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Auteur Michel Terestchenko |
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Du bon usage de la torture ou Comment les démocraties justifient l'injustifiable / Michel Terestchenko
Du bon usage de la torture ou Comment les démocraties justifient l'injustifiable [texte imprimé] / Michel Terestchenko, Auteur . - Paris : La Découverte, impr. 2008 . - 1 vol. (215 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Cahiers libres, ISSN 0526-8370) .
ISBN : 978-2-7071-4983-1 : 17,35 €
Bibliogr. p. 209-212
Langues : Français (fre)
Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
321.7 Démocratie / Démocratisation
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentaux
343.917 Délinquance politique TerrorismeIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
Depuis le 11 septembre 2001, la torture est devenue, aux États-Unis, une pratique d’État politiquement et juridiquement justifiée par la « guerre globale contre la terreur ». Mais on sait moins, en Europe, qu’elle y a également fait l’objet d’une légitimation morale : pour d’éminents penseurs américains, la torture serait un mal nécessaire, voire un bien, dans certaines situations de menace extrême. Comment comprendre cette dramatique régression de la « première démocratie » ?
La réponse à cette question est moins évidente qu’il n’y paraît. D’où l’importance de cet essai, où Michel Terestchenko l’affronte dans toutes ses dimensions. Historique d’abord, car les techniques d’« interrogatoire coercitif » sont le fruit de recherches scientifiques entreprises par l’US Army dès les années 1950. Juridique ensuite, avec les justifications légalisées par le Congrès américain, qui a permis la création d’un véritable archipel mondial de la torture. Philosophique et morale, enfin et surtout, avec une réfutation serrée de l’« idéologie libérale de la torture ». L’auteur explique notamment pourquoi son argument central, l’hypothèse de la « bombe à retardement » justifiant la torture de l’individu qui l’a posée, n’est en réalité qu’une fable perverse, popularisée notamment par la série télévisée « 24 heures ».
Ainsi légitimée, démontre l’auteur, la torture devient le venin de la démocratie : en acceptant de briser les corps des hommes et des femmes « ennemis », elle mine inévitablement les principes mêmes de l’État de droit, corrompant la société tout entière.Note de contenu : Table :
- Introduction. La question de la torture
Les termes de la question / Répondre à l’argument du « moindre mal »
- 1. La longue histoire de la « torture d’État » aux États-Unis
La tradition américaine de torture psychologique / La CIA et le « contrôle des esprits » / De l’opération Phoenix au « Projet X »
- 2. Des juristes au service de la torture
Une interprétation restrictive de la torture / Le juriste et le casuiste / La réinvention des « combattants illégaux » / Impunité pour les tortionnaires / Septembre 2006 : l’adoption de la « loi de la torture » / Les limites du droit et l’exemple de la Haute Cour de justice israélienne
- 3. L’archipel américain de la torture
Les transferts extrajudiciaires : l’affaire Mohammed Binyam / « Nous engageons des États terroristes » / La prison d’Abou Ghraib, « trou de l’enfer » / « Une violation épouvantable et totalement inacceptable des règles militaires »
- 4. La parabole de la bombe à retardement
L’idéologie libérale de la torture / La justification médiévale de la torture et le système de la preuve / Un paradigme de référence / Le héros sacrificiel de 24 heures chrono
- 5. Le tortionnaire noble
Que faire en situation d’exception ? / Le problème des « mains sales » selon Michael Walzer / La légalisation de la torture selon Alan Dershowitz / L’annulation des dilemmes moraux / Préserver le principe de la responsabilité individuelle / Le « tortionnaire noble » face à l’état de nécessité, ou la « preuve diabolique » / Entre contrôle du pouvoir et respect des droits
- 6. Le mal n’est pas un bien
Pour chacun, être dans son rôle / La candeur plutôt que l’hypocrisie / Maintenir le sens du mal / Droit et morale
- 7. Une fable perverse
Le pseudo-réalisme de l’hypothèse de la « bombe à retardement » / Des conditions qui ne se rencontrent jamais / Les effets pervers de la série 24 heures chrono / Machiavel pour répondre aux machiavéliens / Dangereux jeux de l’esprit / L’inévitable criminalisation de l’État / La fabrique du tortionnaire
- 8. L’inutilité de la torture ?
