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Le Front national belge est interdit ! [document électronique] / Manuel Abramowicz, Auteur . - 19/01/2012 . - 1 page web.
Langues : Français (fre)
Catégories : 329.18(44) Front National (FN France)
329.18(493) Front National (FN Belgique)Index. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Depuis 1985, il existait en Belgique un Front national local. Il était soutenu par le FN français. En recherche de dédiabolisation et de partenaires étrangers irréprochables, son actuelle présidente, Marine Le Pen, vient d’interdire à tous ses partisans belges d’utiliser le nom, les initiales et l’emblème de son parti. En cas de refus : les poursuites judiciaires déjà entamées contre certains frontistes belges devraient se multiplier. L’histoire du FN prend fin dans notre pays.
Annonce mail :
Ce jeudi en fin de soirée, RésistanceS.be, le web-journal de l'Observatoire belge de l'extrême droite, a annoncé sur son site (www.resistances.be) la fin de l'existence légale du Front national en Belgique.
Au cours d'une réunion organisée, mercredi soir à Liège, au cabinet de l'avocat belge de Marine Le Pen, la présidente du parti d'extrême droite français Front national, il a été stipulé au FN belge « réunifié » la rupture de la convention qui les liait depuis avril 2011. Une décision prise dans le cadre de la dédiabolisation et la recherche de partenaires étrangers irréprochables voulues par M. Le Pen. Le FN « réunifié » s’était notamment associé à un groupuscule belge de tendance « national-solidariste » lié à l’extrême droite française qui s’oppose à l’actuelle stratégie du FN de Marine Le Pen.
Par cet acte de rupture, il est désormais formellement interdit aux frontistes belges d'utiliser dans notre pays le nom « Front national », ses initiales (FN) et son emblème (une flamme tricolore). La décision de Marine Le Pen concerne également les trois autres clans rivaux issus du FN belge : celui conduit par l'ancien député fédéral Patrick Cocriamont, le FN « canal historique » mené par le conseiller communal Salvatore Nicotra et la Fédération des nationalistes wallons (FNW, se revendiquant comme étant le FN Wallonie) que préside l'ex-député régional wallon FN Charles Petitjean.
L'arrêt du soutien du Front national français au FN belge, fondé en 1985 à Bruxelles, et l'interdiction faite d'utiliser son nom, ses initiales et son sigle, sous menace d'actions judiciaires, annonce la fin de ce parti d’extrême droite, sous cette appellation, dans notre pays.
Pour Manuel Abramowicz, coordinateur de RésistanceS.be et auteur de l'article sur ce retournement de situation historique, « la survie politique des derniers frontistes en Belgique est sérieusement mise en péril. Comme l’histoire récente politique nous l’enseigne, toutes les tentatives de se présenter sur le terrain électoral en concurrence directe avec le Front national ont été vouées à l’échec ».
« La recette des succès électoraux successifs du FN chez nous était due à l’assimilation faite, par un électorat protestataire, avec le Front national des Le Pen, père et fille. C’est aujourd’hui cette dernière qui a mis un coup d’arrêt à cet état de fait, par l’interdiction du FN en Belgique », conclut Manuel Abramowicz.
En ligne : http://www.resistances.be/fninterdit.html Format de la ressource électronique : Article en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Front national belge est interdit ! Type de document : document électronique Auteurs : Manuel Abramowicz, Auteur Année de publication : 19/01/2012 Importance : 1 page web Langues : Français (fre) Catégories : 329.18(44) Front National (FN France)
329.18(493) Front National (FN Belgique)Index. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Depuis 1985, il existait en Belgique un Front national local. Il était soutenu par le FN français. En recherche de dédiabolisation et de partenaires étrangers irréprochables, son actuelle présidente, Marine Le Pen, vient d’interdire à tous ses partisans belges d’utiliser le nom, les initiales et l’emblème de son parti. En cas de refus : les poursuites judiciaires déjà entamées contre certains frontistes belges devraient se multiplier. L’histoire du FN prend fin dans notre pays.
Annonce mail :
Ce jeudi en fin de soirée, RésistanceS.be, le web-journal de l'Observatoire belge de l'extrême droite, a annoncé sur son site (www.resistances.be) la fin de l'existence légale du Front national en Belgique.
