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Contre la "routine de la culpabilisation" / Martin Walser in Courrier International, 424 (17/12/98)
[article] Contre la "routine de la culpabilisation" : paru dans Frankfurter Allgemeine Zeitung [texte imprimé] / Martin Walser (1927-....) . - 0000 . - p. 7.
Langues : Français (fre)
in Courrier International > 424 (17/12/98) . - p. 7
Catégories : (430) Allemagne
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
32(430) Politique de l'Allemagne
321.6"1933/1945" Nazisme
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Contre la "routine de la culpabilisation" : paru dans Frankfurter Allgemeine Zeitung Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Walser (1927-....) Année de publication : 0000 Article en page(s) : p. 7 Langues : Français (fre) Catégories : (430) Allemagne
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
32(430) Politique de l'Allemagne
321.6"1933/1945" Nazisme
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Courrier International > 424 (17/12/98) . - p. 7Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30633/1 dossier 17/12/98 Périodique Libre-accès Farde Dossiers Disponible Une controverse Louis Davids ? / CECILE GLINEUR in Regards, 469 ([14/03/2000])
[article] Une controverse Louis Davids ? : controverse sur la thèse de Lieven Saerens (voir article précédent) [texte imprimé] / CECILE GLINEUR . - 2000 . - p. 19.
Langues : Français (fre)
in Regards > 469 [14/03/2000] . - p. 19
Catégories : 352 Administrations locales communales
352(493) Anvers
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Une controverse Louis Davids ? : controverse sur la thèse de Lieven Saerens (voir article précédent) Type de document : texte imprimé Auteurs : CECILE GLINEUR Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 19 Langues : Français (fre) Catégories : 352 Administrations locales communales
352(493) Anvers
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Regards > 469 [14/03/2000] . - p. 19Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 16213/1 P/2155 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La convention de La Haye, la collaboration administrative en Belgique et la persécution des Juifs à Anvers, 1940-1942 / Herman Van Goethem in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 17 (2006)
[article] La convention de La Haye, la collaboration administrative en Belgique et la persécution des Juifs à Anvers, 1940-1942 [texte imprimé] / Herman Van Goethem, Auteur . - 2006 . - pp. 117-197.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 17 (2006) . - pp. 117-197
Catégories : 34(493) Droit et lois belges
341.3(100) Convention de La Haye (1907)
351 Administration publique (services publics)
352 Administrations locales communales
352(493) Anvers
353(493) Province de Limbourg
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Sommaire :
1. la collaboration administrative et judiciaire en 1940-1944 : antécédents, contexte :
la conventiond e La Haye de 1907 - l'occupation allemande de 1914-1918 - la "politique de présence" et le livret de mobilisation de 1936
2. La collaboration administrative "légale" , 1940-1942 :
1940-1942, l'exécution des ordres et ordonnances allemands. Deux tendances - police administrative, police judiciaire : la missive de von Falkenhausen du 24 juillet 1941 - juillet 1941 à octobre 1942 : le principe des arrestations en suspens au niveau central belge - Bruxelles, 1941-1942 : réticences et réserves naissantes
3. Les hauts fonctionnaires belges et la persécution des Juifs en Belgique, 1940-1942 : l'acceptation d'illégalités :
La Belgique livrant ses Juifs aux Allemands. A la recherche d'une explication
4. Une métropole à l'avant-garde de la collaboration :
la grande agglomération d'Anvers - les responsables anversois : le procureur du Roi et le bourgmestre
5. La colaboration "légale" à Anvers, 1940-1942 :
la convention de La HAye à Anvers : une collaboration loyale et maximale
6. les persécutions illégales : Anvers et ses Juifs, 1940-1942 :
les Juifs : leur enregistrement à Anvers, décembre 1940 - le barreau et le parquet d'Anvers et la question des avocats juifs - le début des "déportations" et des "arrestations" de Juifs à Anvers : les expulsés vers le Limbourg, décembre 1940 - les ordonannces anti-juives à Anvers, 1941-1942 - Juin 1942 : l'étoile de David et le travail obligatoire au mur de l'Atlantique - les rafles d'Anvers, août-septembre 1942 - une prise de conscience ? Anvers se ressaisit, octobre-novembre 1942 - épiloque : le torpillage de la convention de La Haye
7. A la recherche d'une conclusion : Anvers et l'Ordre nouveau
Cet article prend comme point de départ les rafles des Juifs à Anvers en août 1942. Comment le corps de police anversois a-t-il pu y prêter son concours et devenir ainsi complice de ce qui est peut-être le plus grand crime de guerre commis en Belgique en 1940-1944 ? Le commissaire de police en chef transmit en effet les ordres administratifs allemands à son corps et veilla à leur exécution. Ses supérieurs belges directs, le bourgmestre et le procureur du Roi, observèrent les faits, mais n'intervinrent pas.
