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Auteur Serge Govaert |
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[n° ou bulletin] 2076 - 2010 - L'économie et le mouvement flamand [texte imprimé] / Dirk Luyten, Auteur ; Serge Govaert, Traducteur . - 2010 . - 46 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 33(493=393) Economie politique et sociale de la Flandre (Belgique)
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : Il existe peu d’ouvrages de référence traitant des liens entre l’économie et le mouvement flamand. Dirk Luyten aborde ce thème en évitant deux pièges. Celui de l’anachronisme, qui chercherait dès la première moitié du 19e siècle des antécédents au retard et aux obstacles dont serait victime aujourd’hui l’économie flamande. Et celui de l’écriture nationaliste de l’histoire, qui postule qu’aurait toujours existé un modèle économique flamand favorable à tous les segments de la population, en faisant abstraction des intérêts divergents des sous-régions, des secteurs ou des groupes sociaux. L’auteur montre au contraire comment le mouvement flamand a fait naître et a construit l’idée d’une économie flamande.
Dirk Luyten rappelle d’abord la géographie de la révolution industrielle qui apparaît dans le cadre de l’État belge unitaire. Il procède ensuite par étapes chronologiques en examinant l’élaboration d’une doctrine économique par le mouvement flamand, l’apparition d’une bourgeoisie flamande hétérogène entre les deux guerres, son influence limitée durant la Seconde Guerre mondiale et l’héritage de celle-ci. Il montre comment l’expansion économique régionale flamande de l’après-guerre s’est d’abord pensée dans le cadre d’un État belge keynésien, et comment ensuite l’autonomie économique de la Flandre s’est déclinée dans les vingt dernières années selon une perspective nettement plus néolibérale qu’en Wallonie.Note de contenu : Table :
- Introduction
1. Les déterminants régionaux et structurels du développement économique (1770-1850)
2. Vers une doctrine économique pour le mouvement flamand
3. vers une bourgeoisie flamande hétérogène dans l'entre-deux guerres
4. la Seconde Guerre mondiale comme baromètre de la puissance de l'élite économique flamande
5. L'héritage de la guerre
6. L'expansion économique des régions flamandes dans le cadre d'un état belge keynésien
7. Crise économique, néolibéralisme et autonomie économique flamande
BibliographiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 2076 - 2010 - L'économie et le mouvement flamand Type de document : texte imprimé Auteurs : Dirk Luyten, Auteur ; Serge Govaert, Traducteur Année de publication : 2010 Importance : 46 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 33(493=393) Economie politique et sociale de la Flandre (Belgique)
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : Il existe peu d’ouvrages de référence traitant des liens entre l’économie et le mouvement flamand. Dirk Luyten aborde ce thème en évitant deux pièges. Celui de l’anachronisme, qui chercherait dès la première moitié du 19e siècle des antécédents au retard et aux obstacles dont serait victime aujourd’hui l’économie flamande. Et celui de l’écriture nationaliste de l’histoire, qui postule qu’aurait toujours existé un modèle économique flamand favorable à tous les segments de la population, en faisant abstraction des intérêts divergents des sous-régions, des secteurs ou des groupes sociaux. L’auteur montre au contraire comment le mouvement flamand a fait naître et a construit l’idée d’une économie flamande.
Dirk Luyten rappelle d’abord la géographie de la révolution industrielle qui apparaît dans le cadre de l’État belge unitaire. Il procède ensuite par étapes chronologiques en examinant l’élaboration d’une doctrine économique par le mouvement flamand, l’apparition d’une bourgeoisie flamande hétérogène entre les deux guerres, son influence limitée durant la Seconde Guerre mondiale et l’héritage de celle-ci. Il montre comment l’expansion économique régionale flamande de l’après-guerre s’est d’abord pensée dans le cadre d’un État belge keynésien, et comment ensuite l’autonomie économique de la Flandre s’est déclinée dans les vingt dernières années selon une perspective nettement plus néolibérale qu’en Wallonie.Note de contenu : Table :
- Introduction
1. Les déterminants régionaux et structurels du développement économique (1770-1850)
2. Vers une doctrine économique pour le mouvement flamand
3. vers une bourgeoisie flamande hétérogène dans l'entre-deux guerres
4. la Seconde Guerre mondiale comme baromètre de la puissance de l'élite économique flamande
5. L'héritage de la guerre
6. L'expansion économique des régions flamandes dans le cadre d'un état belge keynésien
7. Crise économique, néolibéralisme et autonomie économique flamande
BibliographiePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46212 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 2206-2207 - 2014 - Les partis sans représentation parlementaire fédérale (Bulletin de Courrier Hebdomadaire)
[n° ou bulletin] 2206-2207 - 2014 - Les partis sans représentation parlementaire fédérale [texte imprimé] / Julien Dohet (1975-....), Auteur ; Jean Faniel (1977-....), Auteur ; Serge Govaert, Auteur ; Cédric Istasse, Auteur ; JEAN-PAUL NASSAUX, Auteur ; PAUL WYNANTS, Auteur . - 2014 . - 108 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 329 Mouvements/Partis politiques
329.18(493) Extrême droite Belgique
Elections Belgique 2014Résumé : Site éditeur :
À la veille du scrutin de mai 2014, le Parlement fédéral compte des élus appartenant à douze partis politiques différents, ainsi que trois parlementaires indépendants. À côté de ces partis, il existe plusieurs dizaines de formations politiques, dont quelques-unes disposent d’élus dans une autre assemblée parlementaire.
Ceux que l’on nomme souvent les « petits partis » se présentent comme des éléments essentiels du jeu démocratique, insufflant des idées nouvelles dans le débat politique. Certains d’entre eux entendent devenir des forces politiques d’ampleur dans les prochaines années. D’autres n’ont pas pour premier objectif d’obtenir des élus : en participant aux campagnes électorales, ils espèrent surtout œuvrer à la diffusion de leurs idées. Quasiment tous sont peu, pas ou mal connus.
Le présent Courrier hebdomadaire offre un panorama des partis qui existent aujourd’hui en Belgique mais ne disposent pas actuellement de représentant au Parlement fédéral. Pour chacun d’entre eux sont présentés les éléments essentiels à leur connaissance et à leur compréhension : leur genèse et leur histoire, leurs dirigeants ou leurs principales figures, les points saillants de leurs orientations idéologiques et programmatiques, et leurs résultats électoraux éventuels.
La galaxie formée par les « petits partis » se caractérise par une très grande diversité. Loin de constituer un courant politique uniforme, ces formations présentent une grande variété, tant en termes de longévité d’existence ou de poids politique que de raison d’être ou d’idéologie. Dans cette étude, ils sont regroupés par catégorie : les partis de gauche, ceux de droite, ceux issus de l’extrême droite, ceux qui se positionnent selon le clivage centre-périphérie et ceux qui axent leur programme selon le clivage Église-État ; une dernière catégorie rassemble des partis atypiques. Au total, près d’une cinquantaine de formations politiques sont présentées.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LES FORMATIONS DE GAUCHE
1.1. Parti communiste (PC)
1.2. Parti du travail de Belgique (Partij van de Arbeid - PTB-PVDA)
1.3. Ligue communiste révolutionnaire (Socialistische Arbeiderspartij - LCR-SAP)
1.4. Parti socialiste de lutte (Linkse Socialistische Partij - PSL-LSP)
1.5. Parti humaniste (Humanistische Partij - PH-HP)
1.6. Mouvement socialiste (MS)
1.7. Comité voor een andere politiek et Comité pour une autre politique (CAP)
1.8. Vélorution
1.9. Riposte
1.10. Rood!
1.11. Mouvement de gauche (MG)
1.12. Rassemblement R
1.13. Mouvement VEGA
2. LES FORMATIONS DE DROITE
2.1. Vivant
2.2. Respect
2.3. Libéral démocrate (LiDé)
2.4. Parti populaire (PP)
2.5. La Droite
2.6. Debout les Belges !
2.7. Valeurs libérales citoyennes (VLC)
2.8. Parti libertarien (P-Lib)
3. LES FORMATIONS ISSUES DE L’EXTRÊME DROITE
3.1. Front national (FN)
3.2. Nation
3.3. Wallonie d’abord !
3.4. Forces démocrates wallonnes (FDW)
3.5. Front wallon (FW)
3.6. Démocratie nationale (DN)
3.7. Solidarité unitaire (SU)
3.8. Nouvelle Wallonie alternative (NWA)
3.9. Vrijheid
4. LES FORMATIONS RELEVANT DU CLIVAGE CENTRE-PÉRIPHÉRIE
4.1. Belgische Unie-Union belge-Belgische Union (BUB)
4.2. Belgische Alliantie-Alliance belge-Belgische Allianz (BAB)
4.3. Belgique Positif
4.4. Rassemblement wallon (RW)
4.5. Rassemblement Wallonie-France (RWF)
4.6. Parti républicain wallon (PRW)
4.7. ProBruxsel
4.8. Pro Deutschsprachige Gemeinschaft (ProDG)
4.9. Stand Up for the United States of Europe (Stand Up)
4.10. Section belge du Parti fédéraliste européen (EFP-Belgium)
5. LES FORMATIONS RELEVANT DU CLIVAGE ËGLISE-ËTAT
5.1. Chrétiens démocrates fédéraux (CDF)
5.2. Islam
6. LES AUTRES FORMATIONS
6.1. Mouvement pour l’éducation (MPE)
6.2. Parti des pensionnés et des retraités (PPR)
6.3. Parti Pirate
6.4. Égalité
6.5. Parti atomique (PA)
6.6. Vrijheid, Intimiteit, Thuis, Arbeid en Liefde (Vital)
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 2206-2207 - 2014 - Les partis sans représentation parlementaire fédérale Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Dohet (1975-....), Auteur ; Jean Faniel (1977-....), Auteur ; Serge Govaert, Auteur ; Cédric Istasse, Auteur ; JEAN-PAUL NASSAUX, Auteur ; PAUL WYNANTS, Auteur Année de publication : 2014 Importance : 108 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 329 Mouvements/Partis politiques
329.18(493) Extrême droite Belgique
Elections Belgique 2014Résumé : Site éditeur :
À la veille du scrutin de mai 2014, le Parlement fédéral compte des élus appartenant à douze partis politiques différents, ainsi que trois parlementaires indépendants. À côté de ces partis, il existe plusieurs dizaines de formations politiques, dont quelques-unes disposent d’élus dans une autre assemblée parlementaire.
Ceux que l’on nomme souvent les « petits partis » se présentent comme des éléments essentiels du jeu démocratique, insufflant des idées nouvelles dans le débat politique. Certains d’entre eux entendent devenir des forces politiques d’ampleur dans les prochaines années. D’autres n’ont pas pour premier objectif d’obtenir des élus : en participant aux campagnes électorales, ils espèrent surtout œuvrer à la diffusion de leurs idées. Quasiment tous sont peu, pas ou mal connus.
Le présent Courrier hebdomadaire offre un panorama des partis qui existent aujourd’hui en Belgique mais ne disposent pas actuellement de représentant au Parlement fédéral. Pour chacun d’entre eux sont présentés les éléments essentiels à leur connaissance et à leur compréhension : leur genèse et leur histoire, leurs dirigeants ou leurs principales figures, les points saillants de leurs orientations idéologiques et programmatiques, et leurs résultats électoraux éventuels.
La galaxie formée par les « petits partis » se caractérise par une très grande diversité. Loin de constituer un courant politique uniforme, ces formations présentent une grande variété, tant en termes de longévité d’existence ou de poids politique que de raison d’être ou d’idéologie. Dans cette étude, ils sont regroupés par catégorie : les partis de gauche, ceux de droite, ceux issus de l’extrême droite, ceux qui se positionnent selon le clivage centre-périphérie et ceux qui axent leur programme selon le clivage Église-État ; une dernière catégorie rassemble des partis atypiques. Au total, près d’une cinquantaine de formations politiques sont présentées.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LES FORMATIONS DE GAUCHE
1.1. Parti communiste (PC)
1.2. Parti du travail de Belgique (Partij van de Arbeid - PTB-PVDA)
1.3. Ligue communiste révolutionnaire (Socialistische Arbeiderspartij - LCR-SAP)
1.4. Parti socialiste de lutte (Linkse Socialistische Partij - PSL-LSP)
1.5. Parti humaniste (Humanistische Partij - PH-HP)
1.6. Mouvement socialiste (MS)
1.7. Comité voor een andere politiek et Comité pour une autre politique (CAP)
1.8. Vélorution
1.9. Riposte
1.10. Rood!
1.11. Mouvement de gauche (MG)
1.12. Rassemblement R
1.13. Mouvement VEGA
2. LES FORMATIONS DE DROITE
2.1. Vivant
2.2. Respect
2.3. Libéral démocrate (LiDé)
2.4. Parti populaire (PP)
2.5. La Droite
2.6. Debout les Belges !
2.7. Valeurs libérales citoyennes (VLC)
2.8. Parti libertarien (P-Lib)
3. LES FORMATIONS ISSUES DE L’EXTRÊME DROITE
3.1. Front national (FN)
3.2. Nation
3.3. Wallonie d’abord !
3.4. Forces démocrates wallonnes (FDW)
3.5. Front wallon (FW)
3.6. Démocratie nationale (DN)
3.7. Solidarité unitaire (SU)
3.8. Nouvelle Wallonie alternative (NWA)
3.9. Vrijheid
4. LES FORMATIONS RELEVANT DU CLIVAGE CENTRE-PÉRIPHÉRIE
4.1. Belgische Unie-Union belge-Belgische Union (BUB)
4.2. Belgische Alliantie-Alliance belge-Belgische Allianz (BAB)
4.3. Belgique Positif
4.4. Rassemblement wallon (RW)
4.5. Rassemblement Wallonie-France (RWF)
4.6. Parti républicain wallon (PRW)
4.7. ProBruxsel
4.8. Pro Deutschsprachige Gemeinschaft (ProDG)
4.9. Stand Up for the United States of Europe (Stand Up)
4.10. Section belge du Parti fédéraliste européen (EFP-Belgium)
5. LES FORMATIONS RELEVANT DU CLIVAGE ËGLISE-ËTAT
5.1. Chrétiens démocrates fédéraux (CDF)
5.2. Islam
6. LES AUTRES FORMATIONS
6.1. Mouvement pour l’éducation (MPE)
6.2. Parti des pensionnés et des retraités (PPR)
6.3. Parti Pirate
6.4. Égalité
6.5. Parti atomique (PA)
6.6. Vrijheid, Intimiteit, Thuis, Arbeid en Liefde (Vital)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 48842 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 2262 - 2015 - Hart boven Hard et Tout autre chose (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Serge Govaert
[n° ou bulletin] 2262 - 2015 - Hart boven Hard et Tout autre chose [texte imprimé] / Serge Govaert, Auteur . - 2015 . - 50 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(493) Politique de la Belgique
33(493) Economie politique et sociale de la Belgique
Hart boven hard
Tout autre choseRésumé : Site éditeur :
Le mouvement flamand Hart boven Hard et son pendant francophone Tout autre chose sont nés de la volonté de « refuser le discours de nos gouvernants affirmant qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité ». Apparus en réaction aux mesures d’économie envisagées par les gouvernements issus des élections de mai 2014, ils prônent un renouveau du débat démocratique et militent en faveur d’une société plus solidaire, juste, émancipatrice et épanouissante. Les deux mouvements sont portés par des représentants de la vie associative (issus notamment des arts et de la culture, de l’aide aux personnes et de la formation) et des organisations syndicales, ainsi que par de nombreux citoyens anonymes. En revanche, ils tiennent à conserver une stricte indépendance vis-à -vis des partis politiques. Leurs modes d’action sont multiples et marqués du sceau de la créativité : journées de réflexion et de discussion « hartslag », « Grande Parade » du printemps 2015, etc.
Hart boven Hard et Tout autre chose ne sont pas les premiers mouvements de ce genre. Ils ont été précédés par d’autres initiatives de citoyens désireux de faire entendre leur voix en dehors des structures traditionnelles d’expression et de décision ou d’explorer de nouveaux modes d’action et de participation démocratique. La désaffection dont les partis politiques font l’objet favorise l’émergence de ces formes particulières d’activisme, parfois difficiles à cerner. En Belgique, aucun mouvement n’avait cependant pu susciter un tel engouement en si peu de temps, et rallier à ses actions non seulement un grand nombre d’individus, mais aussi des organisations jusque-là plutôt méfiantes envers ce qu’on a coutume d’appeler les « mouvements citoyens ».
Ce Courrier hebdomadaire s’attache à décrire la naissance de Hart boven Hard et de Tout autre chose, leurs structures et modes de décision, leurs évolutions et actions. Il les replace tous deux dans le contexte de la mouvance citoyenne belge et examine leurs rapports avec les partis, les syndicats et le secteur associatif, ainsi que leurs relations mutuelles. Il s’interroge enfin sur leur place dans les processus de décision politique.Note de contenu : Table :
- Introduction
- Hart boven Hard avant la Grande parade
- Tout autre chose avant la Grande parade
- la Grande parade du 29 mars 2015
- Hart boven Hard après la Grande parade
- les structures de Hart boven Hard et leur évolution
- Tout autre chose après la Grande parade
- La structuration de Tout autre chose
- Hart boven hard et Tout autre chose : quelques éléments de comparaison
- Hart boven hard et Tout autre chose dans le contexte belge
- Conclusion
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 2262 - 2015 - Hart boven Hard et Tout autre chose Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Govaert, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 50 p. Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(493) Politique de la Belgique
33(493) Economie politique et sociale de la Belgique
Hart boven hard
Tout autre choseRésumé : Site éditeur :
Le mouvement flamand Hart boven Hard et son pendant francophone Tout autre chose sont nés de la volonté de « refuser le discours de nos gouvernants affirmant qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité ». Apparus en réaction aux mesures d’économie envisagées par les gouvernements issus des élections de mai 2014, ils prônent un renouveau du débat démocratique et militent en faveur d’une société plus solidaire, juste, émancipatrice et épanouissante. Les deux mouvements sont portés par des représentants de la vie associative (issus notamment des arts et de la culture, de l’aide aux personnes et de la formation) et des organisations syndicales, ainsi que par de nombreux citoyens anonymes. En revanche, ils tiennent à conserver une stricte indépendance vis-à -vis des partis politiques. Leurs modes d’action sont multiples et marqués du sceau de la créativité : journées de réflexion et de discussion « hartslag », « Grande Parade » du printemps 2015, etc.
Hart boven Hard et Tout autre chose ne sont pas les premiers mouvements de ce genre. Ils ont été précédés par d’autres initiatives de citoyens désireux de faire entendre leur voix en dehors des structures traditionnelles d’expression et de décision ou d’explorer de nouveaux modes d’action et de participation démocratique. La désaffection dont les partis politiques font l’objet favorise l’émergence de ces formes particulières d’activisme, parfois difficiles à cerner. En Belgique, aucun mouvement n’avait cependant pu susciter un tel engouement en si peu de temps, et rallier à ses actions non seulement un grand nombre d’individus, mais aussi des organisations jusque-là plutôt méfiantes envers ce qu’on a coutume d’appeler les « mouvements citoyens ».
Ce Courrier hebdomadaire s’attache à décrire la naissance de Hart boven Hard et de Tout autre chose, leurs structures et modes de décision, leurs évolutions et actions. Il les replace tous deux dans le contexte de la mouvance citoyenne belge et examine leurs rapports avec les partis, les syndicats et le secteur associatif, ainsi que leurs relations mutuelles. Il s’interroge enfin sur leur place dans les processus de décision politique.Note de contenu : Table :
- Introduction
- Hart boven Hard avant la Grande parade
- Tout autre chose avant la Grande parade
- la Grande parade du 29 mars 2015
- Hart boven Hard après la Grande parade
- les structures de Hart boven Hard et leur évolution
- Tout autre chose après la Grande parade
- La structuration de Tout autre chose
- Hart boven hard et Tout autre chose : quelques éléments de comparaison
- Hart boven hard et Tout autre chose dans le contexte belge
- Conclusion
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49390 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 2313 - 2016 - La montée des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2014 (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Serge Govaert
[n° ou bulletin] 2313 - 2016 - La montée des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2014 [texte imprimé] / Serge Govaert, Auteur . - 2016 . - 47 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
323.173 Séparatisme Indépendance
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)Résumé : Site revue :
Depuis octobre 2014, le gouvernement belge compte parmi ses membres trois ministres et deux secrétaires d’État appartenant à la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA). Cette participation au pouvoir fédéral du principal parti nationaliste flamand est quelque peu schizophrène. En effet, dans son programme politique, la N-VA plaide pour l’indépendance de la Flandre et donc pour la disparition de la Belgique. Or, au niveau fédéral, les ministres N-VA occupent des postes-clés, correspondant notamment à des fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité et l’Intérieur, les Finances, la Défense et la Fonction publique. Dans ce cadre, ils sont dès lors chargés d’assurer le bon fonctionnement de structures dont, en principe, ils souhaitent la suppression.
Un tel cas de figure est inédit dans l’histoire du pays. Pour autant, ce n’est pas la première fois qu’un parti nationaliste flamand est membre d’une coalition gouvernementale nationale. Par deux fois, la Volksunie (VU) – dont la N-VA est l’héritière directe – a pris part à l’exercice du pouvoir national : dans les gouvernements Tindemans IV et Vanden Boeynants II en 1977-1978, et dans le gouvernement Martens VIII entre 1988 et 1991.
En quoi ces diverses participations gouvernementales sont-elles semblables, en quoi diffèrent-elles les unes des autres ? Et comment expliquer les similitudes et les différences ? C’est à répondre à ces questions que s’attachent deux livraisons successives du Courrier hebdomadaire. La présente est consacrée au contexte politique et aux conditions et modalités d’accession de la VU et de la N-VA au pouvoir national. La suivante sera relative à l’action et à l’impact politique de ces partis dans les gouvernements auxquels ils ont participé. Cette seconde livraison comportera également les conclusions générales des deux volets de l’étude.Note de contenu : TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION
1. LES PRÉMICES (1954-1977)
2. LA PREMIÈRE PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LES GOUVERNEMENTS TINDEMANSIV ET VANDEN BOEYNANTSII (1977-1978)
3. LE RETOUR DE LA VU DANS L’OPPOSITION AU NIVEAU NATIONAL (1978-1988)
3.1 Les suites de l’échec du pacte d’Egmont
3.2 La participation de la VU au premier exécutif flamand (1981-1985)
4. LA DEUXIÈME PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LE GOUVERNEMENT MARTENS VIII (1988-1991)
4.1 L’accord de gouvernement CVP/PS/SP/PSC/VU
4.2Voix critiques et incidents
4.3 Deux participations : essai de comparaison
4.4 Au pouvoir en Flandre et à Bruxelles
4.5 Retour à l’opposition
5. DANS L’OPPOSITION : L’IMPLOSION DE LA VU ET LA NAISSANCE DE LA N-VA (1991-2001)
5.1 Le dialogue communautaire de 1992 et la révision constitutionnelle de 1993 : la Belgique, État fédéral
5.2 Vers l’implosion de la VU
5.3 La naissance de la N-VA
6. LA N-VA PREMIER PARTI FLAMAND ET LA PARTICIPATION AU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL MICHEL (2002-2014)
6.1 Le cartel CD8cV-N-VA
6.2 Progrès électoraux
6.3 Premier parti de Flandre
6.4 Aux gouvernements flamand et fédéral
6.5 Dissensions et scission
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Titre : 2313 - 2016 - La montée des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2014 Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Govaert, Auteur Année de publication : 2016 Importance : 47 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
323.173 Séparatisme Indépendance
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)Résumé : Site revue :
Depuis octobre 2014, le gouvernement belge compte parmi ses membres trois ministres et deux secrétaires d’État appartenant à la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA). Cette participation au pouvoir fédéral du principal parti nationaliste flamand est quelque peu schizophrène. En effet, dans son programme politique, la N-VA plaide pour l’indépendance de la Flandre et donc pour la disparition de la Belgique. Or, au niveau fédéral, les ministres N-VA occupent des postes-clés, correspondant notamment à des fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité et l’Intérieur, les Finances, la Défense et la Fonction publique. Dans ce cadre, ils sont dès lors chargés d’assurer le bon fonctionnement de structures dont, en principe, ils souhaitent la suppression.
Un tel cas de figure est inédit dans l’histoire du pays. Pour autant, ce n’est pas la première fois qu’un parti nationaliste flamand est membre d’une coalition gouvernementale nationale. Par deux fois, la Volksunie (VU) – dont la N-VA est l’héritière directe – a pris part à l’exercice du pouvoir national : dans les gouvernements Tindemans IV et Vanden Boeynants II en 1977-1978, et dans le gouvernement Martens VIII entre 1988 et 1991.
En quoi ces diverses participations gouvernementales sont-elles semblables, en quoi diffèrent-elles les unes des autres ? Et comment expliquer les similitudes et les différences ? C’est à répondre à ces questions que s’attachent deux livraisons successives du Courrier hebdomadaire. La présente est consacrée au contexte politique et aux conditions et modalités d’accession de la VU et de la N-VA au pouvoir national. La suivante sera relative à l’action et à l’impact politique de ces partis dans les gouvernements auxquels ils ont participé. Cette seconde livraison comportera également les conclusions générales des deux volets de l’étude.Note de contenu : TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION
1. LES PRÉMICES (1954-1977)
2. LA PREMIÈRE PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LES GOUVERNEMENTS TINDEMANSIV ET VANDEN BOEYNANTSII (1977-1978)
3. LE RETOUR DE LA VU DANS L’OPPOSITION AU NIVEAU NATIONAL (1978-1988)
3.1 Les suites de l’échec du pacte d’Egmont
3.2 La participation de la VU au premier exécutif flamand (1981-1985)
4. LA DEUXIÈME PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LE GOUVERNEMENT MARTENS VIII (1988-1991)
4.1 L’accord de gouvernement CVP/PS/SP/PSC/VU
4.2Voix critiques et incidents
4.3 Deux participations : essai de comparaison
4.4 Au pouvoir en Flandre et à Bruxelles
4.5 Retour à l’opposition
5. DANS L’OPPOSITION : L’IMPLOSION DE LA VU ET LA NAISSANCE DE LA N-VA (1991-2001)
5.1 Le dialogue communautaire de 1992 et la révision constitutionnelle de 1993 : la Belgique, État fédéral
5.2 Vers l’implosion de la VU
5.3 La naissance de la N-VA
6. LA N-VA PREMIER PARTI FLAMAND ET LA PARTICIPATION AU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL MICHEL (2002-2014)
6.1 Le cartel CD8cV-N-VA
6.2 Progrès électoraux
6.3 Premier parti de Flandre
6.4 Aux gouvernements flamand et fédéral
6.5 Dissensions et scission
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50602 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 2314-2315 - 2016 - La participation des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2016 (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Serge Govaert
[n° ou bulletin] 2314-2315 - 2016 - La participation des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2016 [texte imprimé] / Serge Govaert, Auteur . - 2016 . - 73 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
323.173 Séparatisme Indépendance
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)Résumé : Site revue :
Depuis octobre 2014, le gouvernement belge compte parmi ses membres trois ministres et deux secrétaires d’État appartenant à la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA). Cette participation au pouvoir fédéral du principal parti nationaliste flamand est quelque peu schizophrène. En effet, dans son programme politique, la N-VA plaide pour l’indépendance de la Flandre et donc pour la disparition de la Belgique. Or, au niveau fédéral, les ministres N-VA occupent des postes-clés, correspondant notamment à des fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité et l’Intérieur, les Finances, la Défense et la Fonction publique. Dans ce cadre, ils sont dès lors chargés d’assurer le bon fonctionnement de structures dont, en principe, ils souhaitent la suppression.
Un tel cas de figure est inédit dans l’histoire du pays. Pour autant, ce n’est pas la première fois qu’un parti nationaliste flamand est membre d’une coalition gouvernementale nationale. Par deux fois, la Volksunie (VU) – dont la N-VA est l’héritière directe – a pris part à l’exercice du pouvoir national : dans les gouvernements Tindemans IV et Vanden Boeynants II en 1977-1978, et dans le gouvernement Martens VIII entre 1988 et 1991.
En quoi ces diverses participations gouvernementales sont-elles semblables, en quoi diffèrent-elles les unes des autres ? Et comment expliquer les similitudes et les différences ? C’est à répondre à ces questions que s’attachent deux livraisons successives du Courrier hebdomadaire. La précédente a été consacrée au contexte politique et aux conditions et modalités d’accession de la VU et de la N-VA au pouvoir national. La présente est relative à l’action et à l’impact politique de ces partis dans les gouvernements auxquels ils ont participé. Elle comporte également les conclusions générales des deux volets de l’étude.
Par ailleurs, en guise de mise en perspective, S. Govaert examine les aspects que revêtent ou ont revêtu, dans d’autres pays d’Europe, la participation à des gouvernements nationaux de partis plus ou moins sécessionnistes et/ou défendant les intérêts de collectivités territoriales particulières, spécialement la Lega Nord en Italie.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LA PREMIÈRE PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LES GOUVERNEMENTS TINDEMANS IV ET VANDEN BOEYNANTS II (1977-1978)
2. LA DEUXIÈME PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LE GOUVERNEMENT MARTENS VIII (1988-1991)
2.1. Le retour de Hugo Schiltz
2.2. La politique scientifique
2.3. Le budget
2.4. La réforme des institutions
2.5. La Région de Bruxelles-Capitale
2.6. La Guerre du Golfe
2.7. La dépénalisation de l’avortement
2.8. La coopération au développement et les relations internationales
2.9. L’amnistie
2.10. La « nouvelle culture politique »
3. LA PARTICIPATION DE LA N-VA AU POUVOIR FÉDÉRAL : LE GOUVERNEMENT MICHEL (DEPUIS 2014)
3.1. La Sécurité, lTntérieur et la Régie des bâtiments
3.2. Les Finances et la Lutte contre la fraude fiscale
3.3. La Défense et la Fonction publique
3.4. La Lutte contre la pauvreté, FÉgalité des chances, les Personnes handicapées, la Politique scientifique et les Grandes villes
3.5. L’Asile, la Migration et la Simplification administrative
3.6. Les relations internationales
3.7. La « nouvelle culture politique »
3.8. Un bilan
4. D’UNE PARTICIPATION À L’AUTRE : ÉLÉMENTS DE COMPARAISON
5. MISE EN PERSPECTIVE : LE POUVOIR ET LES PARTIS NON ÉTATIQUES
5.1. Quelques remarques préalables
5.2. Le seul cas proche de la Belgique : l’Italie
5.2.1. Le contexte de la naissance de la Lega Nord
5.2.2. L’évolution de la Lega Nord à travers les scrutins nationaux et régionaux (1992-2015)
5.2.3. Analyse
5.2.4. Au Parlement européen
CONCLUSION GÉNÉRALE
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Titre : 2314-2315 - 2016 - La participation des nationalistes flamands au pouvoir dans les gouvernements fédéraux, 1977-2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Govaert, Auteur Année de publication : 2016 Importance : 73 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32(493=393) Politique de la Flandre (Belgique)
323.173 Séparatisme Indépendance
329.4(493) Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)Résumé : Site revue :
Depuis octobre 2014, le gouvernement belge compte parmi ses membres trois ministres et deux secrétaires d’État appartenant à la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA). Cette participation au pouvoir fédéral du principal parti nationaliste flamand est quelque peu schizophrène. En effet, dans son programme politique, la N-VA plaide pour l’indépendance de la Flandre et donc pour la disparition de la Belgique. Or, au niveau fédéral, les ministres N-VA occupent des postes-clés, correspondant notamment à des fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité et l’Intérieur, les Finances, la Défense et la Fonction publique. Dans ce cadre, ils sont dès lors chargés d’assurer le bon fonctionnement de structures dont, en principe, ils souhaitent la suppression.
Un tel cas de figure est inédit dans l’histoire du pays. Pour autant, ce n’est pas la première fois qu’un parti nationaliste flamand est membre d’une coalition gouvernementale nationale. Par deux fois, la Volksunie (VU) – dont la N-VA est l’héritière directe – a pris part à l’exercice du pouvoir national : dans les gouvernements Tindemans IV et Vanden Boeynants II en 1977-1978, et dans le gouvernement Martens VIII entre 1988 et 1991.
En quoi ces diverses participations gouvernementales sont-elles semblables, en quoi diffèrent-elles les unes des autres ? Et comment expliquer les similitudes et les différences ? C’est à répondre à ces questions que s’attachent deux livraisons successives du Courrier hebdomadaire. La précédente a été consacrée au contexte politique et aux conditions et modalités d’accession de la VU et de la N-VA au pouvoir national. La présente est relative à l’action et à l’impact politique de ces partis dans les gouvernements auxquels ils ont participé. Elle comporte également les conclusions générales des deux volets de l’étude.
Par ailleurs, en guise de mise en perspective, S. Govaert examine les aspects que revêtent ou ont revêtu, dans d’autres pays d’Europe, la participation à des gouvernements nationaux de partis plus ou moins sécessionnistes et/ou défendant les intérêts de collectivités territoriales particulières, spécialement la Lega Nord en Italie.Note de contenu : Table des matières
INTRODUCTION
1. LA PREMIÈRE PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LES GOUVERNEMENTS TINDEMANS IV ET VANDEN BOEYNANTS II (1977-1978)
2. LA DEUXIÈME PARTICIPATION DE LA VU AU POUVOIR NATIONAL : LE GOUVERNEMENT MARTENS VIII (1988-1991)
2.1. Le retour de Hugo Schiltz
2.2. La politique scientifique
2.3. Le budget
2.4. La réforme des institutions
2.5. La Région de Bruxelles-Capitale
2.6. La Guerre du Golfe
2.7. La dépénalisation de l’avortement
2.8. La coopération au développement et les relations internationales
2.9. L’amnistie
2.10. La « nouvelle culture politique »
3. LA PARTICIPATION DE LA N-VA AU POUVOIR FÉDÉRAL : LE GOUVERNEMENT MICHEL (DEPUIS 2014)
3.1. La Sécurité, lTntérieur et la Régie des bâtiments
3.2. Les Finances et la Lutte contre la fraude fiscale
3.3. La Défense et la Fonction publique
3.4. La Lutte contre la pauvreté, FÉgalité des chances, les Personnes handicapées, la Politique scientifique et les Grandes villes
3.5. L’Asile, la Migration et la Simplification administrative
3.6. Les relations internationales
3.7. La « nouvelle culture politique »
3.8. Un bilan
4. D’UNE PARTICIPATION À L’AUTRE : ÉLÉMENTS DE COMPARAISON
5. MISE EN PERSPECTIVE : LE POUVOIR ET LES PARTIS NON ÉTATIQUES
5.1. Quelques remarques préalables
5.2. Le seul cas proche de la Belgique : l’Italie
5.2.1. Le contexte de la naissance de la Lega Nord
5.2.2. L’évolution de la Lega Nord à travers les scrutins nationaux et régionaux (1992-2015)
5.2.3. Analyse
5.2.4. Au Parlement européen
CONCLUSION GÉNÉRALE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50603 COU Périodique Libre-accès Périodiques Disponible PermalinkEn Belgique, un conflit communautaire peut en cacher un autre / Serge Govaert in Le Monde Diplomatique, 603 (juin 2004)
PermalinkPermalinkLa Belgique survivra-t-elle aux élections de 1999 ? / Serge Govaert in Le Monde Diplomatique, 543 (juin 1999)
PermalinkBruxelles convoitée par l'extrême droite flamande / Serge Govaert in Le Monde Diplomatique, 526 (janvier 1998)
PermalinkCulture wallonne ou culture francophone ? / Serge Govaert in Le Monde Diplomatique, 559 (octobre 2000)
PermalinkLa Démocratie parlementaire : cause toujours ? / Serge Govaert in Cahiers Marxistes, 185 (Juillet 1992)
PermalinkEssai de positionnement politique du Vlaams Blok / Serge Govaert in Courrier Hebdomadaire, 1365 (1992)
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