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Modus operandi : le livret pédagogique [texte imprimé] / Luis Angel Bernardo Y Garcia, Auteur ; Hugues Lanneau, Metteur en scène, réalisateur . - [2008] . - 1 vol. (29 p.) ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
791.4 Cinéma Film
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37 Livres Pédagogiques et sur l'enseignement Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
I. UN TROISIÈME REICH LIBRE DE JUIFS
Pourquoi Hitler voulait-il débarrasser l’Allemagne de toute présence juive ?
Comment a-t-il fait pour arriver à ses fins ?
II. LA BELGIQUE AVANT-GUERRE : DES JUIFS ÉTRANGERS ET INDÉSIRABLES
Combien de Juifs vivaient en Belgique avant-guerre ?
D’où provenaient les Juifs étrangers ?
Pourquoi des milliers de Juifs du Grand Reich allemand se sont-ils réfugiés en Belgique ?
Pourquoi tous les réfugiés juifs ne bénéficiaient-ils pas du statut de réfugié politique ?
Pourquoi cette émigration en Amérique était-elle hypothétique ?
Qu’est-ce qu’un centre d’internement ?
Les Juifs étrangers étaient-ils très nombreux à Anvers ?
III. LA BELGIQUE ENVAHIE : DES JUIFS ALLEMANDS, AUTRICHIENS ET TCHÉCOSLOVAQUES SUSPECTS
Pourquoi la Belgique a-t-elle été envahie par l’Allemagne ?
Que va-t-il arriver aux Juifs du Grand Reich devenus des « ressortissants ennemis » ?
IV. LA BELGIQUE OCCUPÉE
A. LES ORDONNANCES ANTIJUIVES
Quelle autorité allemande va s’installer en Belgique occupée ?
Quelles étaient les autorités belges en Belgique occupée qui devaient traiter avec les Allemands ?
Comment se sont comportés les Allemands en Belgique occupée ?
L’administration militaire allemande va-t-elle persécuter les Juifs dès son installation en Belgique occupée ?
Quand seront édictées les premières ordonnances « antijuives » par l’administration militaire allemande ?
Les autorités belges vont-elles accepter de faire exécuter les ordonnances antijuives ?
Qui était considéré comme « juif » par l’occupant allemand ?
Toutes les administrations communales vont-elles exécuter l’ordonnance relative au registre des Juifs ?
Comment les Allemands vont-ils utiliser le registre des Juifs ?
Tous les partis d’extrême droite participeront-ils aux mesures antijuives ?
Comment a réagi la population face à cette propagande antisémite ?
Quelle était l’attitude des représentants officiels des institutions juives d’avant-guerre face aux persécutions nazies ?
Comment les Allemands vont-ils isoler les Juifs qu’ils ont identifiés ?
Les Juifs habitant en dehors des grandes villes seront-ils expulsés de leurs maisons ?
Comment l’occupant va-t-il dépouiller les Juifs de leurs biens ?
Pourquoi les Juifs ont-ils dû porter une étoile jaune cousue sur leurs vêtements ?
Les administrations communales vont-elles accepter d’exécuter l’ordonnance sur le port de l’étoile juive ?
Pourquoi la majorité des Juifs ont-ils obéi aux ordonnances
antijuives ?
Breendonk était un camp de concentration allemand ?
Pourquoi des Juifs étrangers ont-ils été mis au travail forcé en Belgique et dans le Nord de la France ?
B. LA MISE AU TRAVAIL À L’ « EST » : RAFLES ET DÉPORTATIONS VERS LE CENTRE DE MISE À MORT D’AUSCHWITZ-BIRKENAU
Qu’est-ce que le centre de mise à mort d’Auschwitz-Birkenau ?
Quand les Allemands vont-ils organiser les premières déportations des Juifs de Belgique ?
Les Juifs de nationalité belge seront-ils aussi convoqués ? Tous les Juifs ont-ils été déportés ?
Qu’est-ce qu’une rafle ?
D’autres Belges ont-ils participé aux arrestations de Juifs ?
Les Allemands ont-ils organisé des rafles dans d’autres villes de
Belgique ?
Les Juifs de nationalité belge ont-ils été déportés ?
C. RÉSISTER AUX PERSÉCUTIONS
Les Juifs se sont-ils laissés faire lors des rafles et déportations ?
Des Juifs sont donc parvenus à s’échapper aux rafles ?
Que savait-on à l’époque des camps d’extermination établis à l’Est par les nazis ?
Comment la population belge réagit-elle face aux rafles et déportations de Juifs ?
Des Belges non juifs ont donc aidé des Juifs ?
Des déportés juifs ont-ils pu s’échapper des convois ?
Les déportations vont-elles se poursuivre jusqu’à la fin de
l’occupation ?
Tous les Juifs qui ont échappé aux rafles et déportations vivaient-ils dans la clandestinité ?
V. LA BELGIQUE LIBÉRÉE : UNE COLLABORATION ADMINISTRATIVE IMPUNIE, UN JUDÉOCIDE NON RECONNU
Quand la Belgique sera-t-elle libérée par les Alliés ?
