Catégories
> 3 Sciences sociales > 35 Administration publique et Art militaire > 355 Art militaire en général > 355.4 Stratégie Opérations de guerre > 355.40 Service secret. Espionnage
355.40 Service secret. Espionnage |
Documents disponibles dans cette catégorie (174)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
Le Mossad se penche sur la Belgique / Serge Dumont in Farde Articles 2003, (2003)
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31002/1 P/4940 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Mutations des pratiques répressives de la police secrète tchécoslovaque (1946-1968) / Duane Huguenin in Vingtième siècle, 96 (octobre-décembre 2007)
[article] Mutations des pratiques répressives de la police secrète tchécoslovaque (1946-1968) : du recours à la force au contrôle social [texte imprimé] / Duane Huguenin, Auteur . - 2007 . - pp. 163-177.
Langues : Français (fre)
in Vingtième siècle > 96 (octobre-décembre 2007) . - pp. 163-177
Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
351.74 Force publique - police
355.40 Service secret. Espionnage
94(437)"...-1993" Histoire de la TchécoslovaquieRésumé : Cet article analyse les mutations des pratiques répressives de la police secrète tchécoslovaque (Státnà Bezpecnost) entre 1946 et 1968. Cette période est souvent décrite comme un moment de libéralisation progressive conduisant au printemps de Prague. En effet, la répression devient moins dure et moins visible, même si l’activité de la police secrète continue à croître, notamment avec la multiplication des dites « mesures prophylactiques ». Celles-ci permettent de clore un dossier sans jugement, mais avec des sanctions administratives. Leur principal intérêt réside dans les réunions qu’elles impliquent. Là , les représentants du pouvoir apparaissent sur scène et révèlent les « crimes » devant une large audience, faisant ainsi preuve d’omniscience, clémence et magnanimité. Ces réunions suivent un déroulement strictement codifié, et constituent un rituel politique qui met en scène l’union du pouvoir et du peuple dans un moment de populaire et donc légitime justice. Ces mesures impliquent la collaboration entre la police secrète et des organisation socio-économiques (syndicats, entreprises…), élargissant le spectre des activités sociales qui peuvent être contrôlées. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Mutations des pratiques répressives de la police secrète tchécoslovaque (1946-1968) : du recours à la force au contrôle social Type de document : texte imprimé Auteurs : Duane Huguenin, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 163-177 Langues : Français (fre) Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
351.74 Force publique - police
355.40 Service secret. Espionnage
94(437)"...-1993" Histoire de la TchécoslovaquieRésumé : Cet article analyse les mutations des pratiques répressives de la police secrète tchécoslovaque (Státnà Bezpecnost) entre 1946 et 1968. Cette période est souvent décrite comme un moment de libéralisation progressive conduisant au printemps de Prague. En effet, la répression devient moins dure et moins visible, même si l’activité de la police secrète continue à croître, notamment avec la multiplication des dites « mesures prophylactiques ». Celles-ci permettent de clore un dossier sans jugement, mais avec des sanctions administratives. Leur principal intérêt réside dans les réunions qu’elles impliquent. Là , les représentants du pouvoir apparaissent sur scène et révèlent les « crimes » devant une large audience, faisant ainsi preuve d’omniscience, clémence et magnanimité. Ces réunions suivent un déroulement strictement codifié, et constituent un rituel politique qui met en scène l’union du pouvoir et du peuple dans un moment de populaire et donc légitime justice. Ces mesures impliquent la collaboration entre la police secrète et des organisation socio-économiques (syndicats, entreprises…), élargissant le spectre des activités sociales qui peuvent être contrôlées. Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Vingtième siècle > 96 (octobre-décembre 2007) . - pp. 163-177Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43308 vin Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Nazis bons pour les services / Blandine Milcent in Le Vif / L'Express, 15 ([15/04/2011])
[article] Nazis bons pour les services [texte imprimé] / Blandine Milcent, Auteur . - 2011 . - p. 66.
Langues : Français (fre)
in Le Vif / L'Express > 15 [15/04/2011] . - p. 66
Catégories : (430) Allemagne
321.6"1933/1945" Nazisme
355.40 Service secret. EspionnageRésumé : Chapeau de l'article:
"Les archives de l'espionnage ouest-allemand livrent leurs secrets. Barbie était l'un de ses agents. Parmi nombre d'autres recrues..."Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Nazis bons pour les services Type de document : texte imprimé Auteurs : Blandine Milcent, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 66 Langues : Français (fre) Catégories : (430) Allemagne
321.6"1933/1945" Nazisme
355.40 Service secret. EspionnageRésumé : Chapeau de l'article:
"Les archives de l'espionnage ouest-allemand livrent leurs secrets. Barbie était l'un de ses agents. Parmi nombre d'autres recrues..."Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Vif / L'Express > 15 [15/04/2011] . - p. 66Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le nerf de la guerre secrète. Le financement des services de renseignements en Belgique / Emmanuel Debruyne in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 13/14 (décembre 2004)
[article] Le nerf de la guerre secrète. Le financement des services de renseignements en Belgique [texte imprimé] / Emmanuel Debruyne . - 2004 . - pp. 223-265.
Langues : Français (fre)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 13/14 (décembre 2004) . - pp. 223-265
Catégories : 336 Finances
355.40(493) Service secret (B)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : De même que l'ensemble des organisations de résistance, les services de renseignements doivent tenir compte pour assurer leur existence d'un certain nombre de contingences matérielles. Le financement constitue à ce titre un problème épineux. En effet, même si la plupart des agents ne sont pas rétribués, le seul fonctionnement d'un service engloutit des sommes considérables. Il faut en effet rembourser les frais de déplacement de certains agents ou se procurer le matériel nécessaire. De plus, les services créent généralement une 'caisse sociale' destinée à aider les proches d'agents capturés par l'ennemi. Le nombre croissant d'arrestations entraînera des charges de plus en plus lourde dans ce domaine.
La Sûreté de l'État, rétablie à Londres par le gouvernement en exil, va s'efforcer d'assurer ce financement. Elle fera parvenir aux services clandestins des francs belges rachetés à bas prix sur des places étrangères. À partir de 1942, le tarissement de cette masse monétaire disponible dans les pays neutres ou alliés conduira à rechercher des solutions alternatives. La fourniture de dollars aux réseaux sera la principale réponse à ce problème. Elle posera cependant des problèmes importants sur le terrain, où les services vont être contraints de se livrer à des opérations de change à la fois risquées et tributaires des importantes fluctuations du cours clandestin de la devise américaine. La Sûreté tentera de contourner ces difficultés en délivrant à ses services des diamants ou des bons du Trésor, mais ces méthodes ne s'avèreront pas vraiment idéales.
Une grande partie de ces sommes seront acheminées vers les territoires occupés via la Péninsule ibérique. Mais les agents parachutés seront eux aussi dotés de quantités de capitaux destinés aux services, et cette méthode sera complétée à partir de 1943 par le largage de containers. La complicité de certains financiers permettra également de recourir à des opérations de compensation entre partenaires situés de part et d'autre des limites de la zone d'occupation, qui permettent de fournir des liquidités en s'affranchissant des contraintes de leur transport. Encore faudra-t-il aux organisations clandestines assurer la gestion et la conservation de sommes dépassant parfois le million de francs belges.
Les difficultés inhérentes à l'acheminement des fonds, la baisse du coût du dollar et la hausse des dépenses se conjugueront en 1943 pour plonger beaucoup de services dans une crise financière aiguë. Celle-ci nuira à leurs activités et nourrira un ressentiment croissant de leur part envers la Sûreté, à qui ils attribueront la responsabilité de la situation.
Les aléas de l'acheminement des ressources financières conduiront les réseaux à chercher des ressources complémentaires en Belgique occupée. L'emprunt est l'expédient auquel ils auront le plus souvent recours. Certains services d'adonneront aussi à des pratiques plus marginales, telles que la vente de matériel militaire belge, la perquisition ou même la cambriole !
Au total, l'utilité militaire, politique et économique des services de renseignements belges semble amplement justifier les 100 à 150 millions de francs qu'ont englouti en quatre ans leurs budgets de fonctionnement. Il convient cependant d'ajouter à cette enveloppe les primes et les dédommagements consacrés ultérieurement aux agents et à leurs ayant-droits.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Le nerf de la guerre secrète. Le financement des services de renseignements en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Debruyne Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 223-265 Langues : Français (fre) Catégories : 336 Finances
355.40(493) Service secret (B)
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
94(493)"1939/45" Résistance BelgiqueRésumé : De même que l'ensemble des organisations de résistance, les services de renseignements doivent tenir compte pour assurer leur existence d'un certain nombre de contingences matérielles. Le financement constitue à ce titre un problème épineux. En effet, même si la plupart des agents ne sont pas rétribués, le seul fonctionnement d'un service engloutit des sommes considérables. Il faut en effet rembourser les frais de déplacement de certains agents ou se procurer le matériel nécessaire. De plus, les services créent généralement une 'caisse sociale' destinée à aider les proches d'agents capturés par l'ennemi. Le nombre croissant d'arrestations entraînera des charges de plus en plus lourde dans ce domaine.
La Sûreté de l'État, rétablie à Londres par le gouvernement en exil, va s'efforcer d'assurer ce financement. Elle fera parvenir aux services clandestins des francs belges rachetés à bas prix sur des places étrangères. À partir de 1942, le tarissement de cette masse monétaire disponible dans les pays neutres ou alliés conduira à rechercher des solutions alternatives. La fourniture de dollars aux réseaux sera la principale réponse à ce problème. Elle posera cependant des problèmes importants sur le terrain, où les services vont être contraints de se livrer à des opérations de change à la fois risquées et tributaires des importantes fluctuations du cours clandestin de la devise américaine. La Sûreté tentera de contourner ces difficultés en délivrant à ses services des diamants ou des bons du Trésor, mais ces méthodes ne s'avèreront pas vraiment idéales.
Une grande partie de ces sommes seront acheminées vers les territoires occupés via la Péninsule ibérique. Mais les agents parachutés seront eux aussi dotés de quantités de capitaux destinés aux services, et cette méthode sera complétée à partir de 1943 par le largage de containers. La complicité de certains financiers permettra également de recourir à des opérations de compensation entre partenaires situés de part et d'autre des limites de la zone d'occupation, qui permettent de fournir des liquidités en s'affranchissant des contraintes de leur transport. Encore faudra-t-il aux organisations clandestines assurer la gestion et la conservation de sommes dépassant parfois le million de francs belges.
Les difficultés inhérentes à l'acheminement des fonds, la baisse du coût du dollar et la hausse des dépenses se conjugueront en 1943 pour plonger beaucoup de services dans une crise financière aiguë. Celle-ci nuira à leurs activités et nourrira un ressentiment croissant de leur part envers la Sûreté, à qui ils attribueront la responsabilité de la situation.
Les aléas de l'acheminement des ressources financières conduiront les réseaux à chercher des ressources complémentaires en Belgique occupée. L'emprunt est l'expédient auquel ils auront le plus souvent recours. Certains services d'adonneront aussi à des pratiques plus marginales, telles que la vente de matériel militaire belge, la perquisition ou même la cambriole !
Au total, l'utilité militaire, politique et économique des services de renseignements belges semble amplement justifier les 100 à 150 millions de francs qu'ont englouti en quatre ans leurs budgets de fonctionnement. Il convient cependant d'ajouter à cette enveloppe les primes et les dédommagements consacrés ultérieurement aux agents et à leurs ayant-droits.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 13/14 (décembre 2004) . - pp. 223-265Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40278/1 p/5082 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Nos fusillés (recruteurs et espions) / Charles Tytgat
Nos fusillés (recruteurs et espions) [texte imprimé] / Charles Tytgat, Auteur . - Bruxelles : Charles Bulens & Cie, 1919 . - 1 vol. (184 p.) ; 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 355.40 Service secret. Espionnage
929 Biographies et témoignages
94(100)"1914/18" Histoire Première Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Résistance Première Guerre mondialeIndex. décimale : 929 Biographies Note de contenu : Table
Introduction
L'affaire Baucq-Clavell et consorts
L'affaire Corbisier
Louis Neyts
L'affaire Uytebrouck-Mertens-Wanty-Schmitz
Le grand procès d'espionnage de Mons
Louis Bril, justicier
Pitje BodsonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Nos fusillés (recruteurs et espions) Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tytgat, Auteur Editeur : Bruxelles : Charles Bulens & Cie Année de publication : 1919 Importance : 1 vol. (184 p.) Format : 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : 355.40 Service secret. Espionnage
929 Biographies et témoignages
94(100)"1914/18" Histoire Première Guerre mondiale
94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle
Résistance Première Guerre mondialeIndex. décimale : 929 Biographies Note de contenu : Table
Introduction
L'affaire Baucq-Clavell et consorts
L'affaire Corbisier
Louis Neyts
L'affaire Uytebrouck-Mertens-Wanty-Schmitz
Le grand procès d'espionnage de Mons
Louis Bril, justicier
Pitje BodsonPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52364 RP/TYT Livre Libre-accès Réserve "précieuse" Exclu du prêt Notre monde est-il plus dangereux?
PermalinkLa Nouvelle Sûreté de l'Etat est sur les rails / Xavier Bekaert in Libertés !, 347 (octobre 1998)
PermalinkLa NSA à l'écoute / ARIS ROUBOS in Avancées, 86 (mars 2000)
PermalinkL'Oeil des renseignements généraux / Laurent Bonelli in Manière de voir, 56 (mars-avril 2001)
PermalinkOklahoma bombing fails to halt growth of "Christian patriots" in Searchlight, 261 (March 1997)
PermalinkOnze septembre, les quatre "ratages" du FBI + "Oh ! Mon dieur. Je t'aime" / Alain Lallemand in Farde Articles 2002, (2002)
PermalinkOrchestre rouge / Gilles Perrault
PermalinkLes Pandores nous préparaient un coup en or / JEAN-PIERRE DE STAERCKE in Farde Articles 2000, (2000)
PermalinkParachutées en terre ennemie / Monika Siedentopf
PermalinkParis n'a pas le monopole du Baron Noir / Philippe Brewaeys in Celsius, 14 (décembre 1988)
Permalink