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Le devoir de mémoire / Johann Michel in Sciences Humaines, 315 (juin 2019)
[article] Le devoir de mémoire [texte imprimé] / Johann Michel, Auteur . - 2019 . - p. 20-25.
Langues : Français (fre)
in Sciences Humaines > 315 (juin 2019) . - p. 20-25
Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
94 Histoire générale
Judéocide / ShoahRésumé : Apparue dans les années 1990, l’expression « devoir de mémoire » s’est imposée dans l’espace public. Elle s’est polarisée sur la Shoah, puis sur d’autres tragédies historiques comme l’esclavage. Qu’est-ce qui distingue le devoir de mémoire des commémorations classiques ? Comment enseigner la mémoire à l’école ? Peut-on lui opposer un droit à l’oubli ? Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le devoir de mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Johann Michel, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 20-25 Langues : Français (fre) Catégories : 37:17 Travail de Mémoire
94 Histoire générale
Judéocide / ShoahRésumé : Apparue dans les années 1990, l’expression « devoir de mémoire » s’est imposée dans l’espace public. Elle s’est polarisée sur la Shoah, puis sur d’autres tragédies historiques comme l’esclavage. Qu’est-ce qui distingue le devoir de mémoire des commémorations classiques ? Comment enseigner la mémoire à l’école ? Peut-on lui opposer un droit à l’oubli ? Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Sciences Humaines > 315 (juin 2019) . - p. 20-25Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52201 SCI Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Devoir de mémoire in Le Vif / L'Express, 2642 ([17/10/2008])
[article] Devoir de mémoire [texte imprimé] . - 2008 . - p. 73.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 2642 [17/10/2008] . - p. 73
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
321.6(47) Stalinisme
37:17 Travail de MémoireRésumé : Un groupe de parlementaires européens fait campagne dans les états membres de l'Union afin que, dès l'année prochaine, le 23 août devienne la "Journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme". Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Devoir de mémoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 73 Langues : Français (fre) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
321.6(47) Stalinisme
37:17 Travail de MémoireRésumé : Un groupe de parlementaires européens fait campagne dans les états membres de l'Union afin que, dès l'année prochaine, le 23 août devienne la "Journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme". Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 2642 [17/10/2008] . - p. 73Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? / Forum "Le Monde" Le Mans (2001)
Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? [texte imprimé] / Forum "Le Monde" Le Mans (2001), Auteur ; Thomas Ferenczi, Directeur de publication . - Bruxelles : Complexe, 2002 . - 281 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Interventions) .
ISBN : 2-87027-941-8 : 19,90 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : note de l'éditeur :
La France serait-elle malade de sa mémoire? Certains le pensent. Ils dénoncent la manie française des commémorations et considèrent que les Français sont obsédés par leur passé, un passé qui nourrit tantôt leur fierté, tantôt leur mauvaise conscience. Le souvenir de la Shoah, en particulier, est jugé parfois envahissant. Face à ceux qui veulent que jamais ne s’efface la mémoire du génocide nazi, il en est pour mettre en garde contre « un passé qui ne passe pas ». Ou pour faire valoir des mémoires concurrentes, qui appelleraient, disent-ils, la même attention, comme la mémoire du comunisme, l’autre grand criminel du XXe siècle. « Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donnent le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs » écrit par exemple, au début de son maître-livre La Mémoire, l’oubli, l’histoire, le philosophe Paul Ricœur, avant de plaider pour « une politique de la juste mémoire ».
Cette interrogation n’est pas propre à la France. Toutes les nouvelles démocraties se demandent comment gérer les années sombres dont elles viennent d’émerger. Doivent-elles tourner la page au nom de la réconciliation nationale? Ou doivent-elles juger leurs anciens dirigeants au nom du droit des victimes, qui demandent justice? Faudrait-il renoncer à remuer les vieux souvenirs pour ne pas rouvrir les blessures? Ou combattre l’oubli pour permettre le travail de deuil? Chaque nation cherche sa voie. En Europe de l’Est on a choisi celle de l’apaisement plutôt que celle des procès. En Amérique latine, l’affaire Pinochet a fait resurgir un passé que l’on avait d’abord tenté de mettre entre parenthèses. En Afrique du Sud une commission a tenté de concilier paix civile et recherche de la vérité. Partout s’est posée la question que soulève Nietszche dans sa Seconde considération inactuelle: comment « fixer la limite où il devient nécessaire que le passé s’oublie pour ne pas enterrer le présent »?
