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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20323/1 P/2669 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Comme une sensation de vide in Culture Europe, 38 (décembre 2002)
[article] Comme une sensation de vide : Toulon dirigé par l'extrême droite [texte imprimé] . - 0000 . - p. 22.
Langues : Français (fre)
in Culture Europe > 38 (décembre 2002) . - p. 22
Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
329.18 Tendance d'extrême droite
351.85 Adm. de la culture
352 Administrations locales communales
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Comme une sensation de vide : Toulon dirigé par l'extrême droite Type de document : texte imprimé Année de publication : 0000 Article en page(s) : p. 22 Langues : Français (fre) Catégories : 06.05 Associations : actions, actes et organisation
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
329.18 Tendance d'extrême droite
351.85 Adm. de la culture
352 Administrations locales communales
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Culture Europe > 38 (décembre 2002) . - p. 22Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31553/1 cul Périodique Réserve Périodiques Disponible
Comme si nous étions déjà libres [texte imprimé] / David Graeber (1961-....), Auteur ; Alexie Doucet, Traducteur . - Montréal : Lux éditeur, 2014 . - 1 vol. (270 p.) ; 22 cm. - (Instinct de liberté; 27) .
ISBN : 978-2-89596-180-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
329.63 Anarchisme / Libertaire (politique)Index. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : SITE DE L'EDITEUR
La servilité des élites politiques actuelles en font les laquais des plus riches et des plus puissants, de sorte que les mécanismes de nos systèmes dits démocratiques ne réussissent pas à résoudre ni même à endiguer les crises dans lesquelles nous enfonce le capitalisme. Comment, alors, adviendra le changement ?
Dans cet essai, David Graeber guide le lecteur dans les rouages de la véritable démocratie pour déconstruire les idées reçues et réorienter de manière audacieuse notre compréhension de l’histoire politique. Chemin faisant, il cite des exemples qui pourraient servir de modèles pour une transformation du monde et qui ont d’ailleurs inspiré le mouvement des Indignados et Occupy Wall Street.
Devant la concentration de la richesse et du pouvoir dans tous les pays occidentaux, et plus particulièrement aux États-Unis, Graeber soutient que seule une conception radicale de la démocratie – basée sur des principes d’égalité, de participation citoyenne massive et de recherche du consensus – peut nous permettre de jeter les bases de la société juste et équitable que nous souhaitons. Il s’agirait, pour y arriver, de faire comme si nous étions déjà libres.Note de contenu : SOMMAIRE
-Introduction................................................9
-Chapitre 1
Le commencement approche ...........................................................21
-Chapitre 2
Pourquoi avons-nous réussi?.....................................................63
-Chapitre 3
« La foule commence à penser et à raisonner » : histoire cachée de la démocratie.................................................143
-Chapitre 4
Comment survient le changement,................................................193
-Chapitre 5
Rompre le sortilège..................................................245
-Remerciements.............................................271
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Comme si nous étions déjà libres Type de document : texte imprimé Auteurs : David Graeber (1961-....), Auteur ; Alexie Doucet, Traducteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : 2014 Collection : Instinct de liberté num. 27 Importance : 1 vol. (270 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-180-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
329.63 Anarchisme / Libertaire (politique)Index. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : SITE DE L'EDITEUR
La servilité des élites politiques actuelles en font les laquais des plus riches et des plus puissants, de sorte que les mécanismes de nos systèmes dits démocratiques ne réussissent pas à résoudre ni même à endiguer les crises dans lesquelles nous enfonce le capitalisme. Comment, alors, adviendra le changement ?
Dans cet essai, David Graeber guide le lecteur dans les rouages de la véritable démocratie pour déconstruire les idées reçues et réorienter de manière audacieuse notre compréhension de l’histoire politique. Chemin faisant, il cite des exemples qui pourraient servir de modèles pour une transformation du monde et qui ont d’ailleurs inspiré le mouvement des Indignados et Occupy Wall Street.
Devant la concentration de la richesse et du pouvoir dans tous les pays occidentaux, et plus particulièrement aux États-Unis, Graeber soutient que seule une conception radicale de la démocratie – basée sur des principes d’égalité, de participation citoyenne massive et de recherche du consensus – peut nous permettre de jeter les bases de la société juste et équitable que nous souhaitons. Il s’agirait, pour y arriver, de faire comme si nous étions déjà libres.Note de contenu : SOMMAIRE
-Introduction................................................9
-Chapitre 1
Le commencement approche ...........................................................21
-Chapitre 2
Pourquoi avons-nous réussi?.....................................................63
-Chapitre 3
« La foule commence à penser et à raisonner » : histoire cachée de la démocratie.................................................143
-Chapitre 4
Comment survient le changement,................................................193
-Chapitre 5
Rompre le sortilège..................................................245
-Remerciements.............................................271
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49099 321.7/GRA Livre Libre-accès Adultes Disponible
Au commencement était le feu : essais [texte imprimé] / Bruno Kartheuser, Auteur . - St Vith : Krautgarten, Dl 2011 . - 1 vol. (183 p.) ; 22 cm.
ISBN : 978-2-87316-039-5
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
353(493=30) Communauté germanophone
94(493) Histoire de la BelgiqueIndex. décimale : 940 Histoire de l'Europe / Goulag / Génocide Arménien / Guerre d'Espagne Résumé : Site éditeur :
En une trentaine d’années d’activité littéraire en région germanophone, Bruno Kartheuser a fait sienne la célèbre devise de l’égérie du Petit Larousse : « Je sème à tout vent ». Bilingue allemand-français travaillant sur trois pays, la Belgique, l’Allemagne et la France, il est le fondateur et l’âme de l’excellente revue Krautgarten qui, depuis 1982, publie des textes d’auteurs de divers pays, des analyses d’ouvrages et d’événements récents, des œuvres – peintures, sculptures, photographies – d’un artiste invité. Le propos général de cette revue semestrielle résume parfaitement la démarche de son créateur : « faire de sa région le lieu de convergence d’une pluralité de productions, mouvements, tendances ayant la langue allemande (ou des connexions avec elle) comme patrimoine commun », ainsi que l’indique Claude Javeau dans la préface remarquable et fouillée qu’il a écrite pour Au commencement était le feu. Essais, le nouvel ouvrage de Bruno Kartheuser.
Ses études de philologie classique et de philosophie en ont fait un familier de grands poètes et de penseurs, et son esprit d’analyse se combine volontiers avec une esthétique exigeante. On a pu souvent s’en rendre compte non seulement dans la revue, mais aussi dans les ouvrages – les siens comme ceux d’autres auteurs – que publie la maison d’édition née dans le sillage de KRAUTGARTEN et sous le même nom. Après la poésie lyrique et la recherche historique, c’est un recueil regroupant une vingtaine d’essais que nous propose aujourd’hui Bruno Kartheuser. Les sujets abordés sont variés, mais ont en commun une dimension humaniste qui va bien au-delà des clichés. L’éventail s’ouvre sur la poésie, la politique, l’histoire, la notion de patrie, en développant des idées, des réflexions, des thèses, des ébauches aussi, à partir de personnalités telles qu’Homère, Catulle, Virgile, Horace, Nikos Kazantzakis, Albert Camus, Yorgos Séféris, Yannis Ritsos, Jean Améry, Primo Levi et de nombreux autres penseurs et artistes.
La fréquentation de ces écrivains de haut vol n’écarte pas pour autant les réalités de terrain. C’est ainsi que les Cantons de l’Est fournissent la matière d’une réflexion en profondeur sur leur histoire ancienne – celle des abbayes – et récente – l’annexion nazie – mais aussi sur l’actuelle autonomie et les voisinages européens. Fort de son expérience, Bruno Kartheuser aborde ainsi des questions fondamentales qui nourrissent le débat sur la difficulté de faire vivre la culture et la littérature dans une région de 74 000 habitants sans grande ville et sans infrastructure intellectuelle, ou encore comment organiser l’autonomie politique de la « petite région » sans verser dans le séparatisme ni dans le culte exclusif du terroir. Avec une grande clairvoyance et une totale indépendance, l’auteur invite le lecteur à poursuivre sa réflexion dans un contexte où le quotidien rejoint les plus hautes valeurs humaines.
La Libre Belgique :
A l’Est, du neuf et de la mémoire / P.V.
Mis en ligne le 24/10/2011
Un recueil d’essais de Bruno Kartheuser avec l’identité pour fil rouge.