Une parole dénuée de sens / Les méthodes légales d’interrogatoire / La fonction symbolique de la torture
- 9. S’en tenir à des principes non négociables
La règle et l’exception / Sur un prétendu droit de torturer par humanité / La menace d’une société de l’insécurité généralisée / Les sociétés démocratiques ne sont pas nécessairement des sociétés « décentes »
- 10. L’État illégitime
Définir la torture ? / La torture abolit le fondement symbolique de l’État / L’ennemi comme « infra-humain », ou la négation de toute socialité / Un poison qui corrompt la société entière / L’illusion sécuritaire
- Bibliographie.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Du bon usage de la torture ou Comment les démocraties justifient l'injustifiable Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Terestchenko, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : impr. 2008 Collection : Cahiers libres, ISSN 0526-8370 Importance : 1 vol. (215 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4983-1 Prix : 17,35 € Note générale : Bibliogr. p. 209-212 Langues : Français (fre) Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
321.7 Démocratie / Démocratisation
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentaux
343.917 Délinquance politique TerrorismeIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site éditeur :
Depuis le 11 septembre 2001, la torture est devenue, aux États-Unis, une pratique d’État politiquement et juridiquement justifiée par la « guerre globale contre la terreur ». Mais on sait moins, en Europe, qu’elle y a également fait l’objet d’une légitimation morale : pour d’éminents penseurs américains, la torture serait un mal nécessaire, voire un bien, dans certaines situations de menace extrême. Comment comprendre cette dramatique régression de la « première démocratie » ?
La réponse à cette question est moins évidente qu’il n’y paraît. D’où l’importance de cet essai, où Michel Terestchenko l’affronte dans toutes ses dimensions. Historique d’abord, car les techniques d’« interrogatoire coercitif » sont le fruit de recherches scientifiques entreprises par l’US Army dès les années 1950. Juridique ensuite, avec les justifications légalisées par le Congrès américain, qui a permis la création d’un véritable archipel mondial de la torture. Philosophique et morale, enfin et surtout, avec une réfutation serrée de l’« idéologie libérale de la torture ». L’auteur explique notamment pourquoi son argument central, l’hypothèse de la « bombe à retardement » justifiant la torture de l’individu qui l’a posée, n’est en réalité qu’une fable perverse, popularisée notamment par la série télévisée « 24 heures ».
Ainsi légitimée, démontre l’auteur, la torture devient le venin de la démocratie : en acceptant de briser les corps des hommes et des femmes « ennemis », elle mine inévitablement les principes mêmes de l’État de droit, corrompant la société tout entière.Note de contenu : Table :
- Introduction. La question de la torture
Les termes de la question / Répondre à l’argument du « moindre mal »
- 1. La longue histoire de la « torture d’État » aux États-Unis
La tradition américaine de torture psychologique / La CIA et le « contrôle des esprits » / De l’opération Phoenix au « Projet X »
- 2. Des juristes au service de la torture
Une interprétation restrictive de la torture / Le juriste et le casuiste / La réinvention des « combattants illégaux » / Impunité pour les tortionnaires / Septembre 2006 : l’adoption de la « loi de la torture » / Les limites du droit et l’exemple de la Haute Cour de justice israélienne
- 3. L’archipel américain de la torture
Les transferts extrajudiciaires : l’affaire Mohammed Binyam / « Nous engageons des États terroristes » / La prison d’Abou Ghraib, « trou de l’enfer » / « Une violation épouvantable et totalement inacceptable des règles militaires »
- 4. La parabole de la bombe à retardement
L’idéologie libérale de la torture / La justification médiévale de la torture et le système de la preuve / Un paradigme de référence / Le héros sacrificiel de 24 heures chrono
- 5. Le tortionnaire noble
Que faire en situation d’exception ? / Le problème des « mains sales » selon Michael Walzer / La légalisation de la torture selon Alan Dershowitz / L’annulation des dilemmes moraux / Préserver le principe de la responsabilité individuelle / Le « tortionnaire noble » face à l’état de nécessité, ou la « preuve diabolique » / Entre contrôle du pouvoir et respect des droits
- 6. Le mal n’est pas un bien
Pour chacun, être dans son rôle / La candeur plutôt que l’hypocrisie / Maintenir le sens du mal / Droit et morale
- 7. Une fable perverse
Le pseudo-réalisme de l’hypothèse de la « bombe à retardement » / Des conditions qui ne se rencontrent jamais / Les effets pervers de la série 24 heures chrono / Machiavel pour répondre aux machiavéliens / Dangereux jeux de l’esprit / L’inévitable criminalisation de l’État / La fabrique du tortionnaire
- 8. L’inutilité de la torture ?
Une parole dénuée de sens / Les méthodes légales d’interrogatoire / La fonction symbolique de la torture
- 9. S’en tenir à des principes non négociables
La règle et l’exception / Sur un prétendu droit de torturer par humanité / La menace d’une société de l’insécurité généralisée / Les sociétés démocratiques ne sont pas nécessairement des sociétés « décentes »
- 10. L’État illégitime
Définir la torture ? / La torture abolit le fondement symbolique de l’État / L’ennemi comme « infra-humain », ou la négation de toute socialité / Un poison qui corrompt la société entière / L’illusion sécuritaire
- Bibliographie.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45735 321.7/TER Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Entretien de Michel TerestchenkoURL Les complaisantes / Édouard Husson
Les complaisantes : Jonathan Littel et l'écriture du mal [texte imprimé] / Édouard Husson (1969-....), Auteur ; Michel Terestchenko, Auteur . - Paris : François-Xavier de Guibert, 2007 . - 1 vol. (254 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7554-0152-3
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
929 Littell, Jonathan (1967-...)
Bourreaux
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Prenant pour cible le livre de J. Littell, Les bienveillantes, les auteurs y dénoncent les invraisemblances historiques et s'étonnent des accès de complaisance du monde intellectuel parisien à l'égard de ce récit.
Amazon.fr :Présentation de l'éditeur :
Le succès tout à fait hors norme des Bienveillantes de Jonathan Littell constitue un véritable phénomène de société. Deux prix et des éloges innombrables ont été décernés à une œuvre littérairement médiocre et historiquement datée, dont le seul ressort est le voyeurisme permanent. Ce qui fait des Bienveillantes un roman insoutenable, c'est qu'il propose une esthétisation insupportable de la violence nazie qui s'inscrit, de Sade à Jünger, dans une longue filiation intellectuelle et littéraire. Il exclut de l'humanité les victimes de la barbarie, en livrant leur cadavre en pâture au regard des lecteurs, sans rien nous faire comprendre des facteurs qui ont conduit les bourreaux SS à participer à l'extermination de six millions de Juifs européens. Un philosophe et un historien unissent leurs voix pour dénoncer énergiquement les complaisances qui ont permis le succès de ce livre. Ils incitent, par la même occasion, à lire ou relire d'autres œuvres littéraires, documents ou récits d'une importance majeure, qui apportent un tout autre regard sur l'écriture du mal.
Michel Terestchenko, philosophe. Dernier ouvrage publié : Un si fragile vernis d'humanité, banalité du mal, banalité du bien, La Découverte, 2005. Edouard Husson, historien, travaille au sein de l'équipe de recherche de Patrick Desbois pour l'histoire de la Shoah en Ukraine.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les complaisantes : Jonathan Littel et l'écriture du mal Type de document : texte imprimé Auteurs : Édouard Husson (1969-....), Auteur ; Michel Terestchenko, Auteur Editeur : Paris : François-Xavier de Guibert Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (254 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7554-0152-3 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
929 Littell, Jonathan (1967-...)
Bourreaux
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Prenant pour cible le livre de J. Littell, Les bienveillantes, les auteurs y dénoncent les invraisemblances historiques et s'étonnent des accès de complaisance du monde intellectuel parisien à l'égard de ce récit.
Amazon.fr :Présentation de l'éditeur :
Le succès tout à fait hors norme des Bienveillantes de Jonathan Littell constitue un véritable phénomène de société. Deux prix et des éloges innombrables ont été décernés à une œuvre littérairement médiocre et historiquement datée, dont le seul ressort est le voyeurisme permanent. Ce qui fait des Bienveillantes un roman insoutenable, c'est qu'il propose une esthétisation insupportable de la violence nazie qui s'inscrit, de Sade à Jünger, dans une longue filiation intellectuelle et littéraire. Il exclut de l'humanité les victimes de la barbarie, en livrant leur cadavre en pâture au regard des lecteurs, sans rien nous faire comprendre des facteurs qui ont conduit les bourreaux SS à participer à l'extermination de six millions de Juifs européens. Un philosophe et un historien unissent leurs voix pour dénoncer énergiquement les complaisances qui ont permis le succès de ce livre. Ils incitent, par la même occasion, à lire ou relire d'autres œuvres littéraires, documents ou récits d'une importance majeure, qui apportent un tout autre regard sur l'écriture du mal.