Au-delà des affrontements politiques auxquels donnent lieu les diverses révolutions démocratiques qui ont marqué la fin du XXe siècle, c’est une véritable éthique du vivre-ensemble qu’engage l’insurmontable dialectique de la mémoire et de l’oubli. Au « devoir de mémoire » qu’invoquent, avec raison, ceux qui refusent toute forme d’occultation ou de refoulement du passé s’oppose un « droit à l’oubli » qui est aussi la condition de la survie. « Toute action comporte l’oubli, de même que la vie de tout organisme comporte non seulement de la lumière mais de l’obscurité », écrit encore Nietzsche. L’oubli, ou du moins ses substituts que sont, dans l’ordre juridique, l’amnistie et la grâce ou, dans l’ordre religieux, le pardon et l’absolution.
Face aux abus de la mémoire se tiennent aussi les exigences de l’histoire. L’historien ne se confond pas avec le mémorialiste, affirme René Rémond en ouverture de Notre Siècle. Certes il n’échappe pas au poids des souvenirs parce qu’il vit dans son temps et qu’il en partage la mémoire collective. Mais il doit aider à les mettre à distance pour tenter de penser le lien entre hier et aujourd’hui. Ce lien est fait à la fois de continuité et de rupture. L’une et l’autre doivent être prises en compte. La dialectique entre mémoire et histoire est ainsi au cœur de la connaissance du passé. Là où la mémoire offre un « tableau des ressemblances », estimait Maurice Halbwachs, l’histoire propose un « tableau des changements ». Ce sont les deux faces complémentaires de la vérité.
Le treizième Forum organisé conjointement par la Ville du Mans, le Journal Le Monde et l’Université du Maine, tenu en cotobre 2000 sous la direction de Thomas Ferenczi, a décliné cette problématique sous trois axes thématiques: les traces du passé, les blessures de l’histoire et les exigences du savoir. L’ouvrage que voici en propose les Actes.
Contributions de: Christian Boltanski, Peter Brooks, Jean-Louis Bruguès, Jean-Luc Einaudi, Valérie Haas, Alexandra Laignel-Lavastine, Nicole Lapierre, Bernard-Henry Lévy, Françoise Lucbert, Isabelle Neuschwander, Claire Paulhan, René Rémond, Paul Ricœur, Régine Robin, Jean-Michel Rodes, Benjamin Stora, Yves Ternon, Stéphane Tison, Claude Torracinta, Nathan Wachtel, Nicolas Weill, Annette Wieviorka.Note de contenu : Sommaire :
1. Les traces du passé
Esquisse d'un parcours de l'oubli / P. Ricoeur
Des intellectuels contre la mémoire / A. Lagnel-Lavastine
L'exigence de mémoire et ses limites / R. Rémond
Le traumatisme de la Grande Guerre / S. Tison
La face cachée d'une ville / V. Haas
La mémoire retrouvée de l guerre d'Algérie / B. Stora
De l'Indochine à l'Algérie / JL Einaudi
2. Les blessures de l'histoire
La discordance des temps / N. Lapierre
Une juste mémoire, est-ce possible ? R. Robin
Mémoire marrane / N. Wachtel
Mémoire et pardon / JL Bruguès
Le malheur de l'autre / Y. Ternon
LA déchirure helvétique / C. Torracinta
Aveu, mémoire et trauma devant le tribunal / P. Brooks
3. Les exigences du savoir
Entre transparence et oubli / A. Wieviorka
Un service public de la mémoire et de l'histoire / I. Neuschwander
Mémoire et archives littéraires : du manuscrit à l'édition, du secret à l'historicisation / C. Paulhan
L'archivage au temps d'internet / JM Rodes
Y a-t-il un bon usage de la mémoire ? / N. Weill
La mémoire infinie / BH Lévy
La responsabilité de l'artiste / F. Lucbert
Rencontre / Ch. Boltanski
Fiction : "En toute bonne foi, Madame..." d'André VersaillePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Forum "Le Monde" Le Mans (2001), Auteur ; Thomas Ferenczi, Directeur de publication Editeur : Bruxelles : Complexe Année de publication : 2002 Collection : Interventions Importance : 281 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87027-941-8 Prix : 19,90 EUR Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : note de l'éditeur :
La France serait-elle malade de sa mémoire? Certains le pensent. Ils dénoncent la manie française des commémorations et considèrent que les Français sont obsédés par leur passé, un passé qui nourrit tantôt leur fierté, tantôt leur mauvaise conscience. Le souvenir de la Shoah, en particulier, est jugé parfois envahissant. Face à ceux qui veulent que jamais ne s’efface la mémoire du génocide nazi, il en est pour mettre en garde contre « un passé qui ne passe pas ». Ou pour faire valoir des mémoires concurrentes, qui appelleraient, disent-ils, la même attention, comme la mémoire du comunisme, l’autre grand criminel du XXe siècle. « Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donnent le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs » écrit par exemple, au début de son maître-livre La Mémoire, l’oubli, l’histoire, le philosophe Paul Ricœur, avant de plaider pour « une politique de la juste mémoire ».
Cette interrogation n’est pas propre à la France. Toutes les nouvelles démocraties se demandent comment gérer les années sombres dont elles viennent d’émerger. Doivent-elles tourner la page au nom de la réconciliation nationale? Ou doivent-elles juger leurs anciens dirigeants au nom du droit des victimes, qui demandent justice? Faudrait-il renoncer à remuer les vieux souvenirs pour ne pas rouvrir les blessures? Ou combattre l’oubli pour permettre le travail de deuil? Chaque nation cherche sa voie. En Europe de l’Est on a choisi celle de l’apaisement plutôt que celle des procès. En Amérique latine, l’affaire Pinochet a fait resurgir un passé que l’on avait d’abord tenté de mettre entre parenthèses. En Afrique du Sud une commission a tenté de concilier paix civile et recherche de la vérité. Partout s’est posée la question que soulève Nietszche dans sa Seconde considération inactuelle: comment « fixer la limite où il devient nécessaire que le passé s’oublie pour ne pas enterrer le présent »?
Au-delà des affrontements politiques auxquels donnent lieu les diverses révolutions démocratiques qui ont marqué la fin du XXe siècle, c’est une véritable éthique du vivre-ensemble qu’engage l’insurmontable dialectique de la mémoire et de l’oubli. Au « devoir de mémoire » qu’invoquent, avec raison, ceux qui refusent toute forme d’occultation ou de refoulement du passé s’oppose un « droit à l’oubli » qui est aussi la condition de la survie. « Toute action comporte l’oubli, de même que la vie de tout organisme comporte non seulement de la lumière mais de l’obscurité », écrit encore Nietzsche. L’oubli, ou du moins ses substituts que sont, dans l’ordre juridique, l’amnistie et la grâce ou, dans l’ordre religieux, le pardon et l’absolution.
Face aux abus de la mémoire se tiennent aussi les exigences de l’histoire. L’historien ne se confond pas avec le mémorialiste, affirme René Rémond en ouverture de Notre Siècle. Certes il n’échappe pas au poids des souvenirs parce qu’il vit dans son temps et qu’il en partage la mémoire collective. Mais il doit aider à les mettre à distance pour tenter de penser le lien entre hier et aujourd’hui. Ce lien est fait à la fois de continuité et de rupture. L’une et l’autre doivent être prises en compte. La dialectique entre mémoire et histoire est ainsi au cœur de la connaissance du passé. Là où la mémoire offre un « tableau des ressemblances », estimait Maurice Halbwachs, l’histoire propose un « tableau des changements ». Ce sont les deux faces complémentaires de la vérité.
Le treizième Forum organisé conjointement par la Ville du Mans, le Journal Le Monde et l’Université du Maine, tenu en cotobre 2000 sous la direction de Thomas Ferenczi, a décliné cette problématique sous trois axes thématiques: les traces du passé, les blessures de l’histoire et les exigences du savoir. L’ouvrage que voici en propose les Actes.
Contributions de: Christian Boltanski, Peter Brooks, Jean-Louis Bruguès, Jean-Luc Einaudi, Valérie Haas, Alexandra Laignel-Lavastine, Nicole Lapierre, Bernard-Henry Lévy, Françoise Lucbert, Isabelle Neuschwander, Claire Paulhan, René Rémond, Paul Ricœur, Régine Robin, Jean-Michel Rodes, Benjamin Stora, Yves Ternon, Stéphane Tison, Claude Torracinta, Nathan Wachtel, Nicolas Weill, Annette Wieviorka.Note de contenu : Sommaire :
1. Les traces du passé
Esquisse d'un parcours de l'oubli / P. Ricoeur
Des intellectuels contre la mémoire / A. Lagnel-Lavastine
L'exigence de mémoire et ses limites / R. Rémond
Le traumatisme de la Grande Guerre / S. Tison
La face cachée d'une ville / V. Haas
La mémoire retrouvée de l guerre d'Algérie / B. Stora
De l'Indochine à l'Algérie / JL Einaudi
2. Les blessures de l'histoire
La discordance des temps / N. Lapierre
Une juste mémoire, est-ce possible ? R. Robin
Mémoire marrane / N. Wachtel
Mémoire et pardon / JL Bruguès
Le malheur de l'autre / Y. Ternon
LA déchirure helvétique / C. Torracinta
Aveu, mémoire et trauma devant le tribunal / P. Brooks
3. Les exigences du savoir
Entre transparence et oubli / A. Wieviorka
Un service public de la mémoire et de l'histoire / I. Neuschwander
Mémoire et archives littéraires : du manuscrit à l'édition, du secret à l'historicisation / C. Paulhan
L'archivage au temps d'internet / JM Rodes
Y a-t-il un bon usage de la mémoire ? / N. Weill
La mémoire infinie / BH Lévy
La responsabilité de l'artiste / F. Lucbert
Rencontre / Ch. Boltanski
Fiction : "En toute bonne foi, Madame..." d'André VersaillePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40594/1 37:17/FER Livre Libre-accès Adultes Disponible Le Devoir de mémoire est en marche sur Srebrenica / François-Xavier Delisse in Farde Articles 2005, 2 (2005)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le devoir de mémoire / Sébastien Ledoux
Le devoir de mémoire : une formule et son histoire [texte imprimé] / Sébastien Ledoux (1971-....), Auteur . - Paris : CNRS, 2016 . - 1 vol. (367 p.) : ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-271-08800-0
Bibliogr. p. 323-354. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
37:17 Travail de MémoireIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4e de couverture
D’où vient l’expression « devoir de mémoire » ? Comment s’est-elle imposée dans notre langage courant ? À partir de nombreux entretiens, d’archives inédites et de sources numériques massives, Sébastien Ledoux retrace la trajectoire de cette formule qui éclaire la relation souvent douloureuse que la France entretient avec son histoire récente. Forgé à l’orée des années 1970, le terme investit le débat public dans les années 1990, accompagnant le « syndrome de Vichy » et la réévaluation du rôle de la France dans la mise en œuvre de la Solution finale, avant d’être repris pour évoquer les non-dits de la mémoire coloniale. Doté d’une forte charge émotive, il traverse les débats sur la recomposition du récit national, la place du témoin, le rôle de l’historien, la patrimonialisation du passé ou la reconnaissance des victimes, qui traduisent un tournant majeur et accouchent de nouvelles questions dont l’actualité est toujours brûlante. Ce sont les mutations de la société française des cinquante dernières années qui sont ici analysées par le biais de ses nouveaux rapports au passé que le « devoir de mémoire » est venu cristalliser.Note de contenu : Sommaire
Préface de Pascal Ory
Introduction
PREMIÈRE PARTIE : ARCHÉOLOGIE DU DEVOIR DE MÉMOIRE
Chapitre I : Le signe d’un nouveau vocabulaire de la mémoire
Chapitre 2 : La « mémoire d’Auschwitz », nouvelle catégorie du présent
Chapitre 3 : L’invention d’une «politique de la mémoire » (années 1980)
DEUXIÈME PARTIE : NAISSANCE D’UNE FORMULE (1992-1993)
Chapitre 4 : Publicisation du devoir de mémoire dans une rhétorique de la dénonciation (1992)
Chapitre 5 : L’officialisation du devoir de mémoire au rang de formule (1993)
Chapitre 6 : Analyse sociohistorique des conditions d’accès de devoir de mémoire au rang de formule
TROISIÈME PARTIE : LA GRAMMAIRE DU DEVOIR DE MÉMOIRE (1995-2005)
Chapitre 7 : Dans le « cadre référentiel » de la mémoire de la Shoah
Chapitre 8 : Un outil de mobilisation pour les autres mémoires
Chapitre 9 : Formule consacrée d’une « gouvernance du passé » : l’exemple du vote des lois de reconnaissance (1998-2005)
QUATRIÈME PARTIE : ENTRE DÉFIANCE ET DISSÉMINATION. LE DEVOIR DE MÉMOIRE DES ANNÉES 2000 À NOS JOURS
Chapitre 10 : Les critiques du discours scientifique
Chapitre 11 : La mise à distance de la formule par le politique
Chapitre 12 : La dissémination du devoir de mémoire
Conclusion
Notes
Bibliographie
Index des noms
Remerciements
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le devoir de mémoire : une formule et son histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Ledoux (1971-....), Auteur Editeur : Paris : CNRS Année de publication : 2016 Importance : 1 vol. (367 p.) Présentation : ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-08800-0 Note générale : Bibliogr. p. 323-354. Index Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
37:17 Travail de MémoireIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4e de couverture
D’où vient l’expression « devoir de mémoire » ? Comment s’est-elle imposée dans notre langage courant ? À partir de nombreux entretiens, d’archives inédites et de sources numériques massives, Sébastien Ledoux retrace la trajectoire de cette formule qui éclaire la relation souvent douloureuse que la France entretient avec son histoire récente. Forgé à l’orée des années 1970, le terme investit le débat public dans les années 1990, accompagnant le « syndrome de Vichy » et la réévaluation du rôle de la France dans la mise en œuvre de la Solution finale, avant d’être repris pour évoquer les non-dits de la mémoire coloniale. Doté d’une forte charge émotive, il traverse les débats sur la recomposition du récit national, la place du témoin, le rôle de l’historien, la patrimonialisation du passé ou la reconnaissance des victimes, qui traduisent un tournant majeur et accouchent de nouvelles questions dont l’actualité est toujours brûlante. Ce sont les mutations de la société française des cinquante dernières années qui sont ici analysées par le biais de ses nouveaux rapports au passé que le « devoir de mémoire » est venu cristalliser.Note de contenu : Sommaire
Préface de Pascal Ory
Introduction
PREMIÈRE PARTIE : ARCHÉOLOGIE DU DEVOIR DE MÉMOIRE
Chapitre I : Le signe d’un nouveau vocabulaire de la mémoire
Chapitre 2 : La « mémoire d’Auschwitz », nouvelle catégorie du présent
Chapitre 3 : L’invention d’une «politique de la mémoire » (années 1980)
DEUXIÈME PARTIE : NAISSANCE D’UNE FORMULE (1992-1993)
Chapitre 4 : Publicisation du devoir de mémoire dans une rhétorique de la dénonciation (1992)
Chapitre 5 : L’officialisation du devoir de mémoire au rang de formule (1993)
Chapitre 6 : Analyse sociohistorique des conditions d’accès de devoir de mémoire au rang de formule
TROISIÈME PARTIE : LA GRAMMAIRE DU DEVOIR DE MÉMOIRE (1995-2005)
Chapitre 7 : Dans le « cadre référentiel » de la mémoire de la Shoah
Chapitre 8 : Un outil de mobilisation pour les autres mémoires
Chapitre 9 : Formule consacrée d’une « gouvernance du passé » : l’exemple du vote des lois de reconnaissance (1998-2005)
QUATRIÈME PARTIE : ENTRE DÉFIANCE ET DISSÉMINATION. LE DEVOIR DE MÉMOIRE DES ANNÉES 2000 À NOS JOURS
Chapitre 10 : Les critiques du discours scientifique
Chapitre 11 : La mise à distance de la formule par le politique
Chapitre 12 : La dissémination du devoir de mémoire
Conclusion
Notes
Bibliographie
Index des noms
Remerciements
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50361 37:17/LED Livre Libre-accès Adultes Disponible Le devoir de mémoire : Henri Kichka / Roland Baumann in Regards, 681 ([03/02/2009])
PermalinkLe Devoir de mémoire interpelle le MR / Christian Laporte in Farde Articles 2005, 3 (2005)
PermalinkPermalinkDevoir de mémoire et pouvoir des fictions
PermalinkDu devoir de mémoire... au travail de mémoire / Philippe Marchal in Aide-Mémoire, 87 (janvier-mars 2019)
PermalinkDictionnaire des racismes, de l'exclusion et des discriminations
PermalinkDictionnaire testimonial et mémoriel in Témoigner. Entre histoire et mémoire, 121 (Octobre 2015)
PermalinkLa différence culturelle
PermalinkLe Difficile chemin de la justice au Chili / JORGE MAGASICH in Agenda Interculturel, 222 (avril 2004)
PermalinkLa Difficile mémoire des lieux d'internement en France / Olivier Lalieu in Revue d'histoire de la Shoah, 181 (juillet-décembre 2004)
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