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Auteur Thibauld Moulaert |
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Fins de carrières / Thibauld Moulaert in La Revue Nouvelle, 3 (mars 2006)
[article] Fins de carrières : dossier [texte imprimé] / Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication . - 2006 . - pp. 26-70.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle > 3 (mars 2006) . - pp. 26-70
Catégories : -053.9 Personne agée Vieillard
331 Travail Organisation du travail
331.101 Théorie du travail
331.4 Conditions de travail
331.5 Marché de l'emploi
369.5 Assurance vieillesse. PensionsRésumé : Sommaire :
Intro
Thibauld Moulaert et Pierre Reman
Vieillissement : la démographie à la rescousse de la Wallonie et de Bruxelles ?
Marc Debuisson et Frédéric Docquier
Si le vieillissement et la baisse de natalité concernent l’ensemble de la Belgique, les perspectives futures sont à nuancer suivant les Régions: les populations wallonne et bruxelloise sont légèrement plus jeunes que celle de la Flandre. Les projections macroéconomiques montrent que Bruxelles et la Wallonie seront dans une situation plus favorable. Tout cela ne gomme pas le défi : comment adapter la société au vieillissement de la population?
Au-delà des chiffres… augmenter l’emploi : de quoi parle-t-on ?
Jean Verly
Quels sont les enjeux de l’objectif de relèvement des taux d’emploi des travailleurs âgés ? Une analyse critique des chiffres permet de montrer qu’ils recouvrent des réalités différentes selon les pays. Le constat d’une Belgique à la traine s’en trouve relativisé : si elle présente de faibles taux d’emploi pour les jeunes et les travailleurs âgés, ceux-ci sont meilleurs que ceux d’autres pays pour les tranches d’âge intermédiaires. La Belgique est également performante en matière de productivité de l’emploi et de produit intérieur brut (P.I.B.). Faut-il donc revoir la répartition de l’emploi ?
Âgisme : récupération idéologique d’une discrimination
Nathalie Burnay
Les discriminations liées à l’emploi qui frappent les travailleurs âgés reposent sur des stéréotypes et des préjugés, mis en évidence voici déjà cinquante ans. Cependant, ces préjugés ne sont pas uniquement structurels. Ils sont également utilisés au gré des aléas de la conjoncture : ainsi, en période de récession, les séniors sont les premiers licenciés. À l’inverse, depuis 2000, l’Union européenne fait du maintien à l’emploi de cette catégorie une priorité. Le phénomène de la discrimination à l’âge n’est donc pas neuf, mais il fait l’objet d’une récupération idéologique de la part du monde politique et des médias.
L’État social actif à la porte de la Région
Bernard Conter et Thibauld Moulaert
L’injonction au « vieillissement actif » (plus d’âgés au travail plus longtemps) ne passe pas la rampe en Wallonie. La politique régionale de l’emploi ne fait pas de la mise au travail des séniors une priorité et la mise en œuvre des dispositions fédérales en la matière se heurte à de nombreuses résistances. Outre la situation socioéconomique, des éléments du contexte institutionnel et politique — compétences des entités régionales, histoire sociale, évolution des rapports de forces — peuvent expliquer la difficulté de pénétration du « vieillissement actif » dans les esprits et institutions en Wallonie.
La prépension : une trentenaire… en fin de carrière ?
Gilbert Demez
Depuis les années septante, la prépension qui permet d’aménager les fins de carrière a connu un indéniable succès. Une analyse des diverses règlementations et procédures mises en place à ce moment permet d’évaluer les changements apportés par le pacte de solidarité entre générations, dont le moindre n’est pas la mise en cause de la concertation sociale.
L’âge, une notion relative
Florence Laigle
Il est nécessaire de relativiser la notion d’âge. C’est ce qu’enseigne la pratique de la médecine du travail auprès de travailleurs exposés à une charge de travail lourde. Partant du vécu d’un conseiller en prévention dans une entreprise de deux-mille travailleurs dans laquelle direction et employés sont conscients que le travail use et où une série de mesures ont déjà été adoptées, des pistes de réflexion pour assurer le maintien dans l’emploi sont proposées qui seraient valables non seulement dans cette entreprise, mais aussi ailleurs.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Fins de carrières : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 26-70 Langues : Français (fre) Catégories : -053.9 Personne agée Vieillard
331 Travail Organisation du travail
331.101 Théorie du travail
331.4 Conditions de travail
331.5 Marché de l'emploi
369.5 Assurance vieillesse. PensionsRésumé : Sommaire :
Intro
Thibauld Moulaert et Pierre Reman
Vieillissement : la démographie à la rescousse de la Wallonie et de Bruxelles ?