L'antisémitisme a peut-être joué un rôle dans le comportement sur le terrain de certains et l'abstention d'autres, mais il n'explique pas tout. Cet article explore un contexte plus large de collaboration administrative entre les autorités locales et le pouvoir occupant, attitude définie dans la convention de La Haye de 1907. La participation aux déportations repose en effet sur une base 'administrative', dans le contexte de prestations de services 'normales'.
L'analyse part de la collaboration administrative avec l'occupant en Belgique en 14-18. Avec l'appui de la Cour de cassation, les fonctionnaires belges ont alors accepté que la collaboration pouvait impliquer que les autorités belges aillent à l'encontre de la législation belge, et même de la Constitution, aussi longtemps que l'occupant était capable de justifier les mesures prises en s'appuyant sur la convention de La Haye. Lorsque dans le contexte de la Flamenpolitik, il abusa de ce principe, la magistrature belge cessa collectivement le travail début 1918, ce qui mena à une désorganisation extrême.
Dans les années 30, les gouvernements belges confirmèrent la pratique de la collaboration administrative en l'affinant. Le principe de la collaboration appliqué en 1914-1918 fut maintenu, mais il revenait maintenant au simple fonctionnaire d'estimer par lui-même en conscience quand il n'avait pas à réagir à la demande de l'occupant. En cas de doute, il lui fallait demander conseil au supérieur, qui devait alors décider. Il n'était donc plus question d'une démission collective.
Après mai 1940 une collaboration administrative poussée avec l'occupant fut à nouveau de mise. La politisation croissante du régime d'occupation devait toutefois susciter des interrogations. La réponse à ces questions fut conditionnée par deux facteurs qui influèrent étroitement l'un sur l'autre. D'une part, importait la permanence des institutions. En cas de changements de régime et de 'cataclysme', l'administration de l'Etat s'accroche plus encore qu'en temps normal à la permanence et à la survie. D'autre part, comptait l'évaluation de l'issue de la guerre. La certitude de la victoire allemande, même dans le cadre d'une paix de compromis (il en va ainsi jusque tard dans l'année 1942), conduisit à l'acceptation par les fonctionnaires belges de mesures allemandes extrêmes, allant même à l'encontre de la convention de La Haye. Il en est ainsi entre autres pour les ordonnances anti-juives prises en 1940-1942, qui constituaient une violation manifeste de l'article 46 de ce traité, mais qui de manière générale furent tout de même exécutées docilement dans toute la Belgique. Il convient d'insister ici sur le fait que l'occupant s'est toujours montré entièrement disposé à accepter un refus de collaborer sur base de ce traité.
L'appel à la responsabilité individuelle mais aussi, du fait de l'occupation, le glissement du pouvoir réel vers le niveau local, mit la responsabilité d'un éventuel refus administratif essentiellement entre les mains des bourgmestres et des procureurs du Roi. A Bruxelles, un début de revirement se manifesta en juin-juillet 1941, sous l'impulsion du bourgmestre Joseph Van de Meulebroeck. Anvers ne réagit que beaucoup plus tard à la politisation générale du régime d'occupation : en octobre 1942, dans le cadre de la protestation générale contre l'introduction du travail obligatoire en Allemagne. A ce moment, les Juifs avaient déjà été déportés depuis quelques mois de la métropole…
La différence de chronologie entre Bruxelles et Anvers s'explique par des facteurs culturels locaux. La plus importante paraît bien être l'attrait poussé vers l'Ordre nouveau parmi les autorités locales, comme nous avons pu entre autres le constater chez le bourgmestre Delwaide, le chef de la police anversoise.
En ce qui concerne l'administration belge, l''étrange été de 1940' est un concept trompeur. Ce n'est qu'à partir du milieu de l'année 1941 que la situation commença à changer en Belgique. Dans les régions qui emboîtèrent le pas par après, le prix à payer de la guerre serait particulier élevé. Et cela alors qu'un occupant 'correct' était en Belgique occupée prêt à adopter une position très conciliante.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La convention de La Haye, la collaboration administrative en Belgique et la persécution des Juifs à Anvers, 1940-1942 Type de document : texte imprimé Auteurs : Herman Van Goethem, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 117-197 Langues : Français (fre) Catégories : 34(493) Droit et lois belges
341.3(100) Convention de La Haye (1907)
351 Administration publique (services publics)
352 Administrations locales communales
352(493) Anvers
353(493) Province de Limbourg
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Sommaire :
1. la collaboration administrative et judiciaire en 1940-1944 : antécédents, contexte :
la conventiond e La Haye de 1907 - l'occupation allemande de 1914-1918 - la "politique de présence" et le livret de mobilisation de 1936
2. La collaboration administrative "légale" , 1940-1942 :
1940-1942, l'exécution des ordres et ordonnances allemands. Deux tendances - police administrative, police judiciaire : la missive de von Falkenhausen du 24 juillet 1941 - juillet 1941 à octobre 1942 : le principe des arrestations en suspens au niveau central belge - Bruxelles, 1941-1942 : réticences et réserves naissantes
3. Les hauts fonctionnaires belges et la persécution des Juifs en Belgique, 1940-1942 : l'acceptation d'illégalités :
La Belgique livrant ses Juifs aux Allemands. A la recherche d'une explication
4. Une métropole à l'avant-garde de la collaboration :
la grande agglomération d'Anvers - les responsables anversois : le procureur du Roi et le bourgmestre
5. La colaboration "légale" à Anvers, 1940-1942 :
la convention de La HAye à Anvers : une collaboration loyale et maximale
6. les persécutions illégales : Anvers et ses Juifs, 1940-1942 :
les Juifs : leur enregistrement à Anvers, décembre 1940 - le barreau et le parquet d'Anvers et la question des avocats juifs - le début des "déportations" et des "arrestations" de Juifs à Anvers : les expulsés vers le Limbourg, décembre 1940 - les ordonannces anti-juives à Anvers, 1941-1942 - Juin 1942 : l'étoile de David et le travail obligatoire au mur de l'Atlantique - les rafles d'Anvers, août-septembre 1942 - une prise de conscience ? Anvers se ressaisit, octobre-novembre 1942 - épiloque : le torpillage de la convention de La Haye
7. A la recherche d'une conclusion : Anvers et l'Ordre nouveau
Cet article prend comme point de départ les rafles des Juifs à Anvers en août 1942. Comment le corps de police anversois a-t-il pu y prêter son concours et devenir ainsi complice de ce qui est peut-être le plus grand crime de guerre commis en Belgique en 1940-1944 ? Le commissaire de police en chef transmit en effet les ordres administratifs allemands à son corps et veilla à leur exécution. Ses supérieurs belges directs, le bourgmestre et le procureur du Roi, observèrent les faits, mais n'intervinrent pas.
L'antisémitisme a peut-être joué un rôle dans le comportement sur le terrain de certains et l'abstention d'autres, mais il n'explique pas tout. Cet article explore un contexte plus large de collaboration administrative entre les autorités locales et le pouvoir occupant, attitude définie dans la convention de La Haye de 1907. La participation aux déportations repose en effet sur une base 'administrative', dans le contexte de prestations de services 'normales'.
L'analyse part de la collaboration administrative avec l'occupant en Belgique en 14-18. Avec l'appui de la Cour de cassation, les fonctionnaires belges ont alors accepté que la collaboration pouvait impliquer que les autorités belges aillent à l'encontre de la législation belge, et même de la Constitution, aussi longtemps que l'occupant était capable de justifier les mesures prises en s'appuyant sur la convention de La Haye. Lorsque dans le contexte de la Flamenpolitik, il abusa de ce principe, la magistrature belge cessa collectivement le travail début 1918, ce qui mena à une désorganisation extrême.
Dans les années 30, les gouvernements belges confirmèrent la pratique de la collaboration administrative en l'affinant. Le principe de la collaboration appliqué en 1914-1918 fut maintenu, mais il revenait maintenant au simple fonctionnaire d'estimer par lui-même en conscience quand il n'avait pas à réagir à la demande de l'occupant. En cas de doute, il lui fallait demander conseil au supérieur, qui devait alors décider. Il n'était donc plus question d'une démission collective.
Après mai 1940 une collaboration administrative poussée avec l'occupant fut à nouveau de mise. La politisation croissante du régime d'occupation devait toutefois susciter des interrogations. La réponse à ces questions fut conditionnée par deux facteurs qui influèrent étroitement l'un sur l'autre. D'une part, importait la permanence des institutions. En cas de changements de régime et de 'cataclysme', l'administration de l'Etat s'accroche plus encore qu'en temps normal à la permanence et à la survie. D'autre part, comptait l'évaluation de l'issue de la guerre. La certitude de la victoire allemande, même dans le cadre d'une paix de compromis (il en va ainsi jusque tard dans l'année 1942), conduisit à l'acceptation par les fonctionnaires belges de mesures allemandes extrêmes, allant même à l'encontre de la convention de La Haye. Il en est ainsi entre autres pour les ordonnances anti-juives prises en 1940-1942, qui constituaient une violation manifeste de l'article 46 de ce traité, mais qui de manière générale furent tout de même exécutées docilement dans toute la Belgique. Il convient d'insister ici sur le fait que l'occupant s'est toujours montré entièrement disposé à accepter un refus de collaborer sur base de ce traité.
L'appel à la responsabilité individuelle mais aussi, du fait de l'occupation, le glissement du pouvoir réel vers le niveau local, mit la responsabilité d'un éventuel refus administratif essentiellement entre les mains des bourgmestres et des procureurs du Roi. A Bruxelles, un début de revirement se manifesta en juin-juillet 1941, sous l'impulsion du bourgmestre Joseph Van de Meulebroeck. Anvers ne réagit que beaucoup plus tard à la politisation générale du régime d'occupation : en octobre 1942, dans le cadre de la protestation générale contre l'introduction du travail obligatoire en Allemagne. A ce moment, les Juifs avaient déjà été déportés depuis quelques mois de la métropole…
La différence de chronologie entre Bruxelles et Anvers s'explique par des facteurs culturels locaux. La plus importante paraît bien être l'attrait poussé vers l'Ordre nouveau parmi les autorités locales, comme nous avons pu entre autres le constater chez le bourgmestre Delwaide, le chef de la police anversoise.
En ce qui concerne l'administration belge, l''étrange été de 1940' est un concept trompeur. Ce n'est qu'à partir du milieu de l'année 1941 que la situation commença à changer en Belgique. Dans les régions qui emboîtèrent le pas par après, le prix à payer de la guerre serait particulier élevé. Et cela alors qu'un occupant 'correct' était en Belgique occupée prêt à adopter une position très conciliante.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 17 (2006) . - pp. 117-197Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41951 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Le Convoi du 6 juillet 1942 / Claudine Cardon-Hamet in Mémoire vivante, 73 (Juin 2012)
[article] Le Convoi du 6 juillet 1942 [texte imprimé] / Claudine Cardon-Hamet, Auteur . - 2012 . - p. 1-12.
Langues : Français (fre)
in Mémoire vivante > 73 (Juin 2012) . - p. 1-12
Catégories : 94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le Convoi du 6 juillet 1942 Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Cardon-Hamet, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1-12 Langues : Français (fre) Catégories : 94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Mémoire vivante > 73 (Juin 2012) . - p. 1-12Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48006 MEM Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Correspondance du ghetto : Varsovie-Liège 1934-1942 / CHARLOTTE GOLDBERSZT in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 67 (avril-juin 2000)
[article] Correspondance du ghetto : Varsovie-Liège 1934-1942 : photos, fac-similés, etc [texte imprimé] / CHARLOTTE GOLDBERSZT . - 2000 . - pp. 97 - 114.
Langues : Français (fre)
in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle) > 67 (avril-juin 2000) . - pp. 97 - 114
Catégories : (438) Pologne
(493) Belgique
352(493) Liège, commune
82-6 Lettres
929 Biographies et témoignages
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
Ghetto de Varsovie
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Correspondance du ghetto : Varsovie-Liège 1934-1942 : photos, fac-similés, etc Type de document : texte imprimé Auteurs : CHARLOTTE GOLDBERSZT Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 97 - 114 Langues : Français (fre) Catégories : (438) Pologne
(493) Belgique
352(493) Liège, commune
82-6 Lettres
929 Biographies et témoignages
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
Ghetto de Varsovie
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle) > 67 (avril-juin 2000) . - pp. 97 - 114Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 17661/1 P/2366 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Corriger l'histoire à l'aide d'encre noire / YVES ANDRE in Libertés !, 346 (septembre 1998)
PermalinkCours d'histoire et parcours libres in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkCours sans te retourner / URI ORLEV
PermalinkCraie en main / Jean-Marie De Becker in Bulletin pédagogique de la Fondation Auschwitz, 25 (janvier-mars 2005)
PermalinkPermalinkLe crime et le silence / Anna Bikont
PermalinkLes crimes et génocides nazis à l'écran / Vincent Lowy in Témoigner. Entre histoire et mémoire, 103 (avril-juin 2009)
PermalinkLes Crimes de guerre commis lors de l'invasion du territoire national mai 1940. La persécution antisémite en Belgique / BELGIQUE . MINISTERE DE LA JUSTICE . COMMISSION DES CRIMES DE GUERRE
PermalinkCrimes of war / Gerry Gable in Searchlight, 289 (july 1999)
PermalinkUn criminel exemplaire / Louis Danvers in Le Vif / L'Express, 1726 ([02/07/1999])
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