[n° ou bulletin]  34 - novembre 2009 - Dépasser les mythes et entrer en ré-cré-action [texte imprimé] . - 2009 . - 1 vol. (44 p.) ; 30 cm.
Langues : Français (fre)

Catégories :	14 Individualisme 171 Morale Individuelle 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie 323.21 Militantisme Participation Engagement
Résumé :	L’individualisme tue l’engagement militant disent certains. On observe pourtant un fourmillement d’actions qui mobilisent des citoyens de tous bords. Ce fourmillement possède d’autres caractéristiques que celles des mouvements sociaux d’hier. Il n’empêche que des valeurs similaires sont portées de part et d’autre. Comment s’organise l’action collective d’aujourd’hui ? Comment les formes traditionnelles et les nouvelles trouvent elles des interpénétrations sur le terrain, au-delà d’une opinion courante qui tend parfois à figer des figures mythiques et des préjugés ? Et quel rôle l’éducation permanente a-t-elle à jouer aujourd’hui dans ce foisonnement d’actions ? Déconstruire certaines idées toutes faites et rechercher ce qui unit plutôt que ce qui organise une scission stérile, tel est l’objectif de ce dossier. Car l’enjeu fondamental reste bien de comprendre comment entrer en résistance contre une domination à la fois économique et culturelle. Et non pas de se demander qui en est le contestataire légitime. Croisant l’analyse théorique et les exemples pratiques, cette étude s’adresse à tout animateur et responsable d’organisation désireux d’avoir un éclairage sur les pratiques actuelles d’action collective.
Note de contenu :	Sommaire Préambule Introduction 1. Les nouvelles pratiques d’action collective * 1.1. Y a-t-il une crise de la militance ? * 1.2 . Quelle militance aujourd’hui ? o 1.2.1. Agir ici et maintenant o 1.2.2. Frapper où cela fait mal o 1.2.3. Faire entendre sa voix o 1.2.4. Un engagement dans l’action o 1.2.5. Les affinités sont déterminantes 2. L’éducation permanente d’aujourd’hui : un pied de chaque côté * 2.1. Dépasser le faux conflit de légitimité * 2.2. Légalité, subversion et liberté o 2.2.1. Flirter avec la loi pour forcer le débat o 2.2.2. La subversion a besoin de liberté * 2.3. La démocratie interne, de la pyramide au réseau o 2.3.1. Associer l’individu à la décision o 2.3.2. Le professionnel, catalyseur de l’action o 2.3.3. Valoriser et développer les savoirs * 2.4. Agir/penser : Vers l’idéalisme pragmatique * 2.5. L’importance des ressources stratégiques o 2.5.1. La domination est économique et culturelle o 2.5.2. La contestation est soit économique soit culturelle o 2.5.3. Résister seul ou innover ensemble o 2.5.4. Valoriser l’individu dans l’action collective * 2.6. Le rapport à la durée o 2.6.1. Entre l’action flash et le “faire mouvement” * 2.7. Le rapport à la société et à l’institutionnel * 2.8. Le rapport au groupe et à l’individu 3. Conclusion 4. Références bibliographiques
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[n° ou bulletin] 

Titre :	34 - novembre 2009 - Dépasser les mythes et entrer en ré-cré-action
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2009
Importance :	1 vol. (44 p.)
Format :	30 cm
Langues :	Français (fre)
Catégories :	14 Individualisme 171 Morale Individuelle 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie 323.21 Militantisme Participation Engagement
Résumé :	L’individualisme tue l’engagement militant disent certains. On observe pourtant un fourmillement d’actions qui mobilisent des citoyens de tous bords. Ce fourmillement possède d’autres caractéristiques que celles des mouvements sociaux d’hier. Il n’empêche que des valeurs similaires sont portées de part et d’autre. Comment s’organise l’action collective d’aujourd’hui ? Comment les formes traditionnelles et les nouvelles trouvent elles des interpénétrations sur le terrain, au-delà d’une opinion courante qui tend parfois à figer des figures mythiques et des préjugés ? Et quel rôle l’éducation permanente a-t-elle à jouer aujourd’hui dans ce foisonnement d’actions ? Déconstruire certaines idées toutes faites et rechercher ce qui unit plutôt que ce qui organise une scission stérile, tel est l’objectif de ce dossier. Car l’enjeu fondamental reste bien de comprendre comment entrer en résistance contre une domination à la fois économique et culturelle. Et non pas de se demander qui en est le contestataire légitime. Croisant l’analyse théorique et les exemples pratiques, cette étude s’adresse à tout animateur et responsable d’organisation désireux d’avoir un éclairage sur les pratiques actuelles d’action collective.
Note de contenu :	Sommaire Préambule Introduction 1. Les nouvelles pratiques d’action collective * 1.1. Y a-t-il une crise de la militance ? * 1.2 . Quelle militance aujourd’hui ? o 1.2.1. Agir ici et maintenant o 1.2.2. Frapper où cela fait mal o 1.2.3. Faire entendre sa voix o 1.2.4. Un engagement dans l’action o 1.2.5. Les affinités sont déterminantes 2. L’éducation permanente d’aujourd’hui : un pied de chaque côté * 2.1. Dépasser le faux conflit de légitimité * 2.2. Légalité, subversion et liberté o 2.2.1. Flirter avec la loi pour forcer le débat o 2.2.2. La subversion a besoin de liberté * 2.3. La démocratie interne, de la pyramide au réseau o 2.3.1. Associer l’individu à la décision o 2.3.2. Le professionnel, catalyseur de l’action o 2.3.3. Valoriser et développer les savoirs * 2.4. Agir/penser : Vers l’idéalisme pragmatique * 2.5. L’importance des ressources stratégiques o 2.5.1. La domination est économique et culturelle o 2.5.2. La contestation est soit économique soit culturelle o 2.5.3. Résister seul ou innover ensemble o 2.5.4. Valoriser l’individu dans l’action collective * 2.6. Le rapport à la durée o 2.6.1. Entre l’action flash et le “faire mouvement” * 2.7. Le rapport à la société et à l’institutionnel * 2.8. Le rapport au groupe et à l’individu 3. Conclusion 4. Références bibliographiques
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