Marc Debuisson et Frédéric Docquier
Si le vieillissement et la baisse de natalité concernent l’ensemble de la Belgique, les perspectives futures sont à nuancer suivant les Régions: les populations wallonne et bruxelloise sont légèrement plus jeunes que celle de la Flandre. Les projections macroéconomiques montrent que Bruxelles et la Wallonie seront dans une situation plus favorable. Tout cela ne gomme pas le défi : comment adapter la société au vieillissement de la population?
Au-delà des chiffres… augmenter l’emploi : de quoi parle-t-on ?
Jean Verly
Quels sont les enjeux de l’objectif de relèvement des taux d’emploi des travailleurs âgés ? Une analyse critique des chiffres permet de montrer qu’ils recouvrent des réalités différentes selon les pays. Le constat d’une Belgique à la traine s’en trouve relativisé : si elle présente de faibles taux d’emploi pour les jeunes et les travailleurs âgés, ceux-ci sont meilleurs que ceux d’autres pays pour les tranches d’âge intermédiaires. La Belgique est également performante en matière de productivité de l’emploi et de produit intérieur brut (P.I.B.). Faut-il donc revoir la répartition de l’emploi ?
Âgisme : récupération idéologique d’une discrimination
Nathalie Burnay
Les discriminations liées à l’emploi qui frappent les travailleurs âgés reposent sur des stéréotypes et des préjugés, mis en évidence voici déjà cinquante ans. Cependant, ces préjugés ne sont pas uniquement structurels. Ils sont également utilisés au gré des aléas de la conjoncture : ainsi, en période de récession, les séniors sont les premiers licenciés. À l’inverse, depuis 2000, l’Union européenne fait du maintien à l’emploi de cette catégorie une priorité. Le phénomène de la discrimination à l’âge n’est donc pas neuf, mais il fait l’objet d’une récupération idéologique de la part du monde politique et des médias.
L’État social actif à la porte de la Région
Bernard Conter et Thibauld Moulaert
L’injonction au « vieillissement actif » (plus d’âgés au travail plus longtemps) ne passe pas la rampe en Wallonie. La politique régionale de l’emploi ne fait pas de la mise au travail des séniors une priorité et la mise en œuvre des dispositions fédérales en la matière se heurte à de nombreuses résistances. Outre la situation socioéconomique, des éléments du contexte institutionnel et politique — compétences des entités régionales, histoire sociale, évolution des rapports de forces — peuvent expliquer la difficulté de pénétration du « vieillissement actif » dans les esprits et institutions en Wallonie.
La prépension : une trentenaire… en fin de carrière ?
Gilbert Demez
Depuis les années septante, la prépension qui permet d’aménager les fins de carrière a connu un indéniable succès. Une analyse des diverses règlementations et procédures mises en place à ce moment permet d’évaluer les changements apportés par le pacte de solidarité entre générations, dont le moindre n’est pas la mise en cause de la concertation sociale.
L’âge, une notion relative
Florence Laigle
Il est nécessaire de relativiser la notion d’âge. C’est ce qu’enseigne la pratique de la médecine du travail auprès de travailleurs exposés à une charge de travail lourde. Partant du vécu d’un conseiller en prévention dans une entreprise de deux-mille travailleurs dans laquelle direction et employés sont conscients que le travail use et où une série de mesures ont déjà été adoptées, des pistes de réflexion pour assurer le maintien dans l’emploi sont proposées qui seraient valables non seulement dans cette entreprise, mais aussi ailleurs.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in La Revue Nouvelle > 3 (mars 2006) . - pp. 26-70Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article] Où en est l'éducation permanente ? [texte imprimé] / Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication . - 2007 . - pp. 16-70.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle > 11 (novembre 2007) . - pp. 16-70
Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
37(091) Histoire de l'éducation
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
374 Formation continuée / Education permanenteRésumé : Sommaire :
- Où en est l’éducation permanente ? / Pierre Reman, Thibauld Moulaert
- Paysage mouvant, réforme oblique / Thomas Lemaigre
Il y a cinq ans, le monde de l’éducation permanente ne se rend pas encore compte à quel point il a raison de s’émouvoir de la réforme annoncée par le ministre Demotte sous le slogan maladroit d’en finir avec les « branches mortes ». Le texte qui se prépare va, sous ses airs de continuité, amener quelques changements significatifs par rapport à son ancêtre de 1976. Le premier d’entre eux tient dans le lifting imposé à la définition même de l’éducation permanente. Les autres changements tiennent à ce que le monde et le secteur sont devenus en un tiers de siècle - mais il n’est pas encore sûr qu’ils aient lieu.
- Un si joli petit couple (mixte) / Pierre Georis
Si éducation permanente et insertion socioprofessionnelle (ISP) doivent faire couple, à tout le moins relèvent-ils du couple mixte. Faut-il y renoncer, au nom de la difficulté à marier des cultures si différentes ? « Évidemment oui », répondront les uns. Il n’y aurait que qui se ressemble qui s’assemblerait bien. En l’occurrence, les différences dans les démarches respectives seraient trop grandes ; le plan malin pour l’efficacité serait de centrer les initiatives d’insertion sur leur « core business », la meilleure qualification professionnelle des chômeurs pour améliorer leur probabilité d’accès à l’emploi. « Bien sûr que non », rétorqueront les autres. Ce n’est pas parce qu’on se place dans une démarche d’accès à l’emploi que perdent de leur légitimité la formation à la vie sociale, l’objectif de pouvoir former les personnes aussi à un présent et un futur de citoyens critiques, responsables et « participants » à la vie collective dans toutes ses dimensions.
- Insertion individuelle ou émancipation collective ? / Michel Goffin
Depuis le décret de 1976 qui reconnaissait l’éducation permanente, les réalités sociales, économiques et culturelles se sont transformées, ce qui n’est pas sans incidence sur les modalités de concrétisation de l’éducation tout au long de la vie. De l’éducation permanente entendue comme construction d’un projet de changement social, on est passé à une logique de formation dans une perspective de lutte contre le chômage. Pourtant, le souffle du projet émancipateur initial pourrait questionner les références actuelles - qu’est-ce qu’un emploi convenable_ ?, par exemple - et inspirer une nouvelle conception de l’éducation populaire et de nouvelles formes d’associations.
- Action syndicale et éducation permanente : des enjeux croisés / Thierry Dock, Thierry Jacques
L’éducation permanente trouve son origine dans les luttes du mouvement ouvrier. Elle permet une libération collective du monde du travail qui participe de la démocratie culturelle. Les liens étroits entre les mouvements associatifs qui prennent en charge cet outil essentiel et les organisations syndicales doivent être maintenus parce que la nécessaire interaction de l’une et de l’autre assure la pérennité de chacune.
- Un printemps pour l’éducation permanente ? / Georges Liénard, Albert Bastenier
La question de savoir si l’on assistera ou non à un véritable printemps de l’éducation permanente ne dépend pas seulement du problème de son financement. Elle concerne aussi - et peut-être surtout - la conception que l’on se fait de son rôle social. Et si son histoire passée la rend indissociable de l’inspiration progressiste des mouvements sociaux qui l’ont portée, elle n’est toutefois appropriable par personne parce que son champ d’intervention est lui-même un lieu de pouvoir et de luttes pour sa définition. L’évocation de trois domaines actuels d’intervention possible pour l’éducation permanente - la fragmentation de l’espace public, l’égalité entre les hommes et les femmes, les tensions propres aux sociétés multiculturelles - illustre en quoi les exigences d’intégration et d’émancipation sont les deux pôles en tension qui doivent structurer la réflexion sur l’éducation permanente.
- D’un décret à l’autre / Jean-Pierre Nossent
Les éducateurs permanents sont-ils les agitateurs de sens, les bricoleurs de rêves, les créateurs de social qui prennent à bras-le-corps des questions comme les conditions matérielles d’existence et l’épanouissement intellectuel nécessaires à la citoyenneté locale et mondiale ? La mécanique de l’éducation permanente est simple : autoéducation, c’est-à -dire construction de pouvoirs et, en conséquence, de savoirs. En ce sens, l’éducation permanente peut-elle être le monopole d’organisations ou doit-on parier qu’elle continuera à inventer son histoire hors des sentiers battus ? Le décret de 2003 le permettra-t-il ?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Où en est l'éducation permanente ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibauld Moulaert, Directeur de publication ; Pierre Reman, Directeur de publication Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 16-70 Langues : Français (fre) Catégories : 316.4 Processus sociaux. Changement dans la société
32(493=40) Politique de la Wallonie / Communauté française de Belgique
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
37(091) Histoire de l'éducation
371 Organisation de l'éducation et de l'enseignement
374 Formation continuée / Education permanenteRésumé : Sommaire :
- Où en est l’éducation permanente ? / Pierre Reman, Thibauld Moulaert
- Paysage mouvant, réforme oblique / Thomas Lemaigre
Il y a cinq ans, le monde de l’éducation permanente ne se rend pas encore compte à quel point il a raison de s’émouvoir de la réforme annoncée par le ministre Demotte sous le slogan maladroit d’en finir avec les « branches mortes ». Le texte qui se prépare va, sous ses airs de continuité, amener quelques changements significatifs par rapport à son ancêtre de 1976. Le premier d’entre eux tient dans le lifting imposé à la définition même de l’éducation permanente. Les autres changements tiennent à ce que le monde et le secteur sont devenus en un tiers de siècle - mais il n’est pas encore sûr qu’ils aient lieu.
- Un si joli petit couple (mixte) / Pierre Georis
Si éducation permanente et insertion socioprofessionnelle (ISP) doivent faire couple, à tout le moins relèvent-ils du couple mixte. Faut-il y renoncer, au nom de la difficulté à marier des cultures si différentes ? « Évidemment oui », répondront les uns. Il n’y aurait que qui se ressemble qui s’assemblerait bien. En l’occurrence, les différences dans les démarches respectives seraient trop grandes ; le plan malin pour l’efficacité serait de centrer les initiatives d’insertion sur leur « core business », la meilleure qualification professionnelle des chômeurs pour améliorer leur probabilité d’accès à l’emploi. « Bien sûr que non », rétorqueront les autres. Ce n’est pas parce qu’on se place dans une démarche d’accès à l’emploi que perdent de leur légitimité la formation à la vie sociale, l’objectif de pouvoir former les personnes aussi à un présent et un futur de citoyens critiques, responsables et « participants » à la vie collective dans toutes ses dimensions.
- Insertion individuelle ou émancipation collective ? / Michel Goffin
Depuis le décret de 1976 qui reconnaissait l’éducation permanente, les réalités sociales, économiques et culturelles se sont transformées, ce qui n’est pas sans incidence sur les modalités de concrétisation de l’éducation tout au long de la vie. De l’éducation permanente entendue comme construction d’un projet de changement social, on est passé à une logique de formation dans une perspective de lutte contre le chômage. Pourtant, le souffle du projet émancipateur initial pourrait questionner les références actuelles - qu’est-ce qu’un emploi convenable_ ?, par exemple - et inspirer une nouvelle conception de l’éducation populaire et de nouvelles formes d’associations.
- Action syndicale et éducation permanente : des enjeux croisés / Thierry Dock, Thierry Jacques
L’éducation permanente trouve son origine dans les luttes du mouvement ouvrier. Elle permet une libération collective du monde du travail qui participe de la démocratie culturelle. Les liens étroits entre les mouvements associatifs qui prennent en charge cet outil essentiel et les organisations syndicales doivent être maintenus parce que la nécessaire interaction de l’une et de l’autre assure la pérennité de chacune.
- Un printemps pour l’éducation permanente ? / Georges Liénard, Albert Bastenier
La question de savoir si l’on assistera ou non à un véritable printemps de l’éducation permanente ne dépend pas seulement du problème de son financement. Elle concerne aussi - et peut-être surtout - la conception que l’on se fait de son rôle social. Et si son histoire passée la rend indissociable de l’inspiration progressiste des mouvements sociaux qui l’ont portée, elle n’est toutefois appropriable par personne parce que son champ d’intervention est lui-même un lieu de pouvoir et de luttes pour sa définition. L’évocation de trois domaines actuels d’intervention possible pour l’éducation permanente - la fragmentation de l’espace public, l’égalité entre les hommes et les femmes, les tensions propres aux sociétés multiculturelles - illustre en quoi les exigences d’intégration et d’émancipation sont les deux pôles en tension qui doivent structurer la réflexion sur l’éducation permanente.
- D’un décret à l’autre / Jean-Pierre Nossent
Les éducateurs permanents sont-ils les agitateurs de sens, les bricoleurs de rêves, les créateurs de social qui prennent à bras-le-corps des questions comme les conditions matérielles d’existence et l’épanouissement intellectuel nécessaires à la citoyenneté locale et mondiale ? La mécanique de l’éducation permanente est simple : autoéducation, c’est-à -dire construction de pouvoirs et, en conséquence, de savoirs. En ce sens, l’éducation permanente peut-elle être le monopole d’organisations ou doit-on parier qu’elle continuera à inventer son histoire hors des sentiers battus ? Le décret de 2003 le permettra-t-il ?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in La Revue Nouvelle > 11 (novembre 2007) . - pp. 16-70Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
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