Au cours d'une réunion organisée, mercredi soir à Liège, au cabinet de l'avocat belge de Marine Le Pen, la présidente du parti d'extrême droite français Front national, il a été stipulé au FN belge « réunifié » la rupture de la convention qui les liait depuis avril 2011. Une décision prise dans le cadre de la dédiabolisation et la recherche de partenaires étrangers irréprochables voulues par M. Le Pen. Le FN « réunifié » s’était notamment associé à un groupuscule belge de tendance « national-solidariste » lié à l’extrême droite française qui s’oppose à l’actuelle stratégie du FN de Marine Le Pen.
Par cet acte de rupture, il est désormais formellement interdit aux frontistes belges d'utiliser dans notre pays le nom « Front national », ses initiales (FN) et son emblème (une flamme tricolore). La décision de Marine Le Pen concerne également les trois autres clans rivaux issus du FN belge : celui conduit par l'ancien député fédéral Patrick Cocriamont, le FN « canal historique » mené par le conseiller communal Salvatore Nicotra et la Fédération des nationalistes wallons (FNW, se revendiquant comme étant le FN Wallonie) que préside l'ex-député régional wallon FN Charles Petitjean.
L'arrêt du soutien du Front national français au FN belge, fondé en 1985 à Bruxelles, et l'interdiction faite d'utiliser son nom, ses initiales et son sigle, sous menace d'actions judiciaires, annonce la fin de ce parti d’extrême droite, sous cette appellation, dans notre pays.
Pour Manuel Abramowicz, coordinateur de RésistanceS.be et auteur de l'article sur ce retournement de situation historique, « la survie politique des derniers frontistes en Belgique est sérieusement mise en péril. Comme l’histoire récente politique nous l’enseigne, toutes les tentatives de se présenter sur le terrain électoral en concurrence directe avec le Front national ont été vouées à l’échec ».
« La recette des succès électoraux successifs du FN chez nous était due à l’assimilation faite, par un électorat protestataire, avec le Front national des Le Pen, père et fille. C’est aujourd’hui cette dernière qui a mis un coup d’arrêt à cet état de fait, par l’interdiction du FN en Belgique », conclut Manuel Abramowicz.
En ligne : http://www.resistances.be/fninterdit.html Format de la ressource électronique : Article en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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Article en ligneURL Le Front national belge est interdit! / Manuel Abramowicz in Résistance liégeoise, 202 (janvier-février-mars 2012)
[article] Le Front national belge est interdit! [texte imprimé] / Manuel Abramowicz, Auteur . - 2012 . - pp.24-25.
Langues : Français (fre)
in Résistance liégeoise > 202 (janvier-février-mars 2012) . - pp.24-25
Catégories : 329.18(44) Front National (FN France)
329.18(493) Front National (FN Belgique)Résumé :
Depuis 1985, il existait en Belgique un Front national local. Il était soutenu par le FN français. En recherche de dédiabolisation et de partenaires étrangers irréprochables, son actuelle présidente, Marine Le Pen, vient d'interdir à tous ses partisans belges d'utiliser le nom, les initiales et l'emblème de son parti. En cas de refus: les poursuites judiciaires déjà entamées contre certains frontistes belges devraient se multiplier. L'histoire du FN prend fin dans notre pays.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le Front national belge est interdit! Type de document : texte imprimé Auteurs : Manuel Abramowicz, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp.24-25 Langues : Français (fre) Catégories : 329.18(44) Front National (FN France)
329.18(493) Front National (FN Belgique)Résumé :
Depuis 1985, il existait en Belgique un Front national local. Il était soutenu par le FN français. En recherche de dédiabolisation et de partenaires étrangers irréprochables, son actuelle présidente, Marine Le Pen, vient d'interdir à tous ses partisans belges d'utiliser le nom, les initiales et l'emblème de son parti. En cas de refus: les poursuites judiciaires déjà entamées contre certains frontistes belges devraient se multiplier. L'histoire du FN prend fin dans notre pays.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
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Le Front national : ça n'arrive pas qu'aux autres [texte imprimé] / Marc Bayle, Auteur . - Toulon : Plein Sud, 1995 . - 1 vol. (215 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-87764-431-0
Langues : Français (fre)
Catégories : 324(44) Elections France 1995
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Marc Bayle est un élu RPR de Toulon. En annexe: deux de ses discours Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Front national : ça n'arrive pas qu'aux autres Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Bayle, Auteur Editeur : Toulon : Plein Sud Année de publication : 1995 Importance : 1 vol. (215 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87764-431-0 Langues : Français (fre) Catégories : 324(44) Elections France 1995
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Marc Bayle est un élu RPR de Toulon. En annexe: deux de ses discours Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45791 329.18/BAY Livre Libre-accès Adultes Disponible
Le Front national en campagne : Analyse d’un discours décomplexé [document électronique] / Cécile Alduy, Auteur . - Paris : Fondation Jean Jaurès, 09/12/2015 . - 1 fichier pdf (9 p.). - (Notes; 12) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
329.18(44) Front National (FN France)
Elections France 2015Résumé : Site éditeur:
Après le score du Front national au premier tour des régionales, Cécile Alduy a décortiqué les propos de ses candidats dans les meetings et les médias durant la campagne. L’analyse est claire : l’immigration, la sécurité et le nationalisme identitaire ont été le nerf de la guerre sémantique.
