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Centre Communautaire Laïc Juif
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Langues : Français (fre)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
341.485(675.98) Génocide des Tutsis au Rwanda
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 96 Histoire de l'Afrique Résumé : Durant l’année 2004, nous commémorerons le dixième anniversaire du génocide perpétré à l’encontre des Tutsi, au Rwanda. Cette étude de Mirjam Zomersztajn vise à comparer la genèse et les mécanismes historiques ayant conduit aux génocides des Juifs et des Tutsi. En revisitant les différentes étapes qui ont mené à l’extermination systématique d’une partie de ces deux peuples, elle reconstruit les processus de gestation et dégage certains parallélismes entre les deux génocides.
Les mêmes théories raciales élaborées au XIXe siècle ont alimenté l'idéologie qui a mené aux génocides considérés. Les Juifs avaient été relégués au rang de race inférieure. Hitler les transforme en "anti-hommes". La guerre totale qu'il mène à l'Est peuplée d'Untermenschen vise à conquérir le Lebensraum nécessaire à l'expansion de la race aryenne. Les Tutsi ont expérimenté un cheminement différent : les colonisateurs allemands et belges, inspirés par les thèses de Gobineau et Vacher de Lapouge les ont érigés en race supérieure, d'origine étrangère. Ils seront tués au nom de ce statut.
Le plus achevé des crimes contre l'Humanité, le génocide, n'a rien de spontané. Il est le résultat d'un long processus. C'est l'ensemble des actes qui ont mené à la tentative de disparition violente et totale de ces deux peuples qui sont ici relevés, analysés et comparés.Note de contenu : Sommaire :
I. INTRODUCTION : DEFINITION DU GENOCIDE
II. LES JUIFS D’EUROPE
A. Les racines du mal : de l’antijudaïsme à l’antisémitisme
1. L'antijudaïsme ou l'opposition religieuse
2. L'antisémitisme ou l'opposition raciale
B. L’antisémitisme nazi ou le complot juif mondial
C. La décision de génocide
III. LES TUTSI DU RWANDA
A. Les racines du mal : l'“immatriculation” ethnique coloniale ou l'histoire importée
1. L'histoire importée et son appropriation par les élites Tutsi
2. L'histoire importée et son appropriation par les élites Hutu
B. Les réponses de l'“Akazu” face à la pression démocratique
C. Réflexions sur la prise de décision du génocide
IV. CONCLUSION : MISE EN PARALLELE DU PROCESSUS DE GESTATION DES DEUX
GENOCIDES
V. BIBLIOGRAPHIE
En ligne : http://www.cclj.be/regards/img/etudes/etude_4.pdf Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Analyse du processus de gestation du génocide des Juifs et des Tutsi Type de document : document électronique Auteurs : Mirjam Zomersztajn, Auteur Editeur : Bruxelles : Centre Communautaire Laïc Juif Année de publication : 2003 Collection : Etudes annuelles Importance : 50 p. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
341.485(675.98) Génocide des Tutsis au Rwanda
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 96 Histoire de l'Afrique Résumé : Durant l’année 2004, nous commémorerons le dixième anniversaire du génocide perpétré à l’encontre des Tutsi, au Rwanda. Cette étude de Mirjam Zomersztajn vise à comparer la genèse et les mécanismes historiques ayant conduit aux génocides des Juifs et des Tutsi. En revisitant les différentes étapes qui ont mené à l’extermination systématique d’une partie de ces deux peuples, elle reconstruit les processus de gestation et dégage certains parallélismes entre les deux génocides.
Les mêmes théories raciales élaborées au XIXe siècle ont alimenté l'idéologie qui a mené aux génocides considérés. Les Juifs avaient été relégués au rang de race inférieure. Hitler les transforme en "anti-hommes". La guerre totale qu'il mène à l'Est peuplée d'Untermenschen vise à conquérir le Lebensraum nécessaire à l'expansion de la race aryenne. Les Tutsi ont expérimenté un cheminement différent : les colonisateurs allemands et belges, inspirés par les thèses de Gobineau et Vacher de Lapouge les ont érigés en race supérieure, d'origine étrangère. Ils seront tués au nom de ce statut.
