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Shoah de Claude Lanzmann / Jean-François Forges
Shoah de Claude Lanzmann : le cinéma, la mémoire, l'histoire [texte imprimé] / Jean-François Forges, Auteur . - Centre national de documentation pédagogique (CNDP), 2001 . - 1 vol. (127 p.) ; 18 cm. - (L'Eden cinéma) .
ISBN : 978-2-240-00741-4
Voir le DVD de Claude Lanzmann qui l'accompagne
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
37:17 Travail de Mémoire
791.4 Cinéma Film
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Source : Institut National de Recherche Pédagogique
Jean-François Forges, l'auteur du livret pédagogique qui accompagne le DVD du film de Lanzmann, est professeur d'Histoire-géographie dans l'académie de Lyon. Il est l'auteur notamment d'un ouvrage intitulé Eduquer contre Auschwitz, (publié Aux éditions ESF et réédité en 2004 chez Pocket-Agora), ainsi que de nombreux articles sur l'enseignement de la Shoah. Il travaille régulièrement avec le Musée-Mémorial des enfants d'Izieu dans le cadre de leurs activités pédagogiques.
Le livret se compose de deux parties :
la première est une réflexion générale sur le fil de Lanzmann. La deuxième comporte une description de chaque extrait, acompagnée d'une réflexion sur le travail du réalisateur. (voir contenu et structure du livret)
Dans la première partie, introductive, du livret, JF Forges adopte le point de vue de l'auteur lui-même sur son film. Selon Lanzmann, en effet, l'idée de vouloir comprendre la Shoah, de l'expliquer comme d'autres événements en le ramenant à ses causes, non seulement ne peut que se révéler stérile, mais frôle véritablement l'indécence s'agissant d'un événement aussi singulier et dramatique que le génocide des juifs pendant la deuxième guerre mondiale. Dès lors, tous les efforts de la commémoration, de l'histoire et de l'éducation risquent bien de travailler dans le sens de l'oubli s'ils prétendent se mettre au service d'une forme quelconque de compréhension.
Cette prise de position qui prend à revers tous les appels au devoir de mémoire dans leur registre commémoratif, et …pédagogique, n'entrevoit qu'une seule démarche qui puisse tenter de s'affronter à l'événement : celle de l'art, de l'œuvre. " Shoah ", le film, est cette œuvre, et c'est en tant que telle que ce livret veut nous la présenter : un chef d'œuvre artistique. Mieux que cela : " Shoah " est une œuvre qui a bouleversé l'événement qu'était la Shoah dans la mémoire et l'histoire des hommes. Cet événement n'est plus le même pour les hommes depuis que le film existe, de même que son nom, désormais, lui vient précisément du film.
Le film est donc entré dans l'histoire de l'événement pour en orienter le cours. Ce qui signifie aussi que désormais il épouse une telle histoire et y voit son destin définitivement lié. Ainsi seulement il en maintient la mémoire de la seule façon qui puisse être pertinente : de manière vivante et non à la manière de ces monuments aux morts et de ces plaques commémoratives devant lesquelles passent des vivants, indifférents à ces reliques sans signification. C'est parce que " Shoah " comme chef-d'œuvre vit en nous et par nous à la manière d'une réalité en devenir qu'il maintient vivante la mémoire et l'histoire de la Shoah.
Mais la dimension fondamentalement artistique du film n'exclut pas l'effort dans la recherche de la vérité, et même un souci tout à fait unique de la précision dans la représentation des faits, des lieux, qui, quels que soient le montage et la mise en scène auxquels se livre le cinéaste et qu'il laisse d'ailleurs deviner, restent, selon JF Forges, ce qui distingue définitivement le film de Lanzmann des autres films consacrés au génocide des juifs. L'idée qui parcourt le livret de JF Forges est que le film Shoah comme chef d'œuvre est le seul chemin qui nous met en mesure de nous montrer la chose même, de nous re-présenter l'in-présentable.
S'il y parvient, c'est en ce sens que le souci exemplaire de la précision, dans les faits et dans les lieux, coïncide avec une recherche tout aussi affinée des signes qui, dans le film, vont figurer l'irruption du réel dans la construction esthétique : les paysages d'eau ou de forêts qui viennent suggérer l'oubli et convoquent pourtant les morts, toutes ces voix et ces bruits qui résonnent dans le lointain, ou ces aboiements de chiens indistincts pendant la description par Muller des chambres à gaz, ces décors paisibles de jardins et de maisons ou ces enfants qui jouent autour des lieux même du désastre… Ce pouvoir d'effraction du réel, distillé par Lanzmann dans le décor de l'œuvre est ce qui lui donne tout son pouvoir de vérité, tandis que le réel lui-même, dans sa banalité, nous dévoile à jamais son envers désastreux. Ce quasi-réel que devient l'œuvre bouleverse à jamais le réel banal qui est notre fréquentation quotidienne : tel est le miracle qu'accomplit admirablement le chef-d'œuvre de Lanzmann.
Intérêt du livret
Malgré l'appellation " pédagogique " ce livret ne respecte donc pas les attendus du vocable, pour notre plus grand bien et celui du film avec. Il ne s'agit pas de parler sur le film mais de le faire parler, de le laisser parler même. On n'y trouvera donc pas un guide pré-établi livrant clef en mains le sens de l'œuvre et un parcours balisé à l'avance pour les enseignants. Les éléments d'analyse que nous livre JF Forges sont volontairement épars, parcellaires, impressionnistes. Ils se refusent à totaliser l'œuvre, à nous la livrer tout d'un bloc. Ils veulent davantage servir l'œuvre que servir l'enseignant, et c'est ainsi qu'ils servent le mieux l'enseignant. Car toute la magie artistique du film, on l'a dit, réside dans le détail, dans ces indices de réel qui font irruption dans le décor artistique et lui donnent la dimension de l'œuvre : tout ce qui désigne la représentation de la chose et non pas la chose représentée elle-même pour reprendre une célèbre distinction de Kant. Or l'originalité de " Shoah " dans sa manière de représenter l'indicible réside dans cet usage d'un réel faisant irruption dans l'horizon esthétique du film : un clair de lune qui nous ramène aux nuits d'Auschwitz, les visages au présent des interlocuteurs de Lanzmann, l'embarras de la traductrice, les milles et unes présences d'une nature témoin de l'horreur, les voix et les bruits… Le film ne peut être proposé à des élèves qu'à condition de le saisir à ce moment où prend naissance sa dimension artistique.
Contenu et structure du livret
Au-delà de la première partie, introductive, du livret, celui-ci propose dans sa deuxième partie :
Une liste des séquences de chacun des 6 extraits. Ces séquences sont établies en fonction des personnages interrogées par le cinéaste.
Par exemple : Extrait 1 :
Richard Glazar : Les bûchers de treblinka, 3 minutes
Motke Zaïdl et Itzhak Dugin : Les bûchers de Ponari, 1 minute….)
Une étude des séquences qui comporte elle-même trois parties pour chaque extrait :
Une description plan par plan de chaque extrait.
Des éléments d'analyse de la séquence. (Nous en donnons un aperçu plus bas)
Une proposition de thèmes pour l'étude de la séquence.
Extraits
Extrait 1: La disparition des traces. 36 mn.
Cet extrait comporte un certain nombre de récits de survivants, des images tournées en Pologne ainsi qu'en Israël. La nature, à travers l'eau, le feu ou la forêt est convoquée pour suggérer l'effacement des traces de l'extermination.
La valeur symbolique des éléments naturels (eau, terre ciel, la rivière, les feux etc.), le jeu des regards, mais aussi les voix, les cris d'animaux, les bruits qui inscrivent la mémoire de la Shoah dans notre présent suggèrent l'imperceptible présence de l'horreur sous le calme de la nature.
Extrait 2 : Les chambres à gaz de Treblinka et d'Auschwitz. 27 mn
Elle comporte le témoignage de deux allemands, le SS Franz Suchomel qui explique le fonctionnement des chambres à gaz de Treblinka et Filip Müller, survivant d'Auschwitz 1, qui explique le fonctionnement des chambres à gaz d'Auschwitz.
Ici encore les explications de JF Forges retiennent des détails qui donnent en réalité sa dimension créative au film : le timbre de la voix de Müller et la force de ses paroles, le passage dans le champ de l'ombre de la caméra indiquant discrètement la présence du cinéaste, ou le regard posé par la caméra sur la campagne avoisinant Birkenau avec ses maisons et ses jardins cultivés qui inscrit le camp dans une réalité, la manière de filmer l'arrivée d'un train…
Extrait 3 : Les Polonais de Grabow. 19mn.
L'extrait montre l'arrivée du cinéaste à Grabow, devant la synagogue puis dans les rues du village.
Le livret insiste encore sur les effets nombreux de l'irruption du réel et du présent dans le film : des voix, des bruits de vélos qui peuvent couvrir la voix de Lanzmann, les témoins à leurs fenêtres, les enfants qui jouent…
Extrait 4 : Polonais de Chelmno. 17 mn.
Il s'agit d'une des séquences les plus célèbres du film où l'on voit Lanzmann interroger un groupe de personnes dans le village de Chelmno. L'antisémitisme des paroles affleure à chaque instant dans ce village dominé par son église.
L'analyse de la séquence met en valeur tous les petits signes accumulés qui font resurgir la mémoire du crime : les sonneries des cloches de l'église, les hésitations de la traductrice qui traduit youpins par juifs, l'apparition de l'or des objets de culte alors que les personnages ne cessent de parler de l'or des juifs, la fumée qui s'échappe du véhicule dans le dernier plan…
Extrait 5 : Le processus de la mise à mort à Treblinka. 35 mn.
Cette séquence montre le SS Suchomel commenter la carte de Treblinka puis nous conduit dans un salon de coiffure de Tel Aviv où Bomba, un rescapé de Treblinka, raconte son expérience passée.
Le livret nous rend sensibles à la manière obsédante de filmer trains et gares, à la présence des animaux et notamment des oies dont les cris rappellent l'utilisation qu'en faisaient les SS pour couvrir les cris des hommes assassinés, au salon de coiffure de Tel Aviv d'où ressurgit le souvenir, aux larmes de Bomba et à la nécessité de passer outre la douleur des témoins pour réaliser l'œuvre…
Extrait 6 : Vie et mort à Birkenau des Juifs du camp de familles de Theresienstadt. 37mn.
La séquence est marquée par le témoignage d'une déportée, Ruth Elias, de Rudolf Vrba, survivant d'Auschwitz, qui décrit la vie dans le camp des familles, et de Filip Müller. Lanzmann filme aussi les crématoires dans leur état actuel et leurs représentations dans le musée du camp principal.
Le livret souligne l'intérêt de la séquence pour faire apparaître la volonté de résistance du camp et ses écueils.
http://ecehg.inrp.fr/ECEHG/enjeux-de-memoire/Shoah-et-deportation/ressources-pedagogiques/le-dvd-pedagogique-de-shoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Shoah de Claude Lanzmann : le cinéma, la mémoire, l'histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Forges, Auteur Editeur : Centre national de documentation pédagogique (CNDP) Année de publication : 2001 Collection : L'Eden cinéma Importance : 1 vol. (127 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-240-00741-4 Note générale : Voir le DVD de Claude Lanzmann qui l'accompagne Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
37:17 Travail de Mémoire
791.4 Cinéma Film
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : Source : Institut National de Recherche Pédagogique
Jean-François Forges, l'auteur du livret pédagogique qui accompagne le DVD du film de Lanzmann, est professeur d'Histoire-géographie dans l'académie de Lyon. Il est l'auteur notamment d'un ouvrage intitulé Eduquer contre Auschwitz, (publié Aux éditions ESF et réédité en 2004 chez Pocket-Agora), ainsi que de nombreux articles sur l'enseignement de la Shoah. Il travaille régulièrement avec le Musée-Mémorial des enfants d'Izieu dans le cadre de leurs activités pédagogiques.
Le livret se compose de deux parties :
la première est une réflexion générale sur le fil de Lanzmann. La deuxième comporte une description de chaque extrait, acompagnée d'une réflexion sur le travail du réalisateur. (voir contenu et structure du livret)
Dans la première partie, introductive, du livret, JF Forges adopte le point de vue de l'auteur lui-même sur son film. Selon Lanzmann, en effet, l'idée de vouloir comprendre la Shoah, de l'expliquer comme d'autres événements en le ramenant à ses causes, non seulement ne peut que se révéler stérile, mais frôle véritablement l'indécence s'agissant d'un événement aussi singulier et dramatique que le génocide des juifs pendant la deuxième guerre mondiale. Dès lors, tous les efforts de la commémoration, de l'histoire et de l'éducation risquent bien de travailler dans le sens de l'oubli s'ils prétendent se mettre au service d'une forme quelconque de compréhension.
Cette prise de position qui prend à revers tous les appels au devoir de mémoire dans leur registre commémoratif, et …pédagogique, n'entrevoit qu'une seule démarche qui puisse tenter de s'affronter à l'événement : celle de l'art, de l'œuvre. " Shoah ", le film, est cette œuvre, et c'est en tant que telle que ce livret veut nous la présenter : un chef d'œuvre artistique. Mieux que cela : " Shoah " est une œuvre qui a bouleversé l'événement qu'était la Shoah dans la mémoire et l'histoire des hommes. Cet événement n'est plus le même pour les hommes depuis que le film existe, de même que son nom, désormais, lui vient précisément du film.
Le film est donc entré dans l'histoire de l'événement pour en orienter le cours. Ce qui signifie aussi que désormais il épouse une telle histoire et y voit son destin définitivement lié. Ainsi seulement il en maintient la mémoire de la seule façon qui puisse être pertinente : de manière vivante et non à la manière de ces monuments aux morts et de ces plaques commémoratives devant lesquelles passent des vivants, indifférents à ces reliques sans signification. C'est parce que " Shoah " comme chef-d'œuvre vit en nous et par nous à la manière d'une réalité en devenir qu'il maintient vivante la mémoire et l'histoire de la Shoah.
Mais la dimension fondamentalement artistique du film n'exclut pas l'effort dans la recherche de la vérité, et même un souci tout à fait unique de la précision dans la représentation des faits, des lieux, qui, quels que soient le montage et la mise en scène auxquels se livre le cinéaste et qu'il laisse d'ailleurs deviner, restent, selon JF Forges, ce qui distingue définitivement le film de Lanzmann des autres films consacrés au génocide des juifs. L'idée qui parcourt le livret de JF Forges est que le film Shoah comme chef d'œuvre est le seul chemin qui nous met en mesure de nous montrer la chose même, de nous re-présenter l'in-présentable.
S'il y parvient, c'est en ce sens que le souci exemplaire de la précision, dans les faits et dans les lieux, coïncide avec une recherche tout aussi affinée des signes qui, dans le film, vont figurer l'irruption du réel dans la construction esthétique : les paysages d'eau ou de forêts qui viennent suggérer l'oubli et convoquent pourtant les morts, toutes ces voix et ces bruits qui résonnent dans le lointain, ou ces aboiements de chiens indistincts pendant la description par Muller des chambres à gaz, ces décors paisibles de jardins et de maisons ou ces enfants qui jouent autour des lieux même du désastre… Ce pouvoir d'effraction du réel, distillé par Lanzmann dans le décor de l'œuvre est ce qui lui donne tout son pouvoir de vérité, tandis que le réel lui-même, dans sa banalité, nous dévoile à jamais son envers désastreux. Ce quasi-réel que devient l'œuvre bouleverse à jamais le réel banal qui est notre fréquentation quotidienne : tel est le miracle qu'accomplit admirablement le chef-d'œuvre de Lanzmann.
Intérêt du livret
Malgré l'appellation " pédagogique " ce livret ne respecte donc pas les attendus du vocable, pour notre plus grand bien et celui du film avec. Il ne s'agit pas de parler sur le film mais de le faire parler, de le laisser parler même. On n'y trouvera donc pas un guide pré-établi livrant clef en mains le sens de l'œuvre et un parcours balisé à l'avance pour les enseignants. Les éléments d'analyse que nous livre JF Forges sont volontairement épars, parcellaires, impressionnistes. Ils se refusent à totaliser l'œuvre, à nous la livrer tout d'un bloc. Ils veulent davantage servir l'œuvre que servir l'enseignant, et c'est ainsi qu'ils servent le mieux l'enseignant. Car toute la magie artistique du film, on l'a dit, réside dans le détail, dans ces indices de réel qui font irruption dans le décor artistique et lui donnent la dimension de l'œuvre : tout ce qui désigne la représentation de la chose et non pas la chose représentée elle-même pour reprendre une célèbre distinction de Kant. Or l'originalité de " Shoah " dans sa manière de représenter l'indicible réside dans cet usage d'un réel faisant irruption dans l'horizon esthétique du film : un clair de lune qui nous ramène aux nuits d'Auschwitz, les visages au présent des interlocuteurs de Lanzmann, l'embarras de la traductrice, les milles et unes présences d'une nature témoin de l'horreur, les voix et les bruits… Le film ne peut être proposé à des élèves qu'à condition de le saisir à ce moment où prend naissance sa dimension artistique.
Contenu et structure du livret
Au-delà de la première partie, introductive, du livret, celui-ci propose dans sa deuxième partie :
Une liste des séquences de chacun des 6 extraits. Ces séquences sont établies en fonction des personnages interrogées par le cinéaste.
Par exemple : Extrait 1 :
Richard Glazar : Les bûchers de treblinka, 3 minutes
Motke Zaïdl et Itzhak Dugin : Les bûchers de Ponari, 1 minute….)
Une étude des séquences qui comporte elle-même trois parties pour chaque extrait :
Une description plan par plan de chaque extrait.
Des éléments d'analyse de la séquence. (Nous en donnons un aperçu plus bas)
Une proposition de thèmes pour l'étude de la séquence.
Extraits
Extrait 1: La disparition des traces. 36 mn.
Cet extrait comporte un certain nombre de récits de survivants, des images tournées en Pologne ainsi qu'en Israël. La nature, à travers l'eau, le feu ou la forêt est convoquée pour suggérer l'effacement des traces de l'extermination.
La valeur symbolique des éléments naturels (eau, terre ciel, la rivière, les feux etc.), le jeu des regards, mais aussi les voix, les cris d'animaux, les bruits qui inscrivent la mémoire de la Shoah dans notre présent suggèrent l'imperceptible présence de l'horreur sous le calme de la nature.
Extrait 2 : Les chambres à gaz de Treblinka et d'Auschwitz. 27 mn
Elle comporte le témoignage de deux allemands, le SS Franz Suchomel qui explique le fonctionnement des chambres à gaz de Treblinka et Filip Müller, survivant d'Auschwitz 1, qui explique le fonctionnement des chambres à gaz d'Auschwitz.
Ici encore les explications de JF Forges retiennent des détails qui donnent en réalité sa dimension créative au film : le timbre de la voix de Müller et la force de ses paroles, le passage dans le champ de l'ombre de la caméra indiquant discrètement la présence du cinéaste, ou le regard posé par la caméra sur la campagne avoisinant Birkenau avec ses maisons et ses jardins cultivés qui inscrit le camp dans une réalité, la manière de filmer l'arrivée d'un train…
Extrait 3 : Les Polonais de Grabow. 19mn.
L'extrait montre l'arrivée du cinéaste à Grabow, devant la synagogue puis dans les rues du village.
Le livret insiste encore sur les effets nombreux de l'irruption du réel et du présent dans le film : des voix, des bruits de vélos qui peuvent couvrir la voix de Lanzmann, les témoins à leurs fenêtres, les enfants qui jouent…
Extrait 4 : Polonais de Chelmno. 17 mn.
Il s'agit d'une des séquences les plus célèbres du film où l'on voit Lanzmann interroger un groupe de personnes dans le village de Chelmno. L'antisémitisme des paroles affleure à chaque instant dans ce village dominé par son église.
L'analyse de la séquence met en valeur tous les petits signes accumulés qui font resurgir la mémoire du crime : les sonneries des cloches de l'église, les hésitations de la traductrice qui traduit youpins par juifs, l'apparition de l'or des objets de culte alors que les personnages ne cessent de parler de l'or des juifs, la fumée qui s'échappe du véhicule dans le dernier plan…
Extrait 5 : Le processus de la mise à mort à Treblinka. 35 mn.
Cette séquence montre le SS Suchomel commenter la carte de Treblinka puis nous conduit dans un salon de coiffure de Tel Aviv où Bomba, un rescapé de Treblinka, raconte son expérience passée.
Le livret nous rend sensibles à la manière obsédante de filmer trains et gares, à la présence des animaux et notamment des oies dont les cris rappellent l'utilisation qu'en faisaient les SS pour couvrir les cris des hommes assassinés, au salon de coiffure de Tel Aviv d'où ressurgit le souvenir, aux larmes de Bomba et à la nécessité de passer outre la douleur des témoins pour réaliser l'œuvre…
Extrait 6 : Vie et mort à Birkenau des Juifs du camp de familles de Theresienstadt. 37mn.
La séquence est marquée par le témoignage d'une déportée, Ruth Elias, de Rudolf Vrba, survivant d'Auschwitz, qui décrit la vie dans le camp des familles, et de Filip Müller. Lanzmann filme aussi les crématoires dans leur état actuel et leurs représentations dans le musée du camp principal.
Le livret souligne l'intérêt de la séquence pour faire apparaître la volonté de résistance du camp et ses écueils.
http://ecehg.inrp.fr/ECEHG/enjeux-de-memoire/Shoah-et-deportation/ressources-pedagogiques/le-dvd-pedagogique-de-shoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44712 37:17/FOR Livre Libre-accès Adultes Disponible Shoah, comédie et représentation(s) / JEROME BURTIN in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 6 (mars 2001)
Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21122/1 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible La Shoah à l'écran, crimes contre l'humanité et représentation / ANNE-MARIE BARON
La Shoah à l'écran, crimes contre l'humanité et représentation [texte imprimé] / ANNE-MARIE BARON . - Strasbourg : Conseil de l'Europe, 2002 . - p. 54.
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
341.48 Crimes contre l'humanité / crimes de guerre
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
37:17 Travail de Mémoire
791.4 Cinéma Film
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Shoah à l'écran, crimes contre l'humanité et représentation Type de document : texte imprimé Auteurs : ANNE-MARIE BARON Editeur : Strasbourg : Conseil de l'Europe Année de publication : 2002 Importance : p. 54 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
341.48 Crimes contre l'humanité / crimes de guerre
341.485 Génocide . Massacre . Epuration ethnique
37.02 Pédagogie et outils pédagogiques
37:17 Travail de Mémoire
791.4 Cinéma Film
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37921/1 37:17/BAR Livre Libre-accès Adultes Disponible La Shoah à l'épreuve de l'image / Jacques Walter
La Shoah à l'épreuve de l'image [texte imprimé] / Jacques Walter, Auteur . - Paris : Presses Universitaires de France, 2005 . - 1 vol. (VI-285 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 2-13-055359-1
Langues : Français (fre)
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
070 Presse Journalisme Médias
316 Sociologie
37:17 Travail de Mémoire
77 Photographie
791.4 Cinéma Film
929 Biographies et témoignages
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4eme de couverture :
L’image mémorielle de la Shoah occupe une place de plus en plus importante dans les médias et provoque souvent des débats, voire des controverses. Comment expliquer l’émergence de ces phénomènes dans l’espace public ? Quels en sont les enjeux ?
À partir de l’analyse d’émissions télévisées, de témoignages audiovisuels recueillis par des fondations, de films de fiction ou documentaires, d’expositions de photographies ou de cédéroms, cet ouvrage – attentif aux interprétations qu’ils ont suscitées, aux polémiques entre experts et aux débats publics – ouvre des perspectives pour comprendre comment, par des configurations médiatiques, le passé fait sens dans le présent.
Sociologue, Jacques Walter, professeur des sciences de l’information et de la communication à l’université Paul Verlaine-MetzNote de contenu : Table :
I. Dispositifs médiatiques
1. Périodiser les régimes testimoniaux à la télévision
2. la construction des identités des déportés
3. Archives audiovisuelles des survivants : une mémoire mosaïque en devenir
II. Conflits d'interprétation médiatisés
4. Témoignage photographique, affrontement discursif : quatre clichés d'Auschwitz
5. Justesse filmique, justice mémorielle : "la Liste de Schindler"
6. Prismes interprétatifs : "La Vie est belle"
7. Rire de tout ? "La Vie est belle" dans la presse juive
III. Transmédiatisations
8. Une réflexivité sans histoire(s) ?
9. Archives historiques et mise en mémoire virtuelle
10. De la découverte de diapositives à l'esthétisation du témoignage
ConclusionPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Shoah à l'épreuve de l'image Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Walter, Auteur Editeur : Paris : Presses Universitaires de France Année de publication : 2005 Importance : 1 vol. (VI-285 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-13-055359-1 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
070 Presse Journalisme Médias
316 Sociologie
37:17 Travail de Mémoire
77 Photographie
791.4 Cinéma Film
929 Biographies et témoignages
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : 4eme de couverture :
L’image mémorielle de la Shoah occupe une place de plus en plus importante dans les médias et provoque souvent des débats, voire des controverses. Comment expliquer l’émergence de ces phénomènes dans l’espace public ? Quels en sont les enjeux ?
À partir de l’analyse d’émissions télévisées, de témoignages audiovisuels recueillis par des fondations, de films de fiction ou documentaires, d’expositions de photographies ou de cédéroms, cet ouvrage – attentif aux interprétations qu’ils ont suscitées, aux polémiques entre experts et aux débats publics – ouvre des perspectives pour comprendre comment, par des configurations médiatiques, le passé fait sens dans le présent.
Sociologue, Jacques Walter, professeur des sciences de l’information et de la communication à l’université Paul Verlaine-MetzNote de contenu : Table :
I. Dispositifs médiatiques
1. Périodiser les régimes testimoniaux à la télévision
2. la construction des identités des déportés
3. Archives audiovisuelles des survivants : une mémoire mosaïque en devenir
II. Conflits d'interprétation médiatisés
4. Témoignage photographique, affrontement discursif : quatre clichés d'Auschwitz
5. Justesse filmique, justice mémorielle : "la Liste de Schindler"
6. Prismes interprétatifs : "La Vie est belle"
7. Rire de tout ? "La Vie est belle" dans la presse juive
III. Transmédiatisations
8. Une réflexivité sans histoire(s) ?
9. Archives historiques et mise en mémoire virtuelle
10. De la découverte de diapositives à l'esthétisation du témoignage
ConclusionPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42623 37:17/WAL Livre Libre-accès Adultes Disponible Shoah, un film unique : l'histoire et la mémoire / Jean-François Forges in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 4 (décembre 1999)
[article] Shoah, un film unique : l'histoire et la mémoire : critique du film "Shoah" de Claude Lanzmann [texte imprimé] / Jean-François Forges . - 1999 . - pp. 81 - 88.
Langues : Français (fre)
in Cahier International sur le témoignage audiovisuel > 4 (décembre 1999) . - pp. 81 - 88
Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
791.4 Cinéma Film
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Shoah, un film unique : l'histoire et la mémoire : critique du film "Shoah" de Claude Lanzmann Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Forges Année de publication : 1999 Article en page(s) : pp. 81 - 88 Langues : Français (fre) Catégories : 0(082) Critique / extrait document / citations
791.4 Cinéma Film
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahier International sur le témoignage audiovisuel > 4 (décembre 1999) . - pp. 81 - 88Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 15898/1 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Shoah / CARLES TORNER
PermalinkLa Shoah / Alain Goldschläger
PermalinkLa Shoah
PermalinkUn siècle en trompe l'oeil / MARIANNE AMAR in Vingtième siècle, 69 (janvier-mars 2001)
PermalinkSilence, on coupe / Tangi Salaün in Le Vif / L'Express, 2548 ([30/11/2007])
PermalinkUn simple jeune homme in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkSobibor, 14 octobre 1943, 16 heures / Claude Lanzmann
PermalinkSobibor, 14 octobre 1943, 16 heures / FREDDY SARTOR in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 80-81 (juillet-décembre 2003)
PermalinkLa Société sur grand écran / Sylvain Allemand in Sciences Humaines, 126 (avril 2002)
PermalinkSophie Scholl, les derniers jours / Marie-Bénédicte Vincent in Vingtième siècle, 92 (octobre-décembre 2006)
PermalinkSophie Scholl / Michel Condé
PermalinkPermalinkSpotlight, "un film percutant qui salue le courage de journalistes qui dénoncèrent une institution profondément corrompue" / Catherine Le Fur in La Raison, 610 (Avril 2016)
PermalinkSquaws / Patrick Deval
PermalinkUne star contre l'excision / Marie Huret in Le Vif / L'Express, 2309 ([04/03/2005])
PermalinkStarship Troopers : we want youth ! / DAVID MORELLI in La Chronique de la Ligue des droits de l'Homme, 110 (juillet-août 2005)
PermalinkStéphane Brizé / Stéphane Brizé in Le Vif / L'Express, 20 ([17/05/2018])
PermalinkLes stéréotypes nationaux dans le cinéma hollywoodien vus par S. Kracauer / Nia Perivolaropoulou in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 94 (janvier-mars 2007)
PermalinkSuper-héros, une histoire politique / William Blanc
PermalinkSur quelques insuffisances inhérentes à la représentation cinématographiques des crimes et génocides nazis / Bernard Frumer in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 42-43 (juillet-septembre 1994)
Permalink"Survivre avce les loups" une imposture / Géraldine Kamps in Regards, 660 ([04/03/2008])
PermalinkLes Tables rondes autour des rencontres cinématographiques "les yeux grands ouverts" / Bruno Leroux in Lettre de la Fondation de la Résistance, 29 (juin 2002)
PermalinkTaches noires dans l'Europe bleue / GAELLE SMET in Regards, 479 ([12/09/2000])
PermalinkLe Tambour / VOLKER SCHLONDORFF
PermalinkLe Témoignage télévisuels des déportés homosexuels / Isabelle Gavillet in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 7 (septembre 2001)
PermalinkTémoignages des survivants de l'Holocauste / RENZO STROSCIO in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 7 (septembre 2001)
PermalinkPermalinkLe Temps des utopies : l'ambition cinématographique d'Henri Storck, de 1907 à 1940 / VINCENT GEENS in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 7 (2000)
PermalinkTerrible, la déportation en col blanc / Christian Laporte in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkLes Têtes parlantes : analyse croisée de la pratique de l'interview dans les films de Marcel Ophuls et de Claude Lanzmann / Vincent Lowy in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 7 (septembre 2001)
PermalinkThe new Berlin 1912-1932 / Inga Rossi-Schrimpf
PermalinkThe Polish Jews / WFDIF
PermalinkThe Shoah as a Show-Business = la Shoah version Show-biz / MICHEL ANDRE BERNSTEIN in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 7 (septembre 2001)
PermalinkThink again, Jodie Foster / DAVE RENTON in Searchlight, 306 (december 2000)
PermalinkThomas est amoureux / PIERRE-PAUL RENDERS in Echos Bruxelles Laïque, 35 (octobre-décembre 2001)
Permalink"Titanic", "Avatar" et "Le Hobbit" nous racontent la crise financière / Hervé Gouil
PermalinkTitanic et la lutte des classes / THOMAS C. FRANK in Le Monde Diplomatique, 533 (août 1998)
PermalinkLe Topmbeau des lucioles in Bulletin pédagogique de la Fondation Auschwitz, 11 (juillet-septembre 2001)
PermalinkTout tremble mais rien ne bouge, c'est l'Iran de Khatami / SERGE MICHEL in La Revue Nouvelle, 11 (novembre 2002)
PermalinkTout y est vrai, mon film est un livre d'histoire / RAOUL PECK in Farde Articles 2000, (2000)
Permalink108 - juillet-septembre 2010 - Le traitement de l'histoire dans les documentaires filmiques (Bulletin de Témoigner. Entre histoire et mémoire) / Sonia Combe
PermalinkLa Transmission de la mémoire du génocide juif aux jeunes générations, ses limites et ses dangers / Claude Lacour in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 11 (juin 2005)
PermalinkLe Traumatisme historique au cinéma : entre constat et performance / SEBASTIEN FEVRY in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 9 (juin 2003)
PermalinkTreize films témoins / Dominique Vidal in Manière de voir, 88 (août-septembre 2006)
PermalinkLa Trêve, Francesco Rossi, Italie, 1996 / Christian Delage in Vingtième siècle, 58 (avril-juin 1998)
PermalinkLe triomphe de Riefenstahl / Thierry Odeyn in Espace de Libertés, 345 (septembre 2006)
PermalinkTrois comédies de la Shoah : la Vie est belle, Train de vie et Jakob le menteur / SEBASTIEN FEVRY in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 10 (juin 2004)
PermalinkLes types nationaux vus par Hollywood / Siegfried Kracauer in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 94 (janvier-mars 2007)
PermalinkUltranova, un film wallon / Thomas Lemaigre in La Revue Nouvelle, 6-7 (juin-juillet 2005)
PermalinkPermalinkL’usage de films dans l’enseignement de la Shoah. Étude de cas / Michaël Gray in Traces de mémoire, 13 (septembre 2014)
PermalinkPermalinkValse avec Bachir / Michel Condé
PermalinkLe Vent se lève, de Hayao Miyazaki / Sophie Louey in Vingtième siècle, 124 (octobre-décembre 2014)
PermalinkLa vérité par l'image / Christian Delage
PermalinkVers une autre représentation de la déportation : analyse du film "Ligne de vie" / Claude Lacour in Cahier International sur le témoignage audiovisuel, 10 (juin 2004)
PermalinkPermalinkLa vie est belle / Roberto Benigni
PermalinkLa Vie est belle / Roberto Benigni
PermalinkLa Vie est belle / Roberto Benigni
PermalinkLa Vie est belle / Anne Vervier
PermalinkLa Vie est belle de Roberto Benigni / Denis Pelletier in Vingtième siècle, 63 (juillet-septembre 1999)
PermalinkLa Vie est un long fleuve tranquille / CHRISTIANE PILLER in Entre-vues, 16 (décembre 1992)
PermalinkVies brisées / BERTRAND TAVERNIER in MRAX info, 131 (décembre 2001)
PermalinkLa Violence à l'école / SIC CINEMA
PermalinkLa Violence des images ou comment s'en débarrasser ? / OLIVIER MONGIN
PermalinkViolences symboliques : médias, films violents in Manière de voir, (hors série, mars 1997)
PermalinkLe Visage de l'histoire / Vincent Guigueno in Vingtième siècle, 72 (octobre-décembre 2001)
PermalinkViva la muerte / Fernando Arrabal
PermalinkVlaamse Choc ou les limites de la télé / Colette Braeckman in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkVoices from a mountain / DAVID LEACH in Searchlight, 318 (december 2001)
PermalinkVotez Moore ! / Vera Kotaji in Espace de Libertés, 332 (juin 2005)
PermalinkWalkyrie / Bernard Ludwig in Vingtième siècle, 104 (octobre-décembre 2009)
PermalinkLes Yeux d'Eva Braun / PATRICK JEUDY
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