Michel Terestchenko, philosophe. Dernier ouvrage publié : Un si fragile vernis d'humanité, banalité du mal, banalité du bien, La Découverte, 2005. Edouard Husson, historien, travaille au sein de l'équipe de recherche de Patrick Desbois pour l'histoire de la Shoah en Ukraine.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45721 82/LIT Livre Libre-accès Adultes Disponible
Expérience sur l’obéissance et la désobéissance à l’autorité [document électronique] / Stanley Milgram (1933-1984), Auteur ; Michel Terestchenko, Préfacier, etc. ; Mariane Fazzi, Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Paris : Zones, 2013.
Langues : Français (fre)
Catégories : 323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
Bourreaux
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Résumé : Site éditeur :
Le savant, en blouse blanche, vous ordonne d’appuyer à nouveau sur le bouton, d’augmenter encore le voltage. Face à vous, vous pouvez voir l’homme se tordre de douleur et crier à chaque nouvelle décharge électrique. De plus en plus fort. On vous a dit que c’était une expérience scientifique. Que le cobaye était consentant. Vous êtes payé. « Vous devez continuer », répète la voix.
Allez-vous obtempérer ? Irez-vous jusqu’à la décharge maximale ?
Mais le cobaye n’est pas celui qu’on croit. L’homme là -bas était un acteur. Il n’y avait pas de courant dans les électrodes. C’était vous, et non lui, qui faisiez l’objet de l’expérience.
Ce dispositif était celui que le psychologue américain Stanley Milgram avait imaginé, en 1961, alors que le procès retentissant du criminel nazi Adolf Eichmann faisait la « une » des journaux, pour conduire une série d’expériences sur les « conditions de l’obéissance et de la désobéissance à l’autorité ».
Pourquoi obéit-on ? Pourquoi se soumet-on à l’autorité ? Et surtout : comment désobéir ?
La célèbre « expérience de Milgram » a fait couler beaucoup d’encre. En complément à ce texte fondateur, publié en 1965, cette édition met en perspective la longue histoire des débats qui ont accompagné sa réception.En ligne : http://www.editions-zones.fr/spip.php?article172 Format de la ressource électronique : présentation + document à lire en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Expérience sur l’obéissance et la désobéissance à l’autorité Type de document : document électronique Auteurs : Stanley Milgram (1933-1984), Auteur ; Michel Terestchenko, Préfacier, etc. ; Mariane Fazzi, Auteur de la postface, du colophon, etc. Editeur : Paris : Zones Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Catégories : 323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
Bourreaux
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Résumé : Site éditeur :
Le savant, en blouse blanche, vous ordonne d’appuyer à nouveau sur le bouton, d’augmenter encore le voltage. Face à vous, vous pouvez voir l’homme se tordre de douleur et crier à chaque nouvelle décharge électrique. De plus en plus fort. On vous a dit que c’était une expérience scientifique. Que le cobaye était consentant. Vous êtes payé. « Vous devez continuer », répète la voix.
Allez-vous obtempérer ? Irez-vous jusqu’à la décharge maximale ?
Mais le cobaye n’est pas celui qu’on croit. L’homme là -bas était un acteur. Il n’y avait pas de courant dans les électrodes. C’était vous, et non lui, qui faisiez l’objet de l’expérience.
Ce dispositif était celui que le psychologue américain Stanley Milgram avait imaginé, en 1961, alors que le procès retentissant du criminel nazi Adolf Eichmann faisait la « une » des journaux, pour conduire une série d’expériences sur les « conditions de l’obéissance et de la désobéissance à l’autorité ».
Pourquoi obéit-on ? Pourquoi se soumet-on à l’autorité ? Et surtout : comment désobéir ?
La célèbre « expérience de Milgram » a fait couler beaucoup d’encre. En complément à ce texte fondateur, publié en 1965, cette édition met en perspective la longue histoire des débats qui ont accompagné sa réception.En ligne : http://www.editions-zones.fr/spip.php?article172 Format de la ressource électronique : présentation + document à lire en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Document en ligneURL Le ministère de la haine / Jean-Pierre Pharabod in Philosophie magazine, 16 (février 2008)
[article] Le ministère de la haine [texte imprimé] / Jean-Pierre Pharabod, Auteur ; Michel Terestchenko, Auteur du commentaire . - 2008 . - pp. 90-92.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 16 (février 2008) . - pp. 90-92
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
325.3(44:65) Guerre d'Algérie
929 Biographies et témoignages
BourreauxRésumé : Un témoignage de Jean-Pierre Pharabod
Physicien, chercheur à l'École polytechnique de 1970 à 2000, il a publié des ouvrages de vulgarisation, dont Le Rêve des physiciens (avec Bernard Pire, Odile Jacob) et AVNI : les Armes volantes non identifiées (Odile Jacob). Nous publions un extrait d'un récit inédit, un témoignage sur un cas de conscience vécu durant la guerre d'Algérie sur lequel il ne s'était pas exprimé jusqu'à présent.
Témoin d'un acte de torture
Le commentaire de Michel Terestchenko
(référence notamment à la "zone grise")Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le ministère de la haine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Pharabod, Auteur ; Michel Terestchenko, Auteur du commentaire Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 90-92 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
325.3(44:65) Guerre d'Algérie
929 Biographies et témoignages
BourreauxRésumé : Un témoignage de Jean-Pierre Pharabod
Physicien, chercheur à l'École polytechnique de 1970 à 2000, il a publié des ouvrages de vulgarisation, dont Le Rêve des physiciens (avec Bernard Pire, Odile Jacob) et AVNI : les Armes volantes non identifiées (Odile Jacob). Nous publions un extrait d'un récit inédit, un témoignage sur un cas de conscience vécu durant la guerre d'Algérie sur lequel il ne s'était pas exprimé jusqu'à présent.
Témoin d'un acte de torture
Le commentaire de Michel Terestchenko
(référence notamment à la "zone grise")Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 16 (février 2008) . - pp. 90-92Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44008 phi Périodique Réserve Périodiques Disponible Un si fragile vernis d'humanité / Michel Terestchenko
Un si fragile vernis d'humanité : banalité du mal, banalité du bien [texte imprimé] / Michel Terestchenko, Auteur . - Paris : La Découverte, 2005 . - 1 vol. (302 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Recherches. Série Bibliothèque du MAUSS) .
ISBN : 978-2-7071-4612-0
MAUSS = Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales
Langues : Français (fre)
Catégories : 159.9 Psychologie
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
Bourreaux
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Index. décimale : 17 Morale Pratique, tolérance, citoyenneté, civisme Résumé : 4e de couverture :
On a pu croire ou espérer, un temps, que les monstruosités de la Seconde Guerre mondiale étaient derrière nous. Définitivement. Or partout, à nouveau, on massacre, on torture, on extermine. Comment comprendre cette facilité des hommes à entrer dans le mal ? La réponse à cette question devient chaque jour plus urgente. Michel Terestchenko rouvre ici le débat. D’abord, en complétant la démonstration de Hannah Arendt : de même que ce ne sont pas seulement des monstres qui basculent dans l’horreur mais des hommes ordinaires, trop ordinaires, de même, montre-t-il, il n’est pas besoin d’être un saint pour accomplir le juste et secourir des victimes au risque de sa vie. Héros ou salaud ? C’est toujours une petite décision initiale, à peine perceptible, qui décide du côté dans lequel, une fois engagé, on se retrouvera in fine. Mais qu’est-ce qui explique cette décision ? C’est là où l’enquête de M. Terestchenko prend toute son ampleur. En procédant à une reconstitution critique du débat central de la philosophie morale depuis le XVIIe siècle, aujourd’hui relayé par la majorité des sociologues et des économistes, elle montre combien est stérile l’opposition entre tenants de la thèse de l’égoïsme psychologique et défenseurs de l’hypothèse d’un altruisme sacrificiel. Ce n’est pas par « intérêt » qu’on tue ou qu’on torture. Ni par pur altruisme qu’on se refuse à l’abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l’autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse, invitent à comprendre tout autrement les conduites de destructivité. Tirant les conclusions philosophiques de recherches récentes entreprises en psychologie sociale et s’appuyant sur certains exemples historiques particulièrement éclairants – tel le cas de Franz Stangl, le commandant de Treblinka, ou, à l’opposé, les actions héroïques du pasteur André Trocmé et de sa femme Magda au Chambon-sur-Lignon –, l’auteur propose de penser les conduiteshumaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l’absence ou de la présence à soi.Note de contenu : Table des matières :
Introduction : D’une vision de l’homme tout bonnement fausse
- I / Destructivité, passivité et absence de soi
- 1. Sous l’amour-propre, la fragilité de l’identité humaine - La dénégation systématique des vertus – La critique du désir de gloire – La dissolution de soi – Le vrai portrait de l’homme – Le désir de reconnaissance et le théâtre de la cruauté
- 2. Et pourtant, le sens moral existe bien - La généalogie de la morale d’après Bernard Mandeville – La doctrine du sens moral chez Hutcheson – Le sens moral – L’apparence de la vertu – Le paradigme de l’amour des parents – Une conception non sacrificielle de l’altruisme – La bienveillance générale – La notion de « générosité restreinte » chez David Hume – L’impossible universalisation de l’éthique du sentiment moral – L’actualité de la notion de sens moral
– 3. Franz Stangl, commandant du camp de Treblinka, ou l’engrenage de la dégradation - Le cas Franz Stangl – Le devoir de comprendre – La progressive corruption d’un être – L’affectation au programme nazi d’euthanasie – La nomination dans les camps de la mort en Pologne – Treblinka – Une conception purement abstraite de la liberté – La conscience face aux actes – Un ultime mais partiel éveil de la conscience – La « zone grise » – Brève comparaison entre Franz Stangl et Rudolph Höss – Le piège de la soumission – Une humanité inconsistante
- 4. Des tueurs ordinaires - Les hommes du 101e bataillon de réserve – Le massacre de Jozefow – Tentative d’explication – Les massacres reprennent – Leur sort après la guerre – La soumission à l’autorité – Le courage d’affronter le mépris d’autrui
- 5. La soumission à l’autorité - Une question dont on voudrait qu’elle n’en soit pas une – Dix-huit variantes d’une expérience cruciale – Analyse – État agentique, état autonome – Le discours de la nécessité et l’idéologie du bien – Les débats contemporains
- 6. L’expérience de la prison de Stanford -L’institution totalitaire – La dépossession de l’image de soi – La prison de Stanford – L’arrestation et la mise en détention – Premières manifestations de rébellion – La visite des proches – Rumeur d’un projet d’évasion – La commission de libération conditionnelle – Éléments de typologie – La fin prématurée de l’expérience – Analyse – Perte de l’identité propre et absence à soi – Influence du « milieu » et responsabilité individuelle – Les sévices commis dans la prison d’Abou Ghraib – Le rapport d’enquête et l’analyse des causes
- 7. Psychologie de la passivité humaine - L’affaire Kitty Genovese – De la fumée dans la pièce – Une femme en détresse – Des enfants ne se battent pas ainsi – Une attaque d’épilepsie – Influence, mais non déterminisme des facteurs sociaux
- II / Altruisme et présence à soi
- 8. L’imposture extraordinaire de Giorgio Perlasca - Quelques indications biographiques – Le faux diplomate
- 9. Égoïsme et altruisme, où il est montré que la première hypothèse ne se vérifie pas - Comment attaquer la forteresse de l’égoïsme psychologique ? – Trois théories de la motivation psychologique – Le conflit des préférences – L’empathie mise à l’épreuve – La théorie de l’égoïsme psychologique comme idéologie
- 10. André Trocmé et la cité-refuge du Chambon-sur-Lignon - Brève biographie du pasteur André Trocmé – Le refus de toute compromission morale – La mobilisation au secours des réfugiés juifs – « Il n’est pas d’homme qui soit juste devant Dieu » – Les motivations éthiques et spirituelles du couple Trocmé – Des « amateurs inspirés » – L’éthique de la vie et de la mort
- 11. La personnalité altruiste - L’enquête de Samuel et Pearl Oliner – La personnalité altruiste – Typologie des motivations altruistes – Compassion et protestation – L’altruisme et la réfutation du formalisme en éthique
- 12. Henry Sidgwick ou l’impossible obligation d’agir de façon altruiste - Les enjeux de la pensée de Henry Sidgwick – La question éthique – Une méthode, deux méthodes – Les contradictions de John Stuart Mill – Psychologie et éthique – La preuve introuvable – Le conflit des rationalités – Les apories insurmontables de l’utilitarisme
- 13. Altruisme et moralité - L’énigme de l’obligation altruiste – Au commencement était le miracle – Le processus et l’engagement – La disposition à l’autre – La loi du cœur – L’altruisme au regard de l’éthique kantienne du devoir – L’antinomie de l’éthique de l’engagement et de l’éthique du devoir – La mise en question de soi selon Emmanuel Levinas – Critique d’une conception sacrificielle de l’altruisme
- 14. La « belle âme » ou la réserve de la grâce - L’altruisme comme dépense et non sacrifice de soi – Etty Hillesum, du repli à la réserve – L’action et la grâce – La manifestation du Bien.
Conclusion : La vie, mais pas à n’importe quel prix !
- Bibliographie.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Un si fragile vernis d'humanité : banalité du mal, banalité du bien Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Terestchenko, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2005 Collection : Recherches Sous-collection : Série Bibliothèque du MAUSS Importance : 1 vol. (302 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4612-0 Note générale : MAUSS = Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales Langues : Français (fre) Catégories : 159.9 Psychologie
17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
Bourreaux
Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)Index. décimale : 17 Morale Pratique, tolérance, citoyenneté, civisme Résumé : 4e de couverture :
On a pu croire ou espérer, un temps, que les monstruosités de la Seconde Guerre mondiale étaient derrière nous. Définitivement. Or partout, à nouveau, on massacre, on torture, on extermine. Comment comprendre cette facilité des hommes à entrer dans le mal ? La réponse à cette question devient chaque jour plus urgente. Michel Terestchenko rouvre ici le débat. D’abord, en complétant la démonstration de Hannah Arendt : de même que ce ne sont pas seulement des monstres qui basculent dans l’horreur mais des hommes ordinaires, trop ordinaires, de même, montre-t-il, il n’est pas besoin d’être un saint pour accomplir le juste et secourir des victimes au risque de sa vie. Héros ou salaud ? C’est toujours une petite décision initiale, à peine perceptible, qui décide du côté dans lequel, une fois engagé, on se retrouvera in fine. Mais qu’est-ce qui explique cette décision ? C’est là où l’enquête de M. Terestchenko prend toute son ampleur. En procédant à une reconstitution critique du débat central de la philosophie morale depuis le XVIIe siècle, aujourd’hui relayé par la majorité des sociologues et des économistes, elle montre combien est stérile l’opposition entre tenants de la thèse de l’égoïsme psychologique et défenseurs de l’hypothèse d’un altruisme sacrificiel. Ce n’est pas par « intérêt » qu’on tue ou qu’on torture. Ni par pur altruisme qu’on se refuse à l’abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l’autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse, invitent à comprendre tout autrement les conduites de destructivité. Tirant les conclusions philosophiques de recherches récentes entreprises en psychologie sociale et s’appuyant sur certains exemples historiques particulièrement éclairants – tel le cas de Franz Stangl, le commandant de Treblinka, ou, à l’opposé, les actions héroïques du pasteur André Trocmé et de sa femme Magda au Chambon-sur-Lignon –, l’auteur propose de penser les conduiteshumaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l’absence ou de la présence à soi.Note de contenu : Table des matières :
Introduction : D’une vision de l’homme tout bonnement fausse
- I / Destructivité, passivité et absence de soi
- 1. Sous l’amour-propre, la fragilité de l’identité humaine - La dénégation systématique des vertus – La critique du désir de gloire – La dissolution de soi – Le vrai portrait de l’homme – Le désir de reconnaissance et le théâtre de la cruauté
- 2. Et pourtant, le sens moral existe bien - La généalogie de la morale d’après Bernard Mandeville – La doctrine du sens moral chez Hutcheson – Le sens moral – L’apparence de la vertu – Le paradigme de l’amour des parents – Une conception non sacrificielle de l’altruisme – La bienveillance générale – La notion de « générosité restreinte » chez David Hume – L’impossible universalisation de l’éthique du sentiment moral – L’actualité de la notion de sens moral
– 3. Franz Stangl, commandant du camp de Treblinka, ou l’engrenage de la dégradation - Le cas Franz Stangl – Le devoir de comprendre – La progressive corruption d’un être – L’affectation au programme nazi d’euthanasie – La nomination dans les camps de la mort en Pologne – Treblinka – Une conception purement abstraite de la liberté – La conscience face aux actes – Un ultime mais partiel éveil de la conscience – La « zone grise » – Brève comparaison entre Franz Stangl et Rudolph Höss – Le piège de la soumission – Une humanité inconsistante
- 4. Des tueurs ordinaires - Les hommes du 101e bataillon de réserve – Le massacre de Jozefow – Tentative d’explication – Les massacres reprennent – Leur sort après la guerre – La soumission à l’autorité – Le courage d’affronter le mépris d’autrui
- 5. La soumission à l’autorité - Une question dont on voudrait qu’elle n’en soit pas une – Dix-huit variantes d’une expérience cruciale – Analyse – État agentique, état autonome – Le discours de la nécessité et l’idéologie du bien – Les débats contemporains
- 6. L’expérience de la prison de Stanford -L’institution totalitaire – La dépossession de l’image de soi – La prison de Stanford – L’arrestation et la mise en détention – Premières manifestations de rébellion – La visite des proches – Rumeur d’un projet d’évasion – La commission de libération conditionnelle – Éléments de typologie – La fin prématurée de l’expérience – Analyse – Perte de l’identité propre et absence à soi – Influence du « milieu » et responsabilité individuelle – Les sévices commis dans la prison d’Abou Ghraib – Le rapport d’enquête et l’analyse des causes
- 7. Psychologie de la passivité humaine - L’affaire Kitty Genovese – De la fumée dans la pièce – Une femme en détresse – Des enfants ne se battent pas ainsi – Une attaque d’épilepsie – Influence, mais non déterminisme des facteurs sociaux
- II / Altruisme et présence à soi
- 8. L’imposture extraordinaire de Giorgio Perlasca - Quelques indications biographiques – Le faux diplomate
- 9. Égoïsme et altruisme, où il est montré que la première hypothèse ne se vérifie pas - Comment attaquer la forteresse de l’égoïsme psychologique ? – Trois théories de la motivation psychologique – Le conflit des préférences – L’empathie mise à l’épreuve – La théorie de l’égoïsme psychologique comme idéologie
- 10. André Trocmé et la cité-refuge du Chambon-sur-Lignon - Brève biographie du pasteur André Trocmé – Le refus de toute compromission morale – La mobilisation au secours des réfugiés juifs – « Il n’est pas d’homme qui soit juste devant Dieu » – Les motivations éthiques et spirituelles du couple Trocmé – Des « amateurs inspirés » – L’éthique de la vie et de la mort
- 11. La personnalité altruiste - L’enquête de Samuel et Pearl Oliner – La personnalité altruiste – Typologie des motivations altruistes – Compassion et protestation – L’altruisme et la réfutation du formalisme en éthique
- 12. Henry Sidgwick ou l’impossible obligation d’agir de façon altruiste - Les enjeux de la pensée de Henry Sidgwick – La question éthique – Une méthode, deux méthodes – Les contradictions de John Stuart Mill – Psychologie et éthique – La preuve introuvable – Le conflit des rationalités – Les apories insurmontables de l’utilitarisme
- 13. Altruisme et moralité - L’énigme de l’obligation altruiste – Au commencement était le miracle – Le processus et l’engagement – La disposition à l’autre – La loi du cœur – L’altruisme au regard de l’éthique kantienne du devoir – L’antinomie de l’éthique de l’engagement et de l’éthique du devoir – La mise en question de soi selon Emmanuel Levinas – Critique d’une conception sacrificielle de l’altruisme
- 14. La « belle âme » ou la réserve de la grâce - L’altruisme comme dépense et non sacrifice de soi – Etty Hillesum, du repli à la réserve – L’action et la grâce – La manifestation du Bien.
Conclusion : La vie, mais pas à n’importe quel prix !
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