|
Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 40288/1 | p/5085 | Périodique | Réserve | Périodiques | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier
Langues : Français (fre)
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 8-45
Catégories : 070 Presse Journalisme Médias
070(493) RTBF
070.1 Théorie/Ethique de la presse
070.2 Contrôle de la presseRésumé : intro du dossier :
« L’Etre ou le néant » : être soi-même ou disparaître : jamais sans doute ce dilemme vital pour la radiotélévision publique n’a été aussi clairement posé. La RTBF affronte un moment clef de son histoire. Certes depuis deux décennies le service public vit dans un paysage tourmenté par la concurrence sauvage et la pression destructrice des lois du marché mondialisé. Sous-financée, en proie au doute, ayant perdu ses repères - et souvent ses valeurs -, la télévision publique n’en finit pas d’affronter les crises successives. Les responsables (professionnels comme politiques) de l’audiovisuel public ne semblent plus savoir où donner de la tête pour faire face à la concurrence et l’hémorragie de l’audience. L’information est phagocytée par le spectacle, la téléréalité vampirise le langage, la culture est rangée au rayon des alibis. Le constat peut sembler exagérément pessimiste : il sera nuancé dans ce dossier car il reste évidemment des points d’appui et des îlots de résistance qui indiquent qu’une autre télévision demeure possible. Mais les inquiétudes qui émergent de nombreuses contributions sont à la mesure des espoirs que l’audiovisuel public a portés, des déceptions qu’il a engendrées et du rôle fondamental qu’il peut jouer dans une société démocratique.
La RTBF doit prendre bientôt des décisions qui engageront son avenir et son existence même. Le plan Magellan a passé un premier cap du point de vue de l’organisation interne et des investissements structurels mais il n’a pas de boussole culturelle. Sans véritable projet le navire est ballotté au gré des creux de l’audience. Fin 2004 le « qualimat » qui doit mesurer le degré de satisfaction des téléspectateurs a confirmé les mauvais chiffres de l’audimat. Les choix qui vont être faits pour tenter de redresser la barre tant du point de vue qualitatif que quantitatif seront cruciaux. Quelles conclusions les dirigeants de la RTBF vont-il tirer des derniers constats amers ? Quelle stratégie l’emportera ? Celle d’une télévision publique encore un peu plus calquée sur la concurrence privée ? Ou celle d’un retour à une identité plus forte du service public ? L’imitation ou la différence ? L’être ou le néant ?
C’est l’enjeu des prochains mois et c’est pour en éclairer les données que Politique consacre ce dossier à la RTBF. Un dossier constitué de contributions venant d’horizons divers : chercheurs universitaires, journalistes, spécialistes de l’audiovisuel, anciens collaborateurs de la RTBF, représentants du monde associatif et culturel ont apporté leurs analyses et leur points de vue en tentant ensuite ensemble de dégager modestement des pistes pour un modèle alternatif de télévision publique. La synthèse de ce débat collectif constitue d’ailleurs la conclusion du dossier. Dans un premier temps, Hugues Le Paige cadre les enjeux fondamentaux d’une radiotélévision publique dans une société démocratique et note le glissement progressif des dirigeants de la RTBF vers une politique de la soi-disant « demande » du public. Jean-François Bastin complète ce tableau en fixant quelques points essentiels d’une politique de l’offre en matière de télévision publique. Jean-Jacques Jespers analyse l’immense chantier du plan Magellan : tout en notant l’influence déterminante du consultant Andersen dans le sens d’une logique de marché, il s’interroge sur le renversement des valeurs que risque de provoquer cette xième restructuration de la RTBF. Dans l’analyse des politiques éditoriales, François Heinderyckx plaide pour que l’on redonne du sens à l’information devenue trop souvent spectaculaire et racoleuse tandis que Frédéric Antoine souligne que si des différences subsistent évidemment en matière de programmes, le mimétisme semble l’emporter sur l’altérité face à la concurrence privée. En ce qui concerne le fonctionnement interne de la RTBF, Jean-François Dumont revient sur le mal endémique de l’audiovisuel public : la politisation des nominations et des promotions qui se manifeste plus que jamais en dépit des discours et des intentions. Marc Molitor complète le tableau en mettant l’accent sur la précarisation du statut des journalistes et la dégradation de leurs conditions de travail. Parole à la défense : Jean-Paul Philippot a accepté de répondre à nos questions (qu’il soit remercié ici d’avoir joué le jeu pour un dossier dont il devait se douter qu’il serait tout sauf complaisant !) : l’administrateur général de la RTBF ne nie pas les difficultés mais défend avec force la cohérence de son projet de radiotélévision publique. Des propos à confronter avec ceux que Jacques Liesenborghs qui a tenu son carnet de bord de membre du conseil d’administration et d’André Menu qui, comme syndicaliste, a été un acteur essentiel de toutes les négociations de ces dernières années. Enfin, des témoignages plus précis et deux points de vue d’observateurs « extérieurs » complètent ce dossier : ils mettent en avant des acquis et des manquements de la RTBF : André Linard souligne les premiers (avec leurs insuffisances) dans le domaine de l’information sur « le Sud », Georges Vercheval insiste sur les seconds - et ils sont cruels - à propos de la culture.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Rtbf : L'être ou le néant Type de document : texte imprimé Auteurs : Willy Estersohn ; Hugues Le Paige Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 8-45 Langues : Français (fre) Catégories : 070 Presse Journalisme Médias
070(493) RTBF
070.1 Théorie/Ethique de la presse
070.2 Contrôle de la presseRésumé : intro du dossier :
« L’Etre ou le néant » : être soi-même ou disparaître : jamais sans doute ce dilemme vital pour la radiotélévision publique n’a été aussi clairement posé. La RTBF affronte un moment clef de son histoire. Certes depuis deux décennies le service public vit dans un paysage tourmenté par la concurrence sauvage et la pression destructrice des lois du marché mondialisé. Sous-financée, en proie au doute, ayant perdu ses repères - et souvent ses valeurs -, la télévision publique n’en finit pas d’affronter les crises successives. Les responsables (professionnels comme politiques) de l’audiovisuel public ne semblent plus savoir où donner de la tête pour faire face à la concurrence et l’hémorragie de l’audience. L’information est phagocytée par le spectacle, la téléréalité vampirise le langage, la culture est rangée au rayon des alibis. Le constat peut sembler exagérément pessimiste : il sera nuancé dans ce dossier car il reste évidemment des points d’appui et des îlots de résistance qui indiquent qu’une autre télévision demeure possible. Mais les inquiétudes qui émergent de nombreuses contributions sont à la mesure des espoirs que l’audiovisuel public a portés, des déceptions qu’il a engendrées et du rôle fondamental qu’il peut jouer dans une société démocratique.
La RTBF doit prendre bientôt des décisions qui engageront son avenir et son existence même. Le plan Magellan a passé un premier cap du point de vue de l’organisation interne et des investissements structurels mais il n’a pas de boussole culturelle. Sans véritable projet le navire est ballotté au gré des creux de l’audience. Fin 2004 le « qualimat » qui doit mesurer le degré de satisfaction des téléspectateurs a confirmé les mauvais chiffres de l’audimat. Les choix qui vont être faits pour tenter de redresser la barre tant du point de vue qualitatif que quantitatif seront cruciaux. Quelles conclusions les dirigeants de la RTBF vont-il tirer des derniers constats amers ? Quelle stratégie l’emportera ? Celle d’une télévision publique encore un peu plus calquée sur la concurrence privée ? Ou celle d’un retour à une identité plus forte du service public ? L’imitation ou la différence ? L’être ou le néant ?
C’est l’enjeu des prochains mois et c’est pour en éclairer les données que Politique consacre ce dossier à la RTBF. Un dossier constitué de contributions venant d’horizons divers : chercheurs universitaires, journalistes, spécialistes de l’audiovisuel, anciens collaborateurs de la RTBF, représentants du monde associatif et culturel ont apporté leurs analyses et leur points de vue en tentant ensuite ensemble de dégager modestement des pistes pour un modèle alternatif de télévision publique. La synthèse de ce débat collectif constitue d’ailleurs la conclusion du dossier. Dans un premier temps, Hugues Le Paige cadre les enjeux fondamentaux d’une radiotélévision publique dans une société démocratique et note le glissement progressif des dirigeants de la RTBF vers une politique de la soi-disant « demande » du public. Jean-François Bastin complète ce tableau en fixant quelques points essentiels d’une politique de l’offre en matière de télévision publique. Jean-Jacques Jespers analyse l’immense chantier du plan Magellan : tout en notant l’influence déterminante du consultant Andersen dans le sens d’une logique de marché, il s’interroge sur le renversement des valeurs que risque de provoquer cette xième restructuration de la RTBF. Dans l’analyse des politiques éditoriales, François Heinderyckx plaide pour que l’on redonne du sens à l’information devenue trop souvent spectaculaire et racoleuse tandis que Frédéric Antoine souligne que si des différences subsistent évidemment en matière de programmes, le mimétisme semble l’emporter sur l’altérité face à la concurrence privée. En ce qui concerne le fonctionnement interne de la RTBF, Jean-François Dumont revient sur le mal endémique de l’audiovisuel public : la politisation des nominations et des promotions qui se manifeste plus que jamais en dépit des discours et des intentions. Marc Molitor complète le tableau en mettant l’accent sur la précarisation du statut des journalistes et la dégradation de leurs conditions de travail. Parole à la défense : Jean-Paul Philippot a accepté de répondre à nos questions (qu’il soit remercié ici d’avoir joué le jeu pour un dossier dont il devait se douter qu’il serait tout sauf complaisant !) : l’administrateur général de la RTBF ne nie pas les difficultés mais défend avec force la cohérence de son projet de radiotélévision publique. Des propos à confronter avec ceux que Jacques Liesenborghs qui a tenu son carnet de bord de membre du conseil d’administration et d’André Menu qui, comme syndicaliste, a été un acteur essentiel de toutes les négociations de ces dernières années. Enfin, des témoignages plus précis et deux points de vue d’observateurs « extérieurs » complètent ce dossier : ils mettent en avant des acquis et des manquements de la RTBF : André Linard souligne les premiers (avec leurs insuffisances) dans le domaine de l’information sur « le Sud », Georges Vercheval insiste sur les seconds - et ils sont cruels - à propos de la culture.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 8-45Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40288/1 p/5085 Périodique Réserve Périodiques Disponible
Langues : Français (fre)
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 46-49
Catégories : 061.238 ATTAC
329.12(493) Mouvement réformateur MR
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / AltermondialismeRésumé : Dans le débat idéologique sur la mondialisation, Attac et le Mouvement réformateur défendent a priori deux visions complètement antinomiques. Mais sur le plan de l’imaginaire il y a aussi des convergences et, parfois, des positionnements « à front renversé ». Une réflexion alliant sociologie, économie et philosophie politique. En ligne : http://politique.eu.org/archives/2005/02/11.html Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : La Mondialisation comme imaginaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Grenade ; Marc Jacquemain Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 46-49 Langues : Français (fre) Catégories : 061.238 ATTAC
329.12(493) Mouvement réformateur MR
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / AltermondialismeRésumé : Dans le débat idéologique sur la mondialisation, Attac et le Mouvement réformateur défendent a priori deux visions complètement antinomiques. Mais sur le plan de l’imaginaire il y a aussi des convergences et, parfois, des positionnements « à front renversé ». Une réflexion alliant sociologie, économie et philosophie politique. En ligne : http://politique.eu.org/archives/2005/02/11.html Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 46-49Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40288/1 p/5085 Périodique Réserve Périodiques Disponible Europe : dilemne dans la gauche in Politique, 38 (février 2005)
Langues : Français (fre)
in Politique > 38 (février 2005)
Catégories : 32(4) Politique Union Européenne
329.14 Tendance socialiste/gauche
329.63 Mouvements/Partis à intérêts particuliers
331.105.44 Syndicats Syndicalisme
341.176(4) Union Européenne
342 Droit public Droit constitutionnel
342.4 ConstitutionsRésumé : Europe : dilemme dans la gauche Pour ou contre le projet de « constitution européenne » ? Malgré les apparences, les différents courants de la gauche, en Europe et en Belgique, ont des états d’âme. Tant mieux : l’affaire est trop importante pour passer comme une lettre à la poste. Encore faut-il qu’il y ait débat, et pas juxtaposition de monologues.
Revue de débats, POLITIQUE joue ici son rôle. En mettant en face à face deux socialistes et deux écologistes aux points de vue opposés et en examinant comment la question se pose à la FGTB et à la CSC. Avec, en guise de conclusion, l’analyse d’un « anti » radical sur le débat (sanglant) qui déchira le PS français. Et, en guise d’introduction, le cadrage d’un « pour » enthousiaste.
1. Vers l’Europe politique, par Christian Franck
2. Le débat socialiste, par Véronique De Keyser et Jean-Maurice Dehousse
Ils sont tous deux liégeois, socialistes et impliqués dans les questions européennes. Ils écrivent chacun à un proche ou un collègue pour énbraler sa conviction. Même si, au PS, les carottes sont déjà largement cuites en faveur du « oui »...
3. Le débat écologiste, entretien avec Zoé Genot et Pierre Jonckheer
Débat direct chez les Verts, qui combinent un engagement européen sans faille (avec Daniel Conh-Bendit comme figure de proue) et un radicalisme altermondialiste qui les rend sensibles aux thèses dominantes du côté d’Attac.
4. FGTB : entre « oui de combat » et « non de principe », par Daniel Van Daele
Début 2005, la FGTB se tâte toujours, prise en tenaille entre la CES européenne fermement en faveur du « oui » et la CGSP, sa centrale des services publics, qui a déjà opté pour le « non ». Pourra-t-elle éluder le dilemme en se concentrant sur les « vrais enjeux » de l’Europe sociale ?
5. CSC : une mauvaise question mal posée, par Felipe Van Keirsbilck
Pour la CSC, la bouteille du traité constitutionnel était plutôt à moitié pleine qu’à moitié vide. Ce fut donc « oui » d’emblée. Mais ce « oui » rend encore plus nécessaire le combat des forces progressistes.
6. Le problème, ce n’est pas la constitution ! par FVK
7. Un « oui » dans l’air du temps néo-libéral, par Philippe Marlière
Début décembre, le PS français a dit « oui », à presque 60%, au traité constitutionnel. Mais les chiffres cachent mal les dissensions idéologiques profondes entre les sociaux-démocrates, les « blairistes » et l’aile gauche du parti. Finalement, ce scrutin aura surtout été un vote de confiance à la direction actuelle du PS.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Europe : dilemne dans la gauche : pour ou contre le projet de "constitution européenne" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2005 Langues : Français (fre) Catégories : 32(4) Politique Union Européenne
329.14 Tendance socialiste/gauche
329.63 Mouvements/Partis à intérêts particuliers
331.105.44 Syndicats Syndicalisme
341.176(4) Union Européenne
342 Droit public Droit constitutionnel
342.4 ConstitutionsRésumé : Europe : dilemme dans la gauche Pour ou contre le projet de « constitution européenne » ? Malgré les apparences, les différents courants de la gauche, en Europe et en Belgique, ont des états d’âme. Tant mieux : l’affaire est trop importante pour passer comme une lettre à la poste. Encore faut-il qu’il y ait débat, et pas juxtaposition de monologues.
Revue de débats, POLITIQUE joue ici son rôle. En mettant en face à face deux socialistes et deux écologistes aux points de vue opposés et en examinant comment la question se pose à la FGTB et à la CSC. Avec, en guise de conclusion, l’analyse d’un « anti » radical sur le débat (sanglant) qui déchira le PS français. Et, en guise d’introduction, le cadrage d’un « pour » enthousiaste.
1. Vers l’Europe politique, par Christian Franck
2. Le débat socialiste, par Véronique De Keyser et Jean-Maurice Dehousse
Ils sont tous deux liégeois, socialistes et impliqués dans les questions européennes. Ils écrivent chacun à un proche ou un collègue pour énbraler sa conviction. Même si, au PS, les carottes sont déjà largement cuites en faveur du « oui »...
3. Le débat écologiste, entretien avec Zoé Genot et Pierre Jonckheer
Débat direct chez les Verts, qui combinent un engagement européen sans faille (avec Daniel Conh-Bendit comme figure de proue) et un radicalisme altermondialiste qui les rend sensibles aux thèses dominantes du côté d’Attac.
4. FGTB : entre « oui de combat » et « non de principe », par Daniel Van Daele
Début 2005, la FGTB se tâte toujours, prise en tenaille entre la CES européenne fermement en faveur du « oui » et la CGSP, sa centrale des services publics, qui a déjà opté pour le « non ». Pourra-t-elle éluder le dilemme en se concentrant sur les « vrais enjeux » de l’Europe sociale ?
5. CSC : une mauvaise question mal posée, par Felipe Van Keirsbilck
Pour la CSC, la bouteille du traité constitutionnel était plutôt à moitié pleine qu’à moitié vide. Ce fut donc « oui » d’emblée. Mais ce « oui » rend encore plus nécessaire le combat des forces progressistes.
6. Le problème, ce n’est pas la constitution ! par FVK
7. Un « oui » dans l’air du temps néo-libéral, par Philippe Marlière
Début décembre, le PS français a dit « oui », à presque 60%, au traité constitutionnel. Mais les chiffres cachent mal les dissensions idéologiques profondes entre les sociaux-démocrates, les « blairistes » et l’aile gauche du parti. Finalement, ce scrutin aura surtout été un vote de confiance à la direction actuelle du PS.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Politique > 38 (février 2005)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40288/1 p/5085 Périodique Réserve Périodiques Disponible
Langues : Français (fre)
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 64-65
Catégories : (560) Turquie
32(4) Politique Union Européenne
327 Relations internationales
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentauxRésumé : L'Union européenne ne peut être crédible sur le plan des droits humains dans ses négaociations avec la Turquie si elle refuse de formuler des critiques cohérentes et radicales à l'encontre des Etats-Unis et de la Russie En ligne : http://politique.eu.org/archives/2005/02/12.html Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Diplomatie et droits de l'Homme Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Jamin (1974-....) Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 64-65 Langues : Français (fre) Catégories : (560) Turquie
32(4) Politique Union Européenne
327 Relations internationales
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentauxRésumé : L'Union européenne ne peut être crédible sur le plan des droits humains dans ses négaociations avec la Turquie si elle refuse de formuler des critiques cohérentes et radicales à l'encontre des Etats-Unis et de la Russie En ligne : http://politique.eu.org/archives/2005/02/12.html Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Politique > 38 (février 2005) . - pp. 64-65Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40288/1 p/5085 Périodique Réserve Périodiques Disponible