Combien de Juifs déportés de Belgique ont-ils survécu ?
Les Belges qui ont collaboré avec les Allemands dans les persécutions antijuives ont-ils été punis par la justice belge ?
Les responsables allemands seront-ils poursuivis par la justice belge ?
ÉPILOGUE : DE L’OUBLI AU TRAVAIL DE MÉMOIRE
Les Juifs de Belgique ont-ils été secourus et dédommagés après-guerre par la Belgique ?
POUR EN SAVOIR PLUS
I. ÉTUDES PUBLIÉES
II. SITES INTERNET
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Modus operandi : le livret pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Luis Angel Bernardo Y Garcia, Auteur ; Hugues Lanneau, Metteur en scène, réalisateur Année de publication : [2008] Importance : 1 vol. (29 p.) Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
791.4 Cinéma Film
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37 Livres Pédagogiques et sur l'enseignement Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
I. UN TROISIÈME REICH LIBRE DE JUIFS
Pourquoi Hitler voulait-il débarrasser l’Allemagne de toute présence juive ?
Comment a-t-il fait pour arriver à ses fins ?
II. LA BELGIQUE AVANT-GUERRE : DES JUIFS ÉTRANGERS ET INDÉSIRABLES
Combien de Juifs vivaient en Belgique avant-guerre ?
D’où provenaient les Juifs étrangers ?
Pourquoi des milliers de Juifs du Grand Reich allemand se sont-ils réfugiés en Belgique ?
Pourquoi tous les réfugiés juifs ne bénéficiaient-ils pas du statut de réfugié politique ?
Pourquoi cette émigration en Amérique était-elle hypothétique ?
Qu’est-ce qu’un centre d’internement ?
Les Juifs étrangers étaient-ils très nombreux à Anvers ?
III. LA BELGIQUE ENVAHIE : DES JUIFS ALLEMANDS, AUTRICHIENS ET TCHÉCOSLOVAQUES SUSPECTS
Pourquoi la Belgique a-t-elle été envahie par l’Allemagne ?
Que va-t-il arriver aux Juifs du Grand Reich devenus des « ressortissants ennemis » ?
IV. LA BELGIQUE OCCUPÉE
A. LES ORDONNANCES ANTIJUIVES
Quelle autorité allemande va s’installer en Belgique occupée ?
Quelles étaient les autorités belges en Belgique occupée qui devaient traiter avec les Allemands ?
Comment se sont comportés les Allemands en Belgique occupée ?
L’administration militaire allemande va-t-elle persécuter les Juifs dès son installation en Belgique occupée ?
Quand seront édictées les premières ordonnances « antijuives » par l’administration militaire allemande ?
Les autorités belges vont-elles accepter de faire exécuter les ordonnances antijuives ?
Qui était considéré comme « juif » par l’occupant allemand ?
Toutes les administrations communales vont-elles exécuter l’ordonnance relative au registre des Juifs ?
Comment les Allemands vont-ils utiliser le registre des Juifs ?
Tous les partis d’extrême droite participeront-ils aux mesures antijuives ?
Comment a réagi la population face à cette propagande antisémite ?
Quelle était l’attitude des représentants officiels des institutions juives d’avant-guerre face aux persécutions nazies ?
Comment les Allemands vont-ils isoler les Juifs qu’ils ont identifiés ?
Les Juifs habitant en dehors des grandes villes seront-ils expulsés de leurs maisons ?
Comment l’occupant va-t-il dépouiller les Juifs de leurs biens ?
Pourquoi les Juifs ont-ils dû porter une étoile jaune cousue sur leurs vêtements ?
Les administrations communales vont-elles accepter d’exécuter l’ordonnance sur le port de l’étoile juive ?
Pourquoi la majorité des Juifs ont-ils obéi aux ordonnances
antijuives ?
Breendonk était un camp de concentration allemand ?
Pourquoi des Juifs étrangers ont-ils été mis au travail forcé en Belgique et dans le Nord de la France ?
B. LA MISE AU TRAVAIL À L’ « EST » : RAFLES ET DÉPORTATIONS VERS LE CENTRE DE MISE À MORT D’AUSCHWITZ-BIRKENAU
Qu’est-ce que le centre de mise à mort d’Auschwitz-Birkenau ?
Quand les Allemands vont-ils organiser les premières déportations des Juifs de Belgique ?
Les Juifs de nationalité belge seront-ils aussi convoqués ? Tous les Juifs ont-ils été déportés ?
Qu’est-ce qu’une rafle ?
D’autres Belges ont-ils participé aux arrestations de Juifs ?
Les Allemands ont-ils organisé des rafles dans d’autres villes de
Belgique ?
Les Juifs de nationalité belge ont-ils été déportés ?
C. RÉSISTER AUX PERSÉCUTIONS
Les Juifs se sont-ils laissés faire lors des rafles et déportations ?
Des Juifs sont donc parvenus à s’échapper aux rafles ?
Que savait-on à l’époque des camps d’extermination établis à l’Est par les nazis ?
Comment la population belge réagit-elle face aux rafles et déportations de Juifs ?