Le plus achevé des crimes contre l'Humanité, le génocide, n'a rien de spontané. Il est le résultat d'un long processus. C'est l'ensemble des actes qui ont mené à la tentative de disparition violente et totale de ces deux peuples qui sont ici relevés, analysés et comparés.Note de contenu : Sommaire :
I. INTRODUCTION : DEFINITION DU GENOCIDE
II. LES JUIFS D’EUROPE
A. Les racines du mal : de l’antijudaïsme à l’antisémitisme
1. L'antijudaïsme ou l'opposition religieuse
2. L'antisémitisme ou l'opposition raciale
B. L’antisémitisme nazi ou le complot juif mondial
C. La décision de génocide
III. LES TUTSI DU RWANDA
A. Les racines du mal : l'“immatriculation” ethnique coloniale ou l'histoire importée
1. L'histoire importée et son appropriation par les élites Tutsi
2. L'histoire importée et son appropriation par les élites Hutu
B. Les réponses de l'“Akazu” face à la pression démocratique
C. Réflexions sur la prise de décision du génocide
IV. CONCLUSION : MISE EN PARALLELE DU PROCESSUS DE GESTATION DES DEUX
GENOCIDES
V. BIBLIOGRAPHIE
En ligne : http://www.cclj.be/regards/img/etudes/etude_4.pdf Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires(0)
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Langues : Français (fre)
Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
323.13 Sionisme
329.18:341.485 Négationnisme
94(33) Histoire du Peuple juifIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : L’histoire de l’Europe occidentale s’est souvent confondue avec celle de la judéophobie. La haine manifestée à l’encontre des Juifs a pris de très nombreuses formes et connu plusieurs variantes importantes. Du simple préjugé à la persécution systématique et organisée, du contrôle social à la coercition du pouvoir, de l’injure aux contraintes vestimentaires, du pamphlet littéraire à la Shoah, les réactions d’hostilité marquée à l’encontre des Juifs, comme les très nombreux alibis pour les justifier, ont varié dans le temps et l’espace.
Cette étude n’a pas l’ambition de prétendre à la reconstruction d’une histoire exhaustive de l’antisémitisme. Elle vise davantage à faire percevoir, au travers d’exemples significatifs, les différentes formes que l’antisémitisme a revêtues au fil de l’histoire. Plutôt que de tracer l’histoire de l’antisémitisme, elle cherche à confronter l’histoire à l’antisémitisme, en montrant comment ce dernier s’adapte et réactualise sans cesse ses thèses centrales, déclinées selon des modalités historiques spécifiques. A cette fin, l’analyse se centrera sur les principales versions paradigmatiques de l’antisémitisme occidental et les variations majeures qu’elles ont connues au fil du temps et des historicités dans lesquelles elles se sont inscrites. Contrairement à ce qu’une appréhension naïve du phénomène pourrait laisser entendre, l’antisémitisme n’est pas monolithique. Certes, il se diffuse dans l’histoire avec une cohérence et une constance assez stupéfiantes, mais ses modes d’expression opératoires ne sont pas figés. Les paradigmes dominants de chaque grande période de l’histoire occidentale ont marqué de leur empreinte l’élaboration des thèses du moment.
Rupture et continuité à la fois, donc, pour un ressentiment très vif à l’égard des Juifs qui, s’amarrant à chaque grand courant émergeant, s’adapte, se transforme et se réactualise sans cesse, puisant dans les ressources intellectuelles, spirituelles ou socio-politiques ambiantes, le motif de ses nouvelles justifications.Note de contenu : Sommaire :
I. L’antijudaïsme païen
II. L’antijudaïsme et l’antisémitisme chrétiens
III. L’antisémitisme moderne
Epilogue : Du négationnisme au négasionisme
BibliographiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les différentes formes d’actualisation de l’antisémitisme occidental Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Boruchowitch, Auteur Editeur : Bruxelles : Centre Communautaire Laïc Juif Année de publication : 2006 Collection : Etudes annuelles Importance : 24 p. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
323.13 Sionisme
329.18:341.485 Négationnisme
94(33) Histoire du Peuple juifIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : L’histoire de l’Europe occidentale s’est souvent confondue avec celle de la judéophobie. La haine manifestée à l’encontre des Juifs a pris de très nombreuses formes et connu plusieurs variantes importantes. Du simple préjugé à la persécution systématique et organisée, du contrôle social à la coercition du pouvoir, de l’injure aux contraintes vestimentaires, du pamphlet littéraire à la Shoah, les réactions d’hostilité marquée à l’encontre des Juifs, comme les très nombreux alibis pour les justifier, ont varié dans le temps et l’espace.
Cette étude n’a pas l’ambition de prétendre à la reconstruction d’une histoire exhaustive de l’antisémitisme. Elle vise davantage à faire percevoir, au travers d’exemples significatifs, les différentes formes que l’antisémitisme a revêtues au fil de l’histoire. Plutôt que de tracer l’histoire de l’antisémitisme, elle cherche à confronter l’histoire à l’antisémitisme, en montrant comment ce dernier s’adapte et réactualise sans cesse ses thèses centrales, déclinées selon des modalités historiques spécifiques. A cette fin, l’analyse se centrera sur les principales versions paradigmatiques de l’antisémitisme occidental et les variations majeures qu’elles ont connues au fil du temps et des historicités dans lesquelles elles se sont inscrites. Contrairement à ce qu’une appréhension naïve du phénomène pourrait laisser entendre, l’antisémitisme n’est pas monolithique. Certes, il se diffuse dans l’histoire avec une cohérence et une constance assez stupéfiantes, mais ses modes d’expression opératoires ne sont pas figés. Les paradigmes dominants de chaque grande période de l’histoire occidentale ont marqué de leur empreinte l’élaboration des thèses du moment.
Rupture et continuité à la fois, donc, pour un ressentiment très vif à l’égard des Juifs qui, s’amarrant à chaque grand courant émergeant, s’adapte, se transforme et se réactualise sans cesse, puisant dans les ressources intellectuelles, spirituelles ou socio-politiques ambiantes, le motif de ses nouvelles justifications.Note de contenu : Sommaire :
I. L’antijudaïsme païen
II. L’antijudaïsme et l’antisémitisme chrétiens
III. L’antisémitisme moderne
Epilogue : Du négationnisme au négasionisme
BibliographiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43023 dossier 01/01/2006 Documents divers Libre-accès Farde Dossiers Disponible Documents numériques
Les différentes formes d’actualisation de l’antisémitisme occidentalAdobe Acrobat PDF
Langues : Français (fre)
Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
32(569.4) Politique d'Israël
323.13 SionismeIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Idéologie issue de la modernité, le sionisme s’est conçu et a conçu son action en rupture avec la vie juive diasporique. Pour que les Juifs puissent affronter sereinement les défis de modernité et pour qu’ils envisagent avec dignité leur avenir aux côtés des autres nations, les théoriciens du sionisme préconisent une transformation radicale de la vie juive par la création d’un cadre politique indépendant en terre d’Israël. Les Juifs doivent rompre avec l’Exil, cette condition non naturelle et dégradante qui confine les Juifs dans la vulnérabilité, la soumission et la passivité.
En dépit de la rupture radicale avec la tradition religieuse et des siècles de vie juive en diaspora qu’il préconise vivement, le sionisme saisit très tôt les problèmes qu’un tel processus peut engendrer s’il est mené à la lettre. En effet, ne ruine-t-il pas sa légitimité historique à l’égard des Juifs s’il rompt complètement avec le judaïsme et le passé juif ? Cette interrogation ne cessera d’accompagner la réflexion des théoriciens du sionisme. Ils vont préconiser la rupture avec la diaspora en se raccrochant à un passé splendide et glorieux, incarné par la Bible, qu’ils entendent faire renaître en créant en Etat où ce passé glorieux s’est réalisé : Eretz Israël (la terre d’Israël). Ils jettent donc un pont entre ce passé biblique glorieux et la renaissance nationale contemporaine en sautant par-dessus deux mille ans d’Exil.
Pourtant, ce processus révolutionnaire de rupture ne sera jamais mené jusqu’à son aboutissement. Les dirigeants sionistes ont dû modérer leur velléité à décréter que la tradition religieuse et le mode vie diasporique ont fait leur temps. Le sionisme n’a pu se résoudre à inscrire son processus de rupture dans une certaine continuité avec la diaspora qu’il ne réussira jamais à rejeter complètement.Note de contenu : Sommaire :
I. INTRODUCTION
II. RUPTURE AVEC LE JUDAÏSME DIASPORIQUE
III. L’HOMME NOUVEAU, LE JUIF NOUVEAU
IV. SIONISME ET HISTOIRE
V. L’HISTOIRE ET LA DIGNITÉ JUIVE
VI. BERDITCHEVSKY ET LA TRANSFORMATION DES VALEURS
VII. LA BIBLE : UN ENJEU POLITIQUE
VIII. SÉCULARISATION DES CÉRÉMONIES ET DES RITES JUIFS HANOUCCA ET PESSAH
IX. CONCLUSION : L’IMPOSSIBLE RUPTURE COMPLÈTE
X. BIBLIOGRAPHIE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Entre rupture et continuité, le choix impossible du sionisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Zomersztajn, Auteur Editeur : Bruxelles : Centre Communautaire Laïc Juif Année de publication : 2005 Collection : Etudes annuelles Importance : 30 p. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 296 Judaïsme / Intégrisme Juif
32(569.4) Politique d'Israël
323.13 SionismeIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Idéologie issue de la modernité, le sionisme s’est conçu et a conçu son action en rupture avec la vie juive diasporique. Pour que les Juifs puissent affronter sereinement les défis de modernité et pour qu’ils envisagent avec dignité leur avenir aux côtés des autres nations, les théoriciens du sionisme préconisent une transformation radicale de la vie juive par la création d’un cadre politique indépendant en terre d’Israël. Les Juifs doivent rompre avec l’Exil, cette condition non naturelle et dégradante qui confine les Juifs dans la vulnérabilité, la soumission et la passivité.
