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929 Garaudy, Roger (1913-2012) |
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Histoires d’Israël / Dominique Vidal in Manière de voir, 98 (avril-mai 2008)
[article] Histoires d’Israël : 1948-2008 [texte imprimé] / Dominique Vidal, Directeur de publication . - 2008 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 98 (avril-mai 2008) . - 98 p.
Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
32(569.4) Politique d'Israël
33(569.4) Economie politique et sociale d'Israël
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
94(569.4) Histoire d'Israël et de la Palestine
Judéocide / ShoahRésumé : Politique de la force, force de la politique / Dominique Vidal
I. Aux origines de l’Etat
Israël fêtera le 14 mai 2008 son soixantième anniversaire. Mais ces six décennies prolongent les cinq précédentes.
Né avec le premier Congrès sioniste mondial en 1897, le projet sioniste se donnait pour atout principal l’immigration massive des Juifs d’Europe centrale et orientale vers la Terre sainte. Longtemps limitée, l’alya a vu grossir ses rangs avec la montée du nazisme, et finalement l’accession d’Adolf Hitler au pouvoir.
A la veille de la seconde guerre mondiale, la communauté juive a construit un quasi-Etat en Palestine : elle ne possède que 6 % des terres, mais représente un petit tiers de sa population et fournit une bonne partie de sa production agricole et industrielle. Elle dispose aussi d’une armée clandestine qui a fait ses preuves en aidant les Britanniques à écraser la grande révolte arabe.
Le génocide nazi change radicalement la situation. Le mouvement sioniste y trouve la preuve de la nécessité d’un Etat juif et en convainc la communauté internationale. D’autant qu’il faut trouver une destination pour les centaines de milliers de survivants qui végètent dans les camps de « personnes déplacées ».
Hélas, le plan de partage adopté par l’Assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre 1947, ne sera pas mis en œuvre. De la guerre civile judéo-palestinienne puis du premier conflit israélo-arabe surgira un tout autre paysage : l’Etat juif a augmenté d’un tiers le territoire qui lui était alloué et en a expulsé les quatre cinquièmes des habitants arabes. Quant à l’Etat palestinien, mort-né, la Jordanie et l’Egypte s’en sont réparti les dépouilles…
Ainsi ont été créées les conditions d’un interminable conflit.
table :
- De Theodor Herzl à la naissance d’Israël / Henry Laurens
- L’expulsion des Palestiniens revisitée / D. V.
- Le judaïsme de mon enfance / Avraham Burg
- Au nom de la Shoah / Idith Zertal
- En 1961, le tournant du procès Eichmann / Tom Segev
- Réponse aux intellectuels arabes fascinés par Roger Garaudy / Edward W. Said
II. Soixante ans de conflits
Au cours de l’été 2006, Israël s’est lancé dans une guerre — la sixième de son histoire — contre le Liban. Mais un mois d’opérations aériennes et terrestres ne lui a pas permis de vaincre le Hezbollah. Cet échec constitue un tournant : jusque-là , l’armée israélienne était toujours sortie victorieuse des conflits.
En 1948, après une brève période incertaine, elle était venue facilement à bout de l’intervention des armées arabes, déclenchée au lendemain de la déclaration d’indépendance d’Israël. Elle avait même poursuivi sans mal l’expulsion du gros des Palestiniens, comme le montrent les « nouveaux historiens ».
En 1956 aussi, la percée des troupes israéliennes, parallèlement à l’intervention franco-britannique, sera fulgurante. Mais les pressions soviétiques et américaines contraindront Israël à se retirer du Sinaï.
Nouvelle guerre-éclair en 1967 : en six jours, Israël s’empare du reste de la Palestine, ainsi que du Sinaï et du Golan. Au lieu d’échanger les territoires occupés contre la paix, il en entreprend la colonisation.
1973 marque la plus grande surprise de cette histoire : une semaine durant, les blindés égyptiens et syriens bousculent l’état-major israélien, avant que celui-ci ne lance une contre-offensive victorieuse.
L’invasion du Liban, en 1982, débouche sur un conflit long et meurtrier. Si bien qu’Israël finit par se retirer, partiellement en 1985, et totalement en 2000.
Entre deux Intifadas, les accords d’Oslo constituent la seule tentative d’échapper à cette spirale guerrière. L’assassinat d’Itzhak Rabin, le 4 novembre 1995, leur portera un coup fatal…
Table :
- Opération Mousquetaire / Eric Rouleau
- Le problème des réfugiés de Palestine / Micheline Paunet
- Le désastre des colonies israéliennes dans les territoires occupés / Amnon Kapeliouk
- Vœux pieux, froide réalité / Claude Julien
- Convergences libanaises / Samir Kassir
- La dérive israélienne / A. K.
- Ecrire l’histoire à l’encre verte / Shimon Pérès
- Paix durable ou paix piégée ? / Alain Gresh
- « Politicide » / Baruch Kimmerling
III. Une société bousculée
Si le conflit avec la Palestine et le reste du monde arabe représente un facteur déterminant de l’évolution de la société israélienne, celle-ci est aussi mue par des contradictions qui lui sont propres, enracinées dans son passé et déclinées au présent.
Le plus évident des clivages oppose Juifs et Arabes. Bénéficiaires, comme les premiers, du droit de vote, les seconds n’en subissent pas moins des discriminations de tous ordres. D’où la crise d’identité de ce cinquième de citoyens pris en étau entre loyauté à l’égard d’Israël et solidarité avec ses frères palestiniens.
Autre fossé : entre laïques et religieux. Les Pères fondateurs de l’Etat tenaient assez au soutien des partis religieux pour renoncer à le doter d’une Constitution. Si bien que ces formations ont pu y accroître sans cesse leur emprise.
D’autres affrontements opposent les vagues d’immigration successives, et en premier lieu Juifs orientaux (mizrahim) et Juifs occidentaux (ashkénazes). « Importés » en masse pour fournir au jeune Etat main-d’œuvre et soldats, les immigrants des pays arabes se considèrent comme des victimes du long règne travailliste. C’est pourquoi ils contribuèrent, en 1977, à la victoire de la droite nationaliste, qu’ils continuent de soutenir en masse.
A ces caractéristiques, la mondialisation a — plus qu’ailleurs, compte tenu du poids des dépenses militaires — ajouté son empreinte. L’offensive contre le secteur « socialiste », les services publics et l’aide sociale a plongé dans la pauvreté, voire la misère, des couches entières de la société, en premier lieu arabes, orientales et ultrareligieuses. De la normalisation espérée, Israël connaît surtout les aspects les plus négatifs...
Table :
- Kaléidoscope pacifiste / Jean Lacouture
- Sionisme et judaïsme inconciliables ? / Boas Evron
- Une nation d’immigrations / A. K.
- Révolution laïque pour le sionisme / Zeev Sternhell
- L’enjeu séfarade / Marius Schattner
- Regain d’idéal au kibboutz Gan Shmuel / D. V.
- Rêves de « transfert » / Amira Hass
- Le traumatisme persistant des Arabes israéliens / Joseph Algazy
- Un nouveau « Far East », la Cisjordanie / Gadi Algazi
- Le high-tech change la donne / D. V.
Iconographie / Robert Capa
Ce numéro est accompagné de photographies de Robert Capa.
Rendu célèbre par son reportage sur la guerre civile espagnole, à la fin des années 1930, et notamment par le cliché emblématique d’un combattant républicain fauché par une balle franquiste, le grand journaliste américain, cofondateur de l’agence Magnum, a couvert bien d’autres conflits avant de trouver la mort en 1954, alors qu’il suivait l’armée française en Indochine.
Ainsi, en 1948, il assistait en Palestine au premier face-à -face israélo-arabe et aux premiers pas de l’Etat juif.
C’est ce reportage qui accompagne le présent numéro de Manière de voir — sans en illustrer un à un les articles : textes et images ont, ici, chacun leur langage.
Cartographie / Philippe Rekacewicz
- Des frontières changeantes
Biographies / Dominique Vidal
David Ben Gourion. Le père fondateur
Golda Meïr. La première « dame de fer »
Menahem Begin. D’un naufrage à l’autre
Itzhak Rabin. « Faucon », puis « colombe »
Shimon Pérès. Une si longue attente...
Ariel Sharon. A tout prix
Benyamin Netanyahou. Made in USA
Documentation / Olivier Pironet
- Chronologie : Israël face à ses voisins (1948-2008)
- Essais
- Sur la ToilePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Histoires d’Israël : 1948-2008 Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Vidal, Directeur de publication Année de publication : 2008 Article en page(s) : 98 p. Langues : Français (fre) Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
32(569.4) Politique d'Israël
33(569.4) Economie politique et sociale d'Israël
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
94(569.4) Histoire d'Israël et de la Palestine
Judéocide / ShoahRésumé : Politique de la force, force de la politique / Dominique Vidal
I. Aux origines de l’Etat
Israël fêtera le 14 mai 2008 son soixantième anniversaire. Mais ces six décennies prolongent les cinq précédentes.
Né avec le premier Congrès sioniste mondial en 1897, le projet sioniste se donnait pour atout principal l’immigration massive des Juifs d’Europe centrale et orientale vers la Terre sainte. Longtemps limitée, l’alya a vu grossir ses rangs avec la montée du nazisme, et finalement l’accession d’Adolf Hitler au pouvoir.
A la veille de la seconde guerre mondiale, la communauté juive a construit un quasi-Etat en Palestine : elle ne possède que 6 % des terres, mais représente un petit tiers de sa population et fournit une bonne partie de sa production agricole et industrielle. Elle dispose aussi d’une armée clandestine qui a fait ses preuves en aidant les Britanniques à écraser la grande révolte arabe.
Le génocide nazi change radicalement la situation. Le mouvement sioniste y trouve la preuve de la nécessité d’un Etat juif et en convainc la communauté internationale. D’autant qu’il faut trouver une destination pour les centaines de milliers de survivants qui végètent dans les camps de « personnes déplacées ».
Hélas, le plan de partage adopté par l’Assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre 1947, ne sera pas mis en œuvre. De la guerre civile judéo-palestinienne puis du premier conflit israélo-arabe surgira un tout autre paysage : l’Etat juif a augmenté d’un tiers le territoire qui lui était alloué et en a expulsé les quatre cinquièmes des habitants arabes. Quant à l’Etat palestinien, mort-né, la Jordanie et l’Egypte s’en sont réparti les dépouilles…
Ainsi ont été créées les conditions d’un interminable conflit.
table :
- De Theodor Herzl à la naissance d’Israël / Henry Laurens
- L’expulsion des Palestiniens revisitée / D. V.
- Le judaïsme de mon enfance / Avraham Burg
- Au nom de la Shoah / Idith Zertal
- En 1961, le tournant du procès Eichmann / Tom Segev
- Réponse aux intellectuels arabes fascinés par Roger Garaudy / Edward W. Said
II. Soixante ans de conflits
Au cours de l’été 2006, Israël s’est lancé dans une guerre — la sixième de son histoire — contre le Liban. Mais un mois d’opérations aériennes et terrestres ne lui a pas permis de vaincre le Hezbollah. Cet échec constitue un tournant : jusque-là , l’armée israélienne était toujours sortie victorieuse des conflits.
En 1948, après une brève période incertaine, elle était venue facilement à bout de l’intervention des armées arabes, déclenchée au lendemain de la déclaration d’indépendance d’Israël. Elle avait même poursuivi sans mal l’expulsion du gros des Palestiniens, comme le montrent les « nouveaux historiens ».
En 1956 aussi, la percée des troupes israéliennes, parallèlement à l’intervention franco-britannique, sera fulgurante. Mais les pressions soviétiques et américaines contraindront Israël à se retirer du Sinaï.
Nouvelle guerre-éclair en 1967 : en six jours, Israël s’empare du reste de la Palestine, ainsi que du Sinaï et du Golan. Au lieu d’échanger les territoires occupés contre la paix, il en entreprend la colonisation.
1973 marque la plus grande surprise de cette histoire : une semaine durant, les blindés égyptiens et syriens bousculent l’état-major israélien, avant que celui-ci ne lance une contre-offensive victorieuse.
L’invasion du Liban, en 1982, débouche sur un conflit long et meurtrier. Si bien qu’Israël finit par se retirer, partiellement en 1985, et totalement en 2000.
Entre deux Intifadas, les accords d’Oslo constituent la seule tentative d’échapper à cette spirale guerrière. L’assassinat d’Itzhak Rabin, le 4 novembre 1995, leur portera un coup fatal…
Table :
- Opération Mousquetaire / Eric Rouleau
- Le problème des réfugiés de Palestine / Micheline Paunet
- Le désastre des colonies israéliennes dans les territoires occupés / Amnon Kapeliouk
- Vœux pieux, froide réalité / Claude Julien
- Convergences libanaises / Samir Kassir
- La dérive israélienne / A. K.