Fondateur et animateur de la revue culturelle germanophone "Krautgarten" et de la maison d’édition homonyme, Bruno Karthauser s’est fait connaître, bien au-delà des limites des cantons de l’Est, notamment par une monumentale étude en quatre tomes sur la tragédie des 99 pendus de Tulle en Corrèze, le 9 juin 1944, où un sous-officier SS né à Saint-Vith joua un rôle essentiel.
L’écrivain, de formation philologique classique et philosophique, vient de rassembler en un volume une vingtaine d’essais des plus disparates au premier abord, mais qui ont pour fil rouge l’identité des Belges de langue allemande. La politique, les arts, l’histoire, la littérature, les voisinages européens nourrissent ici une réflexion sur une communauté qui, "après des siècles de mutisme", écrit l’auteur, "se trouve au début de ses essais d’articulation".
Pas question pour autant de larguer les amarres : avec la majorité des habitants de sa région, Bruno Kartheuser en affirme le caractère belge. Avec l’Allemagne, c’est le terme de "proximité distante" qui décrit pour lui "le comportement le plus adéquat et le plus praticable que l’on puisse adopter". Et de poursuivre : "Il renferme le refus de tout fusionnisme qui ne pourrait qu’aboutir à l’étouffement amoureux du plus petit par le plus grand. Parmi les Allemands et les écrivains de langue allemande, nous ressentons une proximité plus facile, plus instinctive avec ceux qui ont exprimé leur appartenance à la langue allemande depuis une position en marge et critique". Ainsi pour Heinrich Heine, Heinrich Mann, Jean Améry, Paul Celan, Georg K. Glaser, Erich Fried et bien d’autres encore
Généreux, chaleureux, le propos n’évite pas toujours de verser dans l’utopisme, mais l’ouvrage instruira utilement les lecteurs appartenant aux deux autres communautés du pays, tant sur les blessures que le passé a laissées que sur la difficulté présente de donner un contenu à l’autonomie d’une région de 74.000 habitants sans ville importante. L’historien et homme de lettres est particulièrement bien placé pour évoquer cette mémoire et ce défi, lui qui a, selon son préfacier Claude Javeau, "apporté son énergique et exigeante détermination" au réveil culturel des cantons. Le titre de son livre, emprunté à Nikos Kazantzakis, est bien fait pour évoquer la passion qui l’anime dans ses engagements.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Au commencement était le feu : essais Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Kartheuser, Auteur Editeur : St Vith : Krautgarten Année de publication : Dl 2011 Importance : 1 vol. (183 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87316-039-5 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
353(493=30) Communauté germanophone
94(493) Histoire de la BelgiqueIndex. décimale : 940 Histoire de l'Europe / Goulag / Génocide Arménien / Guerre d'Espagne Résumé : Site éditeur :
En une trentaine d’années d’activité littéraire en région germanophone, Bruno Kartheuser a fait sienne la célèbre devise de l’égérie du Petit Larousse : « Je sème à tout vent ». Bilingue allemand-français travaillant sur trois pays, la Belgique, l’Allemagne et la France, il est le fondateur et l’âme de l’excellente revue Krautgarten qui, depuis 1982, publie des textes d’auteurs de divers pays, des analyses d’ouvrages et d’événements récents, des œuvres – peintures, sculptures, photographies – d’un artiste invité. Le propos général de cette revue semestrielle résume parfaitement la démarche de son créateur : « faire de sa région le lieu de convergence d’une pluralité de productions, mouvements, tendances ayant la langue allemande (ou des connexions avec elle) comme patrimoine commun », ainsi que l’indique Claude Javeau dans la préface remarquable et fouillée qu’il a écrite pour Au commencement était le feu. Essais, le nouvel ouvrage de Bruno Kartheuser.
Ses études de philologie classique et de philosophie en ont fait un familier de grands poètes et de penseurs, et son esprit d’analyse se combine volontiers avec une esthétique exigeante. On a pu souvent s’en rendre compte non seulement dans la revue, mais aussi dans les ouvrages – les siens comme ceux d’autres auteurs – que publie la maison d’édition née dans le sillage de KRAUTGARTEN et sous le même nom. Après la poésie lyrique et la recherche historique, c’est un recueil regroupant une vingtaine d’essais que nous propose aujourd’hui Bruno Kartheuser. Les sujets abordés sont variés, mais ont en commun une dimension humaniste qui va bien au-delà des clichés. L’éventail s’ouvre sur la poésie, la politique, l’histoire, la notion de patrie, en développant des idées, des réflexions, des thèses, des ébauches aussi, à partir de personnalités telles qu’Homère, Catulle, Virgile, Horace, Nikos Kazantzakis, Albert Camus, Yorgos Séféris, Yannis Ritsos, Jean Améry, Primo Levi et de nombreux autres penseurs et artistes.
La fréquentation de ces écrivains de haut vol n’écarte pas pour autant les réalités de terrain. C’est ainsi que les Cantons de l’Est fournissent la matière d’une réflexion en profondeur sur leur histoire ancienne – celle des abbayes – et récente – l’annexion nazie – mais aussi sur l’actuelle autonomie et les voisinages européens. Fort de son expérience, Bruno Kartheuser aborde ainsi des questions fondamentales qui nourrissent le débat sur la difficulté de faire vivre la culture et la littérature dans une région de 74 000 habitants sans grande ville et sans infrastructure intellectuelle, ou encore comment organiser l’autonomie politique de la « petite région » sans verser dans le séparatisme ni dans le culte exclusif du terroir. Avec une grande clairvoyance et une totale indépendance, l’auteur invite le lecteur à poursuivre sa réflexion dans un contexte où le quotidien rejoint les plus hautes valeurs humaines.
La Libre Belgique :
A l’Est, du neuf et de la mémoire / P.V.
Mis en ligne le 24/10/2011
Un recueil d’essais de Bruno Kartheuser avec l’identité pour fil rouge.
Fondateur et animateur de la revue culturelle germanophone "Krautgarten" et de la maison d’édition homonyme, Bruno Karthauser s’est fait connaître, bien au-delà des limites des cantons de l’Est, notamment par une monumentale étude en quatre tomes sur la tragédie des 99 pendus de Tulle en Corrèze, le 9 juin 1944, où un sous-officier SS né à Saint-Vith joua un rôle essentiel.
L’écrivain, de formation philologique classique et philosophique, vient de rassembler en un volume une vingtaine d’essais des plus disparates au premier abord, mais qui ont pour fil rouge l’identité des Belges de langue allemande. La politique, les arts, l’histoire, la littérature, les voisinages européens nourrissent ici une réflexion sur une communauté qui, "après des siècles de mutisme", écrit l’auteur, "se trouve au début de ses essais d’articulation".
Pas question pour autant de larguer les amarres : avec la majorité des habitants de sa région, Bruno Kartheuser en affirme le caractère belge. Avec l’Allemagne, c’est le terme de "proximité distante" qui décrit pour lui "le comportement le plus adéquat et le plus praticable que l’on puisse adopter". Et de poursuivre : "Il renferme le refus de tout fusionnisme qui ne pourrait qu’aboutir à l’étouffement amoureux du plus petit par le plus grand. Parmi les Allemands et les écrivains de langue allemande, nous ressentons une proximité plus facile, plus instinctive avec ceux qui ont exprimé leur appartenance à la langue allemande depuis une position en marge et critique". Ainsi pour Heinrich Heine, Heinrich Mann, Jean Améry, Paul Celan, Georg K. Glaser, Erich Fried et bien d’autres encore
Généreux, chaleureux, le propos n’évite pas toujours de verser dans l’utopisme, mais l’ouvrage instruira utilement les lecteurs appartenant aux deux autres communautés du pays, tant sur les blessures que le passé a laissées que sur la difficulté présente de donner un contenu à l’autonomie d’une région de 74.000 habitants sans ville importante. L’historien et homme de lettres est particulièrement bien placé pour évoquer cette mémoire et ce défi, lui qui a, selon son préfacier Claude Javeau, "apporté son énergique et exigeante détermination" au réveil culturel des cantons. Le titre de son livre, emprunté à Nikos Kazantzakis, est bien fait pour évoquer la passion qui l’anime dans ses engagements.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47254 940/KAR Livre Libre-accès Adultes Disponible Comment arrêter de subir ? in Philosophie magazine, 85 (décembre 2014 - janvier 2015)
[article] Comment arrêter de subir ? [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 85 (décembre 2014 - janvier 2015)
Catégories : 159.9 Psychologie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.21 Militantisme Participation Engagement
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Résumé : Il arrive un moment où la situation apparaît trop absurde, les contraintes bien trop lourdes, l’atmosphère franchement irrespirable. Alors, privés de notre élémentaire liberté de mouvement, nous subissons. Comment se dégage-t-on de cette mécanique oppressante ? Nous avons choisi d’articuler notre dossier autour des deux issues identifiées par le penseur et économiste Albert Hirschman : « exit » et « voice ». La première consiste à faire défection, mais elle nous engage à distinguer la simple fuite du retrait fertile. La seconde invite à donner de la voix, à dire « non », à affronter le système qui voudrait nous aliéner : à l’image de ces révoltes aux multiples formes qu’embrassent aujourd’hui certains de nos concitoyens face au déraillement de ce qu’ils estiment être de justes conditions d’existence. Reste que les options « exit » et « voice » ne s’excluent pas toujours l’une l’autre. Comme le montre notre débat entre l’« anarchiste conservateur » Jean-Claude Michéa et le philosophe et sinologue François Jullien, elles sont souvent prises dans une tension dialectique, imposant ainsi des stratégies obliques, qu’il s’agisse de se libérer en solitaire ou en solidaire. Note de contenu : Articles :
- Exit vs. Voice
Subir, quel mot bizarre ! Aucun nom ne correspond à ce verbe. Le subissement ? La subission ? Le subi ? Ce n’est vraiment pas beau. Cela révèle que quand on subit, on ne peut s’appuyer sur rien pour s’en sortir. Subir, ça s’éprouve, mais ça ne se définit, ça ne s’explique, ça ne se raconte même pas. C’est aussi un terme qui n’a pas de contraire. Prenez, par contraste, le verbe « pâtir ». Il a un substantif qui lui correspond, la passion – que l’on peut sanctifier et magnifier. Il a également un contraire : agir. Il suffit donc de passer de l’un à l’autre.
Par Michel Eltchaninoff
- Partir, c’est vivre un peu plus
Nous sommes nombreux à avoir envie de tout plaquer, comme l’ont fait nos trois témoins. Mais pour aller où ? Vers d’hypothétiques ailleurs ou pour trouver refuge loin du monde ? Guide de survie à l’usage de ceux qui souhaitent faire le grand écart.
Par Alexandre Lacroix
- Témoignage. “Mon mari avait une emprise totale sur moi”
Isabelle, 42 ans, deux enfants, critique d’art
Par Patrick Williams
- Témoignage. “J’ai parcouru la France sans argent”
Mathieu Lamour, 28 ansTravailleur itinérant
Par Patrick Williams
- Témoignage. “Nous ne voulions pas être des héritiers mais des fondateurs”
Dounia Tiprus, 38 ans, deux enfants, travaille dans le secteur immobilier
Par Patrick Williams
- Nicolas Go. “Le courage de la joie”
Marqué par les sagesses de l’Inde, le philosophe Nicolas Go a choisi de vivre en pleine campagne. D’où il s’attache à éprouver le sentiment d’exister, qui est, dit-il, l’expérience première.
Par Philippe Garnier
- Le temps de toutes les révoltes
L’époque n’est pas à la révolution, mais elle est marquée par une profusion de révoltes « hybrides ». Qu’ils défendent les SDF, arrachent des plants d’OGM ou organisent des manifestations sauvages, les nouveaux insurgés n’appartiennent à aucun parti. Mais ils expérimentent des luttes singulières sur des terrains qu’ils connaissent parfaitement. Enquête.
Par Martin Legros
- François Jullien, Jean-Claude Michéa. Solidaire et solitaire
L’un dénonce les excès du capitalisme et du libéralisme et appelle à renouer avec le socialisme des origines. Le second, spécialiste de la pensée chinoise, s’intéresse aux transformations silencieuses. Mais tous deux revendiquent la nécessité d’élaborer des stratégies obliques.
Par Alexandre Lacroix, Philippe Nassif
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Titre : Comment arrêter de subir ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : 159.9 Psychologie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.21 Militantisme Participation Engagement
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Résumé : Il arrive un moment où la situation apparaît trop absurde, les contraintes bien trop lourdes, l’atmosphère franchement irrespirable. Alors, privés de notre élémentaire liberté de mouvement, nous subissons. Comment se dégage-t-on de cette mécanique oppressante ? Nous avons choisi d’articuler notre dossier autour des deux issues identifiées par le penseur et économiste Albert Hirschman : « exit » et « voice ». La première consiste à faire défection, mais elle nous engage à distinguer la simple fuite du retrait fertile. La seconde invite à donner de la voix, à dire « non », à affronter le système qui voudrait nous aliéner : à l’image de ces révoltes aux multiples formes qu’embrassent aujourd’hui certains de nos concitoyens face au déraillement de ce qu’ils estiment être de justes conditions d’existence. Reste que les options « exit » et « voice » ne s’excluent pas toujours l’une l’autre. Comme le montre notre débat entre l’« anarchiste conservateur » Jean-Claude Michéa et le philosophe et sinologue François Jullien, elles sont souvent prises dans une tension dialectique, imposant ainsi des stratégies obliques, qu’il s’agisse de se libérer en solitaire ou en solidaire. Note de contenu : Articles :
- Exit vs. Voice
Subir, quel mot bizarre ! Aucun nom ne correspond à ce verbe. Le subissement ? La subission ? Le subi ? Ce n’est vraiment pas beau. Cela révèle que quand on subit, on ne peut s’appuyer sur rien pour s’en sortir. Subir, ça s’éprouve, mais ça ne se définit, ça ne s’explique, ça ne se raconte même pas. C’est aussi un terme qui n’a pas de contraire. Prenez, par contraste, le verbe « pâtir ». Il a un substantif qui lui correspond, la passion – que l’on peut sanctifier et magnifier. Il a également un contraire : agir. Il suffit donc de passer de l’un à l’autre.
Par Michel Eltchaninoff
- Partir, c’est vivre un peu plus
Nous sommes nombreux à avoir envie de tout plaquer, comme l’ont fait nos trois témoins. Mais pour aller où ? Vers d’hypothétiques ailleurs ou pour trouver refuge loin du monde ? Guide de survie à l’usage de ceux qui souhaitent faire le grand écart.
Par Alexandre Lacroix
- Témoignage. “Mon mari avait une emprise totale sur moi”
Isabelle, 42 ans, deux enfants, critique d’art
Par Patrick Williams
- Témoignage. “J’ai parcouru la France sans argent”
Mathieu Lamour, 28 ansTravailleur itinérant
Par Patrick Williams
- Témoignage. “Nous ne voulions pas être des héritiers mais des fondateurs”
Dounia Tiprus, 38 ans, deux enfants, travaille dans le secteur immobilier
Par Patrick Williams
- Nicolas Go. “Le courage de la joie”
Marqué par les sagesses de l’Inde, le philosophe Nicolas Go a choisi de vivre en pleine campagne. D’où il s’attache à éprouver le sentiment d’exister, qui est, dit-il, l’expérience première.
Par Philippe Garnier
- Le temps de toutes les révoltes
L’époque n’est pas à la révolution, mais elle est marquée par une profusion de révoltes « hybrides ». Qu’ils défendent les SDF, arrachent des plants d’OGM ou organisent des manifestations sauvages, les nouveaux insurgés n’appartiennent à aucun parti. Mais ils expérimentent des luttes singulières sur des terrains qu’ils connaissent parfaitement. Enquête.
Par Martin Legros
- François Jullien, Jean-Claude Michéa. Solidaire et solitaire
L’un dénonce les excès du capitalisme et du libéralisme et appelle à renouer avec le socialisme des origines. Le second, spécialiste de la pensée chinoise, s’intéresse aux transformations silencieuses. Mais tous deux revendiquent la nécessité d’élaborer des stratégies obliques.
Par Alexandre Lacroix, Philippe Nassif
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 85 (décembre 2014 - janvier 2015)Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49313 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Comment en arrive-t-on à voter pour un parti raciste ? in Farde Articles 2003, (2003)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkComment devient-on un héros ? Comment devient-on bourreau ? in Philosophie magazine, 12 (septembre 2007)
PermalinkPermalinkComment les diasporas changent le monde / Xavier de la Véga in Sciences Humaines, 173 (juillet 2006)
Permalink157 - mars 2022 - Comment la droite s’est emparée des esprits (Bulletin de Philosophie magazine)
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