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Auteur Paul-Louis Van Berg (1943-....) |
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L'Italie, alliée ou victime de l'Allemagne nazie ? / Filippo Focardi
L'Italie, alliée ou victime de l'Allemagne nazie ? [texte imprimé] / Filippo Focardi, Auteur ; Pieter Lagrou (1967-....), Préfacier, etc. ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur . - Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB), 2014 . - 1 vol. (338 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Histoire, conflits, mondialisation) .
ISBN : 978-2-8004-1568-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(450) Histoire de l'Italie
94(450)"1939/45" Résistance ItalieIndex. décimale : 940.53 Histoire de la Seconde Guerre mondiale Résumé : En Italie, comme dans tous les pays européens engagés dans le conflit, la seconde guerre mondiale a légué un « héritage pervers », fondé sur l’opposition entre l’Allemagne nazie, démoniaque, fanatisée par une idéologie barbare, et une Italie victime du fascisme et hostile à la guerre de Mussolini ; entre les « méchants Allemands », brutes sanguinaires implacables, arrogants, « des hommes qui ne sont plus des hommes », et les « bons Italiens », pacifiques, solidaires des opprimés et des persécutés.
Déjà bien présents dans la propagande alliée, ces stéréotypes contrastés ont servi de ciment aux fragments de mémoires éclatés laissés par la guerre : les mémoires des soldats engagés sur le Don ou dans les sables d’Afrique, des prisonniers italiens tombés aux mains des Allemands ou des Alliés, des résistants de la première heure, des civils victimes des rafles et des déportations nazies ou des viols perpétrés par les troupes alliées…
Après l’armistice du 8 septembre 1943, monarchistes, populistes, antifascistes de tout bord, … tous participèrent, à la construction du « mythe fondateur » de la nouvelle Italie qui cherchait à exorciser un passé embarrassant afin de retrouver sa place dans le concert des nations et d’éviter la paix punitive promise à l’Allemagne.
4ème de Couverture
« L’essence d’une nation est que tous les individus aient beaucoup de choses en commun, et aussi que tous aient oublié bien des choses ». L’ouvrage pénétrant de Filippo Focardi est une illustration magistrale de cette phrase d’Ernest Renan.Note de contenu : Table des matières:
Préface, par Pieter
Lagrou.................................................................................... VII
Introduction.............................................................................................................. 3
Chapitre I. – L’Italie et la guerre de l’Axe dans la propagande alliée..................... 13
Chapitre II . – Qui a trahi la patrie ?......................................................................... 23
- La « trahison infâme » de la monarchie et la loyauté envers le « camarade allemand » dans la propagande de la République sociale italienne................... 23
-La trahison de Mussolini et le « faux allié » allemand démasqué dans la propagande monarchiste au lendemain de l’armistice........................... 27
- La dénonciation antifasciste des « vrais traîtres » :
le duce, les Allemands et le « roi félon» ........................................................... 30
Chapitre III . – Aux origines de la mémoire de la guerre.......................................... 37
- « Le bâton allemand ne mate pas l’Italie ». Mobilisation guerrière contre l’Allemagne et rappel des traditions du Risorgimento............................ 37
- La lutte contre « l’ennemi commun » allemand et la réhabilitation de l’Italie sur la scène internationale.................................... 43
Chapitre IV. – « L’Italie aussi a vaincu ». Expiation et rédemptiond’un « peuple dans le maquis» .......................................................................... 51
Chapitre V. – Oublier l’Axe ..................................................................................... 69
- Les Italiens s’opposent à « l’alliance contre-nature » d’Hitler et de Mussolini ...................................................................................... 69
- l’Italie, alliée ou victime de l’Allemagne nazie ? Les Italiens « victimes » de la guerre du duce « qu’ils n’ont pas voulue et qui n’est pas la leur» ............................................. 76
- La soi-disant « camaraderie» allemande ........................................................... 81
Chapitre VI. – Les « bons Italiens » et les « méchants Allemands »....................... 91
- Humanité italienne contre brutalité allemande ................................................... 91
- Les Italiens sauvent les juifs ............................................................................... 95
- Nous, des criminels de guerre? ....................................................................... 100
- Italianski karacho ! .......................................................................................... 117
- Le « Nuremberg italien manqué » .................................................................... 128
Chapitre VII . – Des hommes ou des Allemands ? .................................................. 123
- L’image stéréotypée de l’ennemi : la « brute nazie » ....................................... 123
- En quête de l’« autre Allemagne » : le fantasme du « bon Allemand » et la « cicatrice » de la mémoire ....................................................................... 131
Conclusions ........................................................................................................... 143
Notes ...................................................................................................................... 153
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'Italie, alliée ou victime de l'Allemagne nazie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Filippo Focardi, Auteur ; Pieter Lagrou (1967-....), Préfacier, etc. ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur Editeur : Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB) Année de publication : 2014 Collection : Histoire, conflits, mondialisation Importance : 1 vol. (338 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8004-1568-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Catégories : 321.6"1933/1945" Nazisme
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(450) Histoire de l'Italie
94(450)"1939/45" Résistance ItalieIndex. décimale : 940.53 Histoire de la Seconde Guerre mondiale Résumé : En Italie, comme dans tous les pays européens engagés dans le conflit, la seconde guerre mondiale a légué un « héritage pervers », fondé sur l’opposition entre l’Allemagne nazie, démoniaque, fanatisée par une idéologie barbare, et une Italie victime du fascisme et hostile à la guerre de Mussolini ; entre les « méchants Allemands », brutes sanguinaires implacables, arrogants, « des hommes qui ne sont plus des hommes », et les « bons Italiens », pacifiques, solidaires des opprimés et des persécutés.