- Ecrire l’histoire à l’encre verte / Shimon Pérès
- Paix durable ou paix piégée ? / Alain Gresh
- « Politicide » / Baruch Kimmerling
III. Une société bousculée
Si le conflit avec la Palestine et le reste du monde arabe représente un facteur déterminant de l’évolution de la société israélienne, celle-ci est aussi mue par des contradictions qui lui sont propres, enracinées dans son passé et déclinées au présent.
Le plus évident des clivages oppose Juifs et Arabes. Bénéficiaires, comme les premiers, du droit de vote, les seconds n’en subissent pas moins des discriminations de tous ordres. D’où la crise d’identité de ce cinquième de citoyens pris en étau entre loyauté à l’égard d’Israël et solidarité avec ses frères palestiniens.
Autre fossé : entre laïques et religieux. Les Pères fondateurs de l’Etat tenaient assez au soutien des partis religieux pour renoncer à le doter d’une Constitution. Si bien que ces formations ont pu y accroître sans cesse leur emprise.
D’autres affrontements opposent les vagues d’immigration successives, et en premier lieu Juifs orientaux (mizrahim) et Juifs occidentaux (ashkénazes). « Importés » en masse pour fournir au jeune Etat main-d’œuvre et soldats, les immigrants des pays arabes se considèrent comme des victimes du long règne travailliste. C’est pourquoi ils contribuèrent, en 1977, à la victoire de la droite nationaliste, qu’ils continuent de soutenir en masse.
A ces caractéristiques, la mondialisation a — plus qu’ailleurs, compte tenu du poids des dépenses militaires — ajouté son empreinte. L’offensive contre le secteur « socialiste », les services publics et l’aide sociale a plongé dans la pauvreté, voire la misère, des couches entières de la société, en premier lieu arabes, orientales et ultrareligieuses. De la normalisation espérée, Israël connaît surtout les aspects les plus négatifs...
Table :
- Kaléidoscope pacifiste / Jean Lacouture
- Sionisme et judaïsme inconciliables ? / Boas Evron
- Une nation d’immigrations / A. K.
- Révolution laïque pour le sionisme / Zeev Sternhell
- L’enjeu séfarade / Marius Schattner
- Regain d’idéal au kibboutz Gan Shmuel / D. V.
- Rêves de « transfert » / Amira Hass
- Le traumatisme persistant des Arabes israéliens / Joseph Algazy
- Un nouveau « Far East », la Cisjordanie / Gadi Algazi
- Le high-tech change la donne / D. V.
Iconographie / Robert Capa
Ce numéro est accompagné de photographies de Robert Capa.
Rendu célèbre par son reportage sur la guerre civile espagnole, à la fin des années 1930, et notamment par le cliché emblématique d’un combattant républicain fauché par une balle franquiste, le grand journaliste américain, cofondateur de l’agence Magnum, a couvert bien d’autres conflits avant de trouver la mort en 1954, alors qu’il suivait l’armée française en Indochine.
Ainsi, en 1948, il assistait en Palestine au premier face-à -face israélo-arabe et aux premiers pas de l’Etat juif.
C’est ce reportage qui accompagne le présent numéro de Manière de voir — sans en illustrer un à un les articles : textes et images ont, ici, chacun leur langage.
Cartographie / Philippe Rekacewicz
- Des frontières changeantes
Biographies / Dominique Vidal
David Ben Gourion. Le père fondateur
Golda Meïr. La première « dame de fer »
Menahem Begin. D’un naufrage à l’autre
Itzhak Rabin. « Faucon », puis « colombe »
Shimon Pérès. Une si longue attente...
Ariel Sharon. A tout prix
Benyamin Netanyahou. Made in USA
Documentation / Olivier Pironet
- Chronologie : Israël face à ses voisins (1948-2008)
- Essais
- Sur la ToilePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 98 (avril-mai 2008) . - 98 p.Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43956 man Périodique Réserve Périodiques Disponible La Négation de la Shoah dans les pays arabes. / GOETZ NORDBRUCH in Revue d'histoire de la Shoah, 180 (janvier-juin 2004)
Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 36540/1 P/4594 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Le procès de la liberté / Roger Garaudy
Le procès de la liberté [texte imprimé] / Roger Garaudy (1913-2012), Auteur ; Jacques Vergès (1925-....), Auteur . - Paris : Éd. Vent du large, 1998 . - 1 vol. (143 p.) ; 23 cm.
ISBN : 978-2-912341-10-5
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(569.4) Politique d'Israël
329.18:341.485 Négationnisme
34(493) Loi contre le négationnisme
347.93 Procès
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : procès suite à la publication de "les mythes fondateurs de la politique israélienne" Note de contenu : Table des matières :
- préface
- Première séance.
- 2ème séance.
- Les témoins.
- La plaidoirie de maître Vergès.
- Note sur les plaidoiries dont nous n'avons pas les textes.
- Déclaration finale de Roger Garaudy.
- notesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le procès de la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Garaudy (1913-2012), Auteur ; Jacques Vergès (1925-....), Auteur Editeur : Paris : Éd. Vent du large Année de publication : 1998 Importance : 1 vol. (143 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912341-10-5 Langues : Français (fre) Catégories : 32(569.4) Politique d'Israël
329.18:341.485 Négationnisme
34(493) Loi contre le négationnisme
347.93 Procès
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : procès suite à la publication de "les mythes fondateurs de la politique israélienne" Note de contenu : Table des matières :
- préface
- Première séance.
- 2ème séance.
- Les témoins.
- La plaidoirie de maître Vergès.
- Note sur les plaidoiries dont nous n'avons pas les textes.
- Déclaration finale de Roger Garaudy.
- notesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Roger Garaudy condamné in Farde Articles 1998, (1998)
[article] Roger Garaudy condamné : Le Matin, 17/12/98. Négationnisme et incitation à la haine raciale [texte imprimé] . - 1998 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Farde Articles 1998 > (1998) . - p. 1
Catégories : (44) France
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
329.18:341.485 Négationnisme
34(493) Loi contre le négationnisme
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Roger Garaudy condamné : Le Matin, 17/12/98. Négationnisme et incitation à la haine raciale Type de document : texte imprimé Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Catégories : (44) France
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
329.18:341.485 Négationnisme
34(493) Loi contre le négationnisme
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
929 Garaudy, Roger (1913-2012)
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Farde Articles 1998 > (1998) . - p. 1Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7604/1 P/4945 Périodique Réserve Périodiques Disponible Roger Garaudy / Michaël Prazan
Roger Garaudy : itinéraire d'une négation [texte imprimé] / Michaël Prazan (1970-....), Auteur ; Adrien Minard, Auteur . - Paris : Calmann-Lévy, 2007 . - 1 vol. (442 p.) : couv. ill. ; 23 cm.
ISSN : 978-2702-1376-0
Bibliogr. p. 421-428. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.118(=924) Antisémitisme
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18:341.485 Négationnisme
929 Garaudy, Roger (1913-2012)Index. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
On peut se représenter Roger Garaudy comme un caméléon, tant il a changé de couleur au cours de sa longue vie d'intellectuel engagé.
Né à Marseille en 1913 dans une famille de petits employés, Roger Garaudy commence son engagement comme militant protestant, ce qui ne l'empêche pas d'entrer tôt au Parti communiste et d'y faire une ascension fulgurante après guerre, tout en poursuivant des études de philosophie. Sa verve et son mordant, sa servilité, aussi, en font rapidement un de ses porte-parole les plus en vue. Son témoignage dans le procès Kravchenko marque le faîte de sa gloire comme stalinien officiel. C'est sa période rouge vif. Bientôt, il prend ses distances tout en se posant en victime des « durs », et guigne du côté des gauchistes libertaires qui animent Mai 68. Séquence rouge et noire. Mais voilà que la thématique tiers-mondiste l'appelle. C'est l'occasion de se poser en champion de l'anticolonialisme, de fustiger l'arrogance de l'Occident et d'incarner « le sanglot de l'homme blanc ». Son engagement va très loin, puisqu'il se convertit à l'islam et chante les bienfaits de la révolution khomeinyste. Période verte. Des dizaines de livres émaillent ces années de retournements successifs, mais aucun d'entre eux n'est pris véritablement au sérieux. Jusqu'à sa période brune. En signant Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, Garaudy accède enfin à la notoriété tant convoitée. Ce livre négationniste lui vaudra deux procès, qu'il perdra, mais surtout un succès immense et instantané dans tout le Moyen-Orient. Vilipendé et méprisé en France, Roger Garaudy devient dans les années 90 un propagandiste de l'antisémitisme dans le monde musulman, multipliant interviews, conférences de presse et débats ayant pour thème le « mythe » de la Shoah. Invité en grande pompe par les rois, les présidents à vie et les imams, il est devenu le principal inspirateur des ayatollahs et des ennemis d'Israël, dont Mahmoud Ahmadinejad ou Hassan Nasrallah.
Ce livre retrace l'itinéraire en zigzag d'un intellectuel raté mais exalté et dévoile l'étendue de son ultime forfaiture, dont peu d'observateurs occidentaux ont pris la mesure.Note de contenu : Table :
1. L'affaire des mythes fondateurs de la politique israélienne
2. Le procès des mythes fondateurs de la politique israélienne
3. Le Livre fondateur de la nouvelle politique anti-israélienne
Epilogue : "Rencontre avec Roger Garaudy : Chennevières-sur-Marne, 23 janvier 2006"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Roger Garaudy : itinéraire d'une négation Type de document : texte imprimé Auteurs : Michaël Prazan (1970-....), Auteur ; Adrien Minard, Auteur Editeur : Paris : Calmann-Lévy Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (442 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2702-1376-0 Note générale : Bibliogr. p. 421-428. Index Langues : Français (fre) Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.118(=924) Antisémitisme
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18:341.485 Négationnisme
929 Garaudy, Roger (1913-2012)Index. décimale : 929 Biographies Résumé : Site éditeur :
On peut se représenter Roger Garaudy comme un caméléon, tant il a changé de couleur au cours de sa longue vie d'intellectuel engagé.
Né à Marseille en 1913 dans une famille de petits employés, Roger Garaudy commence son engagement comme militant protestant, ce qui ne l'empêche pas d'entrer tôt au Parti communiste et d'y faire une ascension fulgurante après guerre, tout en poursuivant des études de philosophie. Sa verve et son mordant, sa servilité, aussi, en font rapidement un de ses porte-parole les plus en vue. Son témoignage dans le procès Kravchenko marque le faîte de sa gloire comme stalinien officiel. C'est sa période rouge vif. Bientôt, il prend ses distances tout en se posant en victime des « durs », et guigne du côté des gauchistes libertaires qui animent Mai 68. Séquence rouge et noire. Mais voilà que la thématique tiers-mondiste l'appelle. C'est l'occasion de se poser en champion de l'anticolonialisme, de fustiger l'arrogance de l'Occident et d'incarner « le sanglot de l'homme blanc ». Son engagement va très loin, puisqu'il se convertit à l'islam et chante les bienfaits de la révolution khomeinyste. Période verte. Des dizaines de livres émaillent ces années de retournements successifs, mais aucun d'entre eux n'est pris véritablement au sérieux. Jusqu'à sa période brune. En signant Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, Garaudy accède enfin à la notoriété tant convoitée. Ce livre négationniste lui vaudra deux procès, qu'il perdra, mais surtout un succès immense et instantané dans tout le Moyen-Orient. Vilipendé et méprisé en France, Roger Garaudy devient dans les années 90 un propagandiste de l'antisémitisme dans le monde musulman, multipliant interviews, conférences de presse et débats ayant pour thème le « mythe » de la Shoah. Invité en grande pompe par les rois, les présidents à vie et les imams, il est devenu le principal inspirateur des ayatollahs et des ennemis d'Israël, dont Mahmoud Ahmadinejad ou Hassan Nasrallah.
Ce livre retrace l'itinéraire en zigzag d'un intellectuel raté mais exalté et dévoile l'étendue de son ultime forfaiture, dont peu d'observateurs occidentaux ont pris la mesure.Note de contenu : Table :
1. L'affaire des mythes fondateurs de la politique israélienne
2. Le procès des mythes fondateurs de la politique israélienne
3. Le Livre fondateur de la nouvelle politique anti-israélienne
Epilogue : "Rencontre avec Roger Garaudy : Chennevières-sur-Marne, 23 janvier 2006"Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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