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Pour en finir avec l'extrême droite : le faux débat / Jérôme Jamin in Aide-Mémoire, 7 (octobre-décembre 1998)
[article] Pour en finir avec l'extrême droite : le faux débat : interdire ou non les partis d'extrême droite [texte imprimé] / Jérôme Jamin (1974-....) . - 1998 . - pp. 2 - 3.
Langues : Français (fre)
in Aide-Mémoire > 7 (octobre-décembre 1998) . - pp. 2 - 3
Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
32 Politique
321.7 Démocratie / Démocratisation
329.18 Tendance d'extrême droite
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénalePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Pour en finir avec l'extrême droite : le faux débat : interdire ou non les partis d'extrême droite Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Jamin (1974-....) Année de publication : 1998 Article en page(s) : pp. 2 - 3 Langues : Français (fre) Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
32 Politique
321.7 Démocratie / Démocratisation
329.18 Tendance d'extrême droite
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénalePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Aide-Mémoire > 7 (octobre-décembre 1998) . - pp. 2 - 3Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11017/1 P/1475 Périodique Réserve Périodiques Exclu du prêt 11017/2 P/1476 Périodique Réserve Périodiques Exclu du prêt Pour en finir avec le Front National / Alain Bihr in Celsius, 56 (février-mars 1993)
[article] Pour en finir avec le Front National [texte imprimé] / Alain Bihr (1950-....) . - 0000 . - pp. 3 - 8.
Langues : Français (fre)
in Celsius > 56 (février-mars 1993) . - pp. 3 - 8
Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Pour en finir avec le Front National Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bihr (1950-....) Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 3 - 8 Langues : Français (fre) Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Celsius > 56 (février-mars 1993) . - pp. 3 - 8Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 525/1 P/58 Périodique Libre-accès Périodiques Exclu du prêt 525/2 P/59 Périodique Libre-accès Périodiques Exclu du prêt Pour en finir avec le front national / Alain Bihr
Pour en finir avec le front national [texte imprimé] / Alain Bihr (1950-....) . - Paris : Syros, 1992 . - p. 284. - (pour débattre) .
ISBN : 978-2-86738-853-8
Langues : Français (fre)
Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
316 Sociologie
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)Index. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Note de lecture du site RéflexeS (http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article306)
Pour en finir avec le Front national
Le Front national serait, selon A. Bihr « le révélateur et le catalyseur de quelques-unes des fractures [...] majeures de la société française ». C’est pourquoi, « penser le FN, c’est [...] dépasser le stade d’une dénonciation qui relève de l’exorcisme. C’est comprendre que le nécessaire combat politique contre lui nous confronte à une tâche d’une tout autre ampleur : refonder un mouvement social émancipateur, capable de faire face aux différentes crises structurelles qui secouent la société française ; réinventer une alternative politique globale qui soit à la hauteur des défis majeurs, écologique, socio-économique, institutionnel, symbolique de notre époque. » Vaste programme ! Pour atteindre cet objectif, l’auteur décompose son livre en trois parties.
La première est consacrée à l’étude de la base sociale du FN. L’auteur démontre l’existence de deux électorats lepénistes. D’un côté, on retrouve des membres des classes moyennes traditionnelles (commerçants, artisans, agriculteurs) ; de l’autre, des salariés provenant du prolétariat (ouvriers, personnel de service et employés) et de l’encadrement (cadres moyens et employés). Mais ces classes moyennes sont surreprésentées, au contraire des classes salariées. Politiquement, cela traduit une radicalisation à droite de ces classes moyennes, en continuité avec leurs positions politiques, alors que les classes salariées proviennent de la droite mais aussi de la gauche, ce qui occasionne, pour certaines, une rupture avec leur univers politique. En effet, « c’est [...] une part significative de l’ensemble des classes moyennes traditionnelles que le FN est parvenu à mobiliser derrière lui, en profitant du vide créé par la rupture de leur ancienne alliance hégémonique [1] avec la classe dominante. » Mais la montée du FN est aussi liée à la crise du mouvement ouvrier, surtout due à la remise en cause du mode d’exploitation fordiste, mais aussi à l’évolution de la « gauche » durant la décennie écoulée ; c’est pourquoi les idéaux traditionnellement rattachés à la « gauche » (solidarité, égalité, justice sociale) se sont vus totalement discrédités.
Dans la deuxième partie, l’auteur analyse le ciment idéologique et s’intéresse en premier lieu à la crise de l’État-nation. La mise en place de nouvelles formes d’exploitation de la force de travail - instauration de la société duale - , n’a pas uniquement des conséquences au niveau national, mais aussi au niveau international : elle met à mal les rapports internationaux qui présidaient jusqu’alors. En effet, pendant la période fordienne (les Trente Glorieuses), l’État avait une fonction de planification de l’accumulation, c’est-à-dire qu’il tentait d’assurer la cohérence et l’autosuffisance de l’appareil productif. « Cette planification reposait sur la concertation entre l’État et les principaux monopoles industriels et bancaires d’une part, sur l’institutionnalisation du dialogue social d’autre part. » Ce processus impose le passage d’une économie mondiale internationale à une économie mondiale transnationale : « D’une part, la concertation entre État et monopoles n’est plus possible dès lors qu’une part croissante de l’appareil productif national est entre les mains de groupes étrangers sur lesquels l’État n’a que peu de moyen de pression et que, en se multinationalisant, les monopoles nationaux abandonnent toute stratégie purement nationale. D’autre part, avec la transnationalisation du capital, des fractions de la classe dominante [...] ont de moins en moins d’intérêts proprement nationaux, ce qui rend parfaitement inutile à leurs yeux la recherche d’un compromis avec les autres classes nationales autour d’un développement autocentré. » Les conséquences politiques et sociales sont loin d’être négligeables. D’un côté, l’État est de plus en plus libéral envers le capital, aidant au renforcement de l’exploitation de la force de travail (précarisation, remise en cause d’acquis sociaux) ; de l’autre, il devient de plus en plus autoritaire à l’égard des victimes de l’exploitation et de l’exclusion, renforçant un arsenal de plus en plus répressif. En deuxième lieu, A. Bihr s’intéresse à la crise culturelle, ou crise du sens, qui secoue en particulier la société française, mais aussi l’ensemble des sociétés contemporaines. « Par crise du sens, j’entends l’incapacité, propre aux sociétés contemporaines, d’élaborer et de proposer à leurs membres un système de références (idées, normes, valeurs) qui leur permettrait de donner un sens stable et cohérent à leur existence : de construire leur identité, de communiquer avec les autres, de participer à la production du monde, en le rendant subjectivement vivable et habitable. » En effet, « en soumettant l’ensemble des rapports sociaux à une série d’abstractions (l’argent, le droit et la loi, l’État, la communication de masse, la rationalité instrumentale), ces fétichismes ont progressivement installé les sujets sociaux (individus, groupes, classes, nations) dans une dépossession permanente de leurs actes, en faisant apparaître la société comme une machinerie dépourvue de sens. » Ainsi, le « chacun pour soi », le « système D » prennent le pas sur les dimensions collectives. Pour renforcer son audience et rendre durable son influence en s’appuyant sur cette crise de sens renforcée par la crise économique, le Front national a entrepris un travail idéologique fondé sur quatre thèmes : le ressentiment, l’insécurité, la décadence et le néo-racisme (racisme différencialiste théorisé par A. de Besnoit). En fait, la force du FN tient essentiellement à sa capacité à construire « un imaginaire politique : faire rêver son auditoire, lui faire croire qu’avec lui tout (re)devient possible, que les lendemains chanteront de nouveau ». Dans la troisième partie de son ouvrage, A. Bihr nous propose les perspectives politiques pour en finir avec le FN. D’emblée, l’auteur écarte l’hypothèse d’une réponse fasciste - rappelant les années 1930 - à la crise actuelle. Plusieurs raisons militent en ce sens : • « La classe dominante n’a, pour l’instant, nul besoin d’instaurer une forme quelconque de régime d’exception ». Le mouvement ouvrier est dans un tel état de faiblesse, qu’elle n’a pas de crainte de ce côté. • « La crise du vieux bloc hégémonique [...] a rapidement trouvé sa solution dans l’esquisse d’un nouveau bloc hégémonique dont le PS [...] s’est fait le chef d’orchestre [...] ».
• Le processus de transnationalisation a engendré l’éclatement de l’ancien bloc hégémonique, « en provoquant du même coup la radicalisation et l’autonomisation politiques d’une partie des classes moyennes ». En outre, A. Bihr remarque qu’on ne peut calquer les organisations fascistes sévissant dans les années 1930 en Allemagne et en Italie [2]. Si la crise ne devient pas catastrophique, contraignant les bourgeoisies à recourir à un régime d’exception, le FN se cantonnera dans le rôle d’un « pouvoir de fait » [3], mais dont l’influence est loin d’être négligeable, bien au contraire.
Bihr tente d’analyser les raisons qui sont, jusqu’à présent, la cause de l’échec de la lutte contre le FN et en particulier la faiblesse des opposants (les organisations politiques de droite comme de gauche ont repris plusieurs thèmes prônés par l’extrême droite : racisme, insécurité, etc. Mais il y a aussi la méconnaissance du phénomène frontiste, les luttes qui se sont souvent limitées à la défense du système politique institutionnel en place et la faiblesse d’un rempart éthique fondé sur des principes intangibles). Pour lutter contre le FN, l’auteur avance quelques pistes. Tout d’abord, il faut faire face à la crise du mouvement ouvrier, et ce, d’un côté, par des actions défensives, comme « la dénonciation du programme économique et social du FN » mais aussi par la lutte contre l’exclusion économique et sociale. C’est ainsi qu’il faut tenter de redévelopper la convivialité et la solidarité de classe en brisant les barrières raciales, sexistes, etc. Ensuite, par des propositions offensives : réduction du temps de travail, sur le thème « travailler tous, travailler moins, travailler autrement » ; relancer les luttes pour un Revenu social garanti. En outre, le mouvement ouvrier doit faire en sorte de « casser le front de la réaction, c’est-à-dire empêcher l’ensemble des classes moyennes traditionnelles de faire corps derrière le FN. » Selon l’auteur, il importe de répondre aussi à la crise de la démocratie que nous connaissons - la démocratie devenant de plus en plus autoritaire - et ce, en poussant jusqu’au bout les principes démocratiques : par exemple, en instaurant le référendum d’initiative populaire, en déprofessionnalisant la vie politique, en introduisant la proportionnelle, en redynamisant l’action municipale et locale, en introduisant la démocratie dans l’entreprise, les médias, etc. mais aussi en développant les contre-pouvoirs en vue d’impulser des alternatives. Cela suppose de mettre le FN hors jeu démocratique. Pour faire face à « la crise du sens », l’auteur propose de « créer les conditions qui permettent à chacun selon sa situation et ses choix, de se construire une image cohérente du monde, des autres et de lui-même, de manière à rendre l’existence subjectivement vivable et même désirable [...]. Il s’agirait de réaffirmer l’utopie d’une humanité réconciliée avec la nature et avec elle-même, sans pour autant ni fétichiser la nature ni prôner on ne sait quelle uniformité totalitaire. » En ce qui concerne la crise de l’État-nation, nous avons publié dans le dossier citoyenneté (voir REFLEXes n°38) l’ensemble de ce sous-chapitre, il n’est donc pas utile d’y revenir.
Force est donc de constater que l’ouvrage d’A. Bihr est un outil précieux pour qui veut lutter contre la montée du FN en particulier, et contre les idéologies autoritaires et sécuritaires en général. Il est intéressant que l’auteur articule connaissances, luttes défensives et perspectives. Mais c’est à propos de ce dernier aspect que nous formulerons quelques critiques. Nous avons montré dans le dossier citoyenneté (REFLEXes n°38) que certains fondements de la philosophie politique d’A. Bihr reposaient sur une conception évolutionniste de l’Histoire (par exemple, sa volonté de « parachever l’État démocratique ») qui relève d’options dans lesquelles nous ne pouvons nous retrouver. L’idée de rupture, d’alternative révolutionnaire que nous défendons, suppose de rompre avec tout le carcan de l’organisation institutionnelle du pouvoir politique (gouvernement, parlement, etc.) ; ainsi, on ne peut avoir comme objectif, par exemple, de vouloir parachever l’État démocratique comme le propose l’auteur. L’expérience des luttes de l’immigration est à ce sujet suffisamment éloquente, tant par leurs échecs que par les effets qu’ont engendrés ces stratégies au sein des mouvements. On ne révolutionne pas une société par étapes, en lui faisant subir jusqu’au bout un processus correspondant à une étape donnée. Au contraire, il importe d’instaurer délibérément des ruptures, et ce en fonction de finalités non pas déterminées par un « absolu » historique, mais bien selon des utopies élaborées par des individus agissants, en vue d’autres organisations sociales qu’ils tentent d’inventer dans les mouvements politiques, sociaux, culturels auxquels ils participent ; en créant des espaces politiques, sociaux et culturels (autrement dit des pôles, cf. « Pour une citoyenneté active », dossier citoyenneté REFLEXesn°38), lieux de confrontations, d’échanges, d’apports réciproques et de convivialité. JC Pour en finir avec le Front national, Alain Bihr, Éditions Syros, 1992. 110 Frs.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Pour en finir avec le front national Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bihr (1950-....) Editeur : Paris : Syros Année de publication : 1992 Collection : pour débattre Importance : p. 284 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86738-853-8 Langues : Français (fre) Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
316 Sociologie
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)Index. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Note de lecture du site RéflexeS (http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article306)
Pour en finir avec le Front national
Le Front national serait, selon A. Bihr « le révélateur et le catalyseur de quelques-unes des fractures [...] majeures de la société française ». C’est pourquoi, « penser le FN, c’est [...] dépasser le stade d’une dénonciation qui relève de l’exorcisme. C’est comprendre que le nécessaire combat politique contre lui nous confronte à une tâche d’une tout autre ampleur : refonder un mouvement social émancipateur, capable de faire face aux différentes crises structurelles qui secouent la société française ; réinventer une alternative politique globale qui soit à la hauteur des défis majeurs, écologique, socio-économique, institutionnel, symbolique de notre époque. » Vaste programme ! Pour atteindre cet objectif, l’auteur décompose son livre en trois parties.
La première est consacrée à l’étude de la base sociale du FN. L’auteur démontre l’existence de deux électorats lepénistes. D’un côté, on retrouve des membres des classes moyennes traditionnelles (commerçants, artisans, agriculteurs) ; de l’autre, des salariés provenant du prolétariat (ouvriers, personnel de service et employés) et de l’encadrement (cadres moyens et employés). Mais ces classes moyennes sont surreprésentées, au contraire des classes salariées. Politiquement, cela traduit une radicalisation à droite de ces classes moyennes, en continuité avec leurs positions politiques, alors que les classes salariées proviennent de la droite mais aussi de la gauche, ce qui occasionne, pour certaines, une rupture avec leur univers politique. En effet, « c’est [...] une part significative de l’ensemble des classes moyennes traditionnelles que le FN est parvenu à mobiliser derrière lui, en profitant du vide créé par la rupture de leur ancienne alliance hégémonique [1] avec la classe dominante. » Mais la montée du FN est aussi liée à la crise du mouvement ouvrier, surtout due à la remise en cause du mode d’exploitation fordiste, mais aussi à l’évolution de la « gauche » durant la décennie écoulée ; c’est pourquoi les idéaux traditionnellement rattachés à la « gauche » (solidarité, égalité, justice sociale) se sont vus totalement discrédités.
Dans la deuxième partie, l’auteur analyse le ciment idéologique et s’intéresse en premier lieu à la crise de l’État-nation. La mise en place de nouvelles formes d’exploitation de la force de travail - instauration de la société duale - , n’a pas uniquement des conséquences au niveau national, mais aussi au niveau international : elle met à mal les rapports internationaux qui présidaient jusqu’alors. En effet, pendant la période fordienne (les Trente Glorieuses), l’État avait une fonction de planification de l’accumulation, c’est-à-dire qu’il tentait d’assurer la cohérence et l’autosuffisance de l’appareil productif. « Cette planification reposait sur la concertation entre l’État et les principaux monopoles industriels et bancaires d’une part, sur l’institutionnalisation du dialogue social d’autre part. » Ce processus impose le passage d’une économie mondiale internationale à une économie mondiale transnationale : « D’une part, la concertation entre État et monopoles n’est plus possible dès lors qu’une part croissante de l’appareil productif national est entre les mains de groupes étrangers sur lesquels l’État n’a que peu de moyen de pression et que, en se multinationalisant, les monopoles nationaux abandonnent toute stratégie purement nationale. D’autre part, avec la transnationalisation du capital, des fractions de la classe dominante [...] ont de moins en moins d’intérêts proprement nationaux, ce qui rend parfaitement inutile à leurs yeux la recherche d’un compromis avec les autres classes nationales autour d’un développement autocentré. » Les conséquences politiques et sociales sont loin d’être négligeables. D’un côté, l’État est de plus en plus libéral envers le capital, aidant au renforcement de l’exploitation de la force de travail (précarisation, remise en cause d’acquis sociaux) ; de l’autre, il devient de plus en plus autoritaire à l’égard des victimes de l’exploitation et de l’exclusion, renforçant un arsenal de plus en plus répressif. En deuxième lieu, A. Bihr s’intéresse à la crise culturelle, ou crise du sens, qui secoue en particulier la société française, mais aussi l’ensemble des sociétés contemporaines. « Par crise du sens, j’entends l’incapacité, propre aux sociétés contemporaines, d’élaborer et de proposer à leurs membres un système de références (idées, normes, valeurs) qui leur permettrait de donner un sens stable et cohérent à leur existence : de construire leur identité, de communiquer avec les autres, de participer à la production du monde, en le rendant subjectivement vivable et habitable. » En effet, « en soumettant l’ensemble des rapports sociaux à une série d’abstractions (l’argent, le droit et la loi, l’État, la communication de masse, la rationalité instrumentale), ces fétichismes ont progressivement installé les sujets sociaux (individus, groupes, classes, nations) dans une dépossession permanente de leurs actes, en faisant apparaître la société comme une machinerie dépourvue de sens. » Ainsi, le « chacun pour soi », le « système D » prennent le pas sur les dimensions collectives. Pour renforcer son audience et rendre durable son influence en s’appuyant sur cette crise de sens renforcée par la crise économique, le Front national a entrepris un travail idéologique fondé sur quatre thèmes : le ressentiment, l’insécurité, la décadence et le néo-racisme (racisme différencialiste théorisé par A. de Besnoit). En fait, la force du FN tient essentiellement à sa capacité à construire « un imaginaire politique : faire rêver son auditoire, lui faire croire qu’avec lui tout (re)devient possible, que les lendemains chanteront de nouveau ». Dans la troisième partie de son ouvrage, A. Bihr nous propose les perspectives politiques pour en finir avec le FN. D’emblée, l’auteur écarte l’hypothèse d’une réponse fasciste - rappelant les années 1930 - à la crise actuelle. Plusieurs raisons militent en ce sens : • « La classe dominante n’a, pour l’instant, nul besoin d’instaurer une forme quelconque de régime d’exception ». Le mouvement ouvrier est dans un tel état de faiblesse, qu’elle n’a pas de crainte de ce côté. • « La crise du vieux bloc hégémonique [...] a rapidement trouvé sa solution dans l’esquisse d’un nouveau bloc hégémonique dont le PS [...] s’est fait le chef d’orchestre [...] ».
• Le processus de transnationalisation a engendré l’éclatement de l’ancien bloc hégémonique, « en provoquant du même coup la radicalisation et l’autonomisation politiques d’une partie des classes moyennes ». En outre, A. Bihr remarque qu’on ne peut calquer les organisations fascistes sévissant dans les années 1930 en Allemagne et en Italie [2]. Si la crise ne devient pas catastrophique, contraignant les bourgeoisies à recourir à un régime d’exception, le FN se cantonnera dans le rôle d’un « pouvoir de fait » [3], mais dont l’influence est loin d’être négligeable, bien au contraire.
Bihr tente d’analyser les raisons qui sont, jusqu’à présent, la cause de l’échec de la lutte contre le FN et en particulier la faiblesse des opposants (les organisations politiques de droite comme de gauche ont repris plusieurs thèmes prônés par l’extrême droite : racisme, insécurité, etc. Mais il y a aussi la méconnaissance du phénomène frontiste, les luttes qui se sont souvent limitées à la défense du système politique institutionnel en place et la faiblesse d’un rempart éthique fondé sur des principes intangibles). Pour lutter contre le FN, l’auteur avance quelques pistes. Tout d’abord, il faut faire face à la crise du mouvement ouvrier, et ce, d’un côté, par des actions défensives, comme « la dénonciation du programme économique et social du FN » mais aussi par la lutte contre l’exclusion économique et sociale. C’est ainsi qu’il faut tenter de redévelopper la convivialité et la solidarité de classe en brisant les barrières raciales, sexistes, etc. Ensuite, par des propositions offensives : réduction du temps de travail, sur le thème « travailler tous, travailler moins, travailler autrement » ; relancer les luttes pour un Revenu social garanti. En outre, le mouvement ouvrier doit faire en sorte de « casser le front de la réaction, c’est-à-dire empêcher l’ensemble des classes moyennes traditionnelles de faire corps derrière le FN. » Selon l’auteur, il importe de répondre aussi à la crise de la démocratie que nous connaissons - la démocratie devenant de plus en plus autoritaire - et ce, en poussant jusqu’au bout les principes démocratiques : par exemple, en instaurant le référendum d’initiative populaire, en déprofessionnalisant la vie politique, en introduisant la proportionnelle, en redynamisant l’action municipale et locale, en introduisant la démocratie dans l’entreprise, les médias, etc. mais aussi en développant les contre-pouvoirs en vue d’impulser des alternatives. Cela suppose de mettre le FN hors jeu démocratique. Pour faire face à « la crise du sens », l’auteur propose de « créer les conditions qui permettent à chacun selon sa situation et ses choix, de se construire une image cohérente du monde, des autres et de lui-même, de manière à rendre l’existence subjectivement vivable et même désirable [...]. Il s’agirait de réaffirmer l’utopie d’une humanité réconciliée avec la nature et avec elle-même, sans pour autant ni fétichiser la nature ni prôner on ne sait quelle uniformité totalitaire. » En ce qui concerne la crise de l’État-nation, nous avons publié dans le dossier citoyenneté (voir REFLEXes n°38) l’ensemble de ce sous-chapitre, il n’est donc pas utile d’y revenir.
Force est donc de constater que l’ouvrage d’A. Bihr est un outil précieux pour qui veut lutter contre la montée du FN en particulier, et contre les idéologies autoritaires et sécuritaires en général. Il est intéressant que l’auteur articule connaissances, luttes défensives et perspectives. Mais c’est à propos de ce dernier aspect que nous formulerons quelques critiques. Nous avons montré dans le dossier citoyenneté (REFLEXes n°38) que certains fondements de la philosophie politique d’A. Bihr reposaient sur une conception évolutionniste de l’Histoire (par exemple, sa volonté de « parachever l’État démocratique ») qui relève d’options dans lesquelles nous ne pouvons nous retrouver. L’idée de rupture, d’alternative révolutionnaire que nous défendons, suppose de rompre avec tout le carcan de l’organisation institutionnelle du pouvoir politique (gouvernement, parlement, etc.) ; ainsi, on ne peut avoir comme objectif, par exemple, de vouloir parachever l’État démocratique comme le propose l’auteur. L’expérience des luttes de l’immigration est à ce sujet suffisamment éloquente, tant par leurs échecs que par les effets qu’ont engendrés ces stratégies au sein des mouvements. On ne révolutionne pas une société par étapes, en lui faisant subir jusqu’au bout un processus correspondant à une étape donnée. Au contraire, il importe d’instaurer délibérément des ruptures, et ce en fonction de finalités non pas déterminées par un « absolu » historique, mais bien selon des utopies élaborées par des individus agissants, en vue d’autres organisations sociales qu’ils tentent d’inventer dans les mouvements politiques, sociaux, culturels auxquels ils participent ; en créant des espaces politiques, sociaux et culturels (autrement dit des pôles, cf. « Pour une citoyenneté active », dossier citoyenneté REFLEXesn°38), lieux de confrontations, d’échanges, d’apports réciproques et de convivialité. JC Pour en finir avec le Front national, Alain Bihr, Éditions Syros, 1992. 110 Frs.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2489/1 329.18/BIH Livre Libre-accès Adultes Disponible Pour en finir avec le parti unique / Claude Demelenne in RésistanceS, 5 (hiver 1998-1999)
[article] Pour en finir avec le parti unique : parti unique, pensée unique, le capitalisme, droite de la gauche et gauche de la droite. Dossier démocratie en Belgique [texte imprimé] / Claude Demelenne . - 0000 . - pp. 25 - 26.
Langues : Français (fre)
in RésistanceS > 5 (hiver 1998-1999) . - pp. 25 - 26
Catégories : (493) Belgique
32(493) Politique de la Belgique
321.7 Démocratie / Démocratisation
330.82 Libéralisme - CapitalismePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Pour en finir avec le parti unique : parti unique, pensée unique, le capitalisme, droite de la gauche et gauche de la droite. Dossier démocratie en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Demelenne Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 25 - 26 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
32(493) Politique de la Belgique
321.7 Démocratie / Démocratisation
330.82 Libéralisme - CapitalismePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in RésistanceS > 5 (hiver 1998-1999) . - pp. 25 - 26Réservation
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Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10869/1 P/1452 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 10869/2 P/1453 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 10869/3 P/1454 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible
Pour en finir avec la question juive [texte imprimé] / Jean-Claude Grumberg, Auteur . - Arles : Actes Sud, 2013 . - 1 vol. (79 p.) ; 19 cm. - (Un Endroit où aller, ISSN 1264-3998; 246) .
ISBN : 978-2-330-02350-8
Langues : Français (fre)
Catégories : 171:323.12 Antiracisme / Antisexisme / Antidiscrimination / Egalité des Chances
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
323.118(=924) Antisémitisme
82-2 Théatre (littérature de)
82-83 DialoguesIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : 4e de couverture
Afin d'être aussi complet que possible, je signale - à ceux que la question continuerait à tarauder après lecture de ce présent ouvrage - qu'un professeur émérite d'Harvard a répertorié à ce jour 8612 façons de se dire juif. Ne se reconnaissant dans aucune, il a déclaré à la presse qu'il poursuivait ses recherches. Je m'associe modestement, mais de tout mon coeur, à sa quête.Note de contenu : Éditeur
Neuf impromptus truculents et hilarants entre deux voisins qui se croisent dans la cage d’escalier de leur immeuble, quand chaque rencontre est l’opportunité pour l’un de questionner l’autre sur ses origines juives. Où comment en finir avec l'obstination des idées reçues sur la question.
http://salon-litteraire.linternaute.com/fr/actes-sud/review/1852781-pour-en-finir-avec-la-question-juive-pas-cette-fois
Et certainement pas de cette manière-là. Voilà un petit livre inutile qui rend nerveux plus qu’il ne répond aux questions qu’il soulève. Un petit livre inutile qui fait se demander à quoi joue l’éditeur. Un acte raté qui souligne la perte de sens et rappelle que de son vivant Hubert Nyssen ne l’aurait pas laissé passer… D’ailleurs, tant l’œuvre que le talent de Jean-Claude Grumberg soulèvent aussi la question phare, en guise de clin d’œil : mais qu’est-il allé faire dans cette galère ?En ligne : http://www.theatrelepublic.be/play_details.php?play_id=439&type=8 Format de la ressource électronique : Adaptation lecture spectacle - Théâtre Le Public - Itsik Elbaz et Frederik Haùgness Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Pour en finir avec la question juive Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Grumberg, Auteur Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : 2013 Collection : Un Endroit où aller, ISSN 1264-3998 num. 246 Importance : 1 vol. (79 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-02350-8 Langues : Français (fre) Catégories : 171:323.12 Antiracisme / Antisexisme / Antidiscrimination / Egalité des Chances
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
323.118(=924) Antisémitisme
82-2 Théatre (littérature de)
82-83 DialoguesIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : 4e de couverture
Afin d'être aussi complet que possible, je signale - à ceux que la question continuerait à tarauder après lecture de ce présent ouvrage - qu'un professeur émérite d'Harvard a répertorié à ce jour 8612 façons de se dire juif. Ne se reconnaissant dans aucune, il a déclaré à la presse qu'il poursuivait ses recherches. Je m'associe modestement, mais de tout mon coeur, à sa quête.Note de contenu : Éditeur
Neuf impromptus truculents et hilarants entre deux voisins qui se croisent dans la cage d’escalier de leur immeuble, quand chaque rencontre est l’opportunité pour l’un de questionner l’autre sur ses origines juives. Où comment en finir avec l'obstination des idées reçues sur la question.
http://salon-litteraire.linternaute.com/fr/actes-sud/review/1852781-pour-en-finir-avec-la-question-juive-pas-cette-fois
Et certainement pas de cette manière-là. Voilà un petit livre inutile qui rend nerveux plus qu’il ne répond aux questions qu’il soulève. Un petit livre inutile qui fait se demander à quoi joue l’éditeur. Un acte raté qui souligne la perte de sens et rappelle que de son vivant Hubert Nyssen ne l’aurait pas laissé passer… D’ailleurs, tant l’œuvre que le talent de Jean-Claude Grumberg soulèvent aussi la question phare, en guise de clin d’œil : mais qu’est-il allé faire dans cette galère ?En ligne : http://www.theatrelepublic.be/play_details.php?play_id=439&type=8 Format de la ressource électronique : Adaptation lecture spectacle - Théâtre Le Public - Itsik Elbaz et Frederik Haùgness Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50421 82/GRU Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Adaptation: lecture spectacle - Théâtre Le Public - Itsik Elbaz et Frederik HaùgnessURL Pour Frantz Fanon in Les Temps Modernes, 635-636 (novembre 2005-janvier 2006)
PermalinkPour un Front du Refus / JEAN-PIERRE COLLIGNON in Farde Articles 1999, (1999)
PermalinkPour un front social anticapitaliste in No Pasaran !, 10-11 (juin-août 2002)
Permalink101 - septembre 2017 - Pour une gauche médicale (Bulletin de Politique)
PermalinkPour une gauche médicale / THIERRY POUCET in Politique, 101 (septembre 2017)
PermalinkPour un Hehel (anti)colonial / Daniel James in Philosophie magazine, 176 (février 2024)
PermalinkPour une histoire critique de la colonisation. Pour un travail de mémoire / CLAUDE LIAUZU in Hommes & Migrations, 1231 (mai-juin 2001)
PermalinkPour l'honneur des démocrates in Farde Articles 2001, (2001)
PermalinkPour l'humanité et contre le néolibéralisme in Alternative Libertaire, 226 (mars 2000)
PermalinkPour l'indépendance de Bruxelles et de la Wallonie et pour l'abolition de l'état supranational "union" européenne in Libre, 119 (janvier-mars 2002)
PermalinkPour une ingérence respectueuse / Sandrine Tolotti in Alternatives internationales Hors-série, 2 (novembre 2004)
PermalinkPour une inscription constitutionnelle de la mémoire d'Auschwitz dans l'Allemagne réunifiée in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 25-26 (octobre-décembre 1990)
PermalinkPour l'insolence et le blasphème / LIGUE POUR L'ABOLITION DES LOIS RÉPRIMANT LE BLASPHÈME ET LE DROIT DE S'EXPRIMER LIBREMENT (LABEL) in Politique, 13 (octobre-novembre 1999)
PermalinkPour l'interdiction des partis d'extrême droite in Libre, 119 (janvier-mars 2002)
PermalinkPermalinkPour des jeunes acteurs de la démocratie + Gare à la mystification des beaux principes + Un petit bout d’universel / Emmanuel Massart in Politique, 62 (décembre 2009)
PermalinkPour une justcie aveugle / Anne Morelli in Osmoses, 14 (janvier-mars 2000)
PermalinkPermalinkpour la Liberté. S'en fout l'humanité in No Pasaran !, 42 (décembre 1996)
PermalinkPour M. Le Pen, "l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine" / Christiane Chombeau in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkPour une manifestation libertaire, unitaire et non-violente / Xavier Bekaert in Alternative Libertaire, 9 (décembre 2001 (245))
PermalinkPour les médias, un homme à abattre / Steve Rendall in Le Monde Diplomatique, 709 (Avril 2014)
PermalinkPour le meilleur ou pour le pire ? in Manière de voir, 46 (juillet-août 1999)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPour mieux accueillir les "Mena" in Farde Articles 2004, (2004)
PermalinkPour un millénaire sans fachos (et sans antifachos ?) / Serge Quadruppani in No Pasaran !, 64 (février 1999)
PermalinkPour Mimoun / Henri Goldman in MRAX info, 130 (novembre 2001)
PermalinkPour un monde sans discrimination disons " stop à l'exclusion"! "
PermalinkPermalinkPour un multiculturalisme tempéré / JOEL ROMAN in Hommes & Migrations, 1197 (Avril 1996)
PermalinkPour un municipalisme libertaire / Murray Bookchin
PermalinkPour les musulmans / Edwy Plenel
PermalinkPour nos enfants, votez prudemment / GEOFFROY SIMONART in Le Matin, 364 (Supplément 07/06/99)
PermalinkPermalinkPour une nouvelle gauche in Politique, 9-10 (février-mars 1999)
PermalinkPour ou contre l'"adoption homosexuelle" ? / Jean-Louis Renchon in Farde Articles 2005, 2 (2005)
PermalinkPour ou contre l'immigration contrôlée ? / DOMINIQUE WEERTS in Farde Articles 2003, (2003)
PermalinkPour ou contre la loi relative à l'adoption par les couples de même sexe / HENRI HORNY in Tels Quels Magazine, 242 (mars 206)
PermalinkPour ou contre la Mondialisation in Sciences Humaines, HS 39 (décembre 2002 - février 2003)
PermalinkPour une paix à l'irlandaise au Kosovo / TOMMASO DI FRANCESCO in Le Monde Diplomatique, 536 (novembre 1998)
PermalinkPour une philosophie de l'opinion et de la citoyenneté / HENRI WIBAULT
PermalinkPour la photo d'un père / Pascale Gruber in Le Vif / L'Express, 2404 ([27/01/2006])
PermalinkPour une politique laïque de la famille / Christian Laporte in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkPour une politique migratoire de gauche / François Gemenne in Agir par la culture, 57 (Printemps 2019)
PermalinkPour une politique tenable de l'immigration / Henri Goldman in Politique, 0 (février-mars 1997)
PermalinkPOUR / POUR
PermalinkPour un printemps décolonial / Eric Walravens in Politique, 98-99 (mars 2017)
PermalinkPour un PSC de reconquête / Claude Demelenne in Politique, 15 (février-mars 2000)
PermalinkPour qu'enfin, on définisse une réelle politique d'accueil / JEAN-MICHEL HEUSKIN in Osmoses, 27 (avril-juin 2003)
PermalinkPour que cesse la traque des cohabitants / CORINE BARELLA in La Chronique de la Ligue des droits de l'Homme, 83 (mai-juillet 2000)
PermalinkPour que l'écho résonne longtemps / JEAN-LOUIS DEBATTY in Farde Articles 1999, (1999)
PermalinkPour que les "nouveaux belges" puissent voter / Jean Cornil in Farde Articles 2000, (2000)
PermalinkPour que vive l'Europe / Yves Salesse in Le Monde Diplomatique, 570 (septembre 2001)
PermalinkPour les Québécois, un pays à portée de la main / Bernard Cassen in Le Monde Diplomatique, 514 (Janvier 1997)
PermalinkPour qui, pour quoi êtes-vous prêt à donner votre vie aujourd’hui ? in Le Vif / L'Express, 6 ([07/02/2014])
PermalinkPour qui sonne le glas / Ernest Hemingway
Permalinkpour des raisons politiques, on a libéré la parole antisémite / Carol Iancu in Farde Articles 2004, (2004)
PermalinkPour une reconnaissance mutuelle / THIERRY DETIENNE in L'Observatoire, 38 (mars-mai 2003)
PermalinkPour les régionales, le FN redécouvre le social in No Pasaran !, 24 (novembre 2003)
PermalinkPour une régularisation "structurelle" / Martine Vandemeulebroucke in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkPour la république, la démcratie et la laïcité / David Gozlan in La Raison, 610 (Avril 2016)
PermalinkPour Résister
PermalinkPour le respect de la dignité humaine et contre l'arbitraire bureaucratique / DJAMAL ZAHAF in MRAX info, 95 (septembre 1997)
PermalinkPour le respect de l'identité nationale in Libre, 119 (janvier-mars 2002)
PermalinkPour le respect mutuel - lexique / Centre Interfédéral pour l'Egalité des Chances et la Lutte Contre le Racisme (CECLCR)
PermalinkPour une riposte antifasciste in No Pasaran !, 56 (février 2007)
PermalinkPour le ROi et la patrie / MARIE-PIERRE VERHAEGEN in Bulletin du Cegesoma (30-50), 35 (hiver 2000-2001)
PermalinkPour le Roi et la Patrie / Marie-Pierre d' Udekem d'Acoz
PermalinkPour le Roi et la Patrie, la noblesse entra en Résistance / Christian Laporte in Farde Articles 2003, (2003)
PermalinkPour s'opposer à la banalisation de l'insoutenable in C4, 84-85 (mai-juin 2001)
PermalinkPour les sans-papiers : amplifier la lutte ? in No Pasaran !, 64 (février 1999)
Permalink« Pour sauver les communs, il faut qu'on s'entende sur les faits » / Dominique Bourg in Les Grands Dossiers des Sciences Humaines, 74 (mars-avril-mai 2024)
PermalinkPour un savoir engagé / Pierre Bourdieu in Le Monde Diplomatique, 575 (février 2002)
PermalinkPour un savoir engagé / Pierre Bourdieu in Manière de voir, 66 (novembre-décembre 2002)
PermalinkPour en savoir plus... in Nouvelle tribune, 33 (juin-août 2003)
PermalinkPermalinkPour un socle de gauche Ecolo-PS / HENRI SIMONS in Politique, 7 (juin-juillet 1998)
PermalinkPermalinkPour sortir de l'impasse au Venezuela / Temir Porras Ponceleón in Le Monde Diplomatique, 776 (novembre 2018)
PermalinkPour le suffrage des immigrés, un long chemin... in MRAX info, 92 (Mai 1997)
PermalinkPour un système responsable / Alain Destexhe in Politique, 29 (mai 2003)
Permalinkun pour tous, tous pour un : cette bd peut vous sauver la vie = een voor allen, allen voor een : deze strip kan uw leven redden / FGTB - ABVV
PermalinkPour uen autre mondialisation / ARNAUD LISMOND in Bruxelles Tous Ensemble, 3 (novembre 2002)
PermalinkPour uen égale qualité de vie / PHILIPPE DEFEYT in Politique, 29 (mai 2003)
Permalinkpour l'union libre / XAVIER TRACOL in Alternative Libertaire, 215 (mars 1999)
PermalinkPour voter, les citoyens de l'Union Européenne doivent s'inscrire sur la liste des électeurs avant le 1er août in Osmoses, 14 (janvier-mars 2000)
PermalinkPourqoui ne pas être Ecolo ? / Jean Cornil in Politique, 7 (juin-juillet 1998)
PermalinkPourquoi 600 000 francophones ne savent pas lire ? / Laurence Van Ruymbeke in Le Vif / L'Express, 40 ([02/10/2015])
PermalinkPourquoi l’Azerbaïdjan n’a pas basculé / Vicken Cheterian in Le Monde Diplomatique, 623 (février 2006)
Permalink27 - Pourquoi la Belgique n'éclatera pas... (Bulletin de Le Vif / L'Express, 27 [05/07/2013])
PermalinkPourquoi la Belgique a oublié le Congo / ANNE VANDERDONCKT in Farde Articles 1998, (1998)
PermalinkPourquoi ce filet de sang déchire-t-il le pétale de ta joue ? / NOURIT PELED-ELHANAN in Agenda Interculturel, 232 (avril 2005)
Permalink"pourquoi certains hommes, politiques ou lambda, aiment-ils tant avoir du pouvoir sur les autres ?" / Charles Pépin in Philosophie magazine, 37 (mars 2010)
PermalinkPourquoi ces foules autour de Jean-Paul II ? / Michel Cool in Le Monde Diplomatique, 614 (mai 2005)
PermalinkPourquoi cette montée de l'islamisme / SAMI NAIR in Le Monde Diplomatique, 521 (août 1997)
PermalinkPourquoi et comment "le diable est revenu sur terre" / CLAIRE BRISSET in Manière de voir, 76 (août-septembre 2004)
PermalinkPermalinkPourquoi la commission Rwanda fera chou blanc / AXEL DE BACKER in Espace de Libertés, 253 (août-septembre 1997)
PermalinkPourquoi la Corée du Nord fait trembler l'Asie / François Guilbert in Alternatives internationales, 10 (septembre-octobre 2003)
PermalinkPourquoi désobéir en démocratie ? / Albert Ogien
PermalinkPourquoi la Deuxième Guerre Mondiale ? / PIERRE GROSSER
PermalinkPourquoi devient-on terroriste ? / Sandrine Tolotti in Alternatives internationales, 14 (mai-juin 2004)
PermalinkPourquoi la domination sexuelle ? / FRANçOISE HERITIER in Sciences Humaines, 140 (juillet 2003)
PermalinkPourquoi la droite triomphe en Espagne / JOSE VIDAL-BENEYTO in Le Monde Diplomatique, 553 (avril 2000)
PermalinkPourquoi Elio Di Rupo ne sera pas Premier ministre / Isabelle Philippon in Le Vif / L'Express, 2505 ([02/02/2007])
PermalinkPourquoi l'Europe n'a pas de politique migratoire / Eliane Deproost in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkPourquoi l'extrême droite perce / CHRISTIAN SEMMLER in Le Monde Diplomatique, 534 (septembre 1998)
PermalinkPourquoi l'extrême droite ? une réflexion sur la mémoire / Joël Kotek in Aide-Mémoire, 4 (juillet-septembre 1997)
PermalinkPermalinkPourquoi l'extrême droitge a gagné en Suisse? in Résistance liégeoise, 186 (octobre-novembre-décembre 2007)
PermalinkPourquoi faut-il juger Pinochet / CARLOS FUENTES in Antipodes, 144 (mars 1999)
PermalinkPermalinkPourquoi Gbagbo s'accroche-t-il au pouvoir ? / Thierry Ngosso in La Revue Nouvelle, 2 (février 2011)
PermalinkPourquoi le gouvernement ne veut-il pas régulariser les sans-papiers ? in No Pasaran !, 60 (octobre 1998)
Permalink833 - août 2023 - Pourquoi les grandes puissances se font la guerre? (Bulletin de Le Monde Diplomatique)
PermalinkPourquoi les guerres ? / Jean-Claude Ruano-Borbalan in Sciences Humaines, 138 (mai 2003)
PermalinkPourquoi les guerres ? / Gilles Perrault
PermalinkPourquoi il fait peur aux francophones / Isabelle Philippon in Le Vif / L'Express, 2517 ([27/04/2007])
PermalinkPourquoi il faut voter le 8 octobre / BENOIT RIHOUX in Farde Articles 2000, (2000)
PermalinkPermalinkPourquoi il ne faut pas juger Pinochet in Antipodes, 144 (mars 1999)
PermalinkPermalinkPourquoi ils s'engagent (et moi pas) ? / PATRICK WILLIAMS in Philosophie magazine, 33 (octobre 2009)
PermalinkPermalinkPourquoi l'infiltration et comment choisir ses cibles ? in Alternative Libertaire, 29 (octobre 2003)
PermalinkPourquoi Internet ne démocratisera pas la Chine / Christopher R. Hughes in Critique Internationale, 15 (avril 2002)
PermalinkPourquoi l'Iran veut la bombe / Sandrine Tolotti in Alternatives internationales, 22 (mars 2005)
PermalinkPourquoi les islamistes séduisent la population / Naïri Nahapétian in Alternatives internationales, 35 (juin 2007)
PermalinkPourquoi j'ai tué TINA / Olivier Bonfond in Agir par la culture, 49 (printemps 2017)
PermalinkPourquoi j'n'y suis pas ? / EVELYNE HUYTEBROECK in Politique, 13 (octobre-novembre 1999)
PermalinkPourquoi j'y suis ? / ALAIN HUTCHINSON in Politique, 13 (octobre-novembre 1999)
PermalinkPourquoi le Japon continue de dire non... / RICHARD WERLY in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkPourquoi je suis un humaniste laïque / WOLE SOYINKA in Espace de Libertés - document, 7 (décembre 2001)
PermalinkPourquoi je suis un humaniste laïque / WOLE SOYINKA in Espace de Libertés, 265 (novembre 1998)
PermalinkPourquoi Jean Geismar devint-il Jean Godin ? in Wavriensia, 9803 (Tome XLVIII n 3 mai-juin 1998)
PermalinkPourquoi le jihad séduit des jeunes français ? in Sciences Humaines, 268 (mars 2015)
PermalinkPourquoi les juifs ont peur / Marie-Cécile Royen in Le Vif / L'Express, 48 ([02/12/2011])
PermalinkPourquoi le Ku Klux Klan ne défile-t-il pas à Harlem ? / Cécile Rolin in Libertés !, 316 (Septembre 1995)
PermalinkPourquoi les léèves flamands sont meilleurs / Gilles Quoistiaux in Le Vif / L'Express, 2635 ([29/08/2008])
PermalinkPourquoi la Ligue des droits de L'Homme s'intéresse-t-elle à la question de la pénalisation des drogues ? / MARIE-SOPHIE DEVRESSE in La Chronique de la Ligue des droits de l'Homme, 87 (mars-avril 2001)
PermalinkPourquoi M. Erdogan espère rebondir / Tristan Coloma in Le Monde Diplomatique, 712 (juillet 2013)
PermalinkPourquoi le monde déteste-t-il l'Amérique ? / Ziauddin Sardar
PermalinkPourquoi le monde a lâché la tchétchénie / ANNE LE HUEROU in Alternatives internationales Hors-série, 1 (octobre 2003)
PermalinkPourquoi la N-VA doit sauver le Vlaams Belang / Pierre Havaux in Le Vif / L'Express, 39 ([27/09/2013])
PermalinkPourquoi ne les régularisent-ils pas ? in Alternative Libertaire, 210 (octobre 1998)
PermalinkPourquoi Noam Chomsky se trompe / JEAN CHESNEAUX in Alternatives internationales, 21 (février 2005)
PermalinkPourquoi nous combattons Rex / Comité de Vigilance des Travailleurs Intellectuels contre la Guerre et le Fascisme (C.V.I.A.)
PermalinkPourquoi nous sommes républicains in Politique, 25 (juin 2002)
PermalinkPourquoi le parti socialiste est devenu un parti "normal"... / Pascal Delwit in Politique, 13 (octobre-novembre 1999)
PermalinkPermalinkPourquoi Le Pen progresse [encore] / Anne Rosencher in Le Vif / L'Express, 8 ([24/02/2017])
PermalinkPourquoi les performances PISA des élèves francophones et flamands sont-elles si différentes ? / Nico Hirtt in L'Ecole démocratique, 33 (mars 2008)
PermalinkPourquoi le pire est possible / Tugdual Denis in Le Vif / L'Express, 45 ([07/11/2014])
PermalinkPourquoi le pouvoir biélorusse se croit à l’abri + Une identité incertaine / Alexandre Billette in Le Monde Diplomatique, 624 (mars 2006)
PermalinkPourquoi les pouvoirs établis veulent-ils développer la citoyenneté ? / VITO DELL'AQUILA in L'Ecole démocratique, 15 (mars 2004)
PermalinkPourquoi le président Vladimir Poutine est si populaire en Russie / JEAN RADVANYI in Le Monde Diplomatique, 645 (Décembre 2007)
PermalinkPourquoi la Russie nous menace / Vincent Hugeux in Le Vif / L'Express, 2634 ([22/08/2008])
PermalinkPourquoi les Syriens se sont révoltés / Philippe Droz-Vincent in Alternatives internationales Hors-série, 10 (janvier 2012)
PermalinkPourquoi tant d'étrangers dans les prisons ? in Sciences Humaines, 99 (novembre 1999)
PermalinkPourquoi tous ces coups d'Etat en Afrique ? / PIERRE FRANKLIN TAVARES in Le Monde Diplomatique, 598 (janvier 2004)
Permalink834 - septembre 2023 - Pourquoi tous ces putschs (Bulletin de Le Monde Diplomatique)
PermalinkPourquoi l'Union sioviétique fascina le monde / Moshe Lewin in Manière de voir, 40 (juillet-août 1998)
PermalinkPourquoi l'Union sociétique a sombré / AMNON KAPELIOUK in Manière de voir, 70 (août-septembre 2003)
PermalinkPourquoi l'Union soviétique a fasciné le monde / Moshe Lewin in Le Monde Diplomatique, 524 (novembre 1997)
PermalinkPourquoi Vladimir Poutine ? / Jérôme Jamin in Aide-Mémoire, 13 (avril-juin 2000)
Permalink31 - Pourquoi votre facture d'énergie va exploser (et comment la réduire) (Bulletin de Le Vif / L'Express, 31 [05/08/2021])
Permalink718 - janvier 2014 - Pourquoi vous ne deviendrez jamais chinois (Bulletin de Le Monde Diplomatique)
PermalinkDes Poursuites contre Paul Aussaresses se heurteraient à plusieurs obstacles juridiques / CECILE PRIEUR in Farde Articles 2001, (2001)
PermalinkPoursuivre les néo-nazis in Farde Articles 2001, (2001)
PermalinkPourvoirs et limites des images information / MICHEL GUERRIN in Farde Articles 2004, (2004)
PermalinkPourvu que l'on se parle / CHERGUI KHARROUBI
PermalinkUne pousée nationaliste dangereuse / ALAIN NARINX in Farde Articles 1999, (1999)
PermalinkPousées xénophobes / MARC-ANTOINE PEROUSE DE MONTCLOS in Manière de voir, 51 (mai-juin 2000)
PermalinkLes Pousse-au-jouir du maréchal Pétain / Gérard Miller
PermalinkLes Pousse-au-jouir du maréchal Pétain / Gérard Miller
PermalinkPoussée ultranationaliste en ex-yougoslavie / Jean-Arnault Dérens in Le Monde Diplomatique, 600 (mars 2004)
PermalinkPoutine assailli par les artistes / Benjamin Quenelle in Alternatives internationales, 53 (décembre 2011)
PermalinkPoutine glorifie les résistants au nazisme / Jurek Kuczkiewicz in Farde Articles 2005, 2 (2005)
PermalinkPoutine un jour, Poutine toujours / Gérald Papy in Le Vif / L'Express, 02 ([15/01/2010])
PermalinkPoutine, le Kremlin et l'oligarchie / Jean-Marie Chauvier in Espace de Libertés, 318 (février 2004)
PermalinkPoutine : massacre pour un programme électoral / Jean Raymond in No Pasaran !, 74 (février 2000)
Permalink"Poutine ne s'arrêtera pas là" / MIKHEIL SAAKACHVILI in Le Vif / L'Express, 2636 ([05/09/2008])
PermalinkPoutine ne tient pas la maison russie / FANNY AUBERT in Alternatives internationales, 9 (juillet-août 2003)
PermalinkPoutine serre la vis / Jean Raymond in No Pasaran !, 87 (mai 2001)
Permalink"Poutine siège au sommet de la corruption" / Garry Kasparov in Le Vif / L'Express, 2547 ([23/11/2007])
Permalink"Poutine a sorti la Russie du chaos" / Mikhaïl Sergueïevitch Gorbatchev in Le Vif / L'Express, 2545 ([09/11/2007])
PermalinkPoutine tend la main aux immigrés / Benjamin Quenelle in Farde Articles 2005, 3 (2005)
PermalinkPoutine veut la guerre en Tchétchénie / Akhmed Zakaïev in Farde Articles 2005, 1 (2005)
Permalink43 - Pouvoir d'achat : Ce vif vaut plus de 5000€ : 100 idées pour réaliser des économies (Bulletin de Le Vif / L'Express, 43 [27/10/2022])
Permalink24 - Pouvoir d'achat : souci public numéro 1 (Bulletin de Le Vif / L'Express, 24 [16/06/2022])
Permalink- décembre 2016 - Pouvoir d'agir (Bulletin de CEMEAction)
PermalinkPouvoir dire "non" / Jean Beaufays in Espace de Libertés, 289 (mars 2001)
PermalinkPouvoir et disparition / Pilar Calveiro
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