En dépit de la rupture radicale avec la tradition religieuse et des siècles de vie juive en diaspora qu’il préconise vivement, le sionisme saisit très tôt les problèmes qu’un tel processus peut engendrer s’il est mené à la lettre. En effet, ne ruine-t-il pas sa légitimité historique à l’égard des Juifs s’il rompt complètement avec le judaïsme et le passé juif ? Cette interrogation ne cessera d’accompagner la réflexion des théoriciens du sionisme. Ils vont préconiser la rupture avec la diaspora en se raccrochant à un passé splendide et glorieux, incarné par la Bible, qu’ils entendent faire renaître en créant en Etat où ce passé glorieux s’est réalisé : Eretz Israël (la terre d’Israël). Ils jettent donc un pont entre ce passé biblique glorieux et la renaissance nationale contemporaine en sautant par-dessus deux mille ans d’Exil.
Pourtant, ce processus révolutionnaire de rupture ne sera jamais mené jusqu’à son aboutissement. Les dirigeants sionistes ont dû modérer leur velléité à décréter que la tradition religieuse et le mode vie diasporique ont fait leur temps. Le sionisme n’a pu se résoudre à inscrire son processus de rupture dans une certaine continuité avec la diaspora qu’il ne réussira jamais à rejeter complètement.Note de contenu : Sommaire :
I. INTRODUCTION
II. RUPTURE AVEC LE JUDAÏSME DIASPORIQUE
III. L’HOMME NOUVEAU, LE JUIF NOUVEAU
IV. SIONISME ET HISTOIRE
V. L’HISTOIRE ET LA DIGNITÉ JUIVE
VI. BERDITCHEVSKY ET LA TRANSFORMATION DES VALEURS
VII. LA BIBLE : UN ENJEU POLITIQUE
VIII. SÉCULARISATION DES CÉRÉMONIES ET DES RITES JUIFS HANOUCCA ET PESSAH
IX. CONCLUSION : L’IMPOSSIBLE RUPTURE COMPLÈTE
X. BIBLIOGRAPHIE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires(0)
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Entre rupture et continuité, le choix impossible du sionismeAdobe Acrobat PDFHenri Kichka
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Catégories : 929 Kichka, Henri (1926-....) Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Henri Kichka Type de document : document électronique Editeur : Bruxelles : Centre Communautaire Laïc Juif Année de publication : [2007] Importance : 1 vol. (3 p.) Note générale : document pdf Langues : Français (fre) Catégories : 929 Kichka, Henri (1926-....) Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires(0)
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Henri Kichka 14 ans en 1940Adobe Acrobat PDF
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Catégories : 21 Laïcité
296 Judaïsme / Intégrisme JuifIndex. décimale : 2 Religion / Laïcité / Sectes / Paranormal Résumé : Dans le sillage des grands mouvements de sécularisation, judaïsme et laïcité ont été dans un dialogue constant. La laïcisation des idéologies, des institutions, des systèmes de production de valeurs symboliques et des pratiques sociales a modifié en profondeur les représentations, les usages et les mœurs dans la vie juive. Sous l’effet de la Haskalah -véritable révolution des mentalités juives issues des Lumières-, les Juifs ont renoncé à leur mode de vie traditionnel et à la réclusion forcée à mesure qu’au tournant de la modernité, les sociétés acceptaient au nom de la laïcité ou de l’égalité des droits de les inclure en leur sein. Ils ont épousé leur siècle, leur époque et leur patrie, qui voulait enfin d’eux. L’intégration des Juifs et de la vie juive dans la Cité s’est symétriquement superposée à l’intégration des valeurs de la Cité dans la vie juive. C’est au croisement de ce dialogue que l’identité juive laïque contemporaine et les grands mouvements d’émancipation comme le Bund ou le sionisme doivent se comprendre. Notre étude retrace l’histoire de ce dialogue. Note de contenu : Sommaire :
1 INTRODUCTION
2 LES COMPOSANTES DU JUDAÏSME TRADITIONNEL OU L'IDENTITE JUIVE SELON LA HALAKHA
3 LE JUDAÏSME TRADITIONNEL, DE L'EXIL A L'EMANCIPATION
4 L'EMANCIPATION ET LA MODERNITE
4.1 La Haskalah, le mouvement juif des Lumières
4.2 La France et la Belgique
4.3 L'Europe centrale (Allemagne et Autriche-Hongrie)
4.4 L'Europe orientale
5 DEUX EXPRESSIONS CONCURRENTES DE LA MODERNITE POLITIQUE JUIVE : BUNDISME ET SIONISME
5.1 Le bundisme
5.2 Le sionisme
6 LA SITUATION INEDITE DES JUIFS D'EUROPE AUJOURD'HUI
7 FORMATION D’UNE IDENTITE JUIVE PAR RAPPORT A LA SHOAH ET ISRAËL
7.1 Le traumatisme de la Shoah
7.2 La centralité d’Israël
8 LES DIFFERENTES FORMES DE L’IDENTITE JUIVE LAÏQUE CONTEMPORAINE
8.1 L’exemple américain : Le judaïsme "humaniste"
8.2 La laïcité en Israël, un combat de tous les jours
8.3 Développement d’une identité juive laïque en France et en Belgique
9 CONCLUSION
10 BIBLIOGRAPHIE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Identité juive et laïcité Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Szwarcburt, Auteur ; Mirjam Zomersztajn, Auteur Editeur : Bruxelles : Centre Communautaire Laïc Juif Année de publication : 2004 Collection : Etudes annuelles Importance : 33 p. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 21 Laïcité
296 Judaïsme / Intégrisme JuifIndex. décimale : 2 Religion / Laïcité / Sectes / Paranormal Résumé : Dans le sillage des grands mouvements de sécularisation, judaïsme et laïcité ont été dans un dialogue constant. La laïcisation des idéologies, des institutions, des systèmes de production de valeurs symboliques et des pratiques sociales a modifié en profondeur les représentations, les usages et les mœurs dans la vie juive. Sous l’effet de la Haskalah -véritable révolution des mentalités juives issues des Lumières-, les Juifs ont renoncé à leur mode de vie traditionnel et à la réclusion forcée à mesure qu’au tournant de la modernité, les sociétés acceptaient au nom de la laïcité ou de l’égalité des droits de les inclure en leur sein. Ils ont épousé leur siècle, leur époque et leur patrie, qui voulait enfin d’eux. L’intégration des Juifs et de la vie juive dans la Cité s’est symétriquement superposée à l’intégration des valeurs de la Cité dans la vie juive. C’est au croisement de ce dialogue que l’identité juive laïque contemporaine et les grands mouvements d’émancipation comme le Bund ou le sionisme doivent se comprendre. Notre étude retrace l’histoire de ce dialogue. Note de contenu : Sommaire :
1 INTRODUCTION
2 LES COMPOSANTES DU JUDAÏSME TRADITIONNEL OU L'IDENTITE JUIVE SELON LA HALAKHA
3 LE JUDAÏSME TRADITIONNEL, DE L'EXIL A L'EMANCIPATION
4 L'EMANCIPATION ET LA MODERNITE
4.1 La Haskalah, le mouvement juif des Lumières
4.2 La France et la Belgique
4.3 L'Europe centrale (Allemagne et Autriche-Hongrie)
4.4 L'Europe orientale
5 DEUX EXPRESSIONS CONCURRENTES DE LA MODERNITE POLITIQUE JUIVE : BUNDISME ET SIONISME
5.1 Le bundisme
5.2 Le sionisme
6 LA SITUATION INEDITE DES JUIFS D'EUROPE AUJOURD'HUI
7 FORMATION D’UNE IDENTITE JUIVE PAR RAPPORT A LA SHOAH ET ISRAËL
7.1 Le traumatisme de la Shoah
7.2 La centralité d’Israël
8 LES DIFFERENTES FORMES DE L’IDENTITE JUIVE LAÏQUE CONTEMPORAINE
8.1 L’exemple américain : Le judaïsme "humaniste"
8.2 La laïcité en Israël, un combat de tous les jours
8.3 Développement d’une identité juive laïque en France et en Belgique
9 CONCLUSION
10 BIBLIOGRAPHIE
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