Détail de l'auteur
Auteur Christoph Brüll |
Documents disponibles écrits par cet auteur (4)



Les « enrôlés de force » dans la Wehrmacht – un symbole du passé mouvementé des Belges germanophones au XXe siècle / Christoph Brüll in Guerres Mondiales et Conflits Contemporains, 241 (2011/1)
[article] Les « enrôlés de force » dans la Wehrmacht – un symbole du passé mouvementé des Belges germanophones au XXe siècle [texte imprimé] / Christoph Brüll, Auteur . - 2011 . - p. 63-74.
Langues : Français (fre)
in Guerres Mondiales et Conflits Contemporains > 241 (2011/1) . - p. 63-74
Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Enrôlé de force (malgré-nous belge)Résumé : Au XXe siècle, l’histoire des 75000 Belges germanophones est celle d’un passé mouvementé. Devenue belge à la suite du traité de Versailles, la population, prussienne depuis 1815, des deux Kreise d’Eupen (germanophone) et de Malmedy (en partie wallonne ou francophone) a vécu des conflits de loyauté résultant du nationalisme exacerbé si typique de la première moitié du siècle dernier. Le symbole de ce passé, mais aussi de ces conflits d’allégeance, ce sont les 8700 jeunes hommes recrutés par la Wehrmacht à partir du mois de novembre 1941, soit deux mois après l’octroi de la nationalité allemande à la population d’un territoire annexé de facto au Reich par un Führererlass du 18 mai 1940. Entre 3200 et 3400 d’entre eux, soit 39 %, ne reviendront pas, ils mourant au « champ d’honneur » ou dans des camps de prisonniers soviétiques.
La terminologie a fait de ces soldats des Zwangssoldaten – des « enrôlés de force ». Ce terme est d’abord créé par les autorités gouvernementales bruxelloises pour les distinguer de leurs compatriotes flamands et wallons qui s’étaient portés volontaires dans l’armée allemande. Il est ensuite repris par les intéressés et les représentants de leurs associations. À travers les décennies, ce sont une connotation de victimes et le potentiel de victimisation de cette terminologie qui ont forgé l’image de ces soldats, mais aussi, à travers eux, de toute la population germanophone. Ce terme ne prend cependant pas en compte les conflits entre pro-Belges et pro-Allemands qui ont régi la vie politique et sociale de tout l’entre-deux-guerres. Il ne permet pas non plus de poser la question du comportement de ces soldats sur le front. En ce sens, il s’intègre dans une conception de l’histoire qui est née à la fin de la Seconde Guerre mondiale au moment de l’ « épuration civique », et qui, en insistant sur le caractère « belge » du territoire et de sa population, a empêché toute approche nuancée de l’histoire, voire déformé grossièrement le passé le plus récent. À cet égard, le rapport à la figure du soldat reflète le rapport au passé marqué par les deux guerres mondiales.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Les « enrôlés de force » dans la Wehrmacht – un symbole du passé mouvementé des Belges germanophones au XXe siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph Brüll, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 63-74 Langues : Français (fre) Catégories : 353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Enrôlé de force (malgré-nous belge)Résumé : Au XXe siècle, l’histoire des 75000 Belges germanophones est celle d’un passé mouvementé. Devenue belge à la suite du traité de Versailles, la population, prussienne depuis 1815, des deux Kreise d’Eupen (germanophone) et de Malmedy (en partie wallonne ou francophone) a vécu des conflits de loyauté résultant du nationalisme exacerbé si typique de la première moitié du siècle dernier. Le symbole de ce passé, mais aussi de ces conflits d’allégeance, ce sont les 8700 jeunes hommes recrutés par la Wehrmacht à partir du mois de novembre 1941, soit deux mois après l’octroi de la nationalité allemande à la population d’un territoire annexé de facto au Reich par un Führererlass du 18 mai 1940. Entre 3200 et 3400 d’entre eux, soit 39 %, ne reviendront pas, ils mourant au « champ d’honneur » ou dans des camps de prisonniers soviétiques.
La terminologie a fait de ces soldats des Zwangssoldaten – des « enrôlés de force ». Ce terme est d’abord créé par les autorités gouvernementales bruxelloises pour les distinguer de leurs compatriotes flamands et wallons qui s’étaient portés volontaires dans l’armée allemande. Il est ensuite repris par les intéressés et les représentants de leurs associations. À travers les décennies, ce sont une connotation de victimes et le potentiel de victimisation de cette terminologie qui ont forgé l’image de ces soldats, mais aussi, à travers eux, de toute la population germanophone. Ce terme ne prend cependant pas en compte les conflits entre pro-Belges et pro-Allemands qui ont régi la vie politique et sociale de tout l’entre-deux-guerres. Il ne permet pas non plus de poser la question du comportement de ces soldats sur le front. En ce sens, il s’intègre dans une conception de l’histoire qui est née à la fin de la Seconde Guerre mondiale au moment de l’ « épuration civique », et qui, en insistant sur le caractère « belge » du territoire et de sa population, a empêché toute approche nuancée de l’histoire, voire déformé grossièrement le passé le plus récent. À cet égard, le rapport à la figure du soldat reflète le rapport au passé marqué par les deux guerres mondiales.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Guerres Mondiales et Conflits Contemporains > 241 (2011/1) . - p. 63-74Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48037 dossier 01/03/2011 Documents divers Libre-accès Farde Dossiers Exclu du prêt Entre ressentiment et ré-éducation / Christoph Brüll in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 23 (2011)
![]()
[article] Entre ressentiment et ré-éducation : L’Armée belge d’Occupation et les Allemands, 1945-1952 [texte imprimé] / Christoph Brüll, Auteur . - 2011 . - p. 55-94.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 23 (2011) . - p. 55-94
Catégories : 327 Relations internationales
356 Armée en général
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(4)"1945/..." Histoire de l'Europe après 1945Résumé : Pendant six décennies, entre 1945 et 2005, des officiers et soldats belges ont effectué une partie de leur parcours ou de leur service militaire en Allemagne. Créée comme Armée belge d’Occupation, cette entité changera de nom au début des années 1950 pour devenir les Forces Belges d’Allemagne, modification symbolique qui marque le début d’une évolution au cours de laquelle l’ancien ennemi deviendra en 1955 un partenaire dans le cadre de l’OTAN. L’article se concentre sur les premières années de cette présence en Allemagne, celles où le souvenir de la Seconde Guerre mondiale et de la deuxième occupation de la Belgique par les Allemands est encore proche. En ligne : http://www.cegesoma.be/docs/media/chtp_beg/chtp_23/chtp23_Resu_Fr_Brull.pdf Format de la ressource électronique : Résumé en pdf Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Entre ressentiment et ré-éducation : L’Armée belge d’Occupation et les Allemands, 1945-1952 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph Brüll, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 55-94 Langues : Français (fre) Catégories : 327 Relations internationales
356 Armée en général
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(4)"1945/..." Histoire de l'Europe après 1945Résumé : Pendant six décennies, entre 1945 et 2005, des officiers et soldats belges ont effectué une partie de leur parcours ou de leur service militaire en Allemagne. Créée comme Armée belge d’Occupation, cette entité changera de nom au début des années 1950 pour devenir les Forces Belges d’Allemagne, modification symbolique qui marque le début d’une évolution au cours de laquelle l’ancien ennemi deviendra en 1955 un partenaire dans le cadre de l’OTAN. L’article se concentre sur les premières années de cette présence en Allemagne, celles où le souvenir de la Seconde Guerre mondiale et de la deuxième occupation de la Belgique par les Allemands est encore proche. En ligne : http://www.cegesoma.be/docs/media/chtp_beg/chtp_23/chtp23_Resu_Fr_Brull.pdf Format de la ressource électronique : Résumé en pdf Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 23 (2011) . - p. 55-94Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47021 CAH Périodique Libre-accès Périodiques Disponible "L'identité des Belges germanophones est une non-identitée" / Christoph Brüll in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Réparations, annexions ou rectifications ? / Christoph Brüll in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 16 (novembre 2005)