Des Belges non juifs ont donc aidé des Juifs ?
Des déportés juifs ont-ils pu s’échapper des convois ?
Les déportations vont-elles se poursuivre jusqu’à la fin de
l’occupation ?
Tous les Juifs qui ont échappé aux rafles et déportations vivaient-ils dans la clandestinité ?
V. LA BELGIQUE LIBÉRÉE : UNE COLLABORATION ADMINISTRATIVE IMPUNIE, UN JUDÉOCIDE NON RECONNU
Quand la Belgique sera-t-elle libérée par les Alliés ?
Combien de Juifs déportés de Belgique ont-ils survécu ?
Les Belges qui ont collaboré avec les Allemands dans les persécutions antijuives ont-ils été punis par la justice belge ?
Les responsables allemands seront-ils poursuivis par la justice belge ?
ÉPILOGUE : DE L’OUBLI AU TRAVAIL DE MÉMOIRE
Les Juifs de Belgique ont-ils été secourus et dédommagés après-guerre par la Belgique ?
POUR EN SAVOIR PLUS
I. ÉTUDES PUBLIÉES
II. SITES INTERNET
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45228 37:17/BER Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Document .docURL Moi, Belgique / Olivier Appart
Moi, Belgique [document projeté ou vidéo] / Olivier Appart, Monteur ; Philippe Delporte, Monteur ; Hugues Lanneau, Monteur ; Bill Binnemans, Monteur ; Axel Van Weyenbergh, Monteur ; Bernard Balteau, Producteur ; Isabelle Christiaens, Producteur ; Annie Cordy, Acteur . - Bruxelles : RTBF, 2006 . - 3 DVD Video (370 mn) : format 16/9, coul.
Langues : Français (fre)
Catégories : 94(493) Histoire de la Belgique Note de contenu : 3 DVD :
DVD 1 : Naissance d'u pays (1813-1848) ; la démocratie en marche (1848-1894)
DVD 2 : De la belle époque à la Grande Guerre (1894-1918) ; Des années folles aux années noires (1918-1939)
DVD 3 : Guerre et... paix ? (1940-1950) ; La fin de la "Belgique de papa" (1950-1973) ; A la recherche d'une nouvelle identité (1973-2003) + BonusPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Moi, Belgique Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Olivier Appart, Monteur ; Philippe Delporte, Monteur ; Hugues Lanneau, Monteur ; Bill Binnemans, Monteur ; Axel Van Weyenbergh, Monteur ; Bernard Balteau, Producteur ; Isabelle Christiaens, Producteur ; Annie Cordy, Acteur Editeur : Bruxelles : RTBF Année de publication : 2006 Importance : 3 DVD Video (370 mn) Présentation : format 16/9, coul. Langues : Français (fre) Catégories : 94(493) Histoire de la Belgique Note de contenu : 3 DVD :
DVD 1 : Naissance d'u pays (1813-1848) ; la démocratie en marche (1848-1894)
DVD 2 : De la belle époque à la Grande Guerre (1894-1918) ; Des années folles aux années noires (1918-1939)
DVD 3 : Guerre et... paix ? (1940-1950) ; La fin de la "Belgique de papa" (1950-1973) ; A la recherche d'une nouvelle identité (1973-2003) + BonusPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42404 DVD/31 Audiovisuel Réserve Multimédia Disponible 43064 DVD/31 (bis) Audiovisuel Réserve Multimédia Disponible
Moi Führer des Wallons ! : Léon Degrelle et la collaboration outre-Rhin, septembre 1944 - mai 1945 [texte imprimé] / Eddy De Bruyne, Auteur . - Liège : Éditions Luc Pire [Éd. Naimette sprl], DL 2012 . - 1 vol. (381 p., [16] p. de pl.) : couv. ill. & ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-87542-060-2
Cet ouvrage est paru en 1997 sous le titre "La collaboration francophone en exil (septembre 1944-mai 1945)".
Sources, bibliographies, notes
Langues : Français (fre)
Catégories : 329.18(493)"
929 Degrelle, Léon (1906-1994)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" AGRA (Amis du Grand Reich Allemand)
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Article du Vif :
Degrelle : la collaboration francophone en exil
lundi 12 novembre 2012 à 12h19
Dans Moi, Führer des Wallons ! Eddy De Bruyne évoque le sort de Léon Degrelle et de la collaboration francophone en exil sur le sol allemand. Interview.
« Nous hurlerons quand il le faudra la vérité », martelait Degrelle. © D.R.
En septembre 1944, la collaboration belge agonise tout en se radicalisant, puis exporte ses derniers soubresauts en Allemagne. En effet, lors de la Libération, des milliers de Belges qui avaient des raisons de craindre la justice ou la colère de leurs concitoyens fuient le pays. La majorité de ces réfugiés, s’ils n’étaient pas enrôlés de force dans la Division Wallonie, se contentaient, pour survivre, de travailler dans les usines du reich. Et une petite minorité d’entre eux ont cherché refuge dans les services de police afin d’éviter de se retrouver au front.