Déjà bien présents dans la propagande alliée, ces stéréotypes contrastés ont servi de ciment aux fragments de mémoires éclatés laissés par la guerre : les mémoires des soldats engagés sur le Don ou dans les sables d’Afrique, des prisonniers italiens tombés aux mains des Allemands ou des Alliés, des résistants de la première heure, des civils victimes des rafles et des déportations nazies ou des viols perpétrés par les troupes alliées…
Après l’armistice du 8 septembre 1943, monarchistes, populistes, antifascistes de tout bord, … tous participèrent, à la construction du « mythe fondateur » de la nouvelle Italie qui cherchait à exorciser un passé embarrassant afin de retrouver sa place dans le concert des nations et d’éviter la paix punitive promise à l’Allemagne.
4ème de Couverture
« L’essence d’une nation est que tous les individus aient beaucoup de choses en commun, et aussi que tous aient oublié bien des choses ». L’ouvrage pénétrant de Filippo Focardi est une illustration magistrale de cette phrase d’Ernest Renan.Note de contenu : Table des matières:
Préface, par Pieter
Lagrou.................................................................................... VII
Introduction.............................................................................................................. 3
Chapitre I. – L’Italie et la guerre de l’Axe dans la propagande alliée..................... 13
Chapitre II . – Qui a trahi la patrie ?......................................................................... 23
- La « trahison infâme » de la monarchie et la loyauté envers le « camarade allemand » dans la propagande de la République sociale italienne................... 23
-La trahison de Mussolini et le « faux allié » allemand démasqué dans la propagande monarchiste au lendemain de l’armistice........................... 27
- La dénonciation antifasciste des « vrais traîtres » :
le duce, les Allemands et le « roi félon» ........................................................... 30
Chapitre III . – Aux origines de la mémoire de la guerre.......................................... 37
- « Le bâton allemand ne mate pas l’Italie ». Mobilisation guerrière contre l’Allemagne et rappel des traditions du Risorgimento............................ 37
- La lutte contre « l’ennemi commun » allemand et la réhabilitation de l’Italie sur la scène internationale.................................... 43
Chapitre IV. – « L’Italie aussi a vaincu ». Expiation et rédemptiond’un « peuple dans le maquis» .......................................................................... 51
Chapitre V. – Oublier l’Axe ..................................................................................... 69
- Les Italiens s’opposent à « l’alliance contre-nature » d’Hitler et de Mussolini ...................................................................................... 69
- l’Italie, alliée ou victime de l’Allemagne nazie ? Les Italiens « victimes » de la guerre du duce « qu’ils n’ont pas voulue et qui n’est pas la leur» ............................................. 76
- La soi-disant « camaraderie» allemande ........................................................... 81
Chapitre VI. – Les « bons Italiens » et les « méchants Allemands »....................... 91
- Humanité italienne contre brutalité allemande ................................................... 91
- Les Italiens sauvent les juifs ............................................................................... 95
- Nous, des criminels de guerre? ....................................................................... 100
- Italianski karacho ! .......................................................................................... 117
- Le « Nuremberg italien manqué » .................................................................... 128
Chapitre VII . – Des hommes ou des Allemands ? .................................................. 123
- L’image stéréotypée de l’ennemi : la « brute nazie » ....................................... 123
- En quête de l’« autre Allemagne » : le fantasme du « bon Allemand » et la « cicatrice » de la mémoire ....................................................................... 131
Conclusions ........................................................................................................... 143
Notes ...................................................................................................................... 153
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49071 940.53/FOC Livre Libre-accès Adultes Disponible Du Néolithique à l'âge de bronze en Belgique : migrations préhistoriques / Paul-Louis Van Berg in Espace de Libertés, 294 (octobre 2001)
[article] Du Néolithique à l'âge de bronze en Belgique : migrations préhistoriques [texte imprimé] / Paul-Louis Van Berg (1943-....) . - 2001 . - pp. 14 - 15.
Langues : Français (fre)
in Espace de Libertés > 294 (octobre 2001) . - pp. 14 - 15[article]
Titre : Du Néolithique à l'âge de bronze en Belgique : migrations préhistoriques Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul-Louis Van Berg (1943-....) Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 14 - 15 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
314.7 Immigration / Emigration / Diasporas / Exil
94(493) Histoire de la BelgiquePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Espace de Libertés > 294 (octobre 2001) . - pp. 14 - 15Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 23556/1 P/3046 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Partis et systèmes de partis / Giovanni Sartori
Partis et systèmes de partis : un cadre d'analyse [texte imprimé] / Giovanni Sartori ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur ; Peter Mair, Préfacier, etc. . - Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB), 2011 . - 523 p. : ill ; 18 cm. - (UBlire) .
ISBN : 978-2-8004-1462-1
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
321 Formes de l'organisation politique
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Le livre de Giovanni Sartori sur les partis politiques et les systèmes de partis est aujourd’hui l’un des plus grands classiques de la littérature politologique. Dans cet ouvrage fondé sur une méthodologie rigoureuse et un matériau empirique d’une exceptionnelle richesse, Sartori analyse l’histoire des partis, leurs définitions possibles et, surtout, les relations qu’ils nouent entre eux pour former un système de partis.
Les typologies de systèmes de partis présentés sont examinées à partir du nombre de partis relevants déterminés à partir de quatre critères et de l’importance de la polarisation idéologique entre eux.
Publié une première fois en 1976, ce chef-d’œuvre dans l’étude des partis reste une, sinon la référence incontournable sur la question. Sa traduction française comble une énorme lacune.Note de contenu : Table des matières
Nouvelle préface de l’auteur 7
Introduction – Partis et systèmes de partis, par Peter Mair 9
Préface 21
première partie : LA RAISON D’ETRE : POURQUOI DES PARTIS
chapitre i – Le parti en tant que partie 29
1. De la faction au parti 29
2. Le pluralisme 46
3. Gouvernement responsable et redevable 57
4. Une rationalisation 66
chapitre ii – Le parti en tant que tout 75
1. De l’absence de parti au parti unique 75
2. Le système de l’Etat-parti 81
3. Pluralisme du parti unique 89
chapitre iii – Le cadre préliminaire 97
1. Canalisation, communication, expression 97
2. La définition minimale 101
3. Vue d’ensemble 111
chapitre iv – Le parti vu de l’intérieur 117
1. Fractions, faction et tendances 117
2. Un schéma d’analyse 123
3. Politique sudiste : « factions » sans partis ? 133
4. Italie et Japon : des fractions à l’intérieur des partis 145
5. La structure des opportunités 154
6. Du parti à la faction 172
deuxième partie : LES SYSTEMES DE PARTIS
chapitre v – Le critère numérique 177
1. Le problème 177
2. Des règles de comptage 181
3. Une tabulation à deux dimensions 187
chapitre vi – Systèmes compétitifs 193
1. Pluralisme polarisé 193
2. Evaluation de cas 215
3. Pluralisme modéré et sociétés segmentées 253
4. Systèmes bipartites 270
5. Systèmes à parti prédominant 284
chapitre vii – Systèmes non compétitifs 299
1. Quand la compétition se termine 299
2. Le parti unique 305
3. Le parti hégémonique 320
chapitre viii – Organisations politiques fluides et quasi-partis 333
1. Précautions méthodologiques 333
2. Le dédale africain 341
3. Faire des catégories ad hoc 352
4. L’effet boomerang 364
chapitre ix – Le cadre global 367
1. Changement du système, continuum et discontinuités 367
2. Fonction de tabulation et pouvoir explicatif 380
3. De la classification à la mesure 394
4. Mesurer la pertinence 404
5. Nombres et taille : l’indice de fragmentation 410
6. Combinaison des voies nominale et mathématique 425
chapitre x – La compétition spatiale 433
1. La théorie de Downs revisitée 433
2. Enjeux, identification, images et positions 439
3. Espace multidimensionnel, unidimensionnel et idéologique 449
4. La direction de la compétition 463
Liste des abréviations 477
Liste des tableaux et des figures 479
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Titre : Partis et systèmes de partis : un cadre d'analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Giovanni Sartori ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur ; Peter Mair, Préfacier, etc. Editeur : Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB) Année de publication : 2011 Collection : UBlire Importance : 523 p. Présentation : ill Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8004-1462-1 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 03 Dictionnaire. Référence. Adresses. Définitions
321 Formes de l'organisation politique
329 Mouvements/Partis politiquesIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Le livre de Giovanni Sartori sur les partis politiques et les systèmes de partis est aujourd’hui l’un des plus grands classiques de la littérature politologique. Dans cet ouvrage fondé sur une méthodologie rigoureuse et un matériau empirique d’une exceptionnelle richesse, Sartori analyse l’histoire des partis, leurs définitions possibles et, surtout, les relations qu’ils nouent entre eux pour former un système de partis.
Les typologies de systèmes de partis présentés sont examinées à partir du nombre de partis relevants déterminés à partir de quatre critères et de l’importance de la polarisation idéologique entre eux.
Publié une première fois en 1976, ce chef-d’œuvre dans l’étude des partis reste une, sinon la référence incontournable sur la question. Sa traduction française comble une énorme lacune.Note de contenu : Table des matières
Nouvelle préface de l’auteur 7
Introduction – Partis et systèmes de partis, par Peter Mair 9
Préface 21
première partie : LA RAISON D’ETRE : POURQUOI DES PARTIS
chapitre i – Le parti en tant que partie 29
1. De la faction au parti 29
2. Le pluralisme 46
3. Gouvernement responsable et redevable 57
4. Une rationalisation 66
chapitre ii – Le parti en tant que tout 75
1. De l’absence de parti au parti unique 75
2. Le système de l’Etat-parti 81
3. Pluralisme du parti unique 89
chapitre iii – Le cadre préliminaire 97
1. Canalisation, communication, expression 97
2. La définition minimale 101
3. Vue d’ensemble 111
chapitre iv – Le parti vu de l’intérieur 117
1. Fractions, faction et tendances 117
2. Un schéma d’analyse 123
3. Politique sudiste : « factions » sans partis ? 133
4. Italie et Japon : des fractions à l’intérieur des partis 145
5. La structure des opportunités 154
6. Du parti à la faction 172
deuxième partie : LES SYSTEMES DE PARTIS
chapitre v – Le critère numérique 177
1. Le problème 177
2. Des règles de comptage 181
3. Une tabulation à deux dimensions 187
chapitre vi – Systèmes compétitifs 193
1. Pluralisme polarisé 193
2. Evaluation de cas 215
3. Pluralisme modéré et sociétés segmentées 253
4. Systèmes bipartites 270
5. Systèmes à parti prédominant 284
chapitre vii – Systèmes non compétitifs 299
1. Quand la compétition se termine 299
2. Le parti unique 305
3. Le parti hégémonique 320
chapitre viii – Organisations politiques fluides et quasi-partis 333
1. Précautions méthodologiques 333
2. Le dédale africain 341
3. Faire des catégories ad hoc 352
4. L’effet boomerang 364
chapitre ix – Le cadre global 367
1. Changement du système, continuum et discontinuités 367
2. Fonction de tabulation et pouvoir explicatif 380
3. De la classification à la mesure 394
4. Mesurer la pertinence 404
5. Nombres et taille : l’indice de fragmentation 410
6. Combinaison des voies nominale et mathématique 425
chapitre x – La compétition spatiale 433
1. La théorie de Downs revisitée 433
2. Enjeux, identification, images et positions 439
3. Espace multidimensionnel, unidimensionnel et idéologique 449
4. La direction de la compétition 463
Liste des abréviations 477
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46525 32/SAR Livre Libre-accès Adultes Disponible Une théorie économique de la démocratie / Anthony Downs
Une théorie économique de la démocratie [texte imprimé] / Anthony Downs (1930-....), Auteur ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur . - Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB), 2013 . - 1 vol. (364 p.) : graph. ; 18 cm. - (UBlire; 27) .
ISBN : 978-2-8004-1508-6
Bibliogr. p. 341-344. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
33 Economie politique et sociale
330.82 Libéralisme - Capitalisme
342.8 Droit électoral / droit de voteIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
En 1957, Anthony Downs publie un ouvrage retentissant. Downs applique à la démocratie, à l’action des partis politiques et à celle des électeurs, de même qu’aux politiques publiques qui sont menées, une approche aujourd’hui centrale dans la science politique américaine : celle du choix rationnel.
Transposant de nombreux concepts et approches de la science économique, où les consommateurs et l’entreprise sont supposés agir sur la base d’une rationalité bien comprise sur un marché, Downs développe une exceptionnelle approche de logique formelle des électeurs et des partis dans le cadre d’un « marché électoral » et du fonctionnement de la démocratie.
Rompant avec des courants plus idéalistes, présentant l’action politique fondée sur des motivations altruistes dans le chef des électeurs et fixée sur le bien-être dans celui des partis, Downs contredit aussi une bonne partie des modèles naissants de sociologie électorale américaine ; celui du déterminisme sociologique de l’Ecole de Columbia et, plus tard, du déterminisme psycho-affectif de l’Ecole de Michigan. L’électeur se comporterait électoralement en collectant et en évaluant, au moindre coût possible, l’information nécessaire pour opérer le meilleur choix électoral eu égard à sa situation. En parallèle, les partis agiraient pour conserver ou conquérir un socle majoritaire.
L’ouvrage de Downs est devenu un des ouvrages scientifiques les plus lus et les plus cités au monde. Abondamment loué, critiqué ou amendé, La théorie économique de la démocratie est un livre incontournable dans l’étude de la démocratie, des partis et des comportements électoraux.
Sa traduction en français est un événement.