Loin de marquer la fin du discours extrémiste au sein du Front national, l’exclusion de Jean-Marie Le Pen en août 2015 a donné l’occasion au parti de s’absoudre des écarts antisémites et racialistes tout en maintenant une ligne radicale, essentiellement nationaliste, anti-immigration, autoritaire et sécuritaire. L’attention au profil des candidats aux élections régionales de 2015 et l’étude minutieuse des discours et « tweets » de Marine Le Pen pendant la campagne en rendent compte.
Les candidats du « nouveau » Front national sont en réalité des anciens professionnels de la politique, fidèles au père comme Louis Aliot et Sophie Montel, issus de groupuscules identitaires comme Gilles Pennelle, proches des idées catholiques traditionnalistes comme Christophe Boudot. Seul Florian Philippot fait figure d’exception. Bruno Gollnisch et Bruno Mégret sont également des repères idéologiques pour les candidats. Le renouvellement est ici illusoire.
Avec la crise des réfugiés syriens et les attentats du 13 novembre à Paris en toile de fond, porté par une stratégie de concurrence directe avec Les Républicains pour apparaître comme la seule force d’alternance, le Front national s’est « décomplexé » en misant sur l’offensive rhétorique nationaliste et sécuritaire.
Déjà très présents au début de la campagne, le thème de l’immigration et les sous-entendus qu’il charrie occupent de plus en plus de place dans les discours de Marine Le Pen.
En effet, si le discours sur l’immigration, parce qu’il se fait l’écho d’une actualité douloureuse, est parfois teinté d’« humanisme », dénonçant les passeurs qui exploitent la « marchandise humaine », les événements du 13 novembre entraînent une nationalisation quasi totale des enjeux abordés et une radicalisation profonde axée sur une pensée anti-immigration et anti-islam.
Marine Le Pen délaisse les questions économiques et sociales pour se concentrer sur le terrorisme et ses corollaires ; les problématiques régionales sont reléguées au second plan. Le discours de Marine Le Pen à Ajaccio par exemple s’attaque au multiculturalisme, à la politique internationale, aux coupes budgétaires dans la police, à la servitude de la France envers l’Allemagne, aux fausses promesses de l’Union européenne pour mieux louer ensuite la France éternelle.
En outre, le compte des occurrences de vocabulaire, dans les discours mais aussi sur Twitter, confirme que Marine Le Pen mène la campagne des régionales sur le plan national : « frontières », « peuple », « national » font partie des mots qu’elle prononce le plus.
L’équation rhétorique du parti, à savoir « immigration = islamisme = guerre ; frontières = identité = sécurité », renvoie à des amalgames et raccourcis fort anciens qui ont longtemps été l’apanage rhétorique de Jean-Marie Le Pen. Son exclusion n’a pas entraîné l’éradication de ses idées. Au contraire, elles ont retrouvé de la vigueur tant le Front national, durant la campagne pour les régionales 2015, a renoué avec sa marque de fabrique originelle.En ligne : http://www.jean-jaures.org/Publications/Notes/Le-Front-national-en-campagne Format de la ressource électronique : présentation + document à télécharger Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Front national en campagne : Analyse d’un discours décomplexé Type de document : document électronique Auteurs : Cécile Alduy, Auteur Editeur : Paris : Fondation Jean Jaurès Année de publication : 09/12/2015 Collection : Notes num. 12 Importance : 1 fichier pdf (9 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
329.18(44) Front National (FN France)
Elections France 2015Résumé : Site éditeur:
Après le score du Front national au premier tour des régionales, Cécile Alduy a décortiqué les propos de ses candidats dans les meetings et les médias durant la campagne. L’analyse est claire : l’immigration, la sécurité et le nationalisme identitaire ont été le nerf de la guerre sémantique.
