDEXTRÊME a pour objectif d’observer, de répertorier et de faire connaître les symboles graphiques utilisés et détournés par l’extrême droite en France.
L'extrême droite française, qu'elle soit parlementaire ou extraparlementaire, utilise une panoplie de signes, insignes et slogans, ainsi que le récit national pour propager son idéologie haineuse. En connaissant l'histoire de ces symboles, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes sémiotiques utilisés par l'extrême droite et leur impact dans notre société.
Certains de ces symboles graphiques sont utilisés en tatouage, en insigne, en écusson, en drapeau, et également sous forme de photos de profil, de mèmes et d'emojis sur les réseaux sociaux. Selon leur nature, on retrouve des symboles haineux chez les groupes néonazis, skinheads, hooligans, et autres groupuscules extraparlementaires d’extrême droite comme le GUD, Auctorum, Ligue du Midi, Actives club, Novelum Carcassonne, L'Action Française, etc. À plusieurs reprises, ces mêmes symboles détournés par des fascistes se retrouvent au sein d'instances étatiques telles que la police, la gendarmerie et l'armée.
Il est important de rappeler que l'origine d'un grand nombre de symboles présents sur ce site n'est pas fasciste. Nous vous invitons à lire leur histoire. Ainsi, pour les symboles qui sont le fruit d’une réappropriation fasciste, nous expliquons leur histoire puis leur utilisation idéologique au profit d’un système politique fasciste, autoritaire, nationaliste et totalitaire.
Le collectif Indextrême étudie des symboles créés, détournés, réappropriés dans toutes leurs variations par l'extrême droite néofasciste et néonazie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale à nos jours. Cet index ou guide textuel et graphique créé par Indextrême se circonscrit à l'analyse des symboles identifiés sur le territoire français.
Plusieurs symboles répertoriés sur Indextrême sont également utilisés par les mouvements progressistes, voire antifascistes. D'ailleurs, ce phénomène de récupération par l'extrême droite des "symboles" dits de "gauche" n'est pas le fruit du hasard, mais plutôt une stratégie visant à créer de la confusion pour faciliter le recrutement et la normalisation des idéologies fascistes.
Le collectif Indextrême, à travers sa base de données et la manière dont ces informations sont présentées au public, utilise des catégories pour faciliter la recherche et la compréhension des symboles utilisés par l'extrême droite. Cependant, Indextrême s'oppose fermement à établir une hiérarchie basée sur le degré d'usage lorsqu'il s'agit des symboles utilisés pour promouvoir la haine raciale, la xénophobie et toutes formes de discrimination.
Il est important de noter qu'environ 4% des symboles répertoriés sur Indextrême sont principalement utilisés par des mouvements de gauche. Les 96% restants des symboles indexés ont été détournés de leur contexte culturel initial pour servir les idéologies fascistes, ou bien ont été créés par les extrêmes droites.
Créé en septembre 2022 par Geoffrey Dorne et Ricardo Parreira, aujourd'hui Indextrême est un collectif composé d'une dizaine de personnes, dont la majorité choisit de rester anonyme. Le collectif Indextrême est indépendant de tout parti politique, instance étatique ou religieuse.
Indextrême ne travaille pas sur les symboles utilisés par d'autres spectres politiques que l'extrême droite. L’ajout d’un nouveau symbole sur ce site est soumise à vérification, analyse contextuelle et à l’intérêt public.Note de contenu : Sommaire
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Infographies
A proposEn ligne : https://indextreme.fr/ Format de la ressource électronique : Lien vers le site internet Indextrême Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Lien vers le site IndextrêmeURL