Note de contenu : Table des matières :
Préface, par Pascal Delwit 7
Remerciements 11
Avant-propos 13
première partie Structure de base du modèle
chapitre i – Introduction 17
I. La signification de la rationalité dans le modèle 18
A. Le concept de rationalité dans les théories économiques 18
B. Le concept de rationalité au sens restreint, dans la présente étude 20
C. L’irrationalité et la fonction de base de la rationalité politique 23
II. La structure du modèle 26
III. La relation de notre modèle avec les modèles économiques de gouvernement antérieurs 29
A. Le problème de la fausse personnification vs l’hyper-individualisme 30
B. Le problème de la fonction de bien-être social 32
C. Problèmes techniques 34
IV. Résumé 35
chapitre ii – Motivation du parti et fonction du gouvernement dans la société 37
I. Le concept de gouvernement démocratique dans le modèle 37
A. L’essence du gouvernement 37
B. L’essence du gouvernement démocratique 39
II. Le rôle des partis politiques dans le modèle 40
A. La nature des partis politiques 40
B. L’axiome de l’intérêt personnel 43
C. La motivation de l’action du parti 44
D. Le but spécifique des partis 47
III. La relation du modèle à l’éthique et à la science descriptive 47
A. Implications normatives 48
B. Implications descriptives 50
IV. Résumé 51
chapitre iii – La logique de base du vote 53
I. Revenu en utilité des activités gouvernementales 53
II. La structure logique du suffrage 55
A. Terminologie de l’analyse 55
B. Les différentiels à deux partis 56
C. Le facteur tendance et les taux de performance 58
III. Difficultés préliminaires causées par l’incertitude 62
IV. Variations dans les systèmes multipartites 64
V. Résumé 67
chapitre iv – La logique de base de la prise de décision gouvernementale 69
I. Principes fondamentaux de la prise de décision gouvernementale 69
A. Le concept d’opérations marginales 69
B. Le principe de majorité 71
II. Stratégies de l’opposition contre le principe de majorité 73
A. Equivalence complète des politiques 73
B. Une coalition de minorités 73
C. Le problème d’Arrow 79
III. Le rôle de la certitude dans le modèle 81
IV. La prédominance de la « volonté de la majorité » 82
A. La règle de la majorité passionnée 82
B. La signification politique des majorités passionnées 86
V. Le processus du budget 88
A. Les décisions budgétaires sous le principe de majorité 88
B. Décisions budgétaires dans d’autres conditions 89
VI. Relation entre les actes gouvernementaux et les fonctions d’utilité des électeurs 91
VII. Résumé 92
deuxième partie Les effets généraux de l’incertitude
chapitre v – La signification de l’incertitude 97
I. La nature de l’incertitude 97
II. Raison, connaissance et information 99
III. Les formes de l’incertitude dans notre modèle 99
IV. Résumé 101
chapitre vi – Comment l’incertitude affecte la prise de décision gouvernementale 103
I. Comment l’incertitude engendre la persuasion 104
II. Types d’électeurs autres que les agitateurs 105
III. Le rôle des seuils 107
IV. La nature et les formes du leadership dans le modèle 108
V. Le fonctionnement des intermédiaires 110
A. Le gouvernement a besoin de représentants 110
B. Intermédiaires non gouvernementaux 112
C. Les effets politiques de l’incertitude 114
VI. Résumé 116
chapitre vii – Le développement des idéologies politiques en tant que moyens d’obtenir des suffrages 119
I. Le rôle de l’incertitude 120
A. Les idéologies en univers certain 120
B. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux électeurs 121
C. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux partis politiques 123
D. Comment la compétition entre partis affecte les idéologies 125
II. Fiabilité, intégrité et responsabilité 126
A. Le rôle de la fiabilité et de la responsabilité dans le modèle 126
B. Nécessité de la fiabilité et de la responsabilité en politique 128
C. Comment les mobiles de chaque parti l’amènent à être honnête et responsable 130
III. Cohérence idéologique et stabilité 133
IV. Conflits entre idéologies et obtention des suffrages 135
V. Résumé 137
chapitre viii – Stabilité et évolution des idéologies partisanes 139
I. L’analogie spatiale et son usage précoce 140
II. Les effets des différentes distributions des électeurs 142
A. Dans les systèmes bipartites 142
B. Le nombre des partis en équilibre 147
C. Dans les systèmes multipartites 151
III. L’origine des nouveaux partis 153
IV. Cohérence idéologique et intégration 158
A. Modification de notre modèle pour inclure les partis à politiques multiples 158
B. Stratégies d’intégration dans les systèmes bipartites et multipartites 159
C. Chevauchement et ambiguïté dans les systèmes bipartites 161
D. Une tension fondamentale dans notre modèle 163
V. Un déterminant de base de la politique d’une nation 165
VI. Résumé 166
chapitre ix – Problèmes de rationalité avec des gouvernements de coalition 169
I. Modifications du modèle 170
II. La rationalité de l’électeur avec des coalitions 173
A. Complexité et difficulté d’être rationnel 173
B. Le problème de l’oligopole et du vote dans les systèmes multipartites 177
C. Le problème fondamental : l’absence de consensus parmi les électeurs 182
III. La rationalité du parti dans les coalitions 184
IV. Conflits entre rationalité du parti et rationalité individuelle 188
V. Résumé 191
chapitre x – Le gouvernement maximiseur de votes et l’équilibre marginal individuel 193
I. Affectation des ressources dans une économie de marché 194
A. Planification dans le secteur privé 194
B. Obstacles à l’atteinte d’un optimum de Pareto par un marché libre 199
II Planification gouvernementale et équilibre marginal individuel 204
A. La relation entre gouvernement et actualisation 204
B. Comment les actes du gouvernement peuvent empêcher un optimum de Pareto dans un univers certain 207
C. Effets de l’incertitude sur l’atteinte d’une position optimale 212
D. Un marché aux votes hypothétique 219
E. L’impact de l’indivisibilité et ses causes techniques 225
F. La distribution du revenu comme cause de blocage de l’équilibre marginal 229
III. Récapitulation et conclusions 233
IV. Résumé 235
troisième partie Effets spécifiques des coûts de l’information
Chapitre xi – S’informer 239
I. Le rôle de l’information dans la prise de décision 240
A. Le processus de prise de décision et ses coûts 240
B. La nécessité et la nature des principes de sélection 243
II. Comment choisir des principes de sélection de manière rationnelle 245
III. La quantité d’information qu’il est rationnel d’acquérir 247
IV. Le besoin de focaliser l’attention 249
V. Caractéristiques d’un système d’information rationnel 250
VI. Résumé 251
chapitre xii – Comment les citoyens rationnels réduisent les coûts de l’information 253
I. Le flux d’information gratuite 254
A. L’essence et les sources de l’information gratuite 254
B. La quantité de données gratuites que reçoivent les citoyens 257
II. Comment les fournisseurs d’information focalisent l’attention 258
A. Collecteurs d’information professionnels et éditeurs 259
B. Groupes d’intérêt 260
C. Partis politiques 260
D. Le gouvernement 260
III. Comment des citoyens rationnels réduisent les coûts des données 261
A. Le problème et ses solutions fondamentales 261
B. Le transfert des coûts d’acquisition 262
C. Délégation de l’analyse et de l’évaluation comme moyen de réduire les coûts 264
D. La relation de la délégation avec les rendementsde l’information 267
IV. L’impact différentiel du pouvoir de l’information 268
A. Variations de la capacité à utiliser des données politiques 268
B. Le coût de l’information et l’égalité de l’influence politique 270
V. Résumé 271
chapitre xiii – Les rendements de l’information et leur réduction 273
I. Acquérir de l’information pour voter 275
A. Le rôle du différentiel partisan 275
B. Les éléments d’information et leur usage dans la prise de décision 276
C. Pourquoi réduire le différentiel partisan 279
D. L’impact de l’indivisibilité 281
II. Acquérir de l’information pour influencer la politique gouvernementale 283
A. La valeur des données se mesure par leur influence 283
B. Le coût de la communication 287
C. Pourquoi les hommes d’influence sont mieux informés que les électeurs 288
D. Disparité de l’influence et de la distribution du pouvoir 293
III. Résumé 294
chapitre xiv – Les causes et les effets de l’abstention rationnelle 297
I. La participation aux élections lorsque le vote n’entraîne aucun coût 298
A. Pourquoi seuls les citoyens indifférents s’abstiennent 298
B. La nature de l’indifférence 300
II. La participation aux élections lorsque voter a un coût 302
A. Les coûts du vote et leurs effets comportementaux 302
B. Essence, volume et impact des rendements du vote 304
C. Comment des citoyens rationnels décident comment voter : résumé corrigé 309
D. La relation entre le comportement électoralet la distribution du pouvoir 310
III. Résumé 312
quatrième partie Implications dérivées et hypothèses
chapitre xv – Commentaire sur les théories économiques du comportement gouvernemental 317
I. L’inconsistance des théories économiques traditionnellesdu gouvernement 318
A. Le parti pris implicite dans la théorie traditionnelle 318
B. La faiblesse de ce point de vue 321
C. Pourquoi les économistes ont ignoré ce problème 323
II. La généralité des théories du comportement gouvernemental325
A. Essais d’appliquer une même théorie à tous les gouvernements 325
B. Pourquoi a-t-on besoin de multiples théories ? 329
III. Résumé 332
chapitre xvi – Propositions vérifiables dérivées de la théorie 335
I. Les hypothèses de base et leurs interrelations 335
II. Propositions spécifiques vérifiables 336
A. Déductions de l’hypothèse de la motivation du parti 336
B. Déductions de l’hypothèse de la rationalité du citoyen 337
C. Déductions des deux hypothèses 340
III. Résumé 340
Bibliographie 341
Index des noms 345
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Une théorie économique de la démocratie Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Downs (1930-....), Auteur ; Paul-Louis Van Berg (1943-....), Traducteur Editeur : Bruxelles : Éd. de l'Université de Bruxelles (ULB) Année de publication : 2013 Collection : UBlire num. 27 Importance : 1 vol. (364 p.) Présentation : graph. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8004-1508-6 Note générale : Bibliogr. p. 341-344. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 321.7 Démocratie / Démocratisation
33 Economie politique et sociale
330.82 Libéralisme - Capitalisme
342.8 Droit électoral / droit de voteIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
En 1957, Anthony Downs publie un ouvrage retentissant. Downs applique à la démocratie, à l’action des partis politiques et à celle des électeurs, de même qu’aux politiques publiques qui sont menées, une approche aujourd’hui centrale dans la science politique américaine : celle du choix rationnel.
Transposant de nombreux concepts et approches de la science économique, où les consommateurs et l’entreprise sont supposés agir sur la base d’une rationalité bien comprise sur un marché, Downs développe une exceptionnelle approche de logique formelle des électeurs et des partis dans le cadre d’un « marché électoral » et du fonctionnement de la démocratie.
Rompant avec des courants plus idéalistes, présentant l’action politique fondée sur des motivations altruistes dans le chef des électeurs et fixée sur le bien-être dans celui des partis, Downs contredit aussi une bonne partie des modèles naissants de sociologie électorale américaine ; celui du déterminisme sociologique de l’Ecole de Columbia et, plus tard, du déterminisme psycho-affectif de l’Ecole de Michigan. L’électeur se comporterait électoralement en collectant et en évaluant, au moindre coût possible, l’information nécessaire pour opérer le meilleur choix électoral eu égard à sa situation. En parallèle, les partis agiraient pour conserver ou conquérir un socle majoritaire.
L’ouvrage de Downs est devenu un des ouvrages scientifiques les plus lus et les plus cités au monde. Abondamment loué, critiqué ou amendé, La théorie économique de la démocratie est un livre incontournable dans l’étude de la démocratie, des partis et des comportements électoraux.
Sa traduction en français est un événement.
Note de contenu : Table des matières :
Préface, par Pascal Delwit 7
Remerciements 11
Avant-propos 13
première partie Structure de base du modèle
chapitre i – Introduction 17
I. La signification de la rationalité dans le modèle 18
A. Le concept de rationalité dans les théories économiques 18
B. Le concept de rationalité au sens restreint, dans la présente étude 20
C. L’irrationalité et la fonction de base de la rationalité politique 23
II. La structure du modèle 26
III. La relation de notre modèle avec les modèles économiques de gouvernement antérieurs 29
A. Le problème de la fausse personnification vs l’hyper-individualisme 30
B. Le problème de la fonction de bien-être social 32
C. Problèmes techniques 34
IV. Résumé 35
chapitre ii – Motivation du parti et fonction du gouvernement dans la société 37
I. Le concept de gouvernement démocratique dans le modèle 37
A. L’essence du gouvernement 37
B. L’essence du gouvernement démocratique 39
II. Le rôle des partis politiques dans le modèle 40
A. La nature des partis politiques 40
B. L’axiome de l’intérêt personnel 43
C. La motivation de l’action du parti 44
D. Le but spécifique des partis 47
III. La relation du modèle à l’éthique et à la science descriptive 47
A. Implications normatives 48
B. Implications descriptives 50
IV. Résumé 51
chapitre iii – La logique de base du vote 53
I. Revenu en utilité des activités gouvernementales 53
II. La structure logique du suffrage 55
A. Terminologie de l’analyse 55
B. Les différentiels à deux partis 56
C. Le facteur tendance et les taux de performance 58
III. Difficultés préliminaires causées par l’incertitude 62
IV. Variations dans les systèmes multipartites 64
V. Résumé 67
chapitre iv – La logique de base de la prise de décision gouvernementale 69
I. Principes fondamentaux de la prise de décision gouvernementale 69
A. Le concept d’opérations marginales 69
B. Le principe de majorité 71
II. Stratégies de l’opposition contre le principe de majorité 73
A. Equivalence complète des politiques 73
B. Une coalition de minorités 73
C. Le problème d’Arrow 79
III. Le rôle de la certitude dans le modèle 81
IV. La prédominance de la « volonté de la majorité » 82
A. La règle de la majorité passionnée 82
B. La signification politique des majorités passionnées 86
V. Le processus du budget 88
A. Les décisions budgétaires sous le principe de majorité 88
B. Décisions budgétaires dans d’autres conditions 89
VI. Relation entre les actes gouvernementaux et les fonctions d’utilité des électeurs 91
VII. Résumé 92
deuxième partie Les effets généraux de l’incertitude
chapitre v – La signification de l’incertitude 97
I. La nature de l’incertitude 97
II. Raison, connaissance et information 99
III. Les formes de l’incertitude dans notre modèle 99
IV. Résumé 101
chapitre vi – Comment l’incertitude affecte la prise de décision gouvernementale 103
I. Comment l’incertitude engendre la persuasion 104
II. Types d’électeurs autres que les agitateurs 105
III. Le rôle des seuils 107
IV. La nature et les formes du leadership dans le modèle 108
V. Le fonctionnement des intermédiaires 110
A. Le gouvernement a besoin de représentants 110
B. Intermédiaires non gouvernementaux 112
C. Les effets politiques de l’incertitude 114
VI. Résumé 116
chapitre vii – Le développement des idéologies politiques en tant que moyens d’obtenir des suffrages 119
I. Le rôle de l’incertitude 120
A. Les idéologies en univers certain 120
B. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux électeurs 121
C. Comment l’incertitude rend les idéologies utiles aux partis politiques 123
D. Comment la compétition entre partis affecte les idéologies 125
II. Fiabilité, intégrité et responsabilité 126
A. Le rôle de la fiabilité et de la responsabilité dans le modèle 126
B. Nécessité de la fiabilité et de la responsabilité en politique 128
C. Comment les mobiles de chaque parti l’amènent à être honnête et responsable 130
III. Cohérence idéologique et stabilité 133
IV. Conflits entre idéologies et obtention des suffrages 135
V. Résumé 137
chapitre viii – Stabilité et évolution des idéologies partisanes 139
I. L’analogie spatiale et son usage précoce 140
II. Les effets des différentes distributions des électeurs 142
A. Dans les systèmes bipartites 142
B. Le nombre des partis en équilibre 147
C. Dans les systèmes multipartites 151
III. L’origine des nouveaux partis 153
IV. Cohérence idéologique et intégration 158
A. Modification de notre modèle pour inclure les partis à politiques multiples 158
B. Stratégies d’intégration dans les systèmes bipartites et multipartites 159
C. Chevauchement et ambiguïté dans les systèmes bipartites 161
D. Une tension fondamentale dans notre modèle 163
V. Un déterminant de base de la politique d’une nation 165
VI. Résumé 166
chapitre ix – Problèmes de rationalité avec des gouvernements de coalition 169
I. Modifications du modèle 170
II. La rationalité de l’électeur avec des coalitions 173
A. Complexité et difficulté d’être rationnel 173
B. Le problème de l’oligopole et du vote dans les systèmes multipartites 177
C. Le problème fondamental : l’absence de consensus parmi les électeurs 182
III. La rationalité du parti dans les coalitions 184
IV. Conflits entre rationalité du parti et rationalité individuelle 188
V. Résumé 191
chapitre x – Le gouvernement maximiseur de votes et l’équilibre marginal individuel 193
I. Affectation des ressources dans une économie de marché 194
A. Planification dans le secteur privé 194
B. Obstacles à l’atteinte d’un optimum de Pareto par un marché libre 199
II Planification gouvernementale et équilibre marginal individuel 204
A. La relation entre gouvernement et actualisation 204
B. Comment les actes du gouvernement peuvent empêcher un optimum de Pareto dans un univers certain 207
C. Effets de l’incertitude sur l’atteinte d’une position optimale 212
D. Un marché aux votes hypothétique 219
E. L’impact de l’indivisibilité et ses causes techniques 225
F. La distribution du revenu comme cause de blocage de l’équilibre marginal 229
III. Récapitulation et conclusions 233
IV. Résumé 235
troisième partie Effets spécifiques des coûts de l’information
Chapitre xi – S’informer 239
I. Le rôle de l’information dans la prise de décision 240
A. Le processus de prise de décision et ses coûts 240
B. La nécessité et la nature des principes de sélection 243
II. Comment choisir des principes de sélection de manière rationnelle 245
III. La quantité d’information qu’il est rationnel d’acquérir 247
IV. Le besoin de focaliser l’attention 249
V. Caractéristiques d’un système d’information rationnel 250
VI. Résumé 251
chapitre xii – Comment les citoyens rationnels réduisent les coûts de l’information 253
I. Le flux d’information gratuite 254
A. L’essence et les sources de l’information gratuite 254
B. La quantité de données gratuites que reçoivent les citoyens 257
II. Comment les fournisseurs d’information focalisent l’attention 258
A. Collecteurs d’information professionnels et éditeurs 259
B. Groupes d’intérêt 260
C. Partis politiques 260
D. Le gouvernement 260
III. Comment des citoyens rationnels réduisent les coûts des données 261
A. Le problème et ses solutions fondamentales 261
B. Le transfert des coûts d’acquisition 262
C. Délégation de l’analyse et de l’évaluation comme moyen de réduire les coûts 264
D. La relation de la délégation avec les rendementsde l’information 267
IV. L’impact différentiel du pouvoir de l’information 268
A. Variations de la capacité à utiliser des données politiques 268
B. Le coût de l’information et l’égalité de l’influence politique 270
V. Résumé 271
chapitre xiii – Les rendements de l’information et leur réduction 273
I. Acquérir de l’information pour voter 275
A. Le rôle du différentiel partisan 275
B. Les éléments d’information et leur usage dans la prise de décision 276
C. Pourquoi réduire le différentiel partisan 279
D. L’impact de l’indivisibilité 281
II. Acquérir de l’information pour influencer la politique gouvernementale 283
A. La valeur des données se mesure par leur influence 283
B. Le coût de la communication 287
C. Pourquoi les hommes d’influence sont mieux informés que les électeurs 288
D. Disparité de l’influence et de la distribution du pouvoir 293
III. Résumé 294
chapitre xiv – Les causes et les effets de l’abstention rationnelle 297
I. La participation aux élections lorsque le vote n’entraîne aucun coût 298
A. Pourquoi seuls les citoyens indifférents s’abstiennent 298
B. La nature de l’indifférence 300
II. La participation aux élections lorsque voter a un coût 302
A. Les coûts du vote et leurs effets comportementaux 302
B. Essence, volume et impact des rendements du vote 304
C. Comment des citoyens rationnels décident comment voter : résumé corrigé 309
D. La relation entre le comportement électoralet la distribution du pouvoir 310
III. Résumé 312
quatrième partie Implications dérivées et hypothèses
chapitre xv – Commentaire sur les théories économiques du comportement gouvernemental 317
I. L’inconsistance des théories économiques traditionnellesdu gouvernement 318
A. Le parti pris implicite dans la théorie traditionnelle 318
B. La faiblesse de ce point de vue 321
C. Pourquoi les économistes ont ignoré ce problème 323
II. La généralité des théories du comportement gouvernemental325
A. Essais d’appliquer une même théorie à tous les gouvernements 325
B. Pourquoi a-t-on besoin de multiples théories ? 329
III. Résumé 332
chapitre xvi – Propositions vérifiables dérivées de la théorie 335
I. Les hypothèses de base et leurs interrelations 335
II. Propositions spécifiques vérifiables 336
A. Déductions de l’hypothèse de la motivation du parti 336
B. Déductions de l’hypothèse de la rationalité du citoyen 337
C. Déductions des deux hypothèses 340
III. Résumé 340
Bibliographie 341
Index des noms 345
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