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Histoire [texte imprimé] / Guillaume Mazeau, Auteur . - Paris : Anamosa, DL 2020 . - 1 vol. (99 p.) ; 19 cm.. - (Le mot est faible, ISSN 2678-3274) .
ISBN : 979-10-95772-81-1
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
32 Politique
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 9 Histoire générale Résumé : Du site de l'éditeur :
Aujourd’hui, l’histoire est partout. Divertissement, outil de connaissance, elle est aussi devenue un formidable enjeu de pouvoir, inspirant de nombreuses instrumentalisations et appropriations. Face à ceux qui affirment qu’il n’y aurait qu’un sens de l’histoire, que l’histoire serait fermée et que nous serions incapables d’en rouvrir les portes, il faut au contraire assumer l’histoire comme une activité critique et partagée de la vie sociale. Dire cela, ce n’est ni l’affaiblir ni surestimer ses pouvoirs. C’est au contraire, et à la condition expresse de respecter quelques règles, se donner les moyens de lutter contre toutes les formes de dépossession.
«Face aux nuages qui s’épaississent, la responsabilité des historiens d’aujourd’hui consiste à ne pas se payer de mots : nous ne sommes ni en 1940, ni en 1919, ni dans les années 1930, pas plus que la fin du monde ou le fascisme ne sont des fatalités. Mais pour donner une chance à l’histoire dans le travail d’émancipation collective qui permettra, peut-être, de forger d’autres futurs, pour défendre l’utilité sociale de la science aussi, il faut aussi qu’ils acceptent de prendre une part active à l’histoire commune. Et partager avec leurs contemporains ce qu’ils devraient mieux savoir que quiconque : qu’il y a toujours des raisons d’espérer. »Note de contenu : Tables des matières :
Le triomphe de l'histoire
Un passé sans histoire
Fin de l'histoire, fin du monde et fin du mois
Le poison identitaire
Quand les peuples s'approprient l'histoire
L'histoire et son grand "h" minuscule
Politique et publique, par définitionEn ligne : https://anamosa.fr/livre/histoire/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Mazeau, Auteur Editeur : Paris : Anamosa Année de publication : DL 2020 Collection : Le mot est faible, ISSN 2678-3274 Importance : 1 vol. (99 p.) Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 979-10-95772-81-1 Langues : Français (fre) Catégories : 316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
32 Politique
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 9 Histoire générale Résumé : Du site de l'éditeur :
Aujourd’hui, l’histoire est partout. Divertissement, outil de connaissance, elle est aussi devenue un formidable enjeu de pouvoir, inspirant de nombreuses instrumentalisations et appropriations. Face à ceux qui affirment qu’il n’y aurait qu’un sens de l’histoire, que l’histoire serait fermée et que nous serions incapables d’en rouvrir les portes, il faut au contraire assumer l’histoire comme une activité critique et partagée de la vie sociale. Dire cela, ce n’est ni l’affaiblir ni surestimer ses pouvoirs. C’est au contraire, et à la condition expresse de respecter quelques règles, se donner les moyens de lutter contre toutes les formes de dépossession.
«Face aux nuages qui s’épaississent, la responsabilité des historiens d’aujourd’hui consiste à ne pas se payer de mots : nous ne sommes ni en 1940, ni en 1919, ni dans les années 1930, pas plus que la fin du monde ou le fascisme ne sont des fatalités. Mais pour donner une chance à l’histoire dans le travail d’émancipation collective qui permettra, peut-être, de forger d’autres futurs, pour défendre l’utilité sociale de la science aussi, il faut aussi qu’ils acceptent de prendre une part active à l’histoire commune. Et partager avec leurs contemporains ce qu’ils devraient mieux savoir que quiconque : qu’il y a toujours des raisons d’espérer. »Note de contenu : Tables des matières :
Le triomphe de l'histoire
Un passé sans histoire
Fin de l'histoire, fin du monde et fin du mois
Le poison identitaire
Quand les peuples s'approprient l'histoire
L'histoire et son grand "h" minuscule
Politique et publique, par définitionEn ligne : https://anamosa.fr/livre/histoire/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53003 9/MAZ Livre Libre-accès Adultes Disponible L'histoire comme émancipation / Laurence de Cock
L'histoire comme émancipation [texte imprimé] / Laurence de Cock, Auteur ; Mathilde Larrère, Auteur ; Guillaume Mazeau, Auteur ; Thierry Discepolo, Éditeur scientifique . - Marseille : Agone : Aggiornamento histoire géographie, 2019 . - 1 vol. (138 p.) ; 20 cm. - (Contre-feux, ISSN 1296-1787) .