Qu’est-il arrivé à toutes ces familles qui se sont exilées ? Sur quels appuis les collaborateurs belges ont-ils pu compter ? Comment certains ont-ils réussi à effacer à jamais leurs traces ? Dans Moi, Führer des Wallons !, l’historien Eddy De Bruyne se penche sur le sort de la collaboration francophone belge en exil sur le sol allemand.
Quel sens donner à l’équipée de Degrelle en province de Liège ? Qui étaient les commandos belges parachutés derrière les lignes alliées ? Pourquoi, en Wallonie, les anciens du front de l’Est ont occulté leur passé ? Interview d’Eddy De Bruyne.
Le Vif/L’Express : Combien de collaborateurs belges ont pris le chemin de l’Allemagne à la Libération ?
Eddy De Bruyne : Plus ou moins 5 000 personnes. Il y a des familles de rexistes, des membres de formations paramilitaires telles les Gardes wallonnes ou les volontaires wallons du NSKK, le corps de transport nazi. Il y a aussi des adhérents des Jeunesses légionnaires et du Service des volontaires du travail pour la Wallonie, des agents belges de la Sipo-Sd et de l’Abwehr, les services de renseignement policiers et militaires. En fait, on retrouve tous ceux et celles qui craignent pour leur sécurité du fait qu’ils se sont mis au service de l’occupant dans l’un ou l’autre de ces organismes.
Certains exilés sombrent dans l’inactivité, d’autres se mettent au service de la politique de Berlin. Quel est le sort de ces Belges et de leur famille dans les mois qui suivent l’arrivée des Alliés en Belgique ?
Les hommes qui ne sont pas embrigadés dans la Division Wallonie ou qui n’ont pas la chance d’occuper un poste à l’abri de la mobilisation sont absorbés dans l’effort de guerre économique allemand et sont astreints au travail dans les usines ou chez un patron. Il en est de même pour les femmes.
En Allemagne, la rivalité est forte entre rexistes et groupuscules wallons qui disposent de gros moyens financiers. Comment Rex parvient-il à supplanter ses concurrents ?
Grâce à une meilleure structure administrative qui encadre la colonie des réfugiés dans la région de Hanovre, alors que les concurrents de Rex n’ont pas une telle structure. Grâce aussi aux appuis et influences dont Degrelle dispose dans les différentes sphères de l’appareil national-socialiste. En outre, la présence de Rex était, à tous niveaux, majoritaire sur l’échiquier collaborationniste.
Dès leur arrivée dans la région de Hanovre, des rexistes découvrent que des exilés belges se sont constitué un butin de guerre. Comment réagissent-ils ?
Des rexistes sincères et convaincus – il y en a eu ! – sont indignés en apprenant les agissements peu reluisants de certains exilés belges, membres de la Brigade Z. A la veille de l'exode, au cours d'expéditions sanglantes, ces agents actifs dans la contre-terreur se sont constitué un butin, dont ils profitent en toute impunité grâce à la protection de la toute-puissante Gestapo. Ceux qui, parmi les rexistes, tentent d'élever la voix sont envoyés au front, en première ligne, sans espoir de retour.
Degrelle a voulu attirer des ouvriers déportés et des prisonniers de guerre au sein de la Division SS Wallonie. Avec quels résultats ?
Pour les prisonniers de guerre, il dispose de recruteurs patentés qui font le tour des oflags, les camps pour officiers, et des stalags, les camps pour sous-officiers et soldats. Les résultats, après septembre 1944, sont maigres, on s’en doute. En ce qui concerne les travailleurs, Degrelle use d’une tromperie : il fait miroiter aux ouvriers un stage de trois mois dans un camp de travail wallon, présenté comme une remise en forme physique au terme de laquelle ils retourneront dans leurs usines. En réalité, ils sont embrigadés dans la Division Wallonie. A partir de février 1945, ces ouvriers « requis » sont contraints de rejoindre le front en Poméranie, où une dernière offensive allemande est tentée pour contrer l’avancée soviétique.
Vous évoquez le sort des rexistes et autres exilés francophones. Jef van de Wiele, chef de DeVlag, et les autres collaborateurs flamands ont-ils suivi exactement le même parcours fin 1944-début 1945 ?
Oui, à peu près. Regroupés dans la partie septentrionale du Gau Hannover, ils y ont formé un Landsleiding, sorte de gouvernement flamand en exil. Leur objectif : embrigader du monde dans la division Langemarck, mettre les gens au travail, s’occuper du logement et de l’installation de la colonie flamande. Seule différence par rapport aux Wallons : ils sont deux fois plus nombreux.
Lors de la contre-offensive von Rundstedt, dernier coup de dés d’Hitler, en décembre 1944, des commandos de collaborateurs belges sont formés pour être parachutés derrière les lignes alliées. Quel éclairage apportez-vous sur cet épisode peu connu ?