Loin de marquer la fin du discours extrémiste au sein du Front national, l’exclusion de Jean-Marie Le Pen en août 2015 a donné l’occasion au parti de s’absoudre des écarts antisémites et racialistes tout en maintenant une ligne radicale, essentiellement nationaliste, anti-immigration, autoritaire et sécuritaire. L’attention au profil des candidats aux élections régionales de 2015 et l’étude minutieuse des discours et « tweets » de Marine Le Pen pendant la campagne en rendent compte.
Les candidats du « nouveau » Front national sont en réalité des anciens professionnels de la politique, fidèles au père comme Louis Aliot et Sophie Montel, issus de groupuscules identitaires comme Gilles Pennelle, proches des idées catholiques traditionnalistes comme Christophe Boudot. Seul Florian Philippot fait figure d’exception. Bruno Gollnisch et Bruno Mégret sont également des repères idéologiques pour les candidats. Le renouvellement est ici illusoire.
Avec la crise des réfugiés syriens et les attentats du 13 novembre à Paris en toile de fond, porté par une stratégie de concurrence directe avec Les Républicains pour apparaître comme la seule force d’alternance, le Front national s’est « décomplexé » en misant sur l’offensive rhétorique nationaliste et sécuritaire.
Déjà très présents au début de la campagne, le thème de l’immigration et les sous-entendus qu’il charrie occupent de plus en plus de place dans les discours de Marine Le Pen.
En effet, si le discours sur l’immigration, parce qu’il se fait l’écho d’une actualité douloureuse, est parfois teinté d’« humanisme », dénonçant les passeurs qui exploitent la « marchandise humaine », les événements du 13 novembre entraînent une nationalisation quasi totale des enjeux abordés et une radicalisation profonde axée sur une pensée anti-immigration et anti-islam.
Marine Le Pen délaisse les questions économiques et sociales pour se concentrer sur le terrorisme et ses corollaires ; les problématiques régionales sont reléguées au second plan. Le discours de Marine Le Pen à Ajaccio par exemple s’attaque au multiculturalisme, à la politique internationale, aux coupes budgétaires dans la police, à la servitude de la France envers l’Allemagne, aux fausses promesses de l’Union européenne pour mieux louer ensuite la France éternelle.
En outre, le compte des occurrences de vocabulaire, dans les discours mais aussi sur Twitter, confirme que Marine Le Pen mène la campagne des régionales sur le plan national : « frontières », « peuple », « national » font partie des mots qu’elle prononce le plus.
L’équation rhétorique du parti, à savoir « immigration = islamisme = guerre ; frontières = identité = sécurité », renvoie à des amalgames et raccourcis fort anciens qui ont longtemps été l’apanage rhétorique de Jean-Marie Le Pen. Son exclusion n’a pas entraîné l’éradication de ses idées. Au contraire, elles ont retrouvé de la vigueur tant le Front national, durant la campagne pour les régionales 2015, a renoué avec sa marque de fabrique originelle.En ligne : http://www.jean-jaures.org/Publications/Notes/Le-Front-national-en-campagne Format de la ressource électronique : présentation + document à télécharger Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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Le Front national : à la conquête du pouvoir ? [texte imprimé] / Alexandre Dézé, Auteur ; Nonna Mayer, Préfacier, etc. . - Paris : A. Colin, DL 2012 . - 1 vol. (189 p.) : ill. ; 20 cm. - (Éléments de réponse. Série Libertés d'historien) .
ISBN : 978-2-200-27524-2
Bibliogr., 2 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
321.7.02 Démagogie Populisme
329.18(44) Front National (FN France)
94(44) Histoire de la FranceIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
La conquête du pouvoir. Tel est bien l’objectif que s’est fixé Marine Le Pen depuis qu’elle a été élue à la présidence du Front national en janvier 2011. Pour y parvenir, la nouvelle leader frontiste a entrepris de «dédiaboliser» le FN, d’en faire un «parti comme les autres». Mais le Front national a-t-il vraiment changé et, surtout, peut-il changer ?
Pour le déterminer, il faut étudier le FN avec les outils ordinaires de la recherche en science politique et s’intéresser à ses logiques de fonctionnement. Depuis sa création, l’organisation frontiste n’a jamais cessé d’osciller entre une logique électorale de participation au système politique et une logique doctrinale de rejet de ce système. Cet ouvrage démontre précisément, et c’est là son originalité, que cette dialectique est au fondement même de la dynamique politique frontiste et qu’on ne peut saisir l’évolution actuelle du parti sans en tenir compte. En partant de cette problématique et en déroulant le fil de l’histoire du parti, il s’agit donc de porter un autre regard sur le FN, de mieux apprécier ce qu’il peut avoir de nouveau depuis que Marine Le Pen en a pris la présidence et, in fine, de mettre au jour les ressorts et les limites endogènes de sa stratégie de conquête du pouvoir.
Alexandre Dézé est maître de conférences en science politique à l’Université Montpellier 1 et chercheur au Centre d’études politiques de l’Europe latine (CEPEL, UMR 5112).Note de contenu : Table :
Préface de Nonna Mayer
Introduction
1. Pourquoi un nouveau livre sur le Front national ?
2. Pourquoi une approche de science politique ?
Chapitre 1. La création du FN. Une logique d'adaptation au système politique (1969-1973)
Chapitre 2. La "traversée du désert". Une logique de démarcation du système politique (1973-1983)
Chapitre 3. Entre adaptation et démarcation. Les ressorts partisans de l'émergence politique du FN (1983-1990)
Chaptire 4. De la "conquête du pouvoir" à la scission. Les limites de la dynamique frontiste (1990-1998)
Chapitre 5. Vers une normalisation politique ? (1998-2011)
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le Front national : à la conquête du pouvoir ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Dézé, Auteur ; Nonna Mayer, Préfacier, etc. Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : DL 2012 Collection : Éléments de réponse Sous-collection : Série Libertés d'historien Importance : 1 vol. (189 p.) Présentation : ill. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-27524-2 Note générale : Bibliogr., 2 p. Langues : Français (fre) Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
321.7.02 Démagogie Populisme
329.18(44) Front National (FN France)
94(44) Histoire de la FranceIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
La conquête du pouvoir. Tel est bien l’objectif que s’est fixé Marine Le Pen depuis qu’elle a été élue à la présidence du Front national en janvier 2011. Pour y parvenir, la nouvelle leader frontiste a entrepris de «dédiaboliser» le FN, d’en faire un «parti comme les autres». Mais le Front national a-t-il vraiment changé et, surtout, peut-il changer ?
Pour le déterminer, il faut étudier le FN avec les outils ordinaires de la recherche en science politique et s’intéresser à ses logiques de fonctionnement. Depuis sa création, l’organisation frontiste n’a jamais cessé d’osciller entre une logique électorale de participation au système politique et une logique doctrinale de rejet de ce système. Cet ouvrage démontre précisément, et c’est là son originalité, que cette dialectique est au fondement même de la dynamique politique frontiste et qu’on ne peut saisir l’évolution actuelle du parti sans en tenir compte. En partant de cette problématique et en déroulant le fil de l’histoire du parti, il s’agit donc de porter un autre regard sur le FN, de mieux apprécier ce qu’il peut avoir de nouveau depuis que Marine Le Pen en a pris la présidence et, in fine, de mettre au jour les ressorts et les limites endogènes de sa stratégie de conquête du pouvoir.
Alexandre Dézé est maître de conférences en science politique à l’Université Montpellier 1 et chercheur au Centre d’études politiques de l’Europe latine (CEPEL, UMR 5112).Note de contenu : Table :
Préface de Nonna Mayer
Introduction
1. Pourquoi un nouveau livre sur le Front national ?
2. Pourquoi une approche de science politique ?
Chapitre 1. La création du FN. Une logique d'adaptation au système politique (1969-1973)
Chapitre 2. La "traversée du désert". Une logique de démarcation du système politique (1973-1983)
Chapitre 3. Entre adaptation et démarcation. Les ressorts partisans de l'émergence politique du FN (1983-1990)
Chaptire 4. De la "conquête du pouvoir" à la scission. Les limites de la dynamique frontiste (1990-1998)
Chapitre 5. Vers une normalisation politique ? (1998-2011)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47905 329.18/DEZ Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Préface de Nonna mayerURL PermalinkLe Front National à découvert / Nonna Mayer
PermalinkFront national : le divorce des fachos in Farde Articles 1999, (1999)
PermalinkLe Front national, entre extrémisme, populisme et démocratie / Michel Wieviorka
PermalinkLe Front national entree clientélisme et recherche d'un enracinement social / Virginie Martin in Critique Internationale, 4 (été 1999)
Permalink“Le Front national est un escamoteur” / Bernard Stiegler in Philosophie magazine, 76 (février 2014)
PermalinkLe front national / Jean-Yves Camus
PermalinkLe Front national en face / Michel Soudais
PermalinkLe Front National face à l'Europe / Alain Bihr in Celsius, 50 (mai-juin 1992)
PermalinkLe Front national fait sa police / Tugdual Denis in Le Vif / L'Express, 47 ([22/11/2013])
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