[article] Minoriterre : dossier [texte imprimé] . - 2008 . - pp. 3-25. Langues : Français ( fre) in Agenda Interculturel > 260 (février 2008) . - pp. 3-25
Catégories : |
316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel 32(493) Politique de la Belgique 323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
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Résumé : |
Articles :
- Editorial / N. Caprioli
Nous voulons tous être reconnus. Que ce soit dans notre vie intime ou sociale. Car notre image et nos valeurs dépendent en grande partie des autres. Tous nous recherchons l’estime de soi et la justice sociale ; tous nous rejetons la disqualification et le mépris social. Tous ? Les jeunes, les vieux, les femmes, les roux, les petits, les immigrés, les petits roux immigrés, les handicapés, les hirsutes, les chauves, les chômeurs, les blondes, les joueurs d’hélicon, les fumeurs de Gitanes, les nomades, les pantouflards, les Mickeys et autres Schtroumpfs. Vous l’avez compris : todos ! […]
- De quelle reconnaisance parlons-nous ? : entretien avec Bruno Vinikas, Radouane Bouhlal
- Reconnaître ou ne pas rconnaître : entretien avec Marco Martiniello
- Nous sommes là parce que nous sommes là / Claudio Bolzman
« Second@s » est un mouvement lancé par des jeunes de la deuxième génération des immigrés en Suisse, las d’avoir le sentiment d’être considérés comme des sous-citoyens. Cet article analyse les conditions qu’ont permis l’affirmation de ce mouvement et l’émergence d’un tel type de discours. Il étudie également certains obstacles qui limitent l’impact de leurs revendications auprès de la population « majoritaire ».
- L’actualité de la reconnaissance / Margarita Sanchez-Mazas
Dans la dynamique actuelle d’affirmation des identités et de diversification culturelle, la notion de reconnaissance rencontre un large écho. Ce succès tient sans doute aussi à la montée en force de problématiques touchant à la dignité des personnes et aux aspirations vers une société non seulement plus juste mais aussi plus « décente », c’est-à -dire capable d’éviter et de supprimer toute forme d’humiliation.
- L’interculturel est-il soluble dans la démocratie ? / Édouard Delruelle
Le défi auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est le suivant : après la démocratie politique réalisée au 19e siècle (suffrage universel, élections libres, institutions parlementaires, multipartisme), après la démocratie sociale réalisée au 20e siècle (droit de grève, négociations sociales, syndicalisme, mutuellisme), il nous faut aujourd’hui réaliser une troisième forme de démocratie : la démocratie culturelle ou interculturelle.
- Les minorités nationales et leurs xénophobes / Didier de Laveleye
Divergence d’appréciation et d’usage de la diversité culturelle, dédale institutionnel… il n’existe que peu de place aujourd’hui en Belgique à une reconnaissance des droits culturels des minorités dites « allochtones » au sein de des trois communautés linguistiques « autochtones ».
- Relations et co-inclusion / Jordane de Changy, Felice Dassetto, Brigitte Maréchal
La co-inclusion réciproque consiste dans la capacité des parties à se penser soi-même en incluant la présence de l’autre, de manière à parvenir à penser un terrain d’entente pour le vivre en commun. Cette co-inclusion permet la mise en œuvre de relations et la constitution d’une base minimale de confiance, un concept clé et fondateur du vivre ensemble. Illustration entre musulmans et non musulmans de Belgique.
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Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
Minoriterre : dossier |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2008 |
Article en page(s) : |
pp. 3-25 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
316.73 Interculturel Métissage Différence Multiculturel 32(493) Politique de la Belgique 323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
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Résumé : |
Articles :
- Editorial / N. Caprioli
Nous voulons tous être reconnus. Que ce soit dans notre vie intime ou sociale. Car notre image et nos valeurs dépendent en grande partie des autres. Tous nous recherchons l’estime de soi et la justice sociale ; tous nous rejetons la disqualification et le mépris social. Tous ? Les jeunes, les vieux, les femmes, les roux, les petits, les immigrés, les petits roux immigrés, les handicapés, les hirsutes, les chauves, les chômeurs, les blondes, les joueurs d’hélicon, les fumeurs de Gitanes, les nomades, les pantouflards, les Mickeys et autres Schtroumpfs. Vous l’avez compris : todos ! […]
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- Reconnaître ou ne pas rconnaître : entretien avec Marco Martiniello
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- L’actualité de la reconnaissance / Margarita Sanchez-Mazas
Dans la dynamique actuelle d’affirmation des identités et de diversification culturelle, la notion de reconnaissance rencontre un large écho. Ce succès tient sans doute aussi à la montée en force de problématiques touchant à la dignité des personnes et aux aspirations vers une société non seulement plus juste mais aussi plus « décente », c’est-à -dire capable d’éviter et de supprimer toute forme d’humiliation.
- L’interculturel est-il soluble dans la démocratie ? / Édouard Delruelle
Le défi auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est le suivant : après la démocratie politique réalisée au 19e siècle (suffrage universel, élections libres, institutions parlementaires, multipartisme), après la démocratie sociale réalisée au 20e siècle (droit de grève, négociations sociales, syndicalisme, mutuellisme), il nous faut aujourd’hui réaliser une troisième forme de démocratie : la démocratie culturelle ou interculturelle.
- Les minorités nationales et leurs xénophobes / Didier de Laveleye
Divergence d’appréciation et d’usage de la diversité culturelle, dédale institutionnel… il n’existe que peu de place aujourd’hui en Belgique à une reconnaissance des droits culturels des minorités dites « allochtones » au sein de des trois communautés linguistiques « autochtones ».
- Relations et co-inclusion / Jordane de Changy, Felice Dassetto, Brigitte Maréchal
La co-inclusion réciproque consiste dans la capacité des parties à se penser soi-même en incluant la présence de l’autre, de manière à parvenir à penser un terrain d’entente pour le vivre en commun. Cette co-inclusion permet la mise en œuvre de relations et la constitution d’une base minimale de confiance, un concept clé et fondateur du vivre ensemble. Illustration entre musulmans et non musulmans de Belgique.
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in Agenda Interculturel > 260 (février 2008) . - pp. 3-25
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