[article] Réparations, annexions ou rectifications ? : Le problème de la frontière belgo-allemande après la Seconde Guerre mondiale, 1945-1949 [texte imprimé] / Christoph Brüll, Auteur . - 2005 . - pp. 91-131.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 91-131
Catégories : 321.01 Pouvoirs.Frontières
327 Relations internationales
353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : - Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais
Résumé :
Les problèmes autour de la frontière belgo-allemande resurgis après 1945 font partie de ces épisodes oubliés de l'histoire des deux pays. L'article met en évidence la naissance des revendications belges et leur contexte. Si dans les milieux gouvernementaux, représentés par le ministre des Affaires étrangères, Paul-Henri Spaak, il existe surtout la volonté de "réparer" les anomalies du tracé frontalier fixé dans les années 1920, certains milieux belges – dans un climat de ressentiments anti-allemands et d'incertitude générale à propos de l'avenir de l'Allemagne – présentent des revendications territoriales et des demandes de réparations assez importantes en compensation aux biens belges volés et pillés par les Allemands au temps de l'occupation. Une des voix les plus importantes de ces milieux est le Comité belge du Rhin (CBR) qui, en collaboration avec des comités étrangers, élève de nombreuses revendications d'ordre économique et territorial à l'égard de l'Allemagne vaincue. Dans leur vision la plus maximaliste, le CBR demande soit l'annexion, soit l'utilisation de toute l'infrastructure du bassin industriel s'étendant entre Aix-la-Chapelle et Cologne. Persuadé que l'annexion de territoires allemands importants comportant une partie relativement grande de la population allemande ne contribuerait pas à la stabilité de la paix en Europe occidentale, le gouvernement prend en 1946 la décision de ne demander que très peu de territoires allemands dans le sens d'une "rectification" de frontière. Les revendications belges à l'égard de l'Allemagne sont ainsi formulées dans trois mémorandums de novembre 1946 et de janvier 1947. Le volet des revendications territoriales rencontre la faveur des Alliés anglo-saxons. Mais il faudra attendre l'année 1948 pour en arriver à un traitement diplomatique de la question frontalière. Entre-temps, l'on assiste de part et d'autre de la frontière belgo-allemande à la formation de deux blocs, l'un en faveur d'un rattachement de communes allemandes à la Belgique, l'autre contre celui-ci. De nombreuses pétitions parviennent alors au ministère des Affaires étrangères de Bruxelles. On n'arrivera pourtant jamais à spécifier le taux de "Pro-Belges" par rapport aux "Pro-Allemands". L'opinion publique allemande s'oppose vigoureusement à toute amputation de la frontière occidentale de l'Allemagne. Le plus grand adversaire des rectifications de frontière est le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie, Karl Arnold, qui dans cette affaire devient une sorte de "ministre des Affaires étrangères de la zone britannique".
Par une décision d'un comité de travail des Six Puissances (États-Unis, Royaume-Uni, France et Benelux), datant de mars 1949, la Belgique se voit octroyée le droit de rattacher provisoirement 30 km² de territoire allemand habité par 3.850 Allemands. Cependant, en avril 1949 le gouvernement belge renonce à la plus grande partie de ces territoires, de sorte que seulement 500 Allemands soient finalement soumises à une administration militaire belge. Cette administration militaire tient compte du caractère provisoire de ces rattachements, le tracé définitif de la frontière étant soumis à un traité de paix entre la Belgique et l'Allemagne. Un traité bilatéral sera finalement conclu en 1956. Le tracé frontalier négocié sera alors accepté par les Alliés occidentaux.
La décision de renonciation du gouvernement belge qui repose en fait sur de simples considérations économiques est présentée devant l'opinion publique belge et allemande comme "grand geste européen" ou comme "première réconciliation belgo-allemande" et contribue largement à l'image positive dont jouit Paul-Henri Spaak dans l'Allemagne des années 1950 et dans l'historiographie allemande.
Abordant un sujet traditionnel de l'histoire diplomatique, la fixation de frontières à l'issue d'un conflit armé, l'article considère la question de la frontière belgo-allemande comme un indicateur des relations belgo-allemandes après 1945.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Réparations, annexions ou rectifications ? : Le problème de la frontière belgo-allemande après la Seconde Guerre mondiale, 1945-1949 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph Brüll, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 91-131 Langues : Français (fre) Catégories : 321.01 Pouvoirs.Frontières
327 Relations internationales
353(493=30) Communauté germanophone
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(430) Histoire de l'Allemagne
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : - Article en français - Résumé en néerlandais et en anglais
Résumé :
Les problèmes autour de la frontière belgo-allemande resurgis après 1945 font partie de ces épisodes oubliés de l'histoire des deux pays. L'article met en évidence la naissance des revendications belges et leur contexte. Si dans les milieux gouvernementaux, représentés par le ministre des Affaires étrangères, Paul-Henri Spaak, il existe surtout la volonté de "réparer" les anomalies du tracé frontalier fixé dans les années 1920, certains milieux belges – dans un climat de ressentiments anti-allemands et d'incertitude générale à propos de l'avenir de l'Allemagne – présentent des revendications territoriales et des demandes de réparations assez importantes en compensation aux biens belges volés et pillés par les Allemands au temps de l'occupation. Une des voix les plus importantes de ces milieux est le Comité belge du Rhin (CBR) qui, en collaboration avec des comités étrangers, élève de nombreuses revendications d'ordre économique et territorial à l'égard de l'Allemagne vaincue. Dans leur vision la plus maximaliste, le CBR demande soit l'annexion, soit l'utilisation de toute l'infrastructure du bassin industriel s'étendant entre Aix-la-Chapelle et Cologne. Persuadé que l'annexion de territoires allemands importants comportant une partie relativement grande de la population allemande ne contribuerait pas à la stabilité de la paix en Europe occidentale, le gouvernement prend en 1946 la décision de ne demander que très peu de territoires allemands dans le sens d'une "rectification" de frontière. Les revendications belges à l'égard de l'Allemagne sont ainsi formulées dans trois mémorandums de novembre 1946 et de janvier 1947. Le volet des revendications territoriales rencontre la faveur des Alliés anglo-saxons. Mais il faudra attendre l'année 1948 pour en arriver à un traitement diplomatique de la question frontalière. Entre-temps, l'on assiste de part et d'autre de la frontière belgo-allemande à la formation de deux blocs, l'un en faveur d'un rattachement de communes allemandes à la Belgique, l'autre contre celui-ci. De nombreuses pétitions parviennent alors au ministère des Affaires étrangères de Bruxelles. On n'arrivera pourtant jamais à spécifier le taux de "Pro-Belges" par rapport aux "Pro-Allemands". L'opinion publique allemande s'oppose vigoureusement à toute amputation de la frontière occidentale de l'Allemagne. Le plus grand adversaire des rectifications de frontière est le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie, Karl Arnold, qui dans cette affaire devient une sorte de "ministre des Affaires étrangères de la zone britannique".
Par une décision d'un comité de travail des Six Puissances (États-Unis, Royaume-Uni, France et Benelux), datant de mars 1949, la Belgique se voit octroyée le droit de rattacher provisoirement 30 km² de territoire allemand habité par 3.850 Allemands. Cependant, en avril 1949 le gouvernement belge renonce à la plus grande partie de ces territoires, de sorte que seulement 500 Allemands soient finalement soumises à une administration militaire belge. Cette administration militaire tient compte du caractère provisoire de ces rattachements, le tracé définitif de la frontière étant soumis à un traité de paix entre la Belgique et l'Allemagne. Un traité bilatéral sera finalement conclu en 1956. Le tracé frontalier négocié sera alors accepté par les Alliés occidentaux.
La décision de renonciation du gouvernement belge qui repose en fait sur de simples considérations économiques est présentée devant l'opinion publique belge et allemande comme "grand geste européen" ou comme "première réconciliation belgo-allemande" et contribue largement à l'image positive dont jouit Paul-Henri Spaak dans l'Allemagne des années 1950 et dans l'historiographie allemande.
Abordant un sujet traditionnel de l'histoire diplomatique, la fixation de frontières à l'issue d'un conflit armé, l'article considère la question de la frontière belgo-allemande comme un indicateur des relations belgo-allemandes après 1945.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 91-131Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40936/1 p/5476 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible