[article] A quoi servent encore les services secrets ? : dossier [texte imprimé] / Marie-Cécile Royen, Auteur . - 2006 . - pp. 16-25. Langues : Français ( fre) in Le Vif / L'Express > 2406 [10/02/2006] . - pp. 16-25
Catégories : |
321.7 Démocratie / Démocratisation 355.40 Service secret. Espionnage 355.40(493) Service secret (B)
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Résumé : |
Y a-t-il une fatalité qui pèse sur la Sûreté de l'Etat et qui la condamne à revivre toujours le même cycle de scandales, déstabilisations et démissions ? En moins de quatre ans, la « maison » a connu le départ précipité de deux administrateurs généraux : Godelieve Timmermans, en 2002, et Koen Dassen, le 30 janvier dernier. Ces départs faisaient suite à la publication de rapports cinglants du Comité permanent de contrôle des services de renseignement et de sécurité (Comité R), même si, dans le cas de Dassen, d'autres raisons de discorde avec les pouvoirs de tutelle apparaissent. A quoi cela rime- t-il, alors que de nouvelles menaces obscurcissent l'horizon ? Un service de renseignement est un élément clé de la souveraineté d'un Etat. En Belgique, on en use comme d'un Kleenex. Le Vif/L'Express a enquêté dans les services secrets d'un pays qui ne les aime guère.
Pourquoi Koen Dassen a démissionné - Le rapport du Comité R sur la vente d'une presse isostatique à l'Iran a poussé l'administrateur général de la Sûreté de l'Etat à la démission. Mais il était déjà déstabilisé par son opposition à la création de l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam) qui ébranle la « règle du tiers service ». Explications
Le système du renseignement en Belgique
Le grand muet - Le service de renseignement de l'armée n'a jamais aimé la publicité. Sa devise « Je demande et je protège » s'exerce dans la discrétion, pour prévenir les menaces militaires étrangères et garantir la sécurité des Belges expatriés
Pas grand-chose à voir avec James Bond - L'entrée dans un service secret est soumise à un filtrage sévère mais, une fois dans la place, on se laisse vite gagner par le goût de la chasse à l'info rare
Des espions spécialisés - A la Sûreté de l'Etat, un fragment d'organigramme permet de visualiser la diversité des matières qu'étudient les agents secrets |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
A quoi servent encore les services secrets ? : dossier |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Cécile Royen, Auteur |
Année de publication : |
2006 |
Article en page(s) : |
pp. 16-25 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
321.7 Démocratie / Démocratisation 355.40 Service secret. Espionnage 355.40(493) Service secret (B)
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Résumé : |
Y a-t-il une fatalité qui pèse sur la Sûreté de l'Etat et qui la condamne à revivre toujours le même cycle de scandales, déstabilisations et démissions ? En moins de quatre ans, la « maison » a connu le départ précipité de deux administrateurs généraux : Godelieve Timmermans, en 2002, et Koen Dassen, le 30 janvier dernier. Ces départs faisaient suite à la publication de rapports cinglants du Comité permanent de contrôle des services de renseignement et de sécurité (Comité R), même si, dans le cas de Dassen, d'autres raisons de discorde avec les pouvoirs de tutelle apparaissent. A quoi cela rime- t-il, alors que de nouvelles menaces obscurcissent l'horizon ? Un service de renseignement est un élément clé de la souveraineté d'un Etat. En Belgique, on en use comme d'un Kleenex. Le Vif/L'Express a enquêté dans les services secrets d'un pays qui ne les aime guère.
Pourquoi Koen Dassen a démissionné - Le rapport du Comité R sur la vente d'une presse isostatique à l'Iran a poussé l'administrateur général de la Sûreté de l'Etat à la démission. Mais il était déjà déstabilisé par son opposition à la création de l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam) qui ébranle la « règle du tiers service ». Explications
Le système du renseignement en Belgique
Le grand muet - Le service de renseignement de l'armée n'a jamais aimé la publicité. Sa devise « Je demande et je protège » s'exerce dans la discrétion, pour prévenir les menaces militaires étrangères et garantir la sécurité des Belges expatriés
Pas grand-chose à voir avec James Bond - L'entrée dans un service secret est soumise à un filtrage sévère mais, une fois dans la place, on se laisse vite gagner par le goût de la chasse à l'info rare
Des espions spécialisés - A la Sûreté de l'Etat, un fragment d'organigramme permet de visualiser la diversité des matières qu'étudient les agents secrets |
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in Le Vif / L'Express > 2406 [10/02/2006] . - pp. 16-25
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