ISBN : 978-2-7489-0395-9 : 12 EUR
Bibliogr. p. 117-125. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
37:17 Travail de Mémoire
930 Science historiqueIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Site de l'éditeur
Histrions de la cour des princes et éditorialistes de gouvernement clament que l’étude de l’histoire doit transmettre l’amour de la nation. Ils s’entendent sur tout pour fustiger les universitaires qui n’endossent pas cette mission. Mais si l’histoire ne doit pas, en effet, rester cantonnée dans les laboratoires et si les historiens doivent diffuser le fruit de leurs travaux, c’est parce qu’ils relèvent d’un service public. Et la recherche historique n’a jamais cessé d’être créative, inventive, parfois engagée. C’est en référence à cette tradition et ce potentiel que nous voulons réhabiliter le concept d’« émancipation ».
Il faut regagner du terrain sur celles et ceux qui confondent histoire et propagande haineuse, histoire et hagiographie. Il est temps de replacer l’histoire dans la lutte contre les dominations et de se débarÂrasser du fatalisme qui nourrit le conservatisme réacÂtionnaire. Dans cette perspective, l’histoire a son rôle à jouer. Parce qu’elle fissure les noyaux de certitude, à gauche comme à droite. Parce qu’elle rappelle que l’émancipation se nourrit des actions solidaires des hommes et des femmes du passé.
Note de contenu : Table des matières
Introduction
I. Ce que doit être une histoire émancipatrice
L’histoire des oubliés de l’histoire
De l’histoire des souffrances à celle des luttes
Une histoire des dominations peut être émancipatrice
L’histoire émancipatrice comme remède au TINA (There is no alternative)
II. L’histoire et ses frontières
L’histoire comme critique du temps présent
À quel titre prétendre émanciper ?
La recherche doit être un service public
Sortir des laboratoires
III. Transmettre, émanciper
La transmission au cœur du métier d’historien
Quelle histoire on apprend aux enfants
Éduquer par l’histoire, hors les murs
IV. Vigilance toute
Occuper les débats publics
Pour une histoire engagée
Conclusion : l’urgence démocratiquePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'histoire comme émancipation Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence de Cock, Auteur ; Mathilde Larrère, Auteur ; Guillaume Mazeau, Auteur ; Thierry Discepolo, Éditeur scientifique Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2019 Autre Editeur : Aggiornamento histoire géographie Collection : Contre-feux, ISSN 1296-1787 Importance : 1 vol. (138 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0395-9 Prix : 12 EUR Note générale : Bibliogr. p. 117-125. Index Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
37:17 Travail de Mémoire
930 Science historiqueIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Site de l'éditeur
Histrions de la cour des princes et éditorialistes de gouvernement clament que l’étude de l’histoire doit transmettre l’amour de la nation. Ils s’entendent sur tout pour fustiger les universitaires qui n’endossent pas cette mission. Mais si l’histoire ne doit pas, en effet, rester cantonnée dans les laboratoires et si les historiens doivent diffuser le fruit de leurs travaux, c’est parce qu’ils relèvent d’un service public. Et la recherche historique n’a jamais cessé d’être créative, inventive, parfois engagée. C’est en référence à cette tradition et ce potentiel que nous voulons réhabiliter le concept d’« émancipation ».
Il faut regagner du terrain sur celles et ceux qui confondent histoire et propagande haineuse, histoire et hagiographie. Il est temps de replacer l’histoire dans la lutte contre les dominations et de se débarÂrasser du fatalisme qui nourrit le conservatisme réacÂtionnaire. Dans cette perspective, l’histoire a son rôle à jouer. Parce qu’elle fissure les noyaux de certitude, à gauche comme à droite. Parce qu’elle rappelle que l’émancipation se nourrit des actions solidaires des hommes et des femmes du passé.
Note de contenu : Table des matières
Introduction
I. Ce que doit être une histoire émancipatrice
L’histoire des oubliés de l’histoire
De l’histoire des souffrances à celle des luttes
Une histoire des dominations peut être émancipatrice
L’histoire émancipatrice comme remède au TINA (There is no alternative)
II. L’histoire et ses frontières
L’histoire comme critique du temps présent
À quel titre prétendre émanciper ?
La recherche doit être un service public
Sortir des laboratoires
III. Transmettre, émanciper
La transmission au cœur du métier d’historien
Quelle histoire on apprend aux enfants
Éduquer par l’histoire, hors les murs
IV. Vigilance toute
Occuper les débats publics
Pour une histoire engagée
Conclusion : l’urgence démocratiquePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52479 37:17/COC Livre Libre-accès Adultes Disponible
Le retour des révolutions ? : Dossier [document électronique] / Guillaume Mazeau, Personne interviewée ; Jeanne Moisand, Auteur . - La Vie des idées.fr, 19/02/2013 . - 1 page web (consulté le 21/02/2013).
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'étatIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site web :
Printemps arabe, Indignés, hacktivistes, la révolution a le vent en poupe. Mais que recouvre désormais ce terme ? Historiens, philosophes et observateurs des mouvements sociaux actuels donnent leur point de vue.
La révolution serait-elle en train de sortir des oubliettes de l’histoire ? Le mot, réactivé depuis 2010 par le « printemps arabe » et le mouvement des Indignés, utilisé pour décrire les actions des hacktivistes, voit semble-t-il son emploi à la fois élargi et déplacé. Longtemps associée au totalitarisme, la révolution revient en faveur dans les commentaires sur les mouvements sociaux les plus récents. Si des doutes sont exprimés, ils portent moins sur la nature démocratique de ces mouvements que sur leurs capacités à réaliser pleinement leurs objectifs. Comme si l’exigence d’un gouvernement du peuple par le peuple n’était plus menacée par la dynamique révolutionnaire elle-même, mais par la force de ses opposants, et qu’elle redevenait un moteur positif du changement historique.
Que traduit cette nouvelle vision optimiste de « la » révolution, le plus souvent désignée au singulier ? En quoi consiste exactement ce changement de perspective et de quoi est-il le symptôme ? Pour répondre à ces questions, La Vie des Idées a convié des historiens et des philosophes, observateurs plus ou moins proches des mouvements sociaux récents, à réfléchir sur les représentations et les pratiques actuelles des révolutions.Note de contenu : - Leyla Dakhli, « Une révolution trahie ? Sur le soulèvement tunisien et la transition démocratique », mardi 19 février.
À paraître :
- Jean-Clément Martin, « La polysémie révolutionnaire. Rupture, crise et imprévu »
- José Luis Moreno Pestaña, « Vie et mort d’une assemblée »
- Entretien avec Yves Citton, « Révolution et crise de la temporalité »
- Guillaume Mazeau, « Recherche révolution, désespérement »
- Daniel Grimaldi, « Des révolutions manquées. Espagne et Chili face au déficit démocratique ».
Et aussi sur La Vie des Idées :
- Gabriel Entin et Jeanne Moisand, Débats autour du 15M
- Benoît Roger, les Pays-Bas en révolution
- Leila Vignal, Syrie, anatomie d’une révolution
- Jacques Guilhaumou, Le parler peuple sous la révolution
- Emmanuel Fureix, La Révolution française et le culte des mortsEn ligne : http://www.laviedesidees.fr/Le-retour-des-revolutions.html Format de la ressource électronique : Dossier + liens vers articles Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le retour des révolutions ? : Dossier Type de document : document électronique Auteurs : Guillaume Mazeau, Personne interviewée ; Jeanne Moisand, Auteur Editeur : La Vie des idées.fr Année de publication : 19/02/2013 Importance : 1 page web (consulté le 21/02/2013) Langues : Français (fre) Catégories : 32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'étatIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Site web :
Printemps arabe, Indignés, hacktivistes, la révolution a le vent en poupe. Mais que recouvre désormais ce terme ? Historiens, philosophes et observateurs des mouvements sociaux actuels donnent leur point de vue.
La révolution serait-elle en train de sortir des oubliettes de l’histoire ? Le mot, réactivé depuis 2010 par le « printemps arabe » et le mouvement des Indignés, utilisé pour décrire les actions des hacktivistes, voit semble-t-il son emploi à la fois élargi et déplacé. Longtemps associée au totalitarisme, la révolution revient en faveur dans les commentaires sur les mouvements sociaux les plus récents. Si des doutes sont exprimés, ils portent moins sur la nature démocratique de ces mouvements que sur leurs capacités à réaliser pleinement leurs objectifs. Comme si l’exigence d’un gouvernement du peuple par le peuple n’était plus menacée par la dynamique révolutionnaire elle-même, mais par la force de ses opposants, et qu’elle redevenait un moteur positif du changement historique.
Que traduit cette nouvelle vision optimiste de « la » révolution, le plus souvent désignée au singulier ? En quoi consiste exactement ce changement de perspective et de quoi est-il le symptôme ? Pour répondre à ces questions, La Vie des Idées a convié des historiens et des philosophes, observateurs plus ou moins proches des mouvements sociaux récents, à réfléchir sur les représentations et les pratiques actuelles des révolutions.Note de contenu : - Leyla Dakhli, « Une révolution trahie ? Sur le soulèvement tunisien et la transition démocratique », mardi 19 février.
À paraître :
- Jean-Clément Martin, « La polysémie révolutionnaire. Rupture, crise et imprévu »
- José Luis Moreno Pestaña, « Vie et mort d’une assemblée »
- Entretien avec Yves Citton, « Révolution et crise de la temporalité »
- Guillaume Mazeau, « Recherche révolution, désespérement »
- Daniel Grimaldi, « Des révolutions manquées. Espagne et Chili face au déficit démocratique ».
Et aussi sur La Vie des Idées :
- Gabriel Entin et Jeanne Moisand, Débats autour du 15M
- Benoît Roger, les Pays-Bas en révolution
- Leila Vignal, Syrie, anatomie d’une révolution
- Jacques Guilhaumou, Le parler peuple sous la révolution
- Emmanuel Fureix, La Révolution française et le culte des mortsEn ligne : http://www.laviedesidees.fr/Le-retour-des-revolutions.html Format de la ressource électronique : Dossier + liens vers articles Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
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