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Religion et violence / Denis Pelletier in Vingtième siècle, 76 (octobre-décembre 2002)
[article] Religion et violence : la religion a pu mettre en forme la violence collective et la légitimer mais renvoyer l'ennemi à son fanatisme ne suffit pas [texte imprimé] / Denis Pelletier . - 2002 . - pp. 25 - 33.
Langues : Français (fre)
in Vingtième siècle > 76 (octobre-décembre 2002) . - pp. 25 - 33
Catégories : (73) USA
2 Religions Intégrisme religieux
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
930 Science historique
94 Histoire généralePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Religion et violence : la religion a pu mettre en forme la violence collective et la légitimer mais renvoyer l'ennemi à son fanatisme ne suffit pas Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Pelletier Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 25 - 33 Langues : Français (fre) Catégories : (73) USA
2 Religions Intégrisme religieux
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
930 Science historique
94 Histoire généralePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Vingtième siècle > 76 (octobre-décembre 2002) . - pp. 25 - 33Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30174/1 P/3815 Périodique Réserve Périodiques Disponible Les religions de la politique / Emilio Gentile
Les religions de la politique : entre démocraties et totalitarismes [texte imprimé] / Emilio Gentile (1946-...), Auteur ; Anna Colao, Traducteur . - Paris : Éditions du Seuil, [s.d.] . - 301 p.. - (La couleur des idées) .
ISBN : 2-02-058045-4 : 24 EUR
index
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316 Sociologie
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
342.2 Structure des EtatsIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : note de l'éditeur :
L’époque moderne se caractérise par une forme particulière de sacralisation de la politique : d’authentiques religions de la politique sont apparues, qui font de la Nation, de l’Etat ou du Parti une entité sacrée, un moteur de systèmes de croyances, de mythes, de rites et de symboles, bref un laboratoire d’hallucination collective. Entre science politique et histoire, le livre analyse les diverses formes de religions politiques, décrypte les manifestations de ferveur et renouvelle la réflexion sur le fanatisme de masse, les idéologies et le lien politique.
Extrait (vient du site du Seuil) :
Venons-en maintenant à l’argument de ce livre. La religion civile américaine est le premier exemple historique contemporain d’une religion de la politique. Notre but, en employant cette expression, est de définir une forme particulière de sacralisation de la politique qui se manifeste à l’époque moderne et s’affirme lorsque la dimension politique, après avoir gagné son autonomie institutionnelle vis-à-vis de la religion traditionnelle, acquiert une dimension religieuse propre, au sens où elle prend un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité. Cela advient chaque fois qu’une entité politique - la nation, l’État, la race, la classe, le parti, le mouvement... - se transforme en une entité sacrée, c’est-à-dire qu’elle devient transcendante, indiscutable, intangible et, en tant que telle, s’affirme comme le centre d’un système plus ou moins élaboré de croyances, mythes, valeurs, commandements, rites et symboles qui en font un objet de foi, de déférence, de culte, de fidélité, de dévouement et, si nécessaire, de sacrifice humain. Dans ce cas, nous assistons à la formation d’une religion de la politique, religion désignant un système de croyances, de mythes, de rites et de symboles qui interprètent et définissent le sens et la fin ultime de l’existence humaine, en subordonnant le destin de l’individu et de la collectivité à une entité suprême.
La sacralisation de la politique est un phénomène moderne qui se distingue d’autres formes historiques de sacralisation du pouvoir politique. Au cours de l’histoire, depuis des temps très anciens, le détenteur du pouvoir politique a été auréolé de sacralité, identifié à une divinité ou considéré comme son émanation directe, tel le Pharaon de l’ancienne Égypte. Dans les villes grecques et dans la Rome républicaine, la sphère religieuse épousait parfaitement la sphère politique en s’identifiant à la religion de la cité: la sacralité du pouvoir politique faisait corps avec les institutions civiques. Dans la Rome impériale, la divinisation de l’empereur personnalisa la sacralisation du pouvoir, en se superposant aussi à la religion de la cité. L’avènement du christianisme brisa la fusion entre religion et politique et donna naissance à une nouvelle forme de sacralisation du pouvoir dérivée de la prédominance spirituelle de l’Église sur l’État. Dans les monarchies chrétiennes, depuis le Moyen Âge jusqu’à l’avènement de la souveraineté populaire, la sacralisation du pouvoir répond à la sacralité du monarque par droit divin, reconnu et légitimé par l’Église lorsqu’il n’était pas lui-même, comme dans l’Angleterre anglicane, à sa tête. D’où, de nombreux siècles durant, tensions, rivalités et conflits entre le pouvoir spirituel de l’Église et le pouvoir temporel du monarque, chacun revendiquant la primauté d’une souveraineté sacralisée par l’investiture divine.
---
Notes dans la revue Vingtième siècle n°91 (07-09/2006) :
Historien du fascisme italien dont il a démontré le fonctionnement totalitaire, Emilio Gentile s’intéressait depuis longtemps au concept de religion politique. L’Italie mussolinienne semblait parfaitement en corroborer la pertinence (La Religion fasciste, Perrin, 2002). La liturgie politique déployée autour de l’idée et du régime fascistes, de son chef, grand prêtre de cette nouvelle religion, le parti fasciste comme Église de la nouvelle foi, la déification de l’État, autant d’attributs confortant la thèse de l’existence au 20e siècle de ce que Gentile nomme la « sacralisation de la politique », fil directeur de ce brillant essai.
La religion politique est donc une forme particulière de la sacralisation de la politique. Elle présuppose l’autonomie du politique à l’égard du religieux et, dans un second temps, l’autonomie de la religiosité à l’égard du politique. La politique acquiert « un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité » (p. 14). Il ne faut toutefois pas confondre religion civile et religion politique, dont l’ouvrage s’attache à souligner les différences. La première repose sur un système de croyances, de mythes, de principes et de comportements symboliques exprimant les valeurs fondamentales d’une société. Il faut remonter au 18e siècle pour en trouver les premières traces dans la pensée politique d’abord (Rousseau) puis dans la pratique. Aux États-Unis, la sacralisation des institutions de la République naissante pourrait s’expliquer par ce que Tocqueville appelait le « point de départ » : la fondation d’une civilisation où la volonté politique à la base de sa construction s’appuie sur des valeurs préétablies empreintes de religion. La Révolution française constitue bien sûr le deuxième exemple probant : de la fête de la Fédération au culte de l’Être suprême cependant, on glisse déjà de la religion civile à la religion politique. Tocqueville peut à nouveau servir de repère : « Révolution […] avait l’air de tendre à la régénération du genre humain plus encore qu’à la réforme de la France » (p. 77). On touche l’un des traits qui distinguent la religion civile de la religion politique. Celle-là suppose certes la sacralisation de la politique, mais elle maintient la pluralité des idées et la primauté de l’individu. Celle-ci évoque un monopole irrévocable du pouvoir, un monisme idéologique et la subordination de l’individu à la foi nouvelle (p. 16). La religion politique participe ainsi de la définition du totalitarisme qui acquiert, grâce à Gentile, une dimension nouvelle. Le totalitarisme est en effet l’apogée de la sacralisation de la politique, qui se caractérise par un « énorme, exubérant déploiement de mythes, rites et symboles ». Bien sûr, il n’y a pas de cloisons étanches séparant les deux formes. Le 19e siècle montre les porosités, le glissement de la religion civile à la religion politique par le culte de la foi révolutionnaire ou celui de la nation qui culmine avec la guerre régénératrice de 1914-1918.
Gentile confronte toutes les thèses sur le sujet : il fait un sort à celles qui ne voient dans cette sacralisation de la politique qu’une stratégie démagogique et nie qu’il ne s’agisse que de propagande destinée à la manipulation des masses (de fait, l’idée de religion politique est, nous semble-t-il, inséparable de celle de « consensus » dans les régimes totalitaires). D’autres sociologues ont en revanche soulevé la question de cette recherche « fébrile », lorsque décline la foi religieuse, d’un « nouveau système de croyances et de principes généraux autour desquels se regrouper, au sein duquel trouver une intime raison de vivre dignement » (Antonio Gramsci). Si la sacralisation de la politique a survécu à la seconde guerre mondiale, notamment avec le communisme, nouvelle « religion » des intellectuels occidentaux, Gentile parle de « reflux » de la religion politique à l’aube du 21e siècle.
Frédéric AttalNote de contenu : Sommaire :
Introduction : la sacralisation de la politique
1. Une religion qui n'existe pas ? Un ersatz de religion ? Une nouvelle religion ?
2. Religions civiles (démocraties) et religions politiques (totalitarismes)
3.L'Ecclesia du Léviathan : totalitarisme, une définition directrice - interprétation - masses, foi, mythes - l'esence religieuse du totalitarisme - etc
4. L'invasion des idoles
5. Vers le troisième millénaire : une guerre de religion - déifications communistes - anciennes démocraties, le reflux de la religion civile
6. Les religions de la politique : définition - conclusion - etc
notes
index de nomsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les religions de la politique : entre démocraties et totalitarismes Type de document : texte imprimé Auteurs : Emilio Gentile (1946-...), Auteur ; Anna Colao, Traducteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Collection : La couleur des idées Importance : 301 p. ISBN/ISSN/EAN : 2-02-058045-4 Prix : 24 EUR Note générale : index Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316 Sociologie
321 Formes de l'organisation politique
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.2 Relation peuple/Etat
342.2 Structure des EtatsIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : note de l'éditeur :
L’époque moderne se caractérise par une forme particulière de sacralisation de la politique : d’authentiques religions de la politique sont apparues, qui font de la Nation, de l’Etat ou du Parti une entité sacrée, un moteur de systèmes de croyances, de mythes, de rites et de symboles, bref un laboratoire d’hallucination collective. Entre science politique et histoire, le livre analyse les diverses formes de religions politiques, décrypte les manifestations de ferveur et renouvelle la réflexion sur le fanatisme de masse, les idéologies et le lien politique.
Extrait (vient du site du Seuil) :
Venons-en maintenant à l’argument de ce livre. La religion civile américaine est le premier exemple historique contemporain d’une religion de la politique. Notre but, en employant cette expression, est de définir une forme particulière de sacralisation de la politique qui se manifeste à l’époque moderne et s’affirme lorsque la dimension politique, après avoir gagné son autonomie institutionnelle vis-à-vis de la religion traditionnelle, acquiert une dimension religieuse propre, au sens où elle prend un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité. Cela advient chaque fois qu’une entité politique - la nation, l’État, la race, la classe, le parti, le mouvement... - se transforme en une entité sacrée, c’est-à-dire qu’elle devient transcendante, indiscutable, intangible et, en tant que telle, s’affirme comme le centre d’un système plus ou moins élaboré de croyances, mythes, valeurs, commandements, rites et symboles qui en font un objet de foi, de déférence, de culte, de fidélité, de dévouement et, si nécessaire, de sacrifice humain. Dans ce cas, nous assistons à la formation d’une religion de la politique, religion désignant un système de croyances, de mythes, de rites et de symboles qui interprètent et définissent le sens et la fin ultime de l’existence humaine, en subordonnant le destin de l’individu et de la collectivité à une entité suprême.
La sacralisation de la politique est un phénomène moderne qui se distingue d’autres formes historiques de sacralisation du pouvoir politique. Au cours de l’histoire, depuis des temps très anciens, le détenteur du pouvoir politique a été auréolé de sacralité, identifié à une divinité ou considéré comme son émanation directe, tel le Pharaon de l’ancienne Égypte. Dans les villes grecques et dans la Rome républicaine, la sphère religieuse épousait parfaitement la sphère politique en s’identifiant à la religion de la cité: la sacralité du pouvoir politique faisait corps avec les institutions civiques. Dans la Rome impériale, la divinisation de l’empereur personnalisa la sacralisation du pouvoir, en se superposant aussi à la religion de la cité. L’avènement du christianisme brisa la fusion entre religion et politique et donna naissance à une nouvelle forme de sacralisation du pouvoir dérivée de la prédominance spirituelle de l’Église sur l’État. Dans les monarchies chrétiennes, depuis le Moyen Âge jusqu’à l’avènement de la souveraineté populaire, la sacralisation du pouvoir répond à la sacralité du monarque par droit divin, reconnu et légitimé par l’Église lorsqu’il n’était pas lui-même, comme dans l’Angleterre anglicane, à sa tête. D’où, de nombreux siècles durant, tensions, rivalités et conflits entre le pouvoir spirituel de l’Église et le pouvoir temporel du monarque, chacun revendiquant la primauté d’une souveraineté sacralisée par l’investiture divine.
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Notes dans la revue Vingtième siècle n°91 (07-09/2006) :
Historien du fascisme italien dont il a démontré le fonctionnement totalitaire, Emilio Gentile s’intéressait depuis longtemps au concept de religion politique. L’Italie mussolinienne semblait parfaitement en corroborer la pertinence (La Religion fasciste, Perrin, 2002). La liturgie politique déployée autour de l’idée et du régime fascistes, de son chef, grand prêtre de cette nouvelle religion, le parti fasciste comme Église de la nouvelle foi, la déification de l’État, autant d’attributs confortant la thèse de l’existence au 20e siècle de ce que Gentile nomme la « sacralisation de la politique », fil directeur de ce brillant essai.
La religion politique est donc une forme particulière de la sacralisation de la politique. Elle présuppose l’autonomie du politique à l’égard du religieux et, dans un second temps, l’autonomie de la religiosité à l’égard du politique. La politique acquiert « un caractère sacré autonome lui permettant de revendiquer la prérogative de définir le sens et la fin ultime de l’existence humaine, tout au moins sur terre, pour l’individu et la collectivité » (p. 14). Il ne faut toutefois pas confondre religion civile et religion politique, dont l’ouvrage s’attache à souligner les différences. La première repose sur un système de croyances, de mythes, de principes et de comportements symboliques exprimant les valeurs fondamentales d’une société. Il faut remonter au 18e siècle pour en trouver les premières traces dans la pensée politique d’abord (Rousseau) puis dans la pratique. Aux États-Unis, la sacralisation des institutions de la République naissante pourrait s’expliquer par ce que Tocqueville appelait le « point de départ » : la fondation d’une civilisation où la volonté politique à la base de sa construction s’appuie sur des valeurs préétablies empreintes de religion. La Révolution française constitue bien sûr le deuxième exemple probant : de la fête de la Fédération au culte de l’Être suprême cependant, on glisse déjà de la religion civile à la religion politique. Tocqueville peut à nouveau servir de repère : « Révolution […] avait l’air de tendre à la régénération du genre humain plus encore qu’à la réforme de la France » (p. 77). On touche l’un des traits qui distinguent la religion civile de la religion politique. Celle-là suppose certes la sacralisation de la politique, mais elle maintient la pluralité des idées et la primauté de l’individu. Celle-ci évoque un monopole irrévocable du pouvoir, un monisme idéologique et la subordination de l’individu à la foi nouvelle (p. 16). La religion politique participe ainsi de la définition du totalitarisme qui acquiert, grâce à Gentile, une dimension nouvelle. Le totalitarisme est en effet l’apogée de la sacralisation de la politique, qui se caractérise par un « énorme, exubérant déploiement de mythes, rites et symboles ». Bien sûr, il n’y a pas de cloisons étanches séparant les deux formes. Le 19e siècle montre les porosités, le glissement de la religion civile à la religion politique par le culte de la foi révolutionnaire ou celui de la nation qui culmine avec la guerre régénératrice de 1914-1918.
Gentile confronte toutes les thèses sur le sujet : il fait un sort à celles qui ne voient dans cette sacralisation de la politique qu’une stratégie démagogique et nie qu’il ne s’agisse que de propagande destinée à la manipulation des masses (de fait, l’idée de religion politique est, nous semble-t-il, inséparable de celle de « consensus » dans les régimes totalitaires). D’autres sociologues ont en revanche soulevé la question de cette recherche « fébrile », lorsque décline la foi religieuse, d’un « nouveau système de croyances et de principes généraux autour desquels se regrouper, au sein duquel trouver une intime raison de vivre dignement » (Antonio Gramsci). Si la sacralisation de la politique a survécu à la seconde guerre mondiale, notamment avec le communisme, nouvelle « religion » des intellectuels occidentaux, Gentile parle de « reflux » de la religion politique à l’aube du 21e siècle.
Frédéric AttalNote de contenu : Sommaire :
Introduction : la sacralisation de la politique
1. Une religion qui n'existe pas ? Un ersatz de religion ? Une nouvelle religion ?
2. Religions civiles (démocraties) et religions politiques (totalitarismes)
3.L'Ecclesia du Léviathan : totalitarisme, une définition directrice - interprétation - masses, foi, mythes - l'esence religieuse du totalitarisme - etc
4. L'invasion des idoles
5. Vers le troisième millénaire : une guerre de religion - déifications communistes - anciennes démocraties, le reflux de la religion civile
6. Les religions de la politique : définition - conclusion - etc
notes
index de nomsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40610/1 321.7/GEN Livre Libre-accès Adultes Disponible Relire Marcuse pour ne pas vivre comme des porcs / GILLES CHATELET in Le Monde Diplomatique, 533 (août 1998)
[article] Relire Marcuse pour ne pas vivre comme des porcs : Herbert Marcuse, l'homme pour qui la résignation était ringarde [texte imprimé] / GILLES CHATELET . - 0000 . - pp. 22 - 23.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique > 533 (août 1998) . - pp. 22 - 23
Catégories : 1(091) Histoire de la Philosophie
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
929 Marcuse, Herbert (1898-1978)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Relire Marcuse pour ne pas vivre comme des porcs : Herbert Marcuse, l'homme pour qui la résignation était ringarde Type de document : texte imprimé Auteurs : GILLES CHATELET Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 22 - 23 Langues : Français (fre) Catégories : 1(091) Histoire de la Philosophie
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
929 Marcuse, Herbert (1898-1978)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Monde Diplomatique > 533 (août 1998) . - pp. 22 - 23Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 9020/1 P/1273 Périodique Réserve Périodiques Disponible Remettre l'économie à sa vraie place / ROBERT COBBAUT in Farde Articles 1999, (1999)
[article] Remettre l'économie à sa vraie place : Le Matin, 28/1/99. forum économique de Davos et ses adversaires comme Attac. Interview de R.Cabbaut, prof. économie financière UCL [texte imprimé] / ROBERT COBBAUT ; LILIANE FANELLO . - 1999 . - p. 2.
Langues : Français (fre)
in Farde Articles 1999 > (1999) . - p. 2
Catégories : 06 Collectivités Congrès Musées
061.238 ATTAC
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / Altermondialisme
364 Problèmes sociaux
Inégalités sociales / PrécaritéPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Remettre l'économie à sa vraie place : Le Matin, 28/1/99. forum économique de Davos et ses adversaires comme Attac. Interview de R.Cabbaut, prof. économie financière UCL Type de document : texte imprimé Auteurs : ROBERT COBBAUT ; LILIANE FANELLO Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 2 Langues : Français (fre) Catégories : 06 Collectivités Congrès Musées
061.238 ATTAC
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
330.82 Libéralisme - Capitalisme
339 Commerce Economie mondiale Mondialisation / Altermondialisme
364 Problèmes sociaux
Inégalités sociales / PrécaritéPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Farde Articles 1999 > (1999) . - p. 2Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10938/1 P/4944 Périodique Réserve Périodiques Disponible Les Remparts du capitalisme / Riccardo Petrella in Manière de voir, 71 (octobre-novembre 2003)
[article] Les Remparts du capitalisme : sur la défensive, les gouvernements multiplient les mesures préventives de sécurités lors des manifs altermondialistes remettant en cause ce droit [texte imprimé] / Riccardo Petrella (1941) . - 2003 . - pp. 62 - 64.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 71 (octobre-novembre 2003) . - pp. 62 - 64
Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323 Politique intérieure
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentaux
343.4 Infractions libertés fondamentales
351.74 Force publique - policePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Les Remparts du capitalisme : sur la défensive, les gouvernements multiplient les mesures préventives de sécurités lors des manifs altermondialistes remettant en cause ce droit Type de document : texte imprimé Auteurs : Riccardo Petrella (1941) Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 62 - 64 Langues : Français (fre) Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323 Politique intérieure
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentaux
343.4 Infractions libertés fondamentales
351.74 Force publique - policePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 71 (octobre-novembre 2003) . - pp. 62 - 64Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 34190/1 P/4276 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La Renaissance arabe : de l’Histoire au présent ? (Mémoire brute) / Julien Paulus in Aide-Mémoire, 56 (avril-mai-juin 2011)
PermalinkLa Rencontre annuelle de Dixmude / Anaïs Tolbiac in Celsius, 33 (octobre 1990)
PermalinkRencontre avec Angela Davis in Ballast, 1 (hiver 2014)
PermalinkRencontre avec un résistant / PIERRE ANSAY in RésistanceS, 6 (printemps 1999)
PermalinkRencontre continentale pour l'humanité et contre le néolibéralisme in No Pasaran !, 38 (juin-juillet 1996)
PermalinkRencontres et témoignages / RESEAU MONDIAL DE SOLIDARITE DES MERES EPOUSES SOEURS FILLES PROCHES DE PERSONNES ENLEVES ET DISPARU
PermalinkRendez-vous avec l'heure qui blesse / Gaston-Paul Effa
PermalinkRepenser la violence / Michel Wieviorka in Sciences Humaines, 147 (mars 2004)
PermalinkRepères : mouvements armés palestiniens in Farde Articles 2003, (2003)
PermalinkRepères pour résister à l'idéologie dominante / Gérard Mauger
Permalink