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Toulon, "Quand j'entend le mot culture..." in No Pasaran !, 42 (décembre 1996)
[article] Toulon, "Quand j'entend le mot culture..." [texte imprimé] . - 1996 . - p. 6.
Langues : Français (fre)
in No Pasaran ! > 42 (décembre 1996) . - p. 6
Catégories : 316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Toulon, "Quand j'entend le mot culture..." Type de document : texte imprimé Année de publication : 1996 Article en page(s) : p. 6 Langues : Français (fre) Catégories : 316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in No Pasaran ! > 42 (décembre 1996) . - p. 6Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3484/1 P/502 Périodique Réserve Périodiques Disponible Toulon sous le Front National / Virginie Martin
Toulon sous le Front National : Entretiens non-directifs [texte imprimé] / Virginie Martin (1967-....), Auteur . - Paris : L'Harmattan, 2002 . - 400 p. ; 22 cm. - (Logiques politiques) .
ISBN : 2-7475-2800-6 : 32 €
Bibliographie
Langues : Français (fre)
Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
31 Statistique Démographie
314 Démographie Etude de la population Sondage
316 Sociologie
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
Le 18 juin 1995, pour la première fois de son histoire, le Front National s'installait aux commandes d'une ville de plus de 150 000 habitants, préfecture du Var, premier port militaire français. Ce livre propose de donner la parole à ceux qui ont vécu le FN en direct dans la ville de Toulon, jour après jour, durant les six années d'un mandat municipal. Ces témoignages assemblent un discours original et précieux non seulement pour le champ de l'analyse politologique au niveau micro mais aussi pour sa contribution à la connaissance d'une page de l'histoire politique française.Note de contenu : Sommaire :
1. Le Front national : de la préhistoire à l'essor local
2. Réflexions méthodologiques et hypothèses
Les Modèles
3. Le modèle de la dévotion anti-FN. Antifascisme et réponses militantes complexes
4. Le modèle légaliste. Vision édulcorée du FN et tolérance vis-à -vis du pouvoir en place
5. Le modèle du plaidoyer critique. Réhabilitation du FN et soutien modéré
Conclusion générale
Annexes :
1. présentation de l'échantillon et exemple de schéma d'entretien
2. positionnement des interviewés en fonction de leur deghré d'approbation ou de leur rejet du FN. Niveau national et localPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Toulon sous le Front National : Entretiens non-directifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Virginie Martin (1967-....), Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 2002 Collection : Logiques politiques Importance : 400 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7475-2800-6 Prix : 32 € Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
31 Statistique Démographie
314 Démographie Etude de la population Sondage
316 Sociologie
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonIndex. décimale : 329.18 Extrême droite, nationalisme, populisme Résumé : Site éditeur :
Le 18 juin 1995, pour la première fois de son histoire, le Front National s'installait aux commandes d'une ville de plus de 150 000 habitants, préfecture du Var, premier port militaire français. Ce livre propose de donner la parole à ceux qui ont vécu le FN en direct dans la ville de Toulon, jour après jour, durant les six années d'un mandat municipal. Ces témoignages assemblent un discours original et précieux non seulement pour le champ de l'analyse politologique au niveau micro mais aussi pour sa contribution à la connaissance d'une page de l'histoire politique française.Note de contenu : Sommaire :
1. Le Front national : de la préhistoire à l'essor local
2. Réflexions méthodologiques et hypothèses
Les Modèles
3. Le modèle de la dévotion anti-FN. Antifascisme et réponses militantes complexes
4. Le modèle légaliste. Vision édulcorée du FN et tolérance vis-à -vis du pouvoir en place
5. Le modèle du plaidoyer critique. Réhabilitation du FN et soutien modéré
Conclusion générale
Annexes :
1. présentation de l'échantillon et exemple de schéma d'entretien
2. positionnement des interviewés en fonction de leur deghré d'approbation ou de leur rejet du FN. Niveau national et localPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42057 329.18/MAR Livre Libre-accès Adultes Disponible Toulon : ville laboratoire du Front in No Pasaran !, 39 (septembre 1996)
[article] Toulon : ville laboratoire du Front [texte imprimé] . - 1996 . - pp. 4 - 5.
Langues : Français (fre)
in No Pasaran ! > 39 (septembre 1996) . - pp. 4 - 5
Catégories : 329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Toulon : ville laboratoire du Front Type de document : texte imprimé Année de publication : 1996 Article en page(s) : pp. 4 - 5 Langues : Français (fre) Catégories : 329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
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in No Pasaran ! > 39 (septembre 1996) . - pp. 4 - 5Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2757/1 P/394 Périodique Réserve Périodiques Disponible Toulon voters reject FN nepotism in Searchlight, 281 (november 1998)
[article] Toulon voters reject FN nepotism [texte imprimé] . - 1998 . - p. 23.
Langues : Anglais (eng)
in Searchlight > 281 (november 1998) . - p. 23
Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
324 Elections Plébiscites
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Toulon voters reject FN nepotism Type de document : texte imprimé Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 23 Langues : Anglais (eng) Catégories : 171:329.18 Antifascisme - Lutte contre l'extrême droite
324 Elections Plébiscites
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(44) Front National (FN France)
352(44) ToulonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Searchlight > 281 (november 1998) . - p. 23Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10094/1 P/1387 Périodique Réserve Périodiques Disponible Tournai, la sinistrée / Guy Verstraeten in Le Vif / L'Express, 12 ([25/03/2011])
[article] Tournai, la sinistrée [texte imprimé] / Guy Verstraeten, Auteur . - 2011 . - pp. 92-94.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 12 [25/03/2011] . - pp. 92-94
Catégories : 352(493) Tournai
779 Collections d'images photographiques
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Durement frappée durant la Seconde Guerre mondiale, la ville au cinq clochers a payé à l'époque pour ce qui fait aujourd'hui sa force : sa position géographique centrale.
Elle a souffert, Tournai. Plus que d'autres. Pilonnée les 16, 17 et 18 mai 1940 par l'aviation allemande, la cité aux cinq clochers paie sa situation géographique. Carrefour routier et ferroviaire, la ville doit par sa destruction, ses gravats, son exode, son chaos, perturber l'organisation défensive des Anglais. Le n£ud militaire est frappé de plein fouet. Une centaine de tués. Et la cathédrale qui se dresse, véritable miraculée, au c£ur d'un site complètement ravagé. îuvre communale d'aide aux sinistrés, secours civils, assistance publique, Croix-Rouge : les institutions d'entraide se mettent peu à peu à l'£uvre pour panser les séquelles de la catastrophe et aider les milliers de délogés qui en résultent. Sans compter les ouvriers privés d'emploi et bientôt obligés, pour survivre, de s'engager à déblayer les montagnes de gravats.
En juin 1940, un mois après les bombardements, la reine Elisabeth viendra d'ailleurs marquer son soutien à cette population tournaisienne durement touchée par la guerre. « De ville d'importance peuplée de 33 000 habitants, Tournai s'est alors muée en ville fantôme pendant plusieurs semaines. Petit à petit, la population est revenue, mais le centre-ville a été complètement dévasté et en grande partie déserté jusqu'à la fin de la guerre », confie le responsable du secteur documentation au Ceges/Soma (Centre d'études et de documentation Guerre et Sociétés contemporaines), l'historien Fabrice Maerten. Lequel s'est appuyé notamment sur les travaux de Raymond Bonnet ( Le Calvaire d'une petite ville. Tournai pendant la guerre 40-45), d'Yvan Gahide ( Tournai sous les bombes) et d'Etienne Verhoeyen ( Un groupe de résistants du Nord-Hainaut : la phalange blanche) pour affiner son analyse.
A l'entame du conflit, la ville est gérée par une coalition libérale-socialiste dirigée par l'avocat libéral Emile De Rasse : la fuite rapide des édiles locaux permettra au catholique Louis Casterman, conseiller communal de l'opposition, de prendre les rênes de Tournai. Toléré par les Allemands et les rexistes, même après le retour de De Rasse, Casterman administrera la ville pendant le reste des hostilités. La cité n'est pourtant en rien prorexiste, ni proallemande. Les collaborateurs sont rares. C'est à Tournai, par ailleurs, qu'aura lieu le premier attentat politique belge pendant la guerre : le 17 septembre 1941, le chef du cercle rexiste Paul Gérard est abattu par des membres de la Phalange blanche, groupe de résistants aux contours un peu flous. L'assassinat de deux policiers allemands dans la foulée, toujours par ce même groupe, va aboutir au durcissement des positions allemandes, sous l'instigation d'Alexander von Falkenhausen (gouverneur militaire du pays) lui-même.
Cela dit, 1941, c'est aussi l'année où la vie va tout doucement reprendre son cours au c£ur du Hainaut occidental : « Centre névralgique en termes de transport, Tournai va vite se muer en une espèce de capitale du marché noir. La gare, de ce point de vue, revêtira une importance primordiale : il ne faut pas oublier qu'on se situe au milieu de zones agricoles, en plein dans une période où le rationnement était drastique. Les fermiers vont en prendre leur parti. Des gens de Bruxelles venaient même en train jusqu'à Tournai pour se ravitailler, ce qui entraînait un petit commerce autour de la gare dont on garde encore pas mal de traces photographiques », poursuit Fabrice Maerten. Quelques années plus tard, cette même gare subira les foudres... américaines cette fois. Toujours aussi importante sur le plan stratégique, la situation géographique de Tournai sera à l'origine du bombardement du 10 mai 1944. L'objectif ? Perturber les éventuels renforts allemands en vue du fameux D-Day, le jour du débarquement de Normandie. Là encore, une centaine de Tournaisiens y laisseront la vie. Quelques mois avant le bout du tunnel.
GUY VERSTRAETENPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Tournai, la sinistrée Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Verstraeten, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 92-94 Langues : Français (fre) Catégories : 352(493) Tournai
779 Collections d'images photographiques
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleRésumé : Durement frappée durant la Seconde Guerre mondiale, la ville au cinq clochers a payé à l'époque pour ce qui fait aujourd'hui sa force : sa position géographique centrale.
Elle a souffert, Tournai. Plus que d'autres. Pilonnée les 16, 17 et 18 mai 1940 par l'aviation allemande, la cité aux cinq clochers paie sa situation géographique. Carrefour routier et ferroviaire, la ville doit par sa destruction, ses gravats, son exode, son chaos, perturber l'organisation défensive des Anglais. Le n£ud militaire est frappé de plein fouet. Une centaine de tués. Et la cathédrale qui se dresse, véritable miraculée, au c£ur d'un site complètement ravagé. îuvre communale d'aide aux sinistrés, secours civils, assistance publique, Croix-Rouge : les institutions d'entraide se mettent peu à peu à l'£uvre pour panser les séquelles de la catastrophe et aider les milliers de délogés qui en résultent. Sans compter les ouvriers privés d'emploi et bientôt obligés, pour survivre, de s'engager à déblayer les montagnes de gravats.
En juin 1940, un mois après les bombardements, la reine Elisabeth viendra d'ailleurs marquer son soutien à cette population tournaisienne durement touchée par la guerre. « De ville d'importance peuplée de 33 000 habitants, Tournai s'est alors muée en ville fantôme pendant plusieurs semaines. Petit à petit, la population est revenue, mais le centre-ville a été complètement dévasté et en grande partie déserté jusqu'à la fin de la guerre », confie le responsable du secteur documentation au Ceges/Soma (Centre d'études et de documentation Guerre et Sociétés contemporaines), l'historien Fabrice Maerten. Lequel s'est appuyé notamment sur les travaux de Raymond Bonnet ( Le Calvaire d'une petite ville. Tournai pendant la guerre 40-45), d'Yvan Gahide ( Tournai sous les bombes) et d'Etienne Verhoeyen ( Un groupe de résistants du Nord-Hainaut : la phalange blanche) pour affiner son analyse.
A l'entame du conflit, la ville est gérée par une coalition libérale-socialiste dirigée par l'avocat libéral Emile De Rasse : la fuite rapide des édiles locaux permettra au catholique Louis Casterman, conseiller communal de l'opposition, de prendre les rênes de Tournai. Toléré par les Allemands et les rexistes, même après le retour de De Rasse, Casterman administrera la ville pendant le reste des hostilités. La cité n'est pourtant en rien prorexiste, ni proallemande. Les collaborateurs sont rares. C'est à Tournai, par ailleurs, qu'aura lieu le premier attentat politique belge pendant la guerre : le 17 septembre 1941, le chef du cercle rexiste Paul Gérard est abattu par des membres de la Phalange blanche, groupe de résistants aux contours un peu flous. L'assassinat de deux policiers allemands dans la foulée, toujours par ce même groupe, va aboutir au durcissement des positions allemandes, sous l'instigation d'Alexander von Falkenhausen (gouverneur militaire du pays) lui-même.
Cela dit, 1941, c'est aussi l'année où la vie va tout doucement reprendre son cours au c£ur du Hainaut occidental : « Centre névralgique en termes de transport, Tournai va vite se muer en une espèce de capitale du marché noir. La gare, de ce point de vue, revêtira une importance primordiale : il ne faut pas oublier qu'on se situe au milieu de zones agricoles, en plein dans une période où le rationnement était drastique. Les fermiers vont en prendre leur parti. Des gens de Bruxelles venaient même en train jusqu'à Tournai pour se ravitailler, ce qui entraînait un petit commerce autour de la gare dont on garde encore pas mal de traces photographiques », poursuit Fabrice Maerten. Quelques années plus tard, cette même gare subira les foudres... américaines cette fois. Toujours aussi importante sur le plan stratégique, la situation géographique de Tournai sera à l'origine du bombardement du 10 mai 1944. L'objectif ? Perturber les éventuels renforts allemands en vue du fameux D-Day, le jour du débarquement de Normandie. Là encore, une centaine de Tournaisiens y laisseront la vie. Quelques mois avant le bout du tunnel.
GUY VERSTRAETENPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 12 [25/03/2011] . - pp. 92-94Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkTraces et mémoire de la Guerre d'Espagne / Ami, entends-tu ? a.s.b.l. (Gembloux)
PermalinkTract : Demol ou les liaisons dangereuses in Farde Articles 1999, (1999)
PermalinkTracts nazis et propagande raciste à Liège / Jérôme Jamin in Aide-Mémoire, 12 (janvier-mars 2000)
PermalinkLa Tragédie de Bande in Souviens-toi, 59 (octobre-décembre 2000)
PermalinkLa Tragédie de Dinant in Souviens-toi, 59 (octobre-décembre 2000)
PermalinkLa Tragédie de Dinant (1914-1918) (suite) in Souviens-toi, 57 (avril-juin 2000)
PermalinkLa Tragédie de Dinant (1914-1918) (suite) in Souviens-toi, 58 (juillet-septembre 2000)
PermalinkLa Tragédie de Dinant (août 1914) in Souviens-toi, 13 (avril 1988)
PermalinkLa Tragédie de Dinant( (août 1914) (fin) in Souviens-toi, 15 (décembre 1988)
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