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Auteur Cédric Enjalbert |
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"C'est donc à ceux qui gouvernent la cité [...] que revient la possibilité de mentir" / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 35 (décembre 2009-janvier 2010)
[article] "C'est donc à ceux qui gouvernent la cité [...] que revient la possibilité de mentir" : Platon: La République [texte imprimé] / Cédric Enjalbert, Auteur . - 2009 . - p.76.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 35 (décembre 2009-janvier 2010) . - p.76
Catégories : 32-05 Homme/Femme politique Politicien
321.01 Pouvoirs.FrontièresRésumé :
« C'est donc à ceux qui gouvernent la cité, si vraiment on doit l'accorder à certains, que revient la possibilité de mentir. »
Cette affirmation célèbre-t-elle l'homme politique cynique prêt à tous les mensonges pour se maintenir, coûte que coûte, au pouvoir ? Nenni.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : "C'est donc à ceux qui gouvernent la cité [...] que revient la possibilité de mentir" : Platon: La République Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Enjalbert, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p.76 Langues : Français (fre) Catégories : 32-05 Homme/Femme politique Politicien
321.01 Pouvoirs.FrontièresRésumé :
« C'est donc à ceux qui gouvernent la cité, si vraiment on doit l'accorder à certains, que revient la possibilité de mentir. »
Cette affirmation célèbre-t-elle l'homme politique cynique prêt à tous les mensonges pour se maintenir, coûte que coûte, au pouvoir ? Nenni.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 35 (décembre 2009-janvier 2010) . - p.76Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45581 phi Périodique Réserve Périodiques Disponible Esclavage, la condition de notre liberté / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 114 (Novembre 2017)
[article] Esclavage, la condition de notre liberté [texte imprimé] / Cédric Enjalbert, Auteur . - 2017 . - p. 31.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 114 (Novembre 2017) . - p. 31
Catégories : 326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Non, l’esclavage n’a pas disparu, et il est présent sur tous les continents. Un rapport dresse un effrayant bilan mondial (Walk free). Il braque le projecteur sur un point aveugle de nos démocraties. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Esclavage, la condition de notre liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Enjalbert, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 31 Langues : Français (fre) Catégories : 326 Esclavage. Servage. Travail forcé. Traite des êtres humains
Inégalités sociales / PrécaritéRésumé : Non, l’esclavage n’a pas disparu, et il est présent sur tous les continents. Un rapport dresse un effrayant bilan mondial (Walk free). Il braque le projecteur sur un point aveugle de nos démocraties. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 114 (Novembre 2017) . - p. 31Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50780 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible “Ni la maladie ni les souffrances physiques n’ont de justification morale” / Ruwen Ogien in Philosophie magazine, 106 (février 2017)
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[article] “Ni la maladie ni les souffrances physiques n’ont de justification morale” [texte imprimé] / Ruwen Ogien (1949?-2017), Personne interviewée ; Cédric Enjalbert, Intervieweur . - 2017 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 106 (février 2017) . - p. 68-73
Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Les concepts boursouflés, très peu pour lui. Ruwen Ogien, philosophe libertaire spécialiste d’éthique, est de ceux qui ne goûtent guère le poids des traditions et la morale mal placée. Dans son dernier livre, très personnel, il dégonfle sans se payer de mots une certaine idée de la maladie. Ah ! de l’air !
« Avons-nous une sorte de deadline ? » m’a écrit Ruwen Ogien, alors que nous préparions cet entretien, avec cette autodérision qui ne le quitte jamais. Le philosophe souffre, selon les médecins, d’un « adénocarcinome canalaire pancréatique ». En clair, un cancer du pancréas, une maladie de longue durée, « à perpétuité » comme il dit, pas de celles dont on peut espérer guérir. Mais ce bienveillant spécialiste des questions morales, partisan d’une éthique dénuée d’obligations envers soi-même, toute contenue dans un principe minimal bien qu’infiniment ambitieux – ne pas nuire intentionnellement à autrui –, n’est pas du genre à désespérer. Lui qui se méfie des grands mots métaphysiques – l’amour, la dignité –, joyeux démolisseur du « culte de l’ineffable », de « la philosophie morale à la française », soit « un certain style d’écriture philosophique qu’il est permis de ne pas apprécier : le “ressassement” ou la répétition plus ou moins masquée par une surenchère d’hyperboles et d’injonctions pathétiques », a fourbi ses armes conceptuelles. Tout prêt à en découdre avec les poncifs qui entourent la maladie et qui attribuent au malade un « rôle », sinon un statut – « déchet social » –, il est allé décrocher quelques vieilles lunes, comme à son habitude. Parmi elles, cette baudruche nietzschéenne : ce qui ne te tue pas te rend plus fort. Pour le philosophe, ce cliché dont Johnny Hallyday a fait une chanson n’est pas seulement faux, il véhicule une idée réactionnaire. Cette idée a un nom : le dolorisme, qui, sous couvert de chercher d’hypothétiques vertus positives à la souffrance, participe en fait d’un courant de pensée conservateur regrettant la perte de « l’esprit de sacrifice ». Cet esprit-là, Ruwen Ogien ne l’a jamais eu. Mieux, il s’attache à le combattre de livre en livre, définitivement progressiste.
Dans le dernier, renversant d’érudition, d’esprit et de style, il rassemble les différentes facettes de « la maladie comme drame et comme comédie ». Le philosophe brosse un aperçu, autobiographique comme jamais, de ses Mille et une nuits de patient, durant lesquelles il s’attache à « faire durer le suspense comme Shéhérazade ». Après des semaines d’échanges amicaux, entrecoupés par de « fichues journées de torture » médicale, Ruwen Ogien a répondu à ces questions sur le fil, à l’approche de notre deadline éditoriale, à la façon d’un « Phileas Fogg bouclant son tour du monde en quatre-vingts jours à la seconde près », avec le sang-froid, la méthode et l’humour du gentleman et la promesse d’un voyage (philosophique) extraordinaire.
[Actualisation : Ruwen Ogien est mort le 4 mai 2017]Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : “Ni la maladie ni les souffrances physiques n’ont de justification morale” Type de document : texte imprimé Auteurs : Ruwen Ogien (1949?-2017), Personne interviewée ; Cédric Enjalbert, Intervieweur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Catégories : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Les concepts boursouflés, très peu pour lui. Ruwen Ogien, philosophe libertaire spécialiste d’éthique, est de ceux qui ne goûtent guère le poids des traditions et la morale mal placée. Dans son dernier livre, très personnel, il dégonfle sans se payer de mots une certaine idée de la maladie. Ah ! de l’air !
« Avons-nous une sorte de deadline ? » m’a écrit Ruwen Ogien, alors que nous préparions cet entretien, avec cette autodérision qui ne le quitte jamais. Le philosophe souffre, selon les médecins, d’un « adénocarcinome canalaire pancréatique ». En clair, un cancer du pancréas, une maladie de longue durée, « à perpétuité » comme il dit, pas de celles dont on peut espérer guérir. Mais ce bienveillant spécialiste des questions morales, partisan d’une éthique dénuée d’obligations envers soi-même, toute contenue dans un principe minimal bien qu’infiniment ambitieux – ne pas nuire intentionnellement à autrui –, n’est pas du genre à désespérer. Lui qui se méfie des grands mots métaphysiques – l’amour, la dignité –, joyeux démolisseur du « culte de l’ineffable », de « la philosophie morale à la française », soit « un certain style d’écriture philosophique qu’il est permis de ne pas apprécier : le “ressassement” ou la répétition plus ou moins masquée par une surenchère d’hyperboles et d’injonctions pathétiques », a fourbi ses armes conceptuelles. Tout prêt à en découdre avec les poncifs qui entourent la maladie et qui attribuent au malade un « rôle », sinon un statut – « déchet social » –, il est allé décrocher quelques vieilles lunes, comme à son habitude. Parmi elles, cette baudruche nietzschéenne : ce qui ne te tue pas te rend plus fort. Pour le philosophe, ce cliché dont Johnny Hallyday a fait une chanson n’est pas seulement faux, il véhicule une idée réactionnaire. Cette idée a un nom : le dolorisme, qui, sous couvert de chercher d’hypothétiques vertus positives à la souffrance, participe en fait d’un courant de pensée conservateur regrettant la perte de « l’esprit de sacrifice ». Cet esprit-là, Ruwen Ogien ne l’a jamais eu. Mieux, il s’attache à le combattre de livre en livre, définitivement progressiste.
Dans le dernier, renversant d’érudition, d’esprit et de style, il rassemble les différentes facettes de « la maladie comme drame et comme comédie ». Le philosophe brosse un aperçu, autobiographique comme jamais, de ses Mille et une nuits de patient, durant lesquelles il s’attache à « faire durer le suspense comme Shéhérazade ». Après des semaines d’échanges amicaux, entrecoupés par de « fichues journées de torture » médicale, Ruwen Ogien a répondu à ces questions sur le fil, à l’approche de notre deadline éditoriale, à la façon d’un « Phileas Fogg bouclant son tour du monde en quatre-vingts jours à la seconde près », avec le sang-froid, la méthode et l’humour du gentleman et la promesse d’un voyage (philosophique) extraordinaire.
[Actualisation : Ruwen Ogien est mort le 4 mai 2017]Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 106 (février 2017) . - p. 68-73Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50568 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Documents numériques
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Article en ligneURL"Un nouveau-né ne peut pas avoir de droit à la vie" de Peter Singer / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 34 (novembre 2009)
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[article] "Un nouveau-né ne peut pas avoir de droit à la vie" de Peter Singer : phrase choc [texte imprimé] / Cédric Enjalbert, Auteur . - 2009 . - p. 74.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 34 (novembre 2009) . - p. 74
Catégories : 14 humanisme
179.3 Cruauté envers les animaux
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentauxRésumé : texte complet : « Si un droit de vivre doit reposer sur la capacité de vouloir continuer de vivre ou sur la capacité de se considérer soi-même comme un sujet mental qui perdure dans le temps, un nouveau-né ne peut pas avoir de droit à la vie. » Peter Singer, n'en déplaise à ses nombreux contempteurs n'a, malgré les apparences, rien d'un croqueur d'enfants. La morale utilitariste de ce professeur de bioéthique à l'université de Princeton, aux États-Unis, fondée sur la maximisation du bien-être pour le plus grand nombre d'êtres sensibles, appelle la reconnaissance du droit des animaux. Elle s'oppose à la sacralité de la vie car plus un être contribue au bien-être total, mieux il vaut. Elle invite donc à reconsidérer les critères qui distinguent l'homme et la bête à partir d'une notion : la personne humaine.
Dans Questions d'éthique pratique, Peter Singer considère que tous les « sentiants » – un anglicisme mal rendu par l'ambigu « êtres sensibles » – doivent être considérés comme moralement égaux. Car les intérêts de ces êtres capables d'éprouver la souffrance sont, en tant que tels, à prendre en compte avec une égale considération. La différence, alors, entre un cochon et nous ? Peter Singer pose trois conditions à l'identification de l'homme comme personne humaine : qu'il possède, dans cet ordre, la « sentiance » (ou sensibilité), la rationalité et la capacité à former une conscience de soi dans le temps. Aussi, contre la dignité de la personne en soi, trois degrés d'humanité sont établis : primat à l'individu conscient de soi dans le temps et porteur d'une identité personnelle, puis à l'individu inconscient mais sensible et, enfin, à l'individu inconscient et insensible. La conclusion logique de l'éthicien ? « Un bébé d'une semaine n'est pas un être rationnel conscient de soi […] Et la vie d'un nouveau-né a moins de valeur pour celui-ci que la vie d'un cochon, d'un chien, d'un chimpanzé n'en a pour chacun de ces animaux non humains. »
La comparaison est hardie et l'application du principe utilitariste inquiète par son étendue. Si l'humanité tient à la capacité de satisfaire un système de préférences et si ses franges commencent avec la démence ou l'insensibilité, que faire de nos congénères séniles ou handicapés ? Ce monde où le poisson vaut mieux que l'embryon et le nouveau-né moins que le poulet, où le cochon le dispute en valeur au dément et à l'oublieux est-il moralement acceptable ? Il contredit l'idée qu'une existence s'inscrit dans un projet et une histoire intersubjectives, irréductibles à un diagnostic clinique. Mais à Peter Singer d'ajouter, pour sa défense, qu'il entend non pas abaisser le statut des humains mais élever celui des animaux… Qu'il ne ferait pas de mal à une mouche, en somme. Il est végétarien, d'ailleurs.
Cédric Enjalbert
Peter Singer en 6 dates
1946. Naissance à Melbourne, en Australie.
1971. Professeur à Oxford, en Angleterre.
1975. Parution de Animal Liberation (La Libération animale, Grasset).
1979. Parution de Pratical Ethics (Questions d'éthique pratique, Bayard).
2004. Élu humaniste de l'année par l'Académie internationale pour l'humanisme.
2005. Pour Time, il est l'une des cent personnes les plus influentes au monde.En ligne : http://philomag.com/article,phrasechoc,un-nouveau-ne-ne-peut-pas-avoir-de-droit- [...] Format de la ressource électronique : Article complet en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : "Un nouveau-né ne peut pas avoir de droit à la vie" de Peter Singer : phrase choc Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Enjalbert, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 74 Langues : Français (fre) Catégories : 14 humanisme
179.3 Cruauté envers les animaux
342.7 Droits humains Droits de l'Homme. Droits fondamentauxRésumé : texte complet : « Si un droit de vivre doit reposer sur la capacité de vouloir continuer de vivre ou sur la capacité de se considérer soi-même comme un sujet mental qui perdure dans le temps, un nouveau-né ne peut pas avoir de droit à la vie. » Peter Singer, n'en déplaise à ses nombreux contempteurs n'a, malgré les apparences, rien d'un croqueur d'enfants. La morale utilitariste de ce professeur de bioéthique à l'université de Princeton, aux États-Unis, fondée sur la maximisation du bien-être pour le plus grand nombre d'êtres sensibles, appelle la reconnaissance du droit des animaux. Elle s'oppose à la sacralité de la vie car plus un être contribue au bien-être total, mieux il vaut. Elle invite donc à reconsidérer les critères qui distinguent l'homme et la bête à partir d'une notion : la personne humaine.
Dans Questions d'éthique pratique, Peter Singer considère que tous les « sentiants » – un anglicisme mal rendu par l'ambigu « êtres sensibles » – doivent être considérés comme moralement égaux. Car les intérêts de ces êtres capables d'éprouver la souffrance sont, en tant que tels, à prendre en compte avec une égale considération. La différence, alors, entre un cochon et nous ? Peter Singer pose trois conditions à l'identification de l'homme comme personne humaine : qu'il possède, dans cet ordre, la « sentiance » (ou sensibilité), la rationalité et la capacité à former une conscience de soi dans le temps. Aussi, contre la dignité de la personne en soi, trois degrés d'humanité sont établis : primat à l'individu conscient de soi dans le temps et porteur d'une identité personnelle, puis à l'individu inconscient mais sensible et, enfin, à l'individu inconscient et insensible. La conclusion logique de l'éthicien ? « Un bébé d'une semaine n'est pas un être rationnel conscient de soi […] Et la vie d'un nouveau-né a moins de valeur pour celui-ci que la vie d'un cochon, d'un chien, d'un chimpanzé n'en a pour chacun de ces animaux non humains. »
La comparaison est hardie et l'application du principe utilitariste inquiète par son étendue. Si l'humanité tient à la capacité de satisfaire un système de préférences et si ses franges commencent avec la démence ou l'insensibilité, que faire de nos congénères séniles ou handicapés ? Ce monde où le poisson vaut mieux que l'embryon et le nouveau-né moins que le poulet, où le cochon le dispute en valeur au dément et à l'oublieux est-il moralement acceptable ? Il contredit l'idée qu'une existence s'inscrit dans un projet et une histoire intersubjectives, irréductibles à un diagnostic clinique. Mais à Peter Singer d'ajouter, pour sa défense, qu'il entend non pas abaisser le statut des humains mais élever celui des animaux… Qu'il ne ferait pas de mal à une mouche, en somme. Il est végétarien, d'ailleurs.
Cédric Enjalbert
Peter Singer en 6 dates
1946. Naissance à Melbourne, en Australie.
1971. Professeur à Oxford, en Angleterre.
1975. Parution de Animal Liberation (La Libération animale, Grasset).
1979. Parution de Pratical Ethics (Questions d'éthique pratique, Bayard).
2004. Élu humaniste de l'année par l'Académie internationale pour l'humanisme.
2005. Pour Time, il est l'une des cent personnes les plus influentes au monde.En ligne : http://philomag.com/article,phrasechoc,un-nouveau-ne-ne-peut-pas-avoir-de-droit- [...] Format de la ressource électronique : Article complet en ligne Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 34 (novembre 2009) . - p. 74Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45514 phi Périodique Réserve Périodiques Disponible Positiviste attitude. Sur les pas d’Auguste Comte / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 90 (juin 2015)
[article] Positiviste attitude. Sur les pas d’Auguste Comte [texte imprimé] / Cédric Enjalbert, Auteur . - 2015 . - p. 36-39.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 90 (juin 2015) . - p. 36-39
Catégories : 211 Déisme Théisme Athéisme
929 Comte, Auguste (1798-1857)
PositivismeRésumé : Mille fois cité par Michel Houellebecq, le fondateur du positivisme a essaimé une spiritualité athée aux quatre coins du globe. La visite de lieux encore imprégnés de son esprit réveille une pensée oubliée qui permet de mieux comprendre le retour du religieux. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Positiviste attitude. Sur les pas d’Auguste Comte Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Enjalbert, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 36-39 Langues : Français (fre) Catégories : 211 Déisme Théisme Athéisme
929 Comte, Auguste (1798-1857)
PositivismeRésumé : Mille fois cité par Michel Houellebecq, le fondateur du positivisme a essaimé une spiritualité athée aux quatre coins du globe. La visite de lieux encore imprégnés de son esprit réveille une pensée oubliée qui permet de mieux comprendre le retour du religieux. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Philosophie magazine > 90 (juin 2015) . - p. 36-39Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49328 PHI Périodique Réserve Périodiques Disponible Qu'est-ce qui nous empêche de dormir ? / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 134 (novembre 2019)
PermalinkA quoi bon risquer sa peau N in Philosophie magazine, 80 (juin 2014)
Permalink"Le visage est exposé, menacé comme nous invitant à un acte de violence" / Cédric Enjalbert in Philosophie magazine, 41 (juillet-août 2010)
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