La formation de commandos wallons est l’œuvre du « département VI », chargé de l’espionnage à l’étranger, et du RSHA, l’Office central de la sécurité du reich, issu notamment de la Gestapo. Quelques équipes wallonnes et flamandes ont été mises sur pied à Marbourg et ailleurs dans des kampfschulen, des centres spécialisés où l’on enseignait les méthodes de sabotage, de parachutage, d’espionnage et où l’on dispensait des cours de morse. Il y a eu des parachutages d’agents flamands. En revanche, les équipes wallonnes n’ont pas été opérationnelles.
En décembre 1944 et janvier 1945, à défaut d’établir son « gouvernement » à Bruxelles, Degrelle doit se contenter de séjourner à Steinbach et Limerlé, dans les confins orientaux de la province de Liège. Quel sens avait cette équipée ?
˃ Il faut surtout y voir, de la part de Degrelle, une manœuvre politique et non une mission miliaire pour laquelle, en dépit de tout ce qu’il a pu affirmer après la guerre, il n’a reçu aucun ordre. Il s’agit de damer le pion à Jef van de Wiele et d’arriver le premier à Bruxelles afin de s’imposer à Berlin comme seul interlocuteur agissant au nom des deux communautés nationales.
Après la guerre, en Flandre, les anciens combattants du front de l’Est ont été réintégrés dans la société. En Wallonie, ils ont dû occulter leur passé. Quelles conséquences ?
˃ En Wallonie, il est impossible de se manifester comme ancien du front de l'Est ou comme ex-collaborateur. C’est possible en Flandre. Rappelez-vous la série télé L'Ordre Nouveau : tous les témoins flamands se sont laissé filmer à visage découvert par Maurice De Wilde, avec mention de leur nom. Les Wallons, à de rares exceptions près, ont tenu, eux, à témoigner anonymement. En Flandre, on peut estimer que les anciens du front de l'Est ont été réintégrés dans la société, voire acceptés par une partie de la population. En Wallonie, dans la grande majorité des cas, l’intégration s'est faite en occultant soigneusement le passé. C'est tellement vrai que beaucoup d’ex-légionnaires wallons ont appréhendé le moment de la retraite : il fallait alors constituer un dossier administratif et dévoiler le « trou » dans la carrière. Il correspondait au temps d'incarcération.
Olivier RogeauNote de contenu : Table :
I. Le kaléidoscope de la collaboration 1940-1944 en Belgique francophone
1. Genèse de la collaboration
2. Aperçu des partis politiques, groupuscules collaborationnistes et associations dites culturelles de collaboration dans la partie francophone du pays
a. Partis et groupuscule de collaboration à la veille de l'exode (Rex, Agra et Heimattreue Front)
b. Mouvements dits culturels (Deutscher Sprachverein DSV, Communauté Culturelle Wallonne CCW)
c. Groupuscules collaborationnistes (De Vlag, Algemene SS en Wallonie, Ligue pour la Défense du Peuple)
d. Formations paramilitaires (Formation de Combat FC, Garde Wallonne GW, Garde rurale, Nationalsozialistisches Kraftfahrerkorps NSSK, Service des Volontaires du Travail Wallon SVTW, organisation TODT-OT)
e. Mouvements de jeunesse d'ordre nouveau (Préliminaires, Jeunesse Légionnaire JL)
3. Collaboration politico-sociale
L'Union des Travailleurs Manuels et Intellectuels UTMI
4. Collaboration sociale
Secours d'Hiver / Bien-être du Peuple (BEP)
5. Collaboration politico-administrative
6. Collaboration intellectuelle
7. Collaboration militaire
8. Organismes nouveaux
Corporation Nationale de l'Agriculture et de l'Alimentation / Offices Centraux de Marchandises / Office National du Travail et les Werbestllen
9. Services policiers, d'espionnage et appareils de répression
Zivilfahndungsdienst / Ermittlungsdienst / Divers groupements
10. Bilan
II. la collaboration en exil
11. L'évacuation
préparatifs / Mesures allemandes / Sort des détenus politiques / Exode et accueil en Allemagne / Mobilisation générale de la Jeunesse / mobilisation politique / Bureau Central d’Évacuation
12. Services policiers et formations spéciales
Sipo-SD Wallonie / Frontaufklärungstrups / Sonderkommando Wallonien / Leitstelle Siegrfried / Activités pendant l'offensive des Ardennes
13. La collaboration sociale et ses composantes
Organisation sociale / Lutte de Rex dans le domaine social / L'aile pangermaniste contre Rex et l'UTMI-DAF / Avatars d'une politique sociale d'Ordre Nouveau / Le "Centre Wallon" de Berlin / Les "Centres Wallons"
14. Le réservoir en hommes
les avatars du Service du Travail Wallon / Entre le marteau et l'enclume / le SVTW et STW féminins mai 1944-avril 1945
15. L'Offensive des Ardennes
Préliminaires à Sigmaringen / Gummersbach / Mouvement vers l'Ouest
16. La collaboration politique en Allemagne
Degrelle chef politique / Le Bureau de Liaison Rex en Allemagne / Activités de Rex en Allemagne
17. LA collaboration radiodiffusée
Radio Wallonie Socialiste / Activités
18. La presse francophone en Allemagne
Introduction / L’Effort Wallon / Annales . Le Combattant Européen - le Combattant SS / L'Avenir - édition de Berlin / La Toison d'or
19. La Débâcle
la grande rafle / La fin des illusions / la fuite / des retours peu empressés / le Maquis rexiste / la Compagnie "S" / on remet ça en Corée ?
III. le temps des comptes
20. Au ban de la société
la grande traque / la répression et l'opinion publique / la réinsertion sociale
21. Les BourguignonsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Moi Führer des Wallons ! : Léon Degrelle et la collaboration outre-Rhin, septembre 1944 - mai 1945 Type de document : texte imprimé Auteurs : Eddy De Bruyne, Auteur Editeur : Liège : Éditions Luc Pire [Éd. Naimette sprl] Année de publication : DL 2012 Importance : 1 vol. (381 p., [16] p. de pl.) Présentation : couv. ill. & ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87542-060-2 Note générale : Cet ouvrage est paru en 1997 sous le titre "La collaboration francophone en exil (septembre 1944-mai 1945)".
Sources, bibliographies, notesLangues : Français (fre) Catégories : 329.18(493)"
929 Degrelle, Léon (1906-1994)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" AGRA (Amis du Grand Reich Allemand)
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration Résumé : Article du Vif :
Degrelle : la collaboration francophone en exil
lundi 12 novembre 2012 à 12h19
Dans Moi, Führer des Wallons ! Eddy De Bruyne évoque le sort de Léon Degrelle et de la collaboration francophone en exil sur le sol allemand. Interview.
« Nous hurlerons quand il le faudra la vérité », martelait Degrelle. © D.R.
En septembre 1944, la collaboration belge agonise tout en se radicalisant, puis exporte ses derniers soubresauts en Allemagne. En effet, lors de la Libération, des milliers de Belges qui avaient des raisons de craindre la justice ou la colère de leurs concitoyens fuient le pays. La majorité de ces réfugiés, s’ils n’étaient pas enrôlés de force dans la Division Wallonie, se contentaient, pour survivre, de travailler dans les usines du reich. Et une petite minorité d’entre eux ont cherché refuge dans les services de police afin d’éviter de se retrouver au front.
Qu’est-il arrivé à toutes ces familles qui se sont exilées ? Sur quels appuis les collaborateurs belges ont-ils pu compter ? Comment certains ont-ils réussi à effacer à jamais leurs traces ? Dans Moi, Führer des Wallons !, l’historien Eddy De Bruyne se penche sur le sort de la collaboration francophone belge en exil sur le sol allemand.
Quel sens donner à l’équipée de Degrelle en province de Liège ? Qui étaient les commandos belges parachutés derrière les lignes alliées ? Pourquoi, en Wallonie, les anciens du front de l’Est ont occulté leur passé ? Interview d’Eddy De Bruyne.
Le Vif/L’Express : Combien de collaborateurs belges ont pris le chemin de l’Allemagne à la Libération ?
Eddy De Bruyne : Plus ou moins 5 000 personnes. Il y a des familles de rexistes, des membres de formations paramilitaires telles les Gardes wallonnes ou les volontaires wallons du NSKK, le corps de transport nazi. Il y a aussi des adhérents des Jeunesses légionnaires et du Service des volontaires du travail pour la Wallonie, des agents belges de la Sipo-Sd et de l’Abwehr, les services de renseignement policiers et militaires. En fait, on retrouve tous ceux et celles qui craignent pour leur sécurité du fait qu’ils se sont mis au service de l’occupant dans l’un ou l’autre de ces organismes.
Certains exilés sombrent dans l’inactivité, d’autres se mettent au service de la politique de Berlin. Quel est le sort de ces Belges et de leur famille dans les mois qui suivent l’arrivée des Alliés en Belgique ?
Les hommes qui ne sont pas embrigadés dans la Division Wallonie ou qui n’ont pas la chance d’occuper un poste à l’abri de la mobilisation sont absorbés dans l’effort de guerre économique allemand et sont astreints au travail dans les usines ou chez un patron. Il en est de même pour les femmes.
En Allemagne, la rivalité est forte entre rexistes et groupuscules wallons qui disposent de gros moyens financiers. Comment Rex parvient-il à supplanter ses concurrents ?
Grâce à une meilleure structure administrative qui encadre la colonie des réfugiés dans la région de Hanovre, alors que les concurrents de Rex n’ont pas une telle structure. Grâce aussi aux appuis et influences dont Degrelle dispose dans les différentes sphères de l’appareil national-socialiste. En outre, la présence de Rex était, à tous niveaux, majoritaire sur l’échiquier collaborationniste.
Dès leur arrivée dans la région de Hanovre, des rexistes découvrent que des exilés belges se sont constitué un butin de guerre. Comment réagissent-ils ?
Des rexistes sincères et convaincus – il y en a eu ! – sont indignés en apprenant les agissements peu reluisants de certains exilés belges, membres de la Brigade Z. A la veille de l'exode, au cours d'expéditions sanglantes, ces agents actifs dans la contre-terreur se sont constitué un butin, dont ils profitent en toute impunité grâce à la protection de la toute-puissante Gestapo. Ceux qui, parmi les rexistes, tentent d'élever la voix sont envoyés au front, en première ligne, sans espoir de retour.
Degrelle a voulu attirer des ouvriers déportés et des prisonniers de guerre au sein de la Division SS Wallonie. Avec quels résultats ?
Pour les prisonniers de guerre, il dispose de recruteurs patentés qui font le tour des oflags, les camps pour officiers, et des stalags, les camps pour sous-officiers et soldats. Les résultats, après septembre 1944, sont maigres, on s’en doute. En ce qui concerne les travailleurs, Degrelle use d’une tromperie : il fait miroiter aux ouvriers un stage de trois mois dans un camp de travail wallon, présenté comme une remise en forme physique au terme de laquelle ils retourneront dans leurs usines. En réalité, ils sont embrigadés dans la Division Wallonie. A partir de février 1945, ces ouvriers « requis » sont contraints de rejoindre le front en Poméranie, où une dernière offensive allemande est tentée pour contrer l’avancée soviétique.
Vous évoquez le sort des rexistes et autres exilés francophones. Jef van de Wiele, chef de DeVlag, et les autres collaborateurs flamands ont-ils suivi exactement le même parcours fin 1944-début 1945 ?
Oui, à peu près. Regroupés dans la partie septentrionale du Gau Hannover, ils y ont formé un Landsleiding, sorte de gouvernement flamand en exil. Leur objectif : embrigader du monde dans la division Langemarck, mettre les gens au travail, s’occuper du logement et de l’installation de la colonie flamande. Seule différence par rapport aux Wallons : ils sont deux fois plus nombreux.
Lors de la contre-offensive von Rundstedt, dernier coup de dés d’Hitler, en décembre 1944, des commandos de collaborateurs belges sont formés pour être parachutés derrière les lignes alliées. Quel éclairage apportez-vous sur cet épisode peu connu ?
La formation de commandos wallons est l’œuvre du « département VI », chargé de l’espionnage à l’étranger, et du RSHA, l’Office central de la sécurité du reich, issu notamment de la Gestapo. Quelques équipes wallonnes et flamandes ont été mises sur pied à Marbourg et ailleurs dans des kampfschulen, des centres spécialisés où l’on enseignait les méthodes de sabotage, de parachutage, d’espionnage et où l’on dispensait des cours de morse. Il y a eu des parachutages d’agents flamands. En revanche, les équipes wallonnes n’ont pas été opérationnelles.
En décembre 1944 et janvier 1945, à défaut d’établir son « gouvernement » à Bruxelles, Degrelle doit se contenter de séjourner à Steinbach et Limerlé, dans les confins orientaux de la province de Liège. Quel sens avait cette équipée ?
˃ Il faut surtout y voir, de la part de Degrelle, une manœuvre politique et non une mission miliaire pour laquelle, en dépit de tout ce qu’il a pu affirmer après la guerre, il n’a reçu aucun ordre. Il s’agit de damer le pion à Jef van de Wiele et d’arriver le premier à Bruxelles afin de s’imposer à Berlin comme seul interlocuteur agissant au nom des deux communautés nationales.
Après la guerre, en Flandre, les anciens combattants du front de l’Est ont été réintégrés dans la société. En Wallonie, ils ont dû occulter leur passé. Quelles conséquences ?
˃ En Wallonie, il est impossible de se manifester comme ancien du front de l'Est ou comme ex-collaborateur. C’est possible en Flandre. Rappelez-vous la série télé L'Ordre Nouveau : tous les témoins flamands se sont laissé filmer à visage découvert par Maurice De Wilde, avec mention de leur nom. Les Wallons, à de rares exceptions près, ont tenu, eux, à témoigner anonymement. En Flandre, on peut estimer que les anciens du front de l'Est ont été réintégrés dans la société, voire acceptés par une partie de la population. En Wallonie, dans la grande majorité des cas, l’intégration s'est faite en occultant soigneusement le passé. C'est tellement vrai que beaucoup d’ex-légionnaires wallons ont appréhendé le moment de la retraite : il fallait alors constituer un dossier administratif et dévoiler le « trou » dans la carrière. Il correspondait au temps d'incarcération.
Olivier RogeauNote de contenu : Table :
I. Le kaléidoscope de la collaboration 1940-1944 en Belgique francophone
1. Genèse de la collaboration
2. Aperçu des partis politiques, groupuscules collaborationnistes et associations dites culturelles de collaboration dans la partie francophone du pays
a. Partis et groupuscule de collaboration à la veille de l'exode (Rex, Agra et Heimattreue Front)
b. Mouvements dits culturels (Deutscher Sprachverein DSV, Communauté Culturelle Wallonne CCW)
c. Groupuscules collaborationnistes (De Vlag, Algemene SS en Wallonie, Ligue pour la Défense du Peuple)
d. Formations paramilitaires (Formation de Combat FC, Garde Wallonne GW, Garde rurale, Nationalsozialistisches Kraftfahrerkorps NSSK, Service des Volontaires du Travail Wallon SVTW, organisation TODT-OT)
e. Mouvements de jeunesse d'ordre nouveau (Préliminaires, Jeunesse Légionnaire JL)
3. Collaboration politico-sociale
L'Union des Travailleurs Manuels et Intellectuels UTMI
4. Collaboration sociale
Secours d'Hiver / Bien-être du Peuple (BEP)
5. Collaboration politico-administrative
6. Collaboration intellectuelle
7. Collaboration militaire
8. Organismes nouveaux
Corporation Nationale de l'Agriculture et de l'Alimentation / Offices Centraux de Marchandises / Office National du Travail et les Werbestllen
9. Services policiers, d'espionnage et appareils de répression
Zivilfahndungsdienst / Ermittlungsdienst / Divers groupements
10. Bilan
II. la collaboration en exil
11. L'évacuation
préparatifs / Mesures allemandes / Sort des détenus politiques / Exode et accueil en Allemagne / Mobilisation générale de la Jeunesse / mobilisation politique / Bureau Central d’Évacuation
12. Services policiers et formations spéciales
Sipo-SD Wallonie / Frontaufklärungstrups / Sonderkommando Wallonien / Leitstelle Siegrfried / Activités pendant l'offensive des Ardennes
13. La collaboration sociale et ses composantes
Organisation sociale / Lutte de Rex dans le domaine social / L'aile pangermaniste contre Rex et l'UTMI-DAF / Avatars d'une politique sociale d'Ordre Nouveau / Le "Centre Wallon" de Berlin / Les "Centres Wallons"
14. Le réservoir en hommes
les avatars du Service du Travail Wallon / Entre le marteau et l'enclume / le SVTW et STW féminins mai 1944-avril 1945
15. L'Offensive des Ardennes
Préliminaires à Sigmaringen / Gummersbach / Mouvement vers l'Ouest
16. La collaboration politique en Allemagne
Degrelle chef politique / Le Bureau de Liaison Rex en Allemagne / Activités de Rex en Allemagne
17. LA collaboration radiodiffusée
Radio Wallonie Socialiste / Activités
18. La presse francophone en Allemagne
Introduction / L’Effort Wallon / Annales . Le Combattant Européen - le Combattant SS / L'Avenir - édition de Berlin / La Toison d'or
19. La Débâcle
la grande rafle / La fin des illusions / la fuite / des retours peu empressés / le Maquis rexiste / la Compagnie "S" / on remet ça en Corée ?
III. le temps des comptes
20. Au ban de la société
la grande traque / la répression et l'opinion publique / la réinsertion sociale
21. Les BourguignonsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Article du VifURL Un moment historique pour les Juifs belges / Christian Laporte in Farde Articles 2002, (2002)
[article] Un moment historique pour les Juifs belges : le soir 28/06/02 [texte imprimé] / Christian Laporte . - 2002 . - p. 321.
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343.7 Infractions contre la propriété Vol Spoliations
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(33) Histoire du Peuple juif
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
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Titre : Un moment historique pour les Juifs belges : le soir 28/06/02 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Laporte Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 321 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
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[article] Mon ami Lumumba : interview de Jean Van Lierde, belge anticolonialiste et ami de Lumumba [texte imprimé] / Jean Van Lierde (1926-2006) ; Cécile Rolin . - 2002 . - pp. 10 - 11.
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Catégories : (493) Belgique
(675) République Démocratique du Congo (RDC)
325.3 Colonisation/ décolonisation
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
929 Biographies et témoignages
929 Lumumba, Patrice
929 Van Lierde, Jean (1926-2006)
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Titre : Mon ami Lumumba : interview de Jean Van Lierde, belge anticolonialiste et ami de Lumumba Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Van Lierde (1926-2006) ; Cécile Rolin Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 10 - 11 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
(675) République Démocratique du Congo (RDC)
325.3 Colonisation/ décolonisation
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / Assassinat
929 Biographies et témoignages
929 Lumumba, Patrice
929 Van Lierde, Jean (1926-2006)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 25574/1 P/3258 Périodique Réserve Périodiques Disponible Mon arrestation et autres souvenirs / JULES LINSMEAU in Chroniques de la résistance du Front de l'Indépendance, 6 (septembre 1979)
PermalinkMon Histoire, résistante à 17 ans in Souviens-toi, 73 (avril-juin 2004)
PermalinkLe Monde catholique et la question sociale (1891-1950) / Françoise Rosart
PermalinkMonseigneur Jean-Baptiste Musty in Souviens-toi, 31 (décembre 1992)
PermalinkMonsieur Blanc / Jo Schoovaerts
PermalinkLa Montée du National-Socialisme en Allemagne / François (Rik) Wolgarten in Résistance liégeoise, 155 (1er trimestre 2000)
PermalinkLa Montée rexiste / Jules Gérard-Libois in Courrier Hebdomadaire, 1226 (1989)
PermalinkPermalinkDe moord op Patrice Lumumba en de parlementaire onderzoekscommissie / Rudi Van Doorslaer in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 11 (2003)
PermalinkLa mort à Bruxelles, 1914-1918 / Benoît Majerus in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
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