Philosophie magazine . 65Mention de date : décembre 2012 - janvier 2013 Paru le : 01/12/2012 |
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65 - décembre 2012 - janvier 2013 - Dieu, une bonne idée? [texte imprimé] . - 2012 . - 98 p.
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48519 | PHI | Périodique | Réserve | Périodiques | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierHamadi Redissi, un laïc en Tunisie / Hamadi Redissi in Philosophie magazine, 65 (décembre 2012 - janvier 2013)
[article] Hamadi Redissi, un laïc en Tunisie [texte imprimé] / Hamadi Redissi, Personne interviewée ; Pierre Péju, Auteur . - 2012 . - p. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 28-33
Catégories : 21 Laïcité
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(611) Politique de la Tunisie
94(611) Histoire de la TunisieRésumé : La Tunisie a initié les printemps arabes… et elle est la première à avoir porté à sa tête un parti islamique après des élections libres. Entre provocations des religieux et progrès de la tolérance, l’avenir reste indéterminé. En février 2011, le philosophe Hamadi Redissi nous parlait avec enthousiasme des débuts de la révolution de jasmin. Aujourd’hui, il défend pied à pied les principes de démocratie et de laïcité contre les islamistes. Le romancier Pierre Péju s’est rendu chez lui, à Tunis, fin 2012, afin de dresser un état des lieux des forces intellectuelles et politiques en présence. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Hamadi Redissi, un laïc en Tunisie Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamadi Redissi, Personne interviewée ; Pierre Péju, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Catégories : 21 Laïcité
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(611) Politique de la Tunisie
94(611) Histoire de la TunisieRésumé : La Tunisie a initié les printemps arabes… et elle est la première à avoir porté à sa tête un parti islamique après des élections libres. Entre provocations des religieux et progrès de la tolérance, l’avenir reste indéterminé. En février 2011, le philosophe Hamadi Redissi nous parlait avec enthousiasme des débuts de la révolution de jasmin. Aujourd’hui, il défend pied à pied les principes de démocratie et de laïcité contre les islamistes. Le romancier Pierre Péju s’est rendu chez lui, à Tunis, fin 2012, afin de dresser un état des lieux des forces intellectuelles et politiques en présence. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 28-33Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48519 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Dieu, une bonne idée? in Philosophie magazine, 65 (décembre 2012 - janvier 2013)
[article] Dieu, une bonne idée? [texte imprimé] . - 2012 . - p. 42-65.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 42-65
Catégories : 2 Religions Intégrisme religieux
231 Dieu
329.3 Mouvements/Partis Politiques Religieux
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
52 Astronomie, Univers, Géodésie
Judéocide / ShoahRésumé : Dossier : Dieu, une bonne idée?
Croyants et athées se sont longtemps déchirés sur la question de l’existence de Dieu. Mais peut-être est-il plus fécond de déplacer cette question traditionnelle. Et de se demander, non pas si Dieu existe, mais si les effets de cette idée sont bénéfiques ou néfastes. D’un côté, la croyance en Dieu permet de trouver du secours face à l’épreuve du deuil et de la mort, de dessiner une ligne de partage entre le bien et le mal. Elle incite à promouvoir d’autres valeurs que le simple enrichissement matériel. De l’autre, l’idée de Dieu est susceptible de bien des mésusages. En politique, ne voyons-nous pas l’islamisme ronger l’élan démocratique des printemps arabes ? Dans les universités, ne faut-il pas s’inquiéter de voir revenir des créationnistes et des théologiens qui, sous couvert d’argumenter rationnellement, engagent un faux dialogue avec la science ? Et d’un point de vue plus existentiel, celui qui adhère à l’idée de Dieu n’est-il pas guetté par le dogmatisme ? Si elle est plus pragmatique que métaphysique, gageons que la question des effets concrets de l’idée de Dieu est tout aussi polémique que celle de son existence.
Note de contenu : Articles :
* « Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer » Par Michel Eltchaninoff
C’est Voltaire qui le dit, comme pour apporter une solution à un très vieux problème. Durant des siècles, en effet, des penseurs et des théologiens s’étaient éreintés à vouloir prouver l’existence de Dieu. Ils avaient rêvé de découvrir la formule définitive propre à convertir enfin les sceptiques. En vain. Dieu reste inaccessible aux sens comme à la raison. D’ailleurs, du point de vue des fidèles eux-mêmes, si l’on démontrait l’existence de Dieu, le fait même de croire perdrait son sens. Savoir suffirait. Puisque personne ne peut établir de manière absolument certaine et universelle l’existence de Dieu, pourquoi ne pas changer de perspective ?
* Le temple des philosophes Par Hélène Malard
Ce lieu ne ressemble à aucune église connue : pour ceux qui s’y rendent, Dieu est d’abord une idée, qu’on approche par la raison davantage que par la foi. C’est pourquoi saint Augustin ou Pascal, pour qui la relation à Dieu est intime et affective, n’en franchissent pas la porte.
* Il était une foi Par Patrick Williams
La croyance en Dieu, instrument de domination des peuples ? C’est, en Occident, de moins en moins le cas : les cinq témoignages recueillis et commentés par le philosophe Vincent Delecroix suggèrent au contraire que le retour à Dieu relève surtout d’un appui pour affronter la vie chaotique de la modernité tardive. Au risque de l’irrationnel ?
* Pourquoi Dieu a-t-il permis Auschwitz, Mr Swinburne? Par Wolfram Eilenberger, Myriam Dennehy
Philosophe anglais reconnu, ayant enseigné à Oxford, Richard Swinburne a relancé la théologie rationnelle héritée de saint Thomas d’Aquin. Sauf qu’après Auschwitz, la réaffirmation d’un Dieu tout-puissant l’engage manifestement dans une dérive éthique atterrante. Une désinhibition inquiétante du dogmatisme chrétien ?
* Dieu, une bonne idée… en morale? Par Michel Eltchaninoff
Peut-on croire en un Dieu qui serait responsable du mal ? La grande question des Frères Karamazov de Dostoïevski hante toujours les philosophes. Et divise profondément croyants et athées.
* Dieu, une bonne idée… en politique ? Par Alexandre Lacroix, Michael Hesse, Christian Bouchindhomme
Revendication des racines chrétiennes de l’Europe, tentation islamiste dans les pays arabes… les questions religieuses plombent le débat public. Pourtant, de l’égalité au suffrage universel, nombre d’acquis semblent tirer leur source du sacré.
* Dieu, une bonne idée… en cosmologie ? Par Alexandre Lacroix
Même si le mystère des origines n’a pas été percé, nous connaissons de mieux en mieux le passé très ancien de l’Univers, la naissance et la mort des galaxies, les lois physiques régissant la matière. Un progrès qui ne peut laisser les croyants indifférents.
* La résurrection qui vient… Par Martin Duru
Dieu est à nouveau l’objet de spéculations dans le monde philosophique. Parmi les plus originales – et les plus neuves –, celle d’un jeune penseur français, Quentin Meillassoux.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Dieu, une bonne idée? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 42-65 Langues : Français (fre) Catégories : 2 Religions Intégrisme religieux
231 Dieu
329.3 Mouvements/Partis Politiques Religieux
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
52 Astronomie, Univers, Géodésie
Judéocide / ShoahRésumé : Dossier : Dieu, une bonne idée?
Croyants et athées se sont longtemps déchirés sur la question de l’existence de Dieu. Mais peut-être est-il plus fécond de déplacer cette question traditionnelle. Et de se demander, non pas si Dieu existe, mais si les effets de cette idée sont bénéfiques ou néfastes. D’un côté, la croyance en Dieu permet de trouver du secours face à l’épreuve du deuil et de la mort, de dessiner une ligne de partage entre le bien et le mal. Elle incite à promouvoir d’autres valeurs que le simple enrichissement matériel. De l’autre, l’idée de Dieu est susceptible de bien des mésusages. En politique, ne voyons-nous pas l’islamisme ronger l’élan démocratique des printemps arabes ? Dans les universités, ne faut-il pas s’inquiéter de voir revenir des créationnistes et des théologiens qui, sous couvert d’argumenter rationnellement, engagent un faux dialogue avec la science ? Et d’un point de vue plus existentiel, celui qui adhère à l’idée de Dieu n’est-il pas guetté par le dogmatisme ? Si elle est plus pragmatique que métaphysique, gageons que la question des effets concrets de l’idée de Dieu est tout aussi polémique que celle de son existence.
Note de contenu : Articles :
* « Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer » Par Michel Eltchaninoff
C’est Voltaire qui le dit, comme pour apporter une solution à un très vieux problème. Durant des siècles, en effet, des penseurs et des théologiens s’étaient éreintés à vouloir prouver l’existence de Dieu. Ils avaient rêvé de découvrir la formule définitive propre à convertir enfin les sceptiques. En vain. Dieu reste inaccessible aux sens comme à la raison. D’ailleurs, du point de vue des fidèles eux-mêmes, si l’on démontrait l’existence de Dieu, le fait même de croire perdrait son sens. Savoir suffirait. Puisque personne ne peut établir de manière absolument certaine et universelle l’existence de Dieu, pourquoi ne pas changer de perspective ?
* Le temple des philosophes Par Hélène Malard
Ce lieu ne ressemble à aucune église connue : pour ceux qui s’y rendent, Dieu est d’abord une idée, qu’on approche par la raison davantage que par la foi. C’est pourquoi saint Augustin ou Pascal, pour qui la relation à Dieu est intime et affective, n’en franchissent pas la porte.
* Il était une foi Par Patrick Williams
La croyance en Dieu, instrument de domination des peuples ? C’est, en Occident, de moins en moins le cas : les cinq témoignages recueillis et commentés par le philosophe Vincent Delecroix suggèrent au contraire que le retour à Dieu relève surtout d’un appui pour affronter la vie chaotique de la modernité tardive. Au risque de l’irrationnel ?
* Pourquoi Dieu a-t-il permis Auschwitz, Mr Swinburne? Par Wolfram Eilenberger, Myriam Dennehy
Philosophe anglais reconnu, ayant enseigné à Oxford, Richard Swinburne a relancé la théologie rationnelle héritée de saint Thomas d’Aquin. Sauf qu’après Auschwitz, la réaffirmation d’un Dieu tout-puissant l’engage manifestement dans une dérive éthique atterrante. Une désinhibition inquiétante du dogmatisme chrétien ?
* Dieu, une bonne idée… en morale? Par Michel Eltchaninoff
Peut-on croire en un Dieu qui serait responsable du mal ? La grande question des Frères Karamazov de Dostoïevski hante toujours les philosophes. Et divise profondément croyants et athées.
* Dieu, une bonne idée… en politique ? Par Alexandre Lacroix, Michael Hesse, Christian Bouchindhomme
Revendication des racines chrétiennes de l’Europe, tentation islamiste dans les pays arabes… les questions religieuses plombent le débat public. Pourtant, de l’égalité au suffrage universel, nombre d’acquis semblent tirer leur source du sacré.
* Dieu, une bonne idée… en cosmologie ? Par Alexandre Lacroix
Même si le mystère des origines n’a pas été percé, nous connaissons de mieux en mieux le passé très ancien de l’Univers, la naissance et la mort des galaxies, les lois physiques régissant la matière. Un progrès qui ne peut laisser les croyants indifférents.
* La résurrection qui vient… Par Martin Duru
Dieu est à nouveau l’objet de spéculations dans le monde philosophique. Parmi les plus originales – et les plus neuves –, celle d’un jeune penseur français, Quentin Meillassoux.
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in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 42-65Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48519 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Umberto Eco. «Philosopher, c’est régler ses comptes avec la mort» / Umberto Eco in Philosophie magazine, 65 (décembre 2012 - janvier 2013)
[article] Umberto Eco. «Philosopher, c’est régler ses comptes avec la mort» [texte imprimé] / Umberto Eco (1932-2016), Personne interviewée . - 2012 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 68-73
Catégories : 14 Systèmes philosophiques
929 Eco, UmbertoRésumé : Philosophe de formation, sémiologue de conviction, car c’est «la forme moderne de la philosophie», romancier et essayiste interplanétaire, Umberto Eco est devenu une légende intellectuelle. À l’aise sur tous les sujets, il prouve que la pensée est une activité réjouissante. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Umberto Eco. «Philosopher, c’est régler ses comptes avec la mort» Type de document : texte imprimé Auteurs : Umberto Eco (1932-2016), Personne interviewée Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Catégories : 14 Systèmes philosophiques
929 Eco, UmbertoRésumé : Philosophe de formation, sémiologue de conviction, car c’est «la forme moderne de la philosophie», romancier et essayiste interplanétaire, Umberto Eco est devenu une légende intellectuelle. À l’aise sur tous les sujets, il prouve que la pensée est une activité réjouissante. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 68-73Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48519 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Descartes et le sens de la vie in Philosophie magazine, 65 (décembre 2012 - janvier 2013)
[article] Descartes et le sens de la vie [texte imprimé] . - 2012 . - p. 78-83 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 78-83 + livret (16 p.)
Catégories : 14 Rationnalisme
929 Descartes, René (1596-1650)Résumé : Auteur : Descartes et le sens de la vie
C’est certainement l’interrogation éthique et métaphysique la plus fondamentale : quel est le sens de la vie ? Quelle est la finalité de l’existence ? Difficile de se dérober à cette question vertigineuse. Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c’est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d’atteindre 50 ans… Comment s’y retrouver ? Peut-être en reformulant le problème : et si donner du sens à sa vie consistait avant tout à lui imprimer une direction clairement établie et fermement maintenue dans la durée ? Ici intervient Descartes. Le père du cogito a défini des règles pratiques pour guider sa propre existence. Sur un ton personnel, Denis Moreau, qui a récemment publié Dans le milieu d’une forêt. Essai sur Descartes et le sens de la vie (Bayard), nous explique comment il s’est lui-même approprié l’une d’entre elles : suivre avec opiniâtreté un même chemin, un même choix de vie… Cet appel à la résolution est central dans la morale de Descartes, qui est exposée dans la troisième partie du fameux Discours de la méthode. Celle-ci est présentée par un autre éminent spécialiste de la pensée cartésienne, Nicolas Grimaldi.
Note de contenu : Articles :
* Le chemin à suivre Par Denis Moreau
* Sous la raison, le rêve Par Martin Duru
* La clé de l’existence, c’est… Par Martin Duru
* Descartes, la biographie Par Martin Duru
* Descartes et le Discours de la méthode Par Martin Duru
Le Discours de la méthode pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences (selon le titre original complet) est l’œuvre la plus fameuse de Descartes, avec ses Méditations métaphysiques.
* Le lexique du Discours de la méthode Par Martin Duru
* La Méthode et son programme Par Nicolas Grimaldi
Lorsqu’il publie le Discours de la méthode, Descartes a 41 ans. Il y a déjà dix-huit ans qu’il a formé le projet de fonder et de développer une science si universelle qu’il n’y eût aucun phénomène qu’elle ne permît d’expliquer.
+ Livret n°65, Descartes et le sens de la vie dans le Discours de la méthode, préface de Nicolas Grimaldi
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Descartes et le sens de la vie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 78-83 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 14 Rationnalisme
929 Descartes, René (1596-1650)Résumé : Auteur : Descartes et le sens de la vie
C’est certainement l’interrogation éthique et métaphysique la plus fondamentale : quel est le sens de la vie ? Quelle est la finalité de l’existence ? Difficile de se dérober à cette question vertigineuse. Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c’est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d’atteindre 50 ans… Comment s’y retrouver ? Peut-être en reformulant le problème : et si donner du sens à sa vie consistait avant tout à lui imprimer une direction clairement établie et fermement maintenue dans la durée ? Ici intervient Descartes. Le père du cogito a défini des règles pratiques pour guider sa propre existence. Sur un ton personnel, Denis Moreau, qui a récemment publié Dans le milieu d’une forêt. Essai sur Descartes et le sens de la vie (Bayard), nous explique comment il s’est lui-même approprié l’une d’entre elles : suivre avec opiniâtreté un même chemin, un même choix de vie… Cet appel à la résolution est central dans la morale de Descartes, qui est exposée dans la troisième partie du fameux Discours de la méthode. Celle-ci est présentée par un autre éminent spécialiste de la pensée cartésienne, Nicolas Grimaldi.
Note de contenu : Articles :
* Le chemin à suivre Par Denis Moreau
* Sous la raison, le rêve Par Martin Duru
* La clé de l’existence, c’est… Par Martin Duru
* Descartes, la biographie Par Martin Duru
* Descartes et le Discours de la méthode Par Martin Duru
Le Discours de la méthode pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences (selon le titre original complet) est l’œuvre la plus fameuse de Descartes, avec ses Méditations métaphysiques.
* Le lexique du Discours de la méthode Par Martin Duru
* La Méthode et son programme Par Nicolas Grimaldi
Lorsqu’il publie le Discours de la méthode, Descartes a 41 ans. Il y a déjà dix-huit ans qu’il a formé le projet de fonder et de développer une science si universelle qu’il n’y eût aucun phénomène qu’elle ne permît d’expliquer.
+ Livret n°65, Descartes et le sens de la vie dans le Discours de la méthode, préface de Nicolas Grimaldi
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 65 (décembre 2012 - janvier 2013) . - p. 78-83 + livret (16 p.)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48519 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible