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Auteur Caroline Sägesser |
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Réinventer la société civile / François Perl in Politique, 110 (décembre 2019)
[article] Réinventer la société civile : force et déclin des "piliers" [texte imprimé] / François Perl, Directeur de publication ; Caroline Sägesser, Directeur de publication ; Caroline Van Wynsberghe, Directeur de publication . - 2019 . - p. 8-84.
Langues : Français (fre)
in Politique > 110 (décembre 2019) . - p. 8-84
Catégories : -053.9 Personne agée Vieillard
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
21 Laïcité
32(493) Politique de la Belgique
329 Mouvements/Partis politiques
37 Education Enseignement Loisirs
LGBTQIA+ / Homophobie / Transphobie
Mouvements citoyensRésumé : Cet été, la formation du nouveau gouvernement wallon a vu (ré)apparaître la société civile comme un acteur important du champ politique.
Objet mal identifiable de par sa diversité, la société civile est généralement décrite comme l’organisation des citoyens en dehors de l’État, de la sphère politique et du pouvoir économique. En Belgique, elle possède une certaine marge d’autonomie vis-à-vis du pouvoir et ce malgré un financement de ses activités fortement dépendant de subventions publiques.
On loue souvent sa vitalité, certains épisodes récents semblant accréditer la chose : forte mobilisation contre le Ceta, efficacité de la plate-forme citoyenne d’hébergement des migrant·e·s, grandes marches pour le climat… On pose régulièrement l’hypothèse qu’elle n’est pas pour rien dans l’inconsistance des scores électoraux de l’extrême droite à Bruxelles et en Wallonie. Alors, comment définir cette société civile ? Comment et peut-on vraiment délimiter sa sphère ? Aussi, quelle représentativité lui donner ?
Autre question : comment cette société civile se structure-t-elle ? Que dire des piliers par exemple, qui font inévitablement partie de l’équation ? Font-ils encore sens en 2019 ? La cohérence de l’Action commune socialiste apparaît encore malgré des tensions. Que se passe-t-il du côté chrétien ? Ces piliers peuvent-ils « survivre » à l’affaissement de la démocratie-chrétienne et à l’affaiblissement de la social-démocratie comme forces politiques majeures ? Enfin, quels liens et quelle relation avec le monde politique ? La consultation de la société civile par ce dernier est-elle suffisante ? Dans quelle mesure répond-elle aux demandes de celle-ci ? D’un autre côté, la société civile ne risque-t-elle pas de perdre son autonomie à trop vouloir rentrer dans un système de concertation avec le politique ? Existe-t-il une société civile viable sans subventionnement ?
PARTIS ET SOCIÉTÉ CIVILE
Dans un article de cadrage terminologique, Caroline Van Wynsberghe cerne le champ de définition et l’histoire de la société civile.
Viennent quatre regards sur les liens entre partis politiques et société civile. Un premier sur l’Action commune socialiste pour décrire, avec Philippe Buchez, ses mythes et réalités. Un deuxième, par Benjamin Biard, sur les rapports que les deux partis chrétiens du pays entretiennent avec les organisations de leur pilier.
Enfin, deux rencontres avec des acteurs. L’une avec Patrick Dupriez, pour nous expliquer sa vision des rapports entre Ecolo et la société civile. L’autre avec François De Smet, président fraîchement élu de Défi, pour réfléchir aux nouveaux enjeux politiques que pose notre époque sur ces rapports.
MOBILISATIONS
Focus sur quelques campagnes, organisations, initiatives originales.
Brieuc Wathelet narre l’histoire de Tam-Tam, une initiative qui, pendant 18 mois, a coalisé syndicats, mouvement climatique et d’autres acteurs de la société civile dont les gilets jaunes contre les gouvernements Michel.
Nicolas Van Nuffel retrace, de sa naissance il y a dix ans à son apogée actuelle via ses grandes marches et sa reconnaissance publique, l’histoire de la Coalition climat.
Pierre Verbeeren nous parle d’un nouvel arrivé, LaCoordination.org – Fabrique de solutions, qui regroupe une vingtaine d’associations et d’individualités dans le but de « favoriser au sein de la société civile une dynamique de collaboration ouverte, concrète, positive audacieuse et joyeuse ».
Retour sur un mouvement qui a abouti à (re) faire connaître la Wallonie dans le monde entier : Michel Cermak nous raconte sa vision du mouvement anti-Ceta de lutte contre un accord commercial bilatéral de libre échange entre l’Union européenne et le Canada.
Enfin, Christoph Niessen, Gilbert Küpper et Min Reuchamps nous font découvrir une initiative inédite au niveau mondial : le dialogue citoyen permanent en Communauté germanophone, un dispositif de délibération citoyenne qui fonctionne au côté d’un parlement élu.
TERRAINS
Les piliers sont-ils toujours bien présents ou au contraire en voie de disparition en Belgique ? Des nouveaux voient-ils le jour alors que d’anciens s’estompent ? S’il y a évolution avec le temps, le milieu de l’enseignement reste marqué par la pilarisation, nous explique Caroline Sägesser. De son côté, Séverine Acerbis confirme l’influence des piliers sur les politiques d’éducation… alors même que les parents d’élèves accordent peu d’importance à ces derniers dans leurs choix éducatifs.
Qu’en est-il du mouvement laïque, que l’absence de loi de séparation entre Églises et État en Belgique aide à se maintenir ? Pour David Koussens, la pluralité de ce mouvement lui permet de s’adapter face à la « laïcité à la carte » de sa base.
L’existence et le fonctionnement d’organisations permettant de vivre sa vie dans un environnement peuplé de personnes de même culture ou de même conviction religieuse vaut-elle aussi pour le milieu gay ? Au point de l’assimiler à un pilier ? Éclairage avec Didier Diesenhaus. (Pour ce qui est de la « communauté » musulmane, Corinne Torrekens nous explique brièvement – en encadré – pourquoi parler de l’existence d’un pilier musulman à part entière serait un abus de langage.)
France Blanmailland montre que la magistrature est elle aussi touchée par la pilarisation, puis tente de désamorcer la question polémique de la politisation de la justice.
Enfin, de Flandre, Els Hertogen offre un plaidoyer en faveur du middenveld. Sur base d’exemples, elle pointe son utilité dans la lutte contre les inégalités et cible aussi les attaques dont elle est victime.Note de contenu : LE DOSSIER : RÉINVENTER LA SOCIÉTÉ CIVILE
– Présentation
A. SOCIÉTÉ CIVILE ET PARTIS
– Un fourre-tout de créations citoyennes autonomes ? / Caroline Van Wynsberghe
– L’action commune, entre réalités et récit mythologique / Philippe Buchez
– CDH et CD&V, un ancrage contrasté au sein du “pilier chrétien” / Benjamin Biard
– Ecolo : co-construire avec la société civile / entretien avec Patrick Dupriez
– Société civile ou lobbies à l’anglo-saxonne ? / entretien avec François De Smet
B. MOBILISATIONS
– Tam-Tam : une campagne associative inter-piliers / Brieuc Wathelet
– Coalition climat : catalyseur ou incubateur / Nicolas Van Nuffel
– LaCoordination : vers un nouveau “pilier” / Pierre Verbeeren
– Regard sur le mouvement anti-Ceta / Michel Cermak
– Le dialogue citoyen permanent en communauté germanophone / Gilbert Küpper, Christoph Niessen, Min Reuchamps
C. TERRAINS
– Enseignement : déconfessionnalisé mais toujours bien pilarisé / Caroline Sägesser
– Éducation : une influence souterraine / Séverine Acerbis
– Vers un “pilier gay” ? / entretien avec Didier Diesenhaus
– La laïcité organisée dans un contexte post-pilarisation / entretien avec David Koussens
– Les couleurs des magistrats / France Blanmailland
– Le “middenveld”, c’est politique / Els Hertogen
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Réinventer la société civile : force et déclin des "piliers" Type de document : texte imprimé Auteurs : François Perl, Directeur de publication ; Caroline Sägesser, Directeur de publication ; Caroline Van Wynsberghe, Directeur de publication Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 8-84 Langues : Français (fre) Catégories : -053.9 Personne agée Vieillard
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
21 Laïcité
32(493) Politique de la Belgique
329 Mouvements/Partis politiques
37 Education Enseignement Loisirs
LGBTQIA+ / Homophobie / Transphobie
Mouvements citoyensRésumé : Cet été, la formation du nouveau gouvernement wallon a vu (ré)apparaître la société civile comme un acteur important du champ politique.
Objet mal identifiable de par sa diversité, la société civile est généralement décrite comme l’organisation des citoyens en dehors de l’État, de la sphère politique et du pouvoir économique. En Belgique, elle possède une certaine marge d’autonomie vis-à-vis du pouvoir et ce malgré un financement de ses activités fortement dépendant de subventions publiques.
On loue souvent sa vitalité, certains épisodes récents semblant accréditer la chose : forte mobilisation contre le Ceta, efficacité de la plate-forme citoyenne d’hébergement des migrant·e·s, grandes marches pour le climat… On pose régulièrement l’hypothèse qu’elle n’est pas pour rien dans l’inconsistance des scores électoraux de l’extrême droite à Bruxelles et en Wallonie. Alors, comment définir cette société civile ? Comment et peut-on vraiment délimiter sa sphère ? Aussi, quelle représentativité lui donner ?
Autre question : comment cette société civile se structure-t-elle ? Que dire des piliers par exemple, qui font inévitablement partie de l’équation ? Font-ils encore sens en 2019 ? La cohérence de l’Action commune socialiste apparaît encore malgré des tensions. Que se passe-t-il du côté chrétien ? Ces piliers peuvent-ils « survivre » à l’affaissement de la démocratie-chrétienne et à l’affaiblissement de la social-démocratie comme forces politiques majeures ? Enfin, quels liens et quelle relation avec le monde politique ? La consultation de la société civile par ce dernier est-elle suffisante ? Dans quelle mesure répond-elle aux demandes de celle-ci ? D’un autre côté, la société civile ne risque-t-elle pas de perdre son autonomie à trop vouloir rentrer dans un système de concertation avec le politique ? Existe-t-il une société civile viable sans subventionnement ?
PARTIS ET SOCIÉTÉ CIVILE
Dans un article de cadrage terminologique, Caroline Van Wynsberghe cerne le champ de définition et l’histoire de la société civile.
Viennent quatre regards sur les liens entre partis politiques et société civile. Un premier sur l’Action commune socialiste pour décrire, avec Philippe Buchez, ses mythes et réalités. Un deuxième, par Benjamin Biard, sur les rapports que les deux partis chrétiens du pays entretiennent avec les organisations de leur pilier.
Enfin, deux rencontres avec des acteurs. L’une avec Patrick Dupriez, pour nous expliquer sa vision des rapports entre Ecolo et la société civile. L’autre avec François De Smet, président fraîchement élu de Défi, pour réfléchir aux nouveaux enjeux politiques que pose notre époque sur ces rapports.
MOBILISATIONS
Focus sur quelques campagnes, organisations, initiatives originales.
Brieuc Wathelet narre l’histoire de Tam-Tam, une initiative qui, pendant 18 mois, a coalisé syndicats, mouvement climatique et d’autres acteurs de la société civile dont les gilets jaunes contre les gouvernements Michel.
Nicolas Van Nuffel retrace, de sa naissance il y a dix ans à son apogée actuelle via ses grandes marches et sa reconnaissance publique, l’histoire de la Coalition climat.
Pierre Verbeeren nous parle d’un nouvel arrivé, LaCoordination.org – Fabrique de solutions, qui regroupe une vingtaine d’associations et d’individualités dans le but de « favoriser au sein de la société civile une dynamique de collaboration ouverte, concrète, positive audacieuse et joyeuse ».
Retour sur un mouvement qui a abouti à (re) faire connaître la Wallonie dans le monde entier : Michel Cermak nous raconte sa vision du mouvement anti-Ceta de lutte contre un accord commercial bilatéral de libre échange entre l’Union européenne et le Canada.
Enfin, Christoph Niessen, Gilbert Küpper et Min Reuchamps nous font découvrir une initiative inédite au niveau mondial : le dialogue citoyen permanent en Communauté germanophone, un dispositif de délibération citoyenne qui fonctionne au côté d’un parlement élu.
TERRAINS
Les piliers sont-ils toujours bien présents ou au contraire en voie de disparition en Belgique ? Des nouveaux voient-ils le jour alors que d’anciens s’estompent ? S’il y a évolution avec le temps, le milieu de l’enseignement reste marqué par la pilarisation, nous explique Caroline Sägesser. De son côté, Séverine Acerbis confirme l’influence des piliers sur les politiques d’éducation… alors même que les parents d’élèves accordent peu d’importance à ces derniers dans leurs choix éducatifs.
Qu’en est-il du mouvement laïque, que l’absence de loi de séparation entre Églises et État en Belgique aide à se maintenir ? Pour David Koussens, la pluralité de ce mouvement lui permet de s’adapter face à la « laïcité à la carte » de sa base.
L’existence et le fonctionnement d’organisations permettant de vivre sa vie dans un environnement peuplé de personnes de même culture ou de même conviction religieuse vaut-elle aussi pour le milieu gay ? Au point de l’assimiler à un pilier ? Éclairage avec Didier Diesenhaus. (Pour ce qui est de la « communauté » musulmane, Corinne Torrekens nous explique brièvement – en encadré – pourquoi parler de l’existence d’un pilier musulman à part entière serait un abus de langage.)
France Blanmailland montre que la magistrature est elle aussi touchée par la pilarisation, puis tente de désamorcer la question polémique de la politisation de la justice.
Enfin, de Flandre, Els Hertogen offre un plaidoyer en faveur du middenveld. Sur base d’exemples, elle pointe son utilité dans la lutte contre les inégalités et cible aussi les attaques dont elle est victime.Note de contenu : LE DOSSIER : RÉINVENTER LA SOCIÉTÉ CIVILE
– Présentation
A. SOCIÉTÉ CIVILE ET PARTIS
– Un fourre-tout de créations citoyennes autonomes ? / Caroline Van Wynsberghe
– L’action commune, entre réalités et récit mythologique / Philippe Buchez
– CDH et CD&V, un ancrage contrasté au sein du “pilier chrétien” / Benjamin Biard
– Ecolo : co-construire avec la société civile / entretien avec Patrick Dupriez
– Société civile ou lobbies à l’anglo-saxonne ? / entretien avec François De Smet
B. MOBILISATIONS
– Tam-Tam : une campagne associative inter-piliers / Brieuc Wathelet
– Coalition climat : catalyseur ou incubateur / Nicolas Van Nuffel
– LaCoordination : vers un nouveau “pilier” / Pierre Verbeeren
– Regard sur le mouvement anti-Ceta / Michel Cermak
– Le dialogue citoyen permanent en communauté germanophone / Gilbert Küpper, Christoph Niessen, Min Reuchamps
C. TERRAINS
– Enseignement : déconfessionnalisé mais toujours bien pilarisé / Caroline Sägesser
– Éducation : une influence souterraine / Séverine Acerbis
– Vers un “pilier gay” ? / entretien avec Didier Diesenhaus
– La laïcité organisée dans un contexte post-pilarisation / entretien avec David Koussens
– Les couleurs des magistrats / France Blanmailland
– Le “middenveld”, c’est politique / Els Hertogen
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in Politique > 110 (décembre 2019) . - p. 8-84Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52542 POL Périodique Libre-accès Périodiques Disponible 1996-1997 - 2008 - La représentation de l'islam (Bulletin de Courrier Hebdomadaire) / Caroline Sägesser
[n° ou bulletin] 1996-1997 - 2008 - La représentation de l'islam [texte imprimé] / Caroline Sägesser, Auteur ; Corinne Torrekens, Auteur . - 2008 . - 1 vol. (55 p.).
Langues : Français (fre)
Catégories : 061.1:297(493) Exécutif des musulmans de Belgique
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(493) Politique de la BelgiqueRésumé : Site éditeur :
En 1974, le culte islamique était officiellement reconnu en Belgique. Il a fallu plus de trente ans pour que les premières communautés locales, les mosquées, soient reconnues et que les salaires des ministres du culte qui leur sont attachés soient pris en charge par l’État.
Le gouvernement s’est lentement rallié à l’idée d’un organe chef de culte désigné au terme d’un processus d’élection. L’islam ne possédant pas de hiérarchie, au contraire de l’Église catholique, c’est sous une forme collégiale et sociologiquement représentative, exception faite des tendances jugées trop radicales, que l’organe chef de culte a été institué. Mais l’organisation des élections, l’assemblée qui en émana ainsi que l’organe chef de culte désigné par cette assemblée furent l’objet de critiques de la part de diverses composantes de la population musulmane. Les impératifs de représentativité imposés à l’organe chef de culte et les contrôles de sécurité ont été dénoncés comme des ingérences de l’État dans l’organisation du culte musulman.
Caroline Sägesser et Corinne Torrekens rappellent rapidement les débuts de l’institutionnalisation de l’islam depuis la reconnaissance du culte jusqu’au début de la décennie 1990. Elles étudient les périodes qui ont précédé les élections de 1998 et de 2005, la mise en place des Exécutifs des musulmans de Belgique, ainsi que les débats qui y furent liés. Après avoir tiré un premier bilan des deux périodes de fonctionnement de l’Exécutif, elles se penchent sur les développements récents et, en particulier, sur les conséquences de la régionalisation du temporel des cultes intervenue en 2002 ainsi que sur la dernière crise rencontrée par l’Exécutif.Note de contenu : Sommaire :
1. Du centre islamique et culturel à l'exécutif provisoire des musulmans
2. L'exécutif des musulmans de Belgique issu des élections de 1998
3. L'exécutif des musulmans de Belgique issu des élections de 2005
4. La reconnaissance des communautés islamiques locales
Conclusin
Annexes :
- Composition des l'Exécutif des musulmans de Belgique (2008, 2005, 2003 et 1999)
- mosquées reconnues par l'arrêté du gouvernement wallon du 19/06/2007Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 1996-1997 - 2008 - La représentation de l'islam Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Sägesser, Auteur ; Corinne Torrekens, Auteur Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. (55 p.) Langues : Français (fre) Catégories : 061.1:297(493) Exécutif des musulmans de Belgique
297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(493) Politique de la BelgiqueRésumé : Site éditeur :
En 1974, le culte islamique était officiellement reconnu en Belgique. Il a fallu plus de trente ans pour que les premières communautés locales, les mosquées, soient reconnues et que les salaires des ministres du culte qui leur sont attachés soient pris en charge par l’État.
Le gouvernement s’est lentement rallié à l’idée d’un organe chef de culte désigné au terme d’un processus d’élection. L’islam ne possédant pas de hiérarchie, au contraire de l’Église catholique, c’est sous une forme collégiale et sociologiquement représentative, exception faite des tendances jugées trop radicales, que l’organe chef de culte a été institué. Mais l’organisation des élections, l’assemblée qui en émana ainsi que l’organe chef de culte désigné par cette assemblée furent l’objet de critiques de la part de diverses composantes de la population musulmane. Les impératifs de représentativité imposés à l’organe chef de culte et les contrôles de sécurité ont été dénoncés comme des ingérences de l’État dans l’organisation du culte musulman.
Caroline Sägesser et Corinne Torrekens rappellent rapidement les débuts de l’institutionnalisation de l’islam depuis la reconnaissance du culte jusqu’au début de la décennie 1990. Elles étudient les périodes qui ont précédé les élections de 1998 et de 2005, la mise en place des Exécutifs des musulmans de Belgique, ainsi que les débats qui y furent liés. Après avoir tiré un premier bilan des deux périodes de fonctionnement de l’Exécutif, elles se penchent sur les développements récents et, en particulier, sur les conséquences de la régionalisation du temporel des cultes intervenue en 2002 ainsi que sur la dernière crise rencontrée par l’Exécutif.Note de contenu : Sommaire :
1. Du centre islamique et culturel à l'exécutif provisoire des musulmans
2. L'exécutif des musulmans de Belgique issu des élections de 1998
3. L'exécutif des musulmans de Belgique issu des élections de 2005
4. La reconnaissance des communautés islamiques locales
Conclusin
Annexes :
- Composition des l'Exécutif des musulmans de Belgique (2008, 2005, 2003 et 1999)
- mosquées reconnues par l'arrêté du gouvernement wallon du 19/06/2007Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44853 cou Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Les résultats des élections régionales, communautaires et européennes du 13 juin 2004 / Etienne Arcq in Courrier Hebdomadaire, 1853-1854 (2004)
[article] Les résultats des élections régionales, communautaires et européennes du 13 juin 2004 [texte imprimé] / Etienne Arcq ; Pierre Blaise ; Vincent de Coorebyter ; Caroline Sägesser . - 2004 . - pp. 1-71.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > 1853-1854 (2004) . - pp. 1-71
Catégories : 31 Statistique Démographie
32(493) Politique de la Belgique
324(493) Elections Belgique 2004
Elections Union Européenne 2004Résumé : Présentation de l'éditeur :
Le scrutin du 13 juin 2004 était un scrutin complexe, à effets multiples. Il a notamment bouleversé les rapports de force politiques issus des élections fédérales qui avaient eu lieu treize mois plus tôt. La première partie du Courrier hebdomadaire est consacrée à un examen de ces changements dans les rapports de force politiques à l’issue du scrutin du 13 juin 2004 en référence au scrutin législatif fédéral de 2003. Ces changements sont replacés dans la perspective de l’évolution à long terme des résultats des partis regroupés par « famille » politique.
Ensuite est présentée une analyse des résultats du scrutin pour chaque assemblée nouvellement élue. Les mouvements électoraux sont étudiés par région et communauté, au niveau général et par circonscription. Les changements remarquables au niveau des cantons sont également pris en compte. L’analyse des mouvements de voix est complétée par celle des mouvements de sièges et du renouvellement de la composition des assemblées. L’analyse des évolutions prend essentiellement pour point de comparaison les élections précédentes de même nature, c’est-à-dire les élections régionales et communautaires de 1999 et de 1995 (et même de 1989 pour le Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale). Une brève confrontation des résultats de 2004 est néanmoins faite, pour les principales listes, avec leurs résultats au scrutin législatif fédéral de 2003.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Les résultats des élections régionales, communautaires et européennes du 13 juin 2004 Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Arcq ; Pierre Blaise ; Vincent de Coorebyter ; Caroline Sägesser Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 1-71 Langues : Français (fre) Catégories : 31 Statistique Démographie
32(493) Politique de la Belgique
324(493) Elections Belgique 2004
Elections Union Européenne 2004Résumé : Présentation de l'éditeur :
Le scrutin du 13 juin 2004 était un scrutin complexe, à effets multiples. Il a notamment bouleversé les rapports de force politiques issus des élections fédérales qui avaient eu lieu treize mois plus tôt. La première partie du Courrier hebdomadaire est consacrée à un examen de ces changements dans les rapports de force politiques à l’issue du scrutin du 13 juin 2004 en référence au scrutin législatif fédéral de 2003. Ces changements sont replacés dans la perspective de l’évolution à long terme des résultats des partis regroupés par « famille » politique.
Ensuite est présentée une analyse des résultats du scrutin pour chaque assemblée nouvellement élue. Les mouvements électoraux sont étudiés par région et communauté, au niveau général et par circonscription. Les changements remarquables au niveau des cantons sont également pris en compte. L’analyse des mouvements de voix est complétée par celle des mouvements de sièges et du renouvellement de la composition des assemblées. L’analyse des évolutions prend essentiellement pour point de comparaison les élections précédentes de même nature, c’est-à-dire les élections régionales et communautaires de 1999 et de 1995 (et même de 1989 pour le Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale). Une brève confrontation des résultats de 2004 est néanmoins faite, pour les principales listes, avec leurs résultats au scrutin législatif fédéral de 2003.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Courrier Hebdomadaire > 1853-1854 (2004) . - pp. 1-71Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40289/1 p/5086 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Les Structures du monde juif en Belgique / Caroline Sägesser in Courrier Hebdomadaire, 1615 (1998)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11729/1 P/1543 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Le temporel des cultes depuis sa régionalisation / Caroline Sägesser in Courrier Hebdomadaire, 1968 (2007)
[article] Le temporel des cultes depuis sa régionalisation [texte imprimé] / Caroline Sägesser, Auteur . - 2007 . - 50 p.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > 1968 (2007) . - 50 p.
Catégories : 2 Religions Intégrisme religieux
33(493=393) Economie politique et sociale de la Flandre (Belgique)
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
336.1 Finances publiquesRésumé : Site éditeur :
En application des accords du Lambermont de 2000-2001, la loi spéciale du 13 juillet 2001 a transféré aux régions la quasi-totalité de la loi communale et de la loi provinciale. La législation concernant les fabriques d’église et les établissements assimilés est devenue de compétence régionale. La Région wallonne a ensuite transféré cette compétence à la Communauté germanophone.
Une nouvelle législation en matière de temporel du culte des communautés locales a vu le jour en Région flamande. La Région bruxelloise et la Communauté germanophone ont modifié partiellement la législation existante, tandis que la Région wallonne a adopté des instruments réglementaires nouveaux sans modifier la législation de base.
Au sein de l’Autorité fédérale, dont les compétences sont désormais réduites, un processus de réflexion a été entamé à propos des matières demeurées de sa compétence : la reconnaissance des cultes et le financement des traitements et pensions de leurs ministres. Par ailleurs, l’Autorité fédérale et les entités fédérées ont conclu un accord de coopération en vue de gérer de façon coordonnée le temporel des cultes, chacune dans leurs compétences respectives.
Caroline Sägesser examine les nouveaux instruments adoptés et les initiatives d’ordre non juridique prises par les différentes entités. Les deux premières parties sont consacrées à la régionalisation de 2001 et à l’accord de coopération. Quatre parties sont ensuite consacrées aux développements intervenus dans chacune des entités fédérées concernées : Région flamande, Région de Bruxelles-Capitale, Région wallonne et Communauté germanophone. La dernière partie examine les initiatives prises au niveau fédéral.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le temporel des cultes depuis sa régionalisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Sägesser, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 50 p. Langues : Français (fre) Catégories : 2 Religions Intégrisme religieux
33(493=393) Economie politique et sociale de la Flandre (Belgique)
33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique
336.1 Finances publiquesRésumé : Site éditeur :
En application des accords du Lambermont de 2000-2001, la loi spéciale du 13 juillet 2001 a transféré aux régions la quasi-totalité de la loi communale et de la loi provinciale. La législation concernant les fabriques d’église et les établissements assimilés est devenue de compétence régionale. La Région wallonne a ensuite transféré cette compétence à la Communauté germanophone.
Une nouvelle législation en matière de temporel du culte des communautés locales a vu le jour en Région flamande. La Région bruxelloise et la Communauté germanophone ont modifié partiellement la législation existante, tandis que la Région wallonne a adopté des instruments réglementaires nouveaux sans modifier la législation de base.
Au sein de l’Autorité fédérale, dont les compétences sont désormais réduites, un processus de réflexion a été entamé à propos des matières demeurées de sa compétence : la reconnaissance des cultes et le financement des traitements et pensions de leurs ministres. Par ailleurs, l’Autorité fédérale et les entités fédérées ont conclu un accord de coopération en vue de gérer de façon coordonnée le temporel des cultes, chacune dans leurs compétences respectives.
Caroline Sägesser examine les nouveaux instruments adoptés et les initiatives d’ordre non juridique prises par les différentes entités. Les deux premières parties sont consacrées à la régionalisation de 2001 et à l’accord de coopération. Quatre parties sont ensuite consacrées aux développements intervenus dans chacune des entités fédérées concernées : Région flamande, Région de Bruxelles-Capitale, Région wallonne et Communauté germanophone. La dernière partie examine les initiatives prises au niveau fédéral.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Courrier Hebdomadaire > 1968 (2007) . - 50 p.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire