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Patrick Modiano : à la recherche d'une identité / DOMINIQUE A. H. LINCHET in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 84 (juillet-septembre 2004)
[article] Patrick Modiano : à la recherche d'une identité [texte imprimé] / DOMINIQUE A. H. LINCHET . - 2004 . - pp. 91-97.
Langues : Français (fre)
in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle) > 84 (juillet-septembre 2004) . - pp. 91-97
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
929 Modiano, Patrick
Judéocide / ShoahRésumé : Jean Patrick Modiano est né le 30 juin 1945 d'un père juif et d'une mère flamande. Il est écrivain et scénariste de film Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Patrick Modiano : à la recherche d'une identité Type de document : texte imprimé Auteurs : DOMINIQUE A. H. LINCHET Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 91-97 Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
929 Modiano, Patrick
Judéocide / ShoahRésumé : Jean Patrick Modiano est né le 30 juin 1945 d'un père juif et d'une mère flamande. Il est écrivain et scénariste de film Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle) > 84 (juillet-septembre 2004) . - pp. 91-97Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41622 fon Périodique Libre-accès Périodiques Exclu du prêt
[article] La Patrie litéraire du colonisé : déchiremnts entre écrivains, entre différentes langues, entre différentes cultures, entre différentes appartenances [texte imprimé] / Albert Memmi (1920-....) . - 2001 . - pp. 90 - 91.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 58 (juillet-août 2001) . - pp. 90 - 91[article]
Titre : La Patrie litéraire du colonisé : déchiremnts entre écrivains, entre différentes langues, entre différentes cultures, entre différentes appartenances Type de document : texte imprimé Auteurs : Albert Memmi (1920-....) Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 90 - 91 Langues : Français (fre) Catégories : 316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
325.3 Colonisation/ décolonisation
82 Littérature en général
82(091) Histoire de la littératurePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 58 (juillet-août 2001) . - pp. 90 - 91Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 22430/1 P/2929 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Le Patrimoine indigène in Sciences Humaines, 169 (mars 2006)
[article] Le Patrimoine indigène : comprendre [texte imprimé] . - 2006 . - pp. 24-32.
Langues : Français (fre)
in Sciences Humaines > 169 (mars 2006) . - pp. 24-32
Catégories : 069 Musées Muséologie Muséographie Exposition
316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
325 Colonisation
325.3 Colonisation/ décolonisation
34 Loi Droit Jurisprudence
342.1 Peuple Nation Autorité
93 Histoire
94 Histoire généraleRésumé : Sommaire :
A qui appartient la culture ? / Nicoals Journet
Le réveil des identités indigènes soulève une question longtemps occultée par l'histoiree coloniale : à qui appartiennent légitimement les biens, les traditions, les savoirs oraux qui constituent le patrimoine original de ces sociétés autrefois autonomes ?
Faut-il breveter les cultures en danger ? Michaël F. Brown
Protéger juridiquement les cultures menacées soulève d'épineux problèmes. Les revendications collectives portées au plus haut niveau par les minorités autochtones se heurtent en effet à la difficulté de définir le droit en matière de tradtions et de coutumes.
Les peuples autochtones à la recherche de droits collectifs entretien avec Irène Bellier
Encart sur le retour de la Vénus hottentote et de l'ethnobotanique à la biopirateriePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le Patrimoine indigène : comprendre Type de document : texte imprimé Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 24-32 Langues : Français (fre) Catégories : 069 Musées Muséologie Muséographie Exposition
316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
325 Colonisation
325.3 Colonisation/ décolonisation
34 Loi Droit Jurisprudence
342.1 Peuple Nation Autorité
93 Histoire
94 Histoire généraleRésumé : Sommaire :
A qui appartient la culture ? / Nicoals Journet
Le réveil des identités indigènes soulève une question longtemps occultée par l'histoiree coloniale : à qui appartiennent légitimement les biens, les traditions, les savoirs oraux qui constituent le patrimoine original de ces sociétés autrefois autonomes ?
Faut-il breveter les cultures en danger ? Michaël F. Brown
Protéger juridiquement les cultures menacées soulève d'épineux problèmes. Les revendications collectives portées au plus haut niveau par les minorités autochtones se heurtent en effet à la difficulté de définir le droit en matière de tradtions et de coutumes.
Les peuples autochtones à la recherche de droits collectifs entretien avec Irène Bellier
Encart sur le retour de la Vénus hottentote et de l'ethnobotanique à la biopirateriePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Sciences Humaines > 169 (mars 2006) . - pp. 24-32Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41053/1 p/5550 Périodique Réserve Périodiques Disponible
Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique [document électronique] / Maite Molina Mármol, Auteur . - Liège : Institut d'Histoire Ouvrière, Economique et Social (IHOES), 6 juillet 2015 . - 1 fichier PDF (6 p.). - (Analyse de l'IHOES; 141) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
351.71 Travaux publics Patrimoine
352(493) Bruxelles
352(493) Liège, commune
37:17 Travail de Mémoire
725.94 Monuments
94(460)"1936-1939" Guerre d'Espagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Introduction
S’intéresser à la visibilité de la présence immigrée dans l’espace public requiert d’emblée une double précision. D’une part, l’inscription dans un patrimoine – étymologiquement, « l’héritage du père » – est l’objet d’une compétition, a fortiori réservée à ce qui relève du national : les étrangers sont donc a priori exclus de l’inscription dans ce domaine et de la reconnaissance qui en découle. D’autre part, l’immigré a longtemps été considéré comme un homme sans racines, dépourvu d’histoire. Caractérisé par une « double absence »1 – jamais réellement présent dans le pays d’accueil où son passage n’est conçu que comme provisoire et ne pouvant retrouver sa place dans le milieu d’origine après son expérience –, l’immigré entretient dans cette perspective une relation problématique avec la mémoire : « […] que peut transmettre un pauvre démuni socialement et culturellement tel qu’un immigré, si ce n’est un héritage impossible, une culture d’origine, des valeurs inadaptées au monde dans lequel lui-même et ses enfants vivent ? »2.
Ces constats peuvent aujourd’hui être largement nuancés, après que se soient multipliées dans les années 2000 les recherches sur la « mémoire » des populations immigrées3 et que se soient développées les initiatives autour de la préservation de leur patrimoine. Il s’agit ici de s’intéresser plus précisément au cas de l’immigration espagnole en Belgique qui constituera le point de départ d’une réflexion sur la patrimonialisation : Qu’est-ce qui fait patrimoine ? Qu’est-ce qui est jugé digne de figurer dans l’espace public ? Quand et pourquoi ? Quelles références sont convoquées ? De quels enjeux relève ce processus ?En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse141.pdf Format de la ressource électronique : Lien pour télécharger "Le patrimoine au prisme de l’immigration" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique Type de document : document électronique Auteurs : Maite Molina Mármol, Auteur Editeur : Liège : Institut d'Histoire Ouvrière, Economique et Social (IHOES) Année de publication : 6 juillet 2015 Collection : Analyse de l'IHOES num. 141 Importance : 1 fichier PDF (6 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
351.71 Travaux publics Patrimoine
352(493) Bruxelles
352(493) Liège, commune
37:17 Travail de Mémoire
725.94 Monuments
94(460)"1936-1939" Guerre d'Espagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Introduction
S’intéresser à la visibilité de la présence immigrée dans l’espace public requiert d’emblée une double précision. D’une part, l’inscription dans un patrimoine – étymologiquement, « l’héritage du père » – est l’objet d’une compétition, a fortiori réservée à ce qui relève du national : les étrangers sont donc a priori exclus de l’inscription dans ce domaine et de la reconnaissance qui en découle. D’autre part, l’immigré a longtemps été considéré comme un homme sans racines, dépourvu d’histoire. Caractérisé par une « double absence »1 – jamais réellement présent dans le pays d’accueil où son passage n’est conçu que comme provisoire et ne pouvant retrouver sa place dans le milieu d’origine après son expérience –, l’immigré entretient dans cette perspective une relation problématique avec la mémoire : « […] que peut transmettre un pauvre démuni socialement et culturellement tel qu’un immigré, si ce n’est un héritage impossible, une culture d’origine, des valeurs inadaptées au monde dans lequel lui-même et ses enfants vivent ? »2.
Ces constats peuvent aujourd’hui être largement nuancés, après que se soient multipliées dans les années 2000 les recherches sur la « mémoire » des populations immigrées3 et que se soient développées les initiatives autour de la préservation de leur patrimoine. Il s’agit ici de s’intéresser plus précisément au cas de l’immigration espagnole en Belgique qui constituera le point de départ d’une réflexion sur la patrimonialisation : Qu’est-ce qui fait patrimoine ? Qu’est-ce qui est jugé digne de figurer dans l’espace public ? Quand et pourquoi ? Quelles références sont convoquées ? De quels enjeux relève ce processus ?En ligne : http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse141.pdf Format de la ressource électronique : Lien pour télécharger "Le patrimoine au prisme de l’immigration" Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
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Fichier PDF "Le patrimoine au prisme de l’immigration : le cas de la présence espagnole en Belgique"Adobe Acrobat PDF
[article] Patronen van polarisatie : Homicide in België tijdens de Tweede Wereldoorlog [texte imprimé] / Antoon Vrints, Auteur . - 2005 . - pp. 177-204.
Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 177-204
Catégories : 31 Statistique Démographie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : Modèles de polarisation. Les homicides en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale
Pendant la seconde moitié de l'occupation, le total des homicides s'accroît en Belgique d'une manière jusque-là inconnue. Derrière ce développement se cache une conjonction complexe de deux facteurs. D'un côté, se révèle une escalade de la violence politique entre Belges : compte tenu de la violence structurelle de l'occupant, un certain nombre de groupes de résistance font appel à la terreur comme arme politique contre la collaboration. Une spirale infernale d'action et de réaction est enclenchée qui prendra à l'été 1944 le caractère d'une mini-guerre civile. Par ailleurs, la paupérisation massive de larges couches de la population et l'érosion simultanée du monopole étatique de la violence sous l'occupation mènent à l'apparition d'un terreau favorable au banditisme. Les deux phénomènes sont fortement stimulés par la promulgation du travail obligatoire en Allemagne à l'automne 1942.
Derrière l'augmentation globale du total des homicides se cachent de grandes différences régionales. En gros, on peut distinguer le nord-ouest du pays, où la situation reste relativement calme, et le sud-est, où le nombre d'homicides explose. Le modèle clairement distinct sur le plan géographique des chiffres des homicides indique que pendant l'occupation une forme beaucoup plus forte de polarisation sociétale se manifeste dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. Sur le plan politique, la tension est beaucoup moins prononcée dans le nord-ouest, où vit la grande majorité des néerlandophones, que dans le sud-est, qui couvre l'ensemble de la Wallonie. Des différences ayant trait aux rapports de force politiques et à l'identification nationale conduisent à ce qu'au nord-ouest la résistance soit plus faible et la collaboration moins isolée. Sur le plan social aussi, les tensions sont plus grandes dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. L'étroite marge de manœuvre dont disposent les travailleurs des régions industrielles (en grande partie situées dans le sud-est) pour affronter les problèmes provoqués par l'occupation (pénurie, travail obligatoire) ne constitue pas seulement un stimulant supplémentaire pour entrer en résistance, mais explique aussi pourquoi dans le sud-est, il est question dans une beaucoup plus large mesure de banditisme.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Patronen van polarisatie : Homicide in België tijdens de Tweede Wereldoorlog Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoon Vrints, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 177-204 Note générale : Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 31 Statistique Démographie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : Modèles de polarisation. Les homicides en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale
Pendant la seconde moitié de l'occupation, le total des homicides s'accroît en Belgique d'une manière jusque-là inconnue. Derrière ce développement se cache une conjonction complexe de deux facteurs. D'un côté, se révèle une escalade de la violence politique entre Belges : compte tenu de la violence structurelle de l'occupant, un certain nombre de groupes de résistance font appel à la terreur comme arme politique contre la collaboration. Une spirale infernale d'action et de réaction est enclenchée qui prendra à l'été 1944 le caractère d'une mini-guerre civile. Par ailleurs, la paupérisation massive de larges couches de la population et l'érosion simultanée du monopole étatique de la violence sous l'occupation mènent à l'apparition d'un terreau favorable au banditisme. Les deux phénomènes sont fortement stimulés par la promulgation du travail obligatoire en Allemagne à l'automne 1942.
Derrière l'augmentation globale du total des homicides se cachent de grandes différences régionales. En gros, on peut distinguer le nord-ouest du pays, où la situation reste relativement calme, et le sud-est, où le nombre d'homicides explose. Le modèle clairement distinct sur le plan géographique des chiffres des homicides indique que pendant l'occupation une forme beaucoup plus forte de polarisation sociétale se manifeste dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. Sur le plan politique, la tension est beaucoup moins prononcée dans le nord-ouest, où vit la grande majorité des néerlandophones, que dans le sud-est, qui couvre l'ensemble de la Wallonie. Des différences ayant trait aux rapports de force politiques et à l'identification nationale conduisent à ce qu'au nord-ouest la résistance soit plus faible et la collaboration moins isolée. Sur le plan social aussi, les tensions sont plus grandes dans le sud-est que dans le nord-ouest du pays. L'étroite marge de manœuvre dont disposent les travailleurs des régions industrielles (en grande partie situées dans le sud-est) pour affronter les problèmes provoqués par l'occupation (pénurie, travail obligatoire) ne constitue pas seulement un stimulant supplémentaire pour entrer en résistance, mais explique aussi pourquoi dans le sud-est, il est question dans une beaucoup plus large mesure de banditisme.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 177-204Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40545/1 p/5213 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink19 - Payez moins d'impôts (Bulletin de Le Vif / L'Express, 19 [08/05/2015])
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