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Survivre et mourir en musique dans les camps nazis / Bruno Giner
Survivre et mourir en musique dans les camps nazis [texte imprimé] / Bruno Giner (1960-....), Auteur . - Paris : Berg International, DL 2011 . - 1 vol. (190 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Collection Détours, ISSN 2116-9071) .
ISBN : 978-2-917191-39-2 : 19 EUR
Bibliogr. p. 167-170. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 78 Musique Chansons
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Stalag / Oflag / Prisonnier de guerreIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Des premiers camps punitifs du IIIe Reich jusqu’aux usines de la mort de Treblinka et Birkenau, en passant par les camps de prisonniers de guerre, l’auteur relate dans cet ouvrage les activités musicales dans l’univers concentrationnaire. Il a travaillé sur diverses archives et rencontré d’anciens déportés musiciens.
Dès le début, la musique est utilisée dans un but répressif : elle rassure les nouveaux arrivants dans les camps de concentration, sert la propagande et accompagne les travaux forcés. « Quand cette musique éclate, nous savons que nos camarades, dehors dans le brouillard, se mettent en marche comme des automates ; leurs âmes sont mortes et c’est la musique qui les pousse en avant, comme le vent les feuilles sèches, et leur tient lieu de volonté. » écrivait Primo Levi.
Dans les camps d’extermination de l’Aktion Reinhard comme à Auschwitz-Birkenau, les notes de musique s’élèvent dans les airs en même temps que la fumée des fours crématoires ; elles couvrent aussi les cris de souffrance et le vacarme des exécutions sommaires.
Des musiques sont composées dans les camps de prisonniers de guerre. Si Olivier Messiaen est sans nul doute le musicien le plus célèbre des camps (il a composé son Quatuor pour la fin du temps au Stalag de Görlitz), nombre de compositeurs, chefs d’orchestre ou instrumentistes furent également retenus dans les Stalag et Oflag allemands.
Parfois clandestine, mais le plus souvent « officielle », la musique fit partie intégrante du système concentrationnaire.Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
Avant propos Introduction
Première partie : La musique dans les premiers camps du IIIe Reich
1. Quelques prémices...
2. Les camps précoces du régime
Dachau : un camp pour modèle
3. La musique dans les premiers camps
Subir
Le chant forcé
Musique et propagande
Résister en musique : le Börgermoorlied
4. Vers une extension du système
A chaque camp son hymne !
Le SACHSENHAUSENLIED
Herbert Zipper et le DACHAULIED /
Le BUCHENWALDLIED
1938 : la création des premiers orchestres
5. Des œuvres pour dénoncer les camps (1933-1945)
Le Miserae (1933) et la Deuxième sonate pour piano « 27 avril 1945 » de Karl Amadeus Hartmann
La Deutsche Symphonie de Hanns Eisler
Deuxième partie : 1939. La musique derrière les barbelés
1. « Jedem das Seine » chacun son dû
Au service de l’économie du Reich
2. De la musique instrumentale
Les orchestres et leur évolution
Dachau
Mauthausen
Buchenwald
Flossenbürg
Auschwitz I
Neuengamme
Westerbork
Struthof-Natzweiler
La fonction des orchestres
Les Arbeitskommandos
Distraire les SS
Exécutions publiques
Les cérémonies officielles
De la musique de chambre ?
3. Des compositeurs dans les camps
4. Chanter dans la clandestinité
Chanter à Ravensbrück
Créer des chansons ?
L’opérette de Ravensbrück : l’humour contre l’horreur
5. Quand le jazz est là...
Le Swing contre le pas de l’oie
Du jazz dans les camps
6. Musiciens sinti-roma : les Zigeuner (Tsiganes)
Porajmos : l’extermination
Troisième partie : La musique française au Stalag
1. Les camps de prisonniers de guerre
2. La « drôle de guerre »
Mourir pour la patrie
3. Musique française au stalag
Orchestres et musique « classique »
Musiques de scène et jazz
Chansons et variétés
4. Composer au Stalag
Olivier Messiaen et le Quatuor pour la fin du Temps
Emile Goué : une œuvre en captivité
5. Autres compositeurs français
6. Musiciens : une situation privilégiée ?
Hommages
Quatrième partie :La musique dans les camps d’extermination
1. Du monoxyde de carbone au Zyklon B
2. Musique dans les camps de l’Aktion Reinhard
Belzec
SOBIBOR
TREBLINKA
3. Theresienstadt : la musique comme alibi
Le ghetto de Theresienstadt
Musique à Theresienstadt
Musique de chambre à Theresienstadt
Mensonge à Theresienstadt
Composer à Theresienstadt
VIKTOR ULLMANN ET DER KAISER VON ATLANTIS
Hans Krasâ et Brundibâr, opéra pour enfants
Pavel Haas et les Quatre chants sur des poèmes chinois
Gideon Klein et quelques autres compositeurs
4. Les orchestres d’Auschwitz-Birkenau
L’orchestre des hommes de Birkenau
L’orchestre des femmes de Birkenau
Notenschreiber
Épilogue à Belsen
Cinquième partie : Des œuvres musicales pour mémoire
1. Un important corpus d’œuvres
Quelques œuvres
2. Arnold Schoenberg : A Survivor from Warsaw
1933 : Schönberg devient Schoenberg
A Survivor from Warsaw (opus 46)
3. Quatre dramaturgies musicales
Dimitri Chostachovitch : Treizième symphonie, Babi Yar
Luigi Nono : Ricorda cosa ti hannofatto in Auschwitz
Krzysztof Penderecki : Dies Irae
Steve Reich : Different trains
4. Trois petites formes opératiques
Dominique Probst : Maximilian Kolbe
Nguyen-Thien Dao : Les enfants d'Izieu
Stefan Heucke : Das Frauenorchester von Auschwitz
5. La mémoire en chantant...
Jean Ferrat : Nuit et brouillard
Maurice Fanon : La Petite Juive (1965)
En guise de conclusion
Survivre
Musique et barbarie
Haïr la musique ?
Postface
Annexe 1 :
Chronologie sommaire des principaux camps de concentration
Annexe 2 :
Quelques musiciens professionnels internés dans les camps de concentration ou d’extermination nazis
INSTRUMENTISTES
CHANTEURS/CHANTEUSES
CHANSONNIER(E)S
CHEFS D’ORCHESTRE ET CHEFS DE CHŒUR
COMPOSITEURS
JAZZMEN
AUTRES
Bibliographie sélective
Ouvrages généraux sur le IIIe Reich
Ouvrages généraux sur la musique et le IIIe Reich
Ouvrages sur les camps de concentration et d’extermination
Témoignages sur les camps de concentration et d’extermination
Témoignages de musiciens déportés
Divers
Index des noms propres
Index des œuvres citées
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Survivre et mourir en musique dans les camps nazis Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Giner (1960-....), Auteur Editeur : Paris : Berg International Année de publication : DL 2011 Collection : Collection Détours, ISSN 2116-9071 Importance : 1 vol. (190 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-917191-39-2 Prix : 19 EUR Note générale : Bibliogr. p. 167-170. Index Langues : Français (fre) Catégories : 78 Musique Chansons
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Stalag / Oflag / Prisonnier de guerreIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Des premiers camps punitifs du IIIe Reich jusqu’aux usines de la mort de Treblinka et Birkenau, en passant par les camps de prisonniers de guerre, l’auteur relate dans cet ouvrage les activités musicales dans l’univers concentrationnaire. Il a travaillé sur diverses archives et rencontré d’anciens déportés musiciens.
Dès le début, la musique est utilisée dans un but répressif : elle rassure les nouveaux arrivants dans les camps de concentration, sert la propagande et accompagne les travaux forcés. « Quand cette musique éclate, nous savons que nos camarades, dehors dans le brouillard, se mettent en marche comme des automates ; leurs âmes sont mortes et c’est la musique qui les pousse en avant, comme le vent les feuilles sèches, et leur tient lieu de volonté. » écrivait Primo Levi.
Dans les camps d’extermination de l’Aktion Reinhard comme à Auschwitz-Birkenau, les notes de musique s’élèvent dans les airs en même temps que la fumée des fours crématoires ; elles couvrent aussi les cris de souffrance et le vacarme des exécutions sommaires.
Des musiques sont composées dans les camps de prisonniers de guerre. Si Olivier Messiaen est sans nul doute le musicien le plus célèbre des camps (il a composé son Quatuor pour la fin du temps au Stalag de Görlitz), nombre de compositeurs, chefs d’orchestre ou instrumentistes furent également retenus dans les Stalag et Oflag allemands.
Parfois clandestine, mais le plus souvent « officielle », la musique fit partie intégrante du système concentrationnaire.Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
Avant propos Introduction
Première partie : La musique dans les premiers camps du IIIe Reich
1. Quelques prémices...
2. Les camps précoces du régime
Dachau : un camp pour modèle
3. La musique dans les premiers camps
Subir
Le chant forcé
Musique et propagande
Résister en musique : le Börgermoorlied
4. Vers une extension du système
A chaque camp son hymne !
Le SACHSENHAUSENLIED
Herbert Zipper et le DACHAULIED /
Le BUCHENWALDLIED
1938 : la création des premiers orchestres
5. Des œuvres pour dénoncer les camps (1933-1945)
Le Miserae (1933) et la Deuxième sonate pour piano « 27 avril 1945 » de Karl Amadeus Hartmann
La Deutsche Symphonie de Hanns Eisler
Deuxième partie : 1939. La musique derrière les barbelés
1. « Jedem das Seine » chacun son dû
Au service de l’économie du Reich
2. De la musique instrumentale
Les orchestres et leur évolution
Dachau
Mauthausen
Buchenwald
Flossenbürg
Auschwitz I
Neuengamme
Westerbork
Struthof-Natzweiler
La fonction des orchestres
Les Arbeitskommandos
Distraire les SS
Exécutions publiques
Les cérémonies officielles
De la musique de chambre ?
3. Des compositeurs dans les camps
4. Chanter dans la clandestinité
Chanter à Ravensbrück
Créer des chansons ?
L’opérette de Ravensbrück : l’humour contre l’horreur
5. Quand le jazz est là...
Le Swing contre le pas de l’oie
Du jazz dans les camps
6. Musiciens sinti-roma : les Zigeuner (Tsiganes)
Porajmos : l’extermination
Troisième partie : La musique française au Stalag
1. Les camps de prisonniers de guerre
2. La « drôle de guerre »
Mourir pour la patrie
3. Musique française au stalag
Orchestres et musique « classique »
Musiques de scène et jazz
Chansons et variétés
4. Composer au Stalag
Olivier Messiaen et le Quatuor pour la fin du Temps
Emile Goué : une œuvre en captivité
5. Autres compositeurs français
6. Musiciens : une situation privilégiée ?
Hommages
Quatrième partie :La musique dans les camps d’extermination
1. Du monoxyde de carbone au Zyklon B
2. Musique dans les camps de l’Aktion Reinhard
Belzec
SOBIBOR
TREBLINKA
3. Theresienstadt : la musique comme alibi
Le ghetto de Theresienstadt
Musique à Theresienstadt
Musique de chambre à Theresienstadt
Mensonge à Theresienstadt
Composer à Theresienstadt
VIKTOR ULLMANN ET DER KAISER VON ATLANTIS
Hans Krasâ et Brundibâr, opéra pour enfants
Pavel Haas et les Quatre chants sur des poèmes chinois
Gideon Klein et quelques autres compositeurs
4. Les orchestres d’Auschwitz-Birkenau
L’orchestre des hommes de Birkenau
L’orchestre des femmes de Birkenau
Notenschreiber
Épilogue à Belsen
Cinquième partie : Des œuvres musicales pour mémoire
1. Un important corpus d’œuvres
Quelques œuvres
2. Arnold Schoenberg : A Survivor from Warsaw
1933 : Schönberg devient Schoenberg
A Survivor from Warsaw (opus 46)
3. Quatre dramaturgies musicales
Dimitri Chostachovitch : Treizième symphonie, Babi Yar
Luigi Nono : Ricorda cosa ti hannofatto in Auschwitz
Krzysztof Penderecki : Dies Irae
Steve Reich : Different trains
4. Trois petites formes opératiques
Dominique Probst : Maximilian Kolbe
Nguyen-Thien Dao : Les enfants d'Izieu
Stefan Heucke : Das Frauenorchester von Auschwitz
5. La mémoire en chantant...
Jean Ferrat : Nuit et brouillard
Maurice Fanon : La Petite Juive (1965)
En guise de conclusion
Survivre
Musique et barbarie
Haïr la musique ?
Postface
Annexe 1 :
Chronologie sommaire des principaux camps de concentration
Annexe 2 :
Quelques musiciens professionnels internés dans les camps de concentration ou d’extermination nazis
INSTRUMENTISTES
CHANTEURS/CHANTEUSES
CHANSONNIER(E)S
CHEFS D’ORCHESTRE ET CHEFS DE CHŒUR
COMPOSITEURS
JAZZMEN
AUTRES
Bibliographie sélective
Ouvrages généraux sur le IIIe Reich
Ouvrages généraux sur la musique et le IIIe Reich
Ouvrages sur les camps de concentration et d’extermination
Témoignages sur les camps de concentration et d’extermination
Témoignages de musiciens déportés
Divers
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Index des œuvres citées
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48659 940.531/GIN Livre Libre-accès Adultes Disponible Tout commença à Nuremberg / Rita Thalmann
Tout commença à Nuremberg : entre histoire et mémoire [texte imprimé] / Rita Thalmann (1926-....), Auteur . - Paris : Berg International, 2004 . - 1 vol. (249 p.-[16] p. de pl.) : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 2-911289-64-1
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
929 Thalmann, Rita (1926-....)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : 4e de couverture :
Tout commença à Nuremberg. Naître dans cette ville allemande, dans une famille juive, au beau milieu des années vingt, promet un destin au mieux agité, au pire tragique.
Témoin des grandes ruptures du XXe siècle, Rita Thalmann raconte ici l'histoire de sa jeunesse et son apprentissage de l'indépendance.
Entre histoire et mémoire, entre analyse et vécu, l'historienne, dialoguant avec la jeune fille qu'elle a été, tisse ses réflexions et ses souvenirs.
Ce sont d'abord ceux d'une exilée, ballottée avec sa famille, au gré des décrets sur l'immigration, entre l' Allemagne, la Suisse, l'Alsace et la Bourgogne. Dans cette période noire où la législation varie selon les crispations nationales et les poussées d'antisémitisme, elle doit sa survie à l'existence d'un réseau de solidarité qui commence avec la directrice de son lycée.
Ce sont aussi les souvenirs d'une jeune fille, éducatrice à l'OSE, qui trouve la force, malgré la perte de ses parents, de reprendre ses études après la guerre. A Paris, elle deviendra historienne et militante. Elle s'inscrit au Parti communiste et participe aux grandes luttes de l'époque. Le "complot des blouses blanches" et l'affaire Slansky sont autant de sonnettes d'alarme pour Rita Thalmann. Prenant conscience de la duplicité et de la dérive antisémite du Parti, elle s'émancipe de sa tutelle pour parvenir à la maturité intellectuelle.
Ce sont enfin les souvenirs d'une historienne, une femme de son temps qui sait que si l'on ne veut pas subir l'histoire, il faut tenter de la comprendre. A fortiori quand il s'agit de la sienne.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Tout commença à Nuremberg : entre histoire et mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Rita Thalmann (1926-....), Auteur Editeur : Paris : Berg International Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (249 p.-[16] p. de pl.) Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-911289-64-1 Langues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
929 Thalmann, Rita (1926-....)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(44)"19" Histoire de France au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 929 Biographies Résumé : 4e de couverture :
Tout commença à Nuremberg. Naître dans cette ville allemande, dans une famille juive, au beau milieu des années vingt, promet un destin au mieux agité, au pire tragique.
Témoin des grandes ruptures du XXe siècle, Rita Thalmann raconte ici l'histoire de sa jeunesse et son apprentissage de l'indépendance.
Entre histoire et mémoire, entre analyse et vécu, l'historienne, dialoguant avec la jeune fille qu'elle a été, tisse ses réflexions et ses souvenirs.
Ce sont d'abord ceux d'une exilée, ballottée avec sa famille, au gré des décrets sur l'immigration, entre l' Allemagne, la Suisse, l'Alsace et la Bourgogne. Dans cette période noire où la législation varie selon les crispations nationales et les poussées d'antisémitisme, elle doit sa survie à l'existence d'un réseau de solidarité qui commence avec la directrice de son lycée.
Ce sont aussi les souvenirs d'une jeune fille, éducatrice à l'OSE, qui trouve la force, malgré la perte de ses parents, de reprendre ses études après la guerre. A Paris, elle deviendra historienne et militante. Elle s'inscrit au Parti communiste et participe aux grandes luttes de l'époque. Le "complot des blouses blanches" et l'affaire Slansky sont autant de sonnettes d'alarme pour Rita Thalmann. Prenant conscience de la duplicité et de la dérive antisémite du Parti, elle s'émancipe de sa tutelle pour parvenir à la maturité intellectuelle.
Ce sont enfin les souvenirs d'une historienne, une femme de son temps qui sait que si l'on ne veut pas subir l'histoire, il faut tenter de la comprendre. A fortiori quand il s'agit de la sienne.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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