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Etrangers dans la cité / Lieven Saerens
Etrangers dans la cité : Anvers et ses Juifs (1880-1944) [texte imprimé] / Lieven Saerens, Auteur ; Serge Govaert, Traducteur . - Bruxelles : Labor, 2005 . - 1 vol. (1101 p.) ; 24 cm. - (Histoire) .
ISBN : 2-8040-1833-4
Langues : Français (fre)
Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
324(493) Elections Belgique 1938
329.18(493) Verdinaso
329.18(493) VNV
329.18(493)"<1945" Rex Rexisme
352(493) Anvers
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45"(=924) Justes des Nations (Seconde Guerre mondiale)
94(33) Histoire du Peuple juif
94(493)"18" Histoire de la Belgique au XIXe siècle
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture :
Pendant la Seconde Guerre mondiale, près de 45 % des Juifs de Belgique furent déportés. Mais à Anvers, les chiffres sont plus élevés: au moins 65 % des Juifs y ont été victimes de la "solution finale". C'est beaucoup, surtout quand on sait que jusque dans les années 1920, un climat de relative tolérance régnait vis-à -vis des "étrangers" dans la ville. Les Juifs étaient de plus en plus nombreux à gagner la métropole; mais il n'y avait pas pour autant, automatiquement, d'antisémitisme sur une grande échelle. A Anvers, de nombreux Juifs se sont engagés dans le mouvement flamand, un fait qui mérite d'être épinglé. Etrangers dans la cité décrit la montée progressive de la xénophobie à Anvers dans les années 1930, son implantation dans les milieux nationalistes belges d'abord puis dans ceux, plus tolérants, du nationalisme flamand. Enfin, en abordant la période de guerre, la plus terrible, l'auteur met notamment au jour l'attitude de la police anversoise et de la collaboration locale à l'égard des Juifs.Note de contenu : Table :
Avant-propos
Introduction générale
1ere partie : la ville cosmopolite ?
introduction
Ch. 1 : Brabosh sur Escaut
Ch. 2 : les rapports pendant la période fin du XIXE siècle - Première Guerre mondiale
1. le "message" chrétien
2. les arguments économiques
3. le discours flamingant
Conclusions
Ch. 3 : les rapports dans les années 1920-début des années 1930
1. le "message" chrétien
2. les arguments économiques
3. le discours nationaliste flamand
Conclusions
Deuxième partie : la ville intolérante ? (1930-1940 environ)
Introduction
Ch. 4 : la communauté juive, les persécutions nazies et la politique belge en matière de réfugiés
1. les persécutions nazies
2. les réfugiés
3. la politique du gouvernement belge
Conclusions
Ch. 5 : l'essor des organisations d'Ordre nouveau (1930-1933 environ)
1. Anvers en 1932
2. les nationalistes belges : la Linaco et ses prédécesseurs
3. les nationalistes flamands (VKG, KVV, Verdinaso et VNV)
Conclusion
Ch. 6 : le "défi" national-socialiste (1933-1935 environ)
1. un état de la presse anversoise
2. indignation, solidarité et défiance
3. des actions antijuives isolées (?)
Conclusions
Ch. 7 : la polarisation politique (1936-mi 1938)
1. ANvers en 1936
2. La percée du "noyau dur" de l'antisémitisme et du national-socialisme (vers 1937-mi 1938)
3. Quelques rayons d'espoir : Leo Frenssen et des initatives nationalistes flamandes à "gauche"
Conclusions
Ch. 8 : un flux croissant de réfugiés et des réactions qui se multiplient (1938-1940)
1. Un revirement chez Rex et la réorganistaion de Volksverwing
2. la liquidation du Katholiek Bureau voor Israël (vers avril 1938)
3. la politique du gouvernement et le mécontentement dans les rangs libéraux et à "gauche"
4. Les élections communales d'octobre 1938
5. le radicalisme ne cesse de s'étendre
6. les suspects de mai 1940
Troisième partie : la ville occupée (1940-1944)
Introduction
Ch. 9 : la fête de la haine
1. les auteurs principaux
2. les coauteurs
3. les victimes
Conclusions
Ch. 10 : une "spécificité" anversoise ?
1. l'enregistrement des Juifs et les déportations au Limbourg (à partir de novembre 1940 environ)
2. une "nuit de cristal" anversoise
3. la radiation des avocats juifs (3/07/1941)
4. de nouvelles émeutes antijuives et des mesures locales (à partir de septembre 1941)
5. la liquidiation du commerce diamantaire juif à Anvers (avril 1942)
6. l'instauration de l'étoile de David et le travail obligatoire dans le nord de la France (à partir de juin 1942)
7. la déportation vers l'"Est" et la collaboration de la police anversoise (à partir d'août 1942)
8. Félic Lauterborn et consorts et rafles à la salle communale des fêtes d'Anvers (à partir de septembre 1942)
9. les hourras des milieux collaborationnistes
10. le bilan des persécutions
Conclusions : Anvers face à Bruxlles
Ch. 11 : les "spectateurs"
1. indifférents et passifs ?
2. "de vrais amis en temps de besoin" (Justes et CDJ/JVC d'Anvers)
Conclusions
Conclusions généralesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Etrangers dans la cité : Anvers et ses Juifs (1880-1944) Type de document : texte imprimé Auteurs : Lieven Saerens, Auteur ; Serge Govaert, Traducteur Editeur : Bruxelles : Labor Année de publication : 2005 Collection : Histoire Importance : 1 vol. (1101 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-8040-1833-4 Langues : Français (fre) Catégories : 323.118(=924) Antisémitisme
324(493) Elections Belgique 1938
329.18(493) Verdinaso
329.18(493) VNV
329.18(493)"<1945" Rex Rexisme
352(493) Anvers
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45"(=924) Justes des Nations (Seconde Guerre mondiale)
94(33) Histoire du Peuple juif
94(493)"18" Histoire de la Belgique au XIXe siècle
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècleIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture :
Pendant la Seconde Guerre mondiale, près de 45 % des Juifs de Belgique furent déportés. Mais à Anvers, les chiffres sont plus élevés: au moins 65 % des Juifs y ont été victimes de la "solution finale". C'est beaucoup, surtout quand on sait que jusque dans les années 1920, un climat de relative tolérance régnait vis-à -vis des "étrangers" dans la ville. Les Juifs étaient de plus en plus nombreux à gagner la métropole; mais il n'y avait pas pour autant, automatiquement, d'antisémitisme sur une grande échelle. A Anvers, de nombreux Juifs se sont engagés dans le mouvement flamand, un fait qui mérite d'être épinglé. Etrangers dans la cité décrit la montée progressive de la xénophobie à Anvers dans les années 1930, son implantation dans les milieux nationalistes belges d'abord puis dans ceux, plus tolérants, du nationalisme flamand. Enfin, en abordant la période de guerre, la plus terrible, l'auteur met notamment au jour l'attitude de la police anversoise et de la collaboration locale à l'égard des Juifs.Note de contenu : Table :
Avant-propos
Introduction générale
1ere partie : la ville cosmopolite ?
introduction
Ch. 1 : Brabosh sur Escaut
Ch. 2 : les rapports pendant la période fin du XIXE siècle - Première Guerre mondiale
1. le "message" chrétien
2. les arguments économiques
3. le discours flamingant
Conclusions
Ch. 3 : les rapports dans les années 1920-début des années 1930
1. le "message" chrétien
2. les arguments économiques
3. le discours nationaliste flamand
Conclusions
Deuxième partie : la ville intolérante ? (1930-1940 environ)
Introduction
Ch. 4 : la communauté juive, les persécutions nazies et la politique belge en matière de réfugiés
1. les persécutions nazies
2. les réfugiés
3. la politique du gouvernement belge
Conclusions
Ch. 5 : l'essor des organisations d'Ordre nouveau (1930-1933 environ)
1. Anvers en 1932
2. les nationalistes belges : la Linaco et ses prédécesseurs
3. les nationalistes flamands (VKG, KVV, Verdinaso et VNV)
Conclusion
Ch. 6 : le "défi" national-socialiste (1933-1935 environ)
1. un état de la presse anversoise
2. indignation, solidarité et défiance
3. des actions antijuives isolées (?)
Conclusions
Ch. 7 : la polarisation politique (1936-mi 1938)
1. ANvers en 1936
2. La percée du "noyau dur" de l'antisémitisme et du national-socialisme (vers 1937-mi 1938)
3. Quelques rayons d'espoir : Leo Frenssen et des initatives nationalistes flamandes à "gauche"
Conclusions
Ch. 8 : un flux croissant de réfugiés et des réactions qui se multiplient (1938-1940)
1. Un revirement chez Rex et la réorganistaion de Volksverwing
2. la liquidation du Katholiek Bureau voor Israël (vers avril 1938)
3. la politique du gouvernement et le mécontentement dans les rangs libéraux et à "gauche"
4. Les élections communales d'octobre 1938
5. le radicalisme ne cesse de s'étendre
6. les suspects de mai 1940
Troisième partie : la ville occupée (1940-1944)
Introduction
Ch. 9 : la fête de la haine
1. les auteurs principaux
2. les coauteurs
3. les victimes
Conclusions
Ch. 10 : une "spécificité" anversoise ?
1. l'enregistrement des Juifs et les déportations au Limbourg (à partir de novembre 1940 environ)
2. une "nuit de cristal" anversoise
3. la radiation des avocats juifs (3/07/1941)
4. de nouvelles émeutes antijuives et des mesures locales (à partir de septembre 1941)
5. la liquidiation du commerce diamantaire juif à Anvers (avril 1942)
6. l'instauration de l'étoile de David et le travail obligatoire dans le nord de la France (à partir de juin 1942)
7. la déportation vers l'"Est" et la collaboration de la police anversoise (à partir d'août 1942)
8. Félic Lauterborn et consorts et rafles à la salle communale des fêtes d'Anvers (à partir de septembre 1942)
9. les hourras des milieux collaborationnistes
10. le bilan des persécutions
Conclusions : Anvers face à Bruxlles
Ch. 11 : les "spectateurs"
1. indifférents et passifs ?
2. "de vrais amis en temps de besoin" (Justes et CDJ/JVC d'Anvers)
Conclusions
Conclusions généralesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41418 940.531/SAE Livre Libre-accès Adultes Disponible 46267 940.531/SAE Livre Réserve - Exclu du prêt Gand n'est pas Anvers / MAGALI UYTTERHAEGHE in Le Monde Diplomatique, 578 (mai 2002)
[article] Gand n'est pas Anvers [texte imprimé] / MAGALI UYTTERHAEGHE . - 0000 . - pp. 4 - 5.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique > 578 (mai 2002) . - pp. 4 - 5[article]
Titre : Gand n'est pas Anvers Type de document : texte imprimé Auteurs : MAGALI UYTTERHAEGHE Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 4 - 5 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
329.18 Tendance d'extrême droite
329.18(493) Vlaams Belang (VB)
352(493) Anvers
352(493) Gand
353(493=393) FlandrePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Monde Diplomatique > 578 (mai 2002) . - pp. 4 - 5Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 25956/1 P/3298 Périodique Réserve Périodiques Disponible Gewone Vlamingen ? / Lieven Saerens in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
[article] Gewone Vlamingen ? : De jodenjagers van de Vlaamse SS in Antwerpen, 1942 (Deel 1) [texte imprimé] / Lieven Saerens, Auteur . - 2005 . - pp. 289-313.
Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 289-313
Catégories : 329.18(430)"1933-1945" SS (Schutzstaffel)
352(493) Anvers
353(493=393) Flandre
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Des Flamands ordinaires ? Les chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS à Anvers, 1942 (Première partie)
Ces dernières années, les recherches sur la persécution des Juifs en Belgique se sont accélérées. Ainsi, la collaboration des autorités anversoises et – en août 1942 – celle de la police communale d'Anvers s'est, en particulier, trouvée sous les feux des projecteurs. Divers aspects importants de cette problématique restaient néanmoins dans l'ombre. Ainsi, on n'avait pas encore totalement répondu à la question de savoir qui étaient réellement les chasseurs de Juifs à Anvers. Dans cet article en deux parties, nous tentons de combler ce vide en dressant un portrait de groupe des chasseurs de Juifs de la Sipo-SD et de l'Algemeene SS-Vlaanderen dans la cité scaldéenne. En quoi sont-ils 'ordinaires', comme opèrent-ils et qu'est-ce qui les motive ?
La recherche s'appuie en grande partie sur les dossiers personnels de la Justice militaire (Auditorat général). Au total, environ 60 dossiers ont été passés en revue. Outre des données sur la persécution des Juifs, les dossiers contiennent aussi de très intéressants éléments personnels sur les auteurs des faits. D'un grand intérêt sont les fiches signalétiques des SS, telles qu'elles ont été découvertes en mai 1945 dans un bâtiment de la Waffen-SS à Cologne par l'inspecteur de la Sûreté de l'État Maurice Miller. Elles contiennent notamment des données sur la date exacte d'adhésion aux SS-Vlaanderen et d'affiliation aux partis 'politiques' d'avant-guerre. Ces derniers éléments doivent cependant toujours être abordés avec la prudence qui s'impose. Tous les SS ne donnent pas un aperçu exhaustif de leurs affiliations d'avant-guerre. Certains ne considèrent même pas des mouvements de jeunesse comme les Jeunes Dinasos comme un parti politique. Pour certains SS, ce n'est pas non plus évident de savoir s'ils n'adhèrent pas plutôt au parti qu'ils mentionnent au début de l'occupation. Sur les responsables allemands de la Sicherheitspolizei (Sipo) und Sicherheitsdienst (SD ), en bref Sipo-SD, les données biographiques demeurent toutefois extrêmement pauvres. Cela s'explique par le fait qu'après la guerre, aucune des têtes dirigeantes de la Sipo-SD d'Anvers n'a été jugée. Il en va tout autrement pour les SS flamands. La plupart d'entre eux passent après-guerre devant les tribunaux. Malgré les trésors d'informations récoltés, les données disponibles, telles qu'elles sont conservées dans les dossiers de l'Auditorat général, ne permettent pas mener à terme la recherche prosopographique. Une partie importante des antécédents sociaux des chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS reste jusqu'à présent dans l'ombre. Ceci dit, nous pouvons tout de même brosser un 'portrait de groupe' provisoire.
Dans cette première partie, nous mettons en scène la Sipo-SD d'Anvers et ses interprètes, ainsi que le cadre de l'Algemeene SS. En outre, nous éclairons une première phase de la participation des SS anversois aux rafles des Juifs, notamment les actions aux services de ravitaillement d'Anvers et les jours qui suivent en septembre 1942.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Gewone Vlamingen ? : De jodenjagers van de Vlaamse SS in Antwerpen, 1942 (Deel 1) Type de document : texte imprimé Auteurs : Lieven Saerens, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 289-313 Note générale : Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 329.18(430)"1933-1945" SS (Schutzstaffel)
352(493) Anvers
353(493=393) Flandre
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Des Flamands ordinaires ? Les chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS à Anvers, 1942 (Première partie)
Ces dernières années, les recherches sur la persécution des Juifs en Belgique se sont accélérées. Ainsi, la collaboration des autorités anversoises et – en août 1942 – celle de la police communale d'Anvers s'est, en particulier, trouvée sous les feux des projecteurs. Divers aspects importants de cette problématique restaient néanmoins dans l'ombre. Ainsi, on n'avait pas encore totalement répondu à la question de savoir qui étaient réellement les chasseurs de Juifs à Anvers. Dans cet article en deux parties, nous tentons de combler ce vide en dressant un portrait de groupe des chasseurs de Juifs de la Sipo-SD et de l'Algemeene SS-Vlaanderen dans la cité scaldéenne. En quoi sont-ils 'ordinaires', comme opèrent-ils et qu'est-ce qui les motive ?
La recherche s'appuie en grande partie sur les dossiers personnels de la Justice militaire (Auditorat général). Au total, environ 60 dossiers ont été passés en revue. Outre des données sur la persécution des Juifs, les dossiers contiennent aussi de très intéressants éléments personnels sur les auteurs des faits. D'un grand intérêt sont les fiches signalétiques des SS, telles qu'elles ont été découvertes en mai 1945 dans un bâtiment de la Waffen-SS à Cologne par l'inspecteur de la Sûreté de l'État Maurice Miller. Elles contiennent notamment des données sur la date exacte d'adhésion aux SS-Vlaanderen et d'affiliation aux partis 'politiques' d'avant-guerre. Ces derniers éléments doivent cependant toujours être abordés avec la prudence qui s'impose. Tous les SS ne donnent pas un aperçu exhaustif de leurs affiliations d'avant-guerre. Certains ne considèrent même pas des mouvements de jeunesse comme les Jeunes Dinasos comme un parti politique. Pour certains SS, ce n'est pas non plus évident de savoir s'ils n'adhèrent pas plutôt au parti qu'ils mentionnent au début de l'occupation. Sur les responsables allemands de la Sicherheitspolizei (Sipo) und Sicherheitsdienst (SD ), en bref Sipo-SD, les données biographiques demeurent toutefois extrêmement pauvres. Cela s'explique par le fait qu'après la guerre, aucune des têtes dirigeantes de la Sipo-SD d'Anvers n'a été jugée. Il en va tout autrement pour les SS flamands. La plupart d'entre eux passent après-guerre devant les tribunaux. Malgré les trésors d'informations récoltés, les données disponibles, telles qu'elles sont conservées dans les dossiers de l'Auditorat général, ne permettent pas mener à terme la recherche prosopographique. Une partie importante des antécédents sociaux des chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS reste jusqu'à présent dans l'ombre. Ceci dit, nous pouvons tout de même brosser un 'portrait de groupe' provisoire.
Dans cette première partie, nous mettons en scène la Sipo-SD d'Anvers et ses interprètes, ainsi que le cadre de l'Algemeene SS. En outre, nous éclairons une première phase de la participation des SS anversois aux rafles des Juifs, notamment les actions aux services de ravitaillement d'Anvers et les jours qui suivent en septembre 1942.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 15 (2005) . - pp. 289-313Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40545/1 p/5213 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Gewone vlamingen ? / Lieven Saerens in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 16 (novembre 2005)
[article] Gewone vlamingen ? : de jodenjagers van de Vlaamse SS in Antwerpen, 1942 (deel 2) [texte imprimé] / Lieven Saerens, Auteur . - 2005 . - pp. 11-55.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 11-55
Catégories : 31 Statistique Démographie
314 Démographie Etude de la population Sondage
329.18(430)"1933-1945" SS (Schutzstaffel)
352(493) Anvers
353(493=393) Flandre
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Des Flamands ordinaires ? Les chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS à Anvers, 1942 (Seconde partie)
- Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Résumé :
Lorsqu'à l'été 1942, les Juifs ne furent plus disposés à se livrer volontairement, la Sipo-SD commença à opérer des rafles. Cette police ne fonctionnait pas dans un vide sociétal. Vu qu'elle manquait en permanence d'effectifs, elle fit appel à d'autres instances allemandes, mais aussi à des structures belges. Du côté allemand, elle reçut dès le départ l'aide de la Feldgendarmerie, qui dépendait de la Militärverwaltung. Du côté belge, elle tenta de faire intervenir la police locale. À Anvers, cela réussit, avec pour résultat l'engagement en bloc de la police d'Anvers lors de trois rafles en août 1942. Au cours de celle du 11 septembre 1942, il y eut aussi dans des domaines spécifiques, collaboration étroite avec la police anversoise. Plus tard, des agents de police anversois furent encore régulièrement 'réquisitionnés' de manière individuelle pour prendre part à l'arrestation de Juifs.
À partir des environs du 20 septembre 1942, la Sipo-SD d'Anvers eut recours aux SS du bataillon d'Anvers. Dans la collaboration des SS anversois, on peut grosso modo distinguer quatre phases. Dans une première, le bataillon fut engagé en bloc avec des membres de la Sipo-SD et la Feldgendarmerie. Suivit alors une phase plutôt 'chaotique', durant laquelle des SS flamands semblèrent plutôt agir de leur propre initiative. Dans une troisième phase, la Sipo-SD en appela à une vingtaine de volontaires de la SS flamande. Au cours de la dernière, quatre hommes de confiance de la SS furent sollicités, de concert avec Felix Lauterborn et la Sipo-SD (Dienststelle Erich Holm, le département juif). Les chasseurs de Juifs anversois accomplirent leur tâche librement et gratuitement. Pourtant, ils étaient tout sauf des idéalistes. En compensation, ils faisaient littéralement main basse sur tout ce qu'ils trouvaient.
Notre contribution, qui s'inscrit dans le cadre de l'étude de la persécution des Juifs en Belgique, porte résolument l'attention sur les criminels. Via une description d'une quarantaine de SS anversois chasseurs de Juifs, nous tentons d'accéder au niveau le plus concret et le plus élémentaire. Cela fournit le profil suivant. L'âge moyen des chasseurs de Juifs est de 27 ans. Une majorité d'entre eux font déjà partie avant-guerre des milieux nationalistes flamands liés à l'Ordre nouveau et anti-juifs. Il est aussi indicatif que 30 à 40 % des SS anversois chasseurs de Juifs adhèrent à l'Algemeene SS-Vlaanderen au cours de la période octobre-décembre 1940, soit presque immédiatement après sa création. Pour ce qui a trait aux réseaux politiques d'avant-guerre, un lien évident existe avec le Verdinaso. Pas moins de 32 à 35 % des chasseurs de Juifs proviennent de ce mouvement, ou du moins manifestent une sympathie à son égard.
Il est plus difficile de dégager les réseaux socio-culturels d'avant-guerre. Il est sûr en tout cas qu'un certain nombre de chasseurs de Juifs se connaissent déjà avant la guerre. Des cercles comme l'Académie des beaux-arts d'Anvers mériteraient à ce propos une recherche plus approfondie. Il est en effet remarquable de constater qu'un assez grand nombre de chasseurs de Juifs témoignent de certaines aptitudes et d'un certain intérêt artistiques. Pour ce qui est du niveau d'études, la plupart ne paraissent avoir suivi que l'enseignement primaire. Du point de vue professionnel, on est frappé par l'assez grand nombre d'employés modestes. Les ouvriers d'usine et de la construction n'apparaissent pas parmi les chasseurs de Juifs anversois.
Étant donné qu'une majorité d'entre eux ont déjà milité avant-guerre dans des organisations nazifiées d'Ordre nouveau et ouvertement anti-juives, il va de soi que les chasseurs de Juifs ne sont pas des enfants de chœur. Ils n'en sont pas pour autant des canailles. L'immense majorité a un casier judiciaire vierge. Encore plus remarquable est le fait que la majorité (60 %) se déclare "catholique romain" et qu'au moins 20 autres % sont manifestement d'origine catholique. Bien qu'un certain nombre de chasseurs de Juifs aient souffert de la crise des années 1930, il ne paraît pas s'agir de personnes nées 'perdantes'. Bref, ils ne proviennent pas de groupes sociaux marginalisés, mais paraissent, sous de nombreux aspects, juste de très ordinaires 'petites gens', aux racines (petites) bourgeoises. Cela n'empêche pas que plusieurs semblent être d'éternels mécontents, toujours dépités et extrêmement égocentriques, ce qui en fait des êtres difficiles à tenir en mains. La guerre enclenche très rapidement chez eux un processus de brutalisation. Au cours des rafles de Juifs, ils sombrent dans une violence brutale, qui n'épargne ni les enfants, ni les femmes, ni les malades, ni les personnes âgées. En outre, les circonstances de guerre augmentent indéniablement l'égo d'un certain nombre d'entre eux.
La justice d'après-guerre fut relativement clémente avec les chasseurs de Juifs. La plupart d'entre eux furent libérés au plus tard en 1951. De ceux qui avaient été condamnés à mort, aucun ne fut exécuté. Après un certain temps, pas moins d'une dizaine parmi la trentaine de chasseurs de Juifs non condamnés par contumace, soit 33 % d'entre eux, furent réhabilités. De manière générale, on peut d'ailleurs dire que les enquêtes menées après-guerre sur la persécution des Juifs en Belgique ne l'ont pas été à fond. Bien que cette recherche révèle un lien évident entre national-socialisme et persécution des Juifs, ce lien disparut très rapidement de la mémoire collective après le conflit.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Gewone vlamingen ? : de jodenjagers van de Vlaamse SS in Antwerpen, 1942 (deel 2) Type de document : texte imprimé Auteurs : Lieven Saerens, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 11-55 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 31 Statistique Démographie
314 Démographie Etude de la population Sondage
329.18(430)"1933-1945" SS (Schutzstaffel)
352(493) Anvers
353(493=393) Flandre
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Collaboration Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Vie quotidienne Occupation Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Judéocide / ShoahRésumé : Des Flamands ordinaires ? Les chasseurs de Juifs de la Vlaamse SS à Anvers, 1942 (Seconde partie)
- Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Résumé :
Lorsqu'à l'été 1942, les Juifs ne furent plus disposés à se livrer volontairement, la Sipo-SD commença à opérer des rafles. Cette police ne fonctionnait pas dans un vide sociétal. Vu qu'elle manquait en permanence d'effectifs, elle fit appel à d'autres instances allemandes, mais aussi à des structures belges. Du côté allemand, elle reçut dès le départ l'aide de la Feldgendarmerie, qui dépendait de la Militärverwaltung. Du côté belge, elle tenta de faire intervenir la police locale. À Anvers, cela réussit, avec pour résultat l'engagement en bloc de la police d'Anvers lors de trois rafles en août 1942. Au cours de celle du 11 septembre 1942, il y eut aussi dans des domaines spécifiques, collaboration étroite avec la police anversoise. Plus tard, des agents de police anversois furent encore régulièrement 'réquisitionnés' de manière individuelle pour prendre part à l'arrestation de Juifs.
À partir des environs du 20 septembre 1942, la Sipo-SD d'Anvers eut recours aux SS du bataillon d'Anvers. Dans la collaboration des SS anversois, on peut grosso modo distinguer quatre phases. Dans une première, le bataillon fut engagé en bloc avec des membres de la Sipo-SD et la Feldgendarmerie. Suivit alors une phase plutôt 'chaotique', durant laquelle des SS flamands semblèrent plutôt agir de leur propre initiative. Dans une troisième phase, la Sipo-SD en appela à une vingtaine de volontaires de la SS flamande. Au cours de la dernière, quatre hommes de confiance de la SS furent sollicités, de concert avec Felix Lauterborn et la Sipo-SD (Dienststelle Erich Holm, le département juif). Les chasseurs de Juifs anversois accomplirent leur tâche librement et gratuitement. Pourtant, ils étaient tout sauf des idéalistes. En compensation, ils faisaient littéralement main basse sur tout ce qu'ils trouvaient.
Notre contribution, qui s'inscrit dans le cadre de l'étude de la persécution des Juifs en Belgique, porte résolument l'attention sur les criminels. Via une description d'une quarantaine de SS anversois chasseurs de Juifs, nous tentons d'accéder au niveau le plus concret et le plus élémentaire. Cela fournit le profil suivant. L'âge moyen des chasseurs de Juifs est de 27 ans. Une majorité d'entre eux font déjà partie avant-guerre des milieux nationalistes flamands liés à l'Ordre nouveau et anti-juifs. Il est aussi indicatif que 30 à 40 % des SS anversois chasseurs de Juifs adhèrent à l'Algemeene SS-Vlaanderen au cours de la période octobre-décembre 1940, soit presque immédiatement après sa création. Pour ce qui a trait aux réseaux politiques d'avant-guerre, un lien évident existe avec le Verdinaso. Pas moins de 32 à 35 % des chasseurs de Juifs proviennent de ce mouvement, ou du moins manifestent une sympathie à son égard.
Il est plus difficile de dégager les réseaux socio-culturels d'avant-guerre. Il est sûr en tout cas qu'un certain nombre de chasseurs de Juifs se connaissent déjà avant la guerre. Des cercles comme l'Académie des beaux-arts d'Anvers mériteraient à ce propos une recherche plus approfondie. Il est en effet remarquable de constater qu'un assez grand nombre de chasseurs de Juifs témoignent de certaines aptitudes et d'un certain intérêt artistiques. Pour ce qui est du niveau d'études, la plupart ne paraissent avoir suivi que l'enseignement primaire. Du point de vue professionnel, on est frappé par l'assez grand nombre d'employés modestes. Les ouvriers d'usine et de la construction n'apparaissent pas parmi les chasseurs de Juifs anversois.
Étant donné qu'une majorité d'entre eux ont déjà milité avant-guerre dans des organisations nazifiées d'Ordre nouveau et ouvertement anti-juives, il va de soi que les chasseurs de Juifs ne sont pas des enfants de chœur. Ils n'en sont pas pour autant des canailles. L'immense majorité a un casier judiciaire vierge. Encore plus remarquable est le fait que la majorité (60 %) se déclare "catholique romain" et qu'au moins 20 autres % sont manifestement d'origine catholique. Bien qu'un certain nombre de chasseurs de Juifs aient souffert de la crise des années 1930, il ne paraît pas s'agir de personnes nées 'perdantes'. Bref, ils ne proviennent pas de groupes sociaux marginalisés, mais paraissent, sous de nombreux aspects, juste de très ordinaires 'petites gens', aux racines (petites) bourgeoises. Cela n'empêche pas que plusieurs semblent être d'éternels mécontents, toujours dépités et extrêmement égocentriques, ce qui en fait des êtres difficiles à tenir en mains. La guerre enclenche très rapidement chez eux un processus de brutalisation. Au cours des rafles de Juifs, ils sombrent dans une violence brutale, qui n'épargne ni les enfants, ni les femmes, ni les malades, ni les personnes âgées. En outre, les circonstances de guerre augmentent indéniablement l'égo d'un certain nombre d'entre eux.
La justice d'après-guerre fut relativement clémente avec les chasseurs de Juifs. La plupart d'entre eux furent libérés au plus tard en 1951. De ceux qui avaient été condamnés à mort, aucun ne fut exécuté. Après un certain temps, pas moins d'une dizaine parmi la trentaine de chasseurs de Juifs non condamnés par contumace, soit 33 % d'entre eux, furent réhabilités. De manière générale, on peut d'ailleurs dire que les enquêtes menées après-guerre sur la persécution des Juifs en Belgique ne l'ont pas été à fond. Bien que cette recherche révèle un lien évident entre national-socialisme et persécution des Juifs, ce lien disparut très rapidement de la mémoire collective après le conflit.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 16 (novembre 2005) . - pp. 11-55Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40936/1 p/5476 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible De Groei van een anti-Joods klimaat te Antwerpen : de houding van de advocaten (1936-1941) / Lieven Saerens in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 12 (juin 1986)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 35890/1 P/4501 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible PermalinkHans Van Themsche / Marie-Cécile Royen in Le Vif / L'Express, 2540 ([05/10/2007])
PermalinkDe haven van Antwerpen en de diplomatieke en commerciële erkenning van de Sovjet-Unie, 1918-1935 / Frank Seberechts in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 15 (2005)
PermalinkHet leven moet doorgaan. De joden in Antwerpen na de bevrijding, 1944-1945 / Veerle Vanden Daelen in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 13/14 (décembre 2004)
PermalinkHitler, Haider, ANvers / Patrice Dartevelle in Espace de Libertés, 280 (avril 2000)
PermalinkL'honneur bafoué des dockers in Le Vif / L'Express, 49 ([05/12/2014])
PermalinkHugo Coveliers : l'inoxydable playmobil / Dirk Vanoverbeke in Farde Articles 2005, 3 (2005)
PermalinkIl ne nous reste plus tellement de temps pour faire entendre notre voix / Charles Brusselairs
PermalinkPermalinkInternational Blood and Honour gig near Antwerp / Wim Haelsterman in Searchlight, 356 (february 2005)
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PermalinkDe joodse archieven van het Provinciebestuur Antwerpen / LAURENCE SCHRAM in Cahiers de la Mémoire contemporaine, 3 (2001)
PermalinkLe Juge expulse des mineurs / Martine Vandemeulebroucke in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkDe klippen des nationalismus : de Eerste Wereldoorlog en de ondergang van de Duitse kolonie in Antwerpen / Antoon Vrints in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 10 (2002)
PermalinkLa Ligue arabe flique... la police / EDDY SURMONT in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkLe Lion noir / Alain Berenboom
PermalinkLutter contre l'extrême droite : une prudence excessive? / Emile Servais in Intermag, ([06/09/2006])
PermalinkM. Abou Jahjah sous mandat d'arrêt pour délits de droit commun in Farde Articles 2002, (2002)
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