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Travail et banalité du mal / JOSEPH TORRENTE in Revue d'histoire de la Shoah, 175 (mai-août 2002)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 27211/1 P/3467 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Travail communautaire ? Action ! in Agenda Interculturel, 235 (septembre 2005)
[article] Travail communautaire ? Action ! : dossier [texte imprimé] . - 2005 . - pp. 1-27.
Langues : Français (fre)
in Agenda Interculturel > 235 (septembre 2005) . - pp. 1-27
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.73 Interculturel Métissage Différence MulticulturelRésumé : Edito par Massimo Bortolini
Juin 2004. Forum des cultures à Barcelone. Trois jours sont consacrés à la médiation dans la ville, et au lien dans la communauté. Les matins, défilent experts théoriciens et praticiens de la médiation qui en conférences et dialogues apportent leur savoir. Les après-midi sont dévolus à des ateliers qui illustrent autant d’expériences, parfois en temps réels, de médiation communautaire.
Cet après-midi-là , j’avais décidé de découvrir comment l’art pouvait participer à restaurer le lien dans la ville et comment construire des châteaux en Espagne. Josef Maria Marti est artiste conceptuel. Il investit un espace et le transforme en lui rendant une dimension humaine.
Ainsi au Japon, dans un village au milieu de nulle part, un abri où l’on attend le bus devient un espace où chacun dit quelque chose de lui et du lieu, chacun participant à la construction d’un carnet ethnologique du village le temps d’une attente qui souvent se prolonge.
Ainsi à Mexico-City, où une école abandonnée est investie par des enfants des rues et des travailleurs du bâtiment pour la transformer en ludothèque.
Ainsi à Barcelone, où un bus propose des téléphones mobiles gratuits dont les opérateurs sont des écrivains qui raconteront plus tard la chronique de tous ces déracinés qui trouvent là une connexion avec leur pays de départ.
Ainsi à Neufchâtel, cette ancienne bâtisse transformée en maison de la médiation où qui veut vient le temps qu’il veut pour construire, avec de grands blocs type lego géants, quelque chose avec celui ou celle avec qui il est en conflit.
Les castello sont des constructions humaines érigées dans toute la Catalogne. Chaque village rivalise d’ingéniosité ou de technique pour aller plus haut, monter plus fou. Les castells fixe un moment où le village entier se réunit pour soutenir les castellers dans leur entreprise de symboliser la solidité, la détermination, le savoir-faire d’une communauté.
Ces deux ateliers au Forum de Barcelone ont parfaitement illustré ce que la médiation entendue dans le sens très large peut apporter à une communauté de vie. Dans son intervention, l’artiste-médiateur nous a rappelé au moins deux réalités. Tout d’abord, ce sont les habitants qui connaissent leur espace suffisamment pour y trouver les ressources à sa survie, à sa réunification ; l’intervention extérieure doit donc se limiter à un accompagnement bienveillant. Ensuite, c’est en faisant ensemble que l’on trouve le minimum commun pour commencer à régler ensemble le conflit qui nous oppose et qui nous lie.
Les castellers-médiateurs de Villafranca rappellent aussi deux éléments nécessaires à la vie d’un groupe humain. Primo, au-delà des discours normalisants sur l’intégration, c’est dans l’activité commune, le partage, le faire ensemble que la communauté saura accueillir dignement le nouveau venu et lui faire une juste place, et pas dans une mise à l’écart aussi ouverte soit-elle. Secondo, lorsqu’un membre du castells en construction vacille et tombe, il ne sert à rien de s’écarter pour éviter le choc, parce qu’à terme c’est toute la construction qui vacille et qui tombe. Aussi la règle chez les castellers est-elle de redoubler d’effort pour soutenir et renforcer l’ensemble.
L’action communautaire et la médiation trouvent dans ces quelques exemples leur sens et leur importance : (re)donner aux habitants le choix, la légitimité, la possibilité de faire ensemble, mais aussi les responsabiliser dans ces choix, cette légitimité, ce faire ensemble. Ce n’est que dans ce deuxième moment que l’intervention extérieure politique prouve son utilité, dans les limites de la bienveillance, et non dans le contrôle qui, souvent, n’est qu’une manière d’éviter de distinguer celui qui vacille, voire de le punir.
Sommaire :
La médiation dans la communauté locale par Geoffrey François
Comme le souligne le manifeste de l’association française nationale des Médiateurs dans la Ville, alors même que les outils de communication prolifèrent, qu’ils relient tous les lieux de notre planète, nous savons bien que la communication, dans la vie concrète et quotidienne de nos cités est défaillante, le tissu social se désintègre… La médiation (...) peut apporter sa quote-part, de manière spécifique, dans le travail urgent de consolidation du tissu social, de tous les rapports entre citoyens
Pas claire, la demande de projet ! par Suzanne Rosenberg
Le projet communautaire produit des effets multiples et parfois pervers : si les règles du jeu décisionnel n’ont pas été précisées, il peut s’avérer un «marché de dupes». D’où les questions : comment monter un projet de quartier ? Faut-il même faire un projet ?
Ne pas confondre État social actif et développement communautaire par Hugues-Olivier Hubert
Aujourd’hui, en Belgique comme en Europe, l’Etat providence a cédé la place à l’Etat social actif. L’objectif est-il de permettre au citoyen de participer activement à la protection et à l’émancipation sociales ? Ou s’agit-il d’une opération cosmétique libérale pour un social à la marge ?
Du jeu pour l’institution par Serge Antoine Claeys
Communication intersubjective qui permet de se réapproprier la parole et l’action, la médiation ne doit pas remplacer les politiques publiques, mais bien être menée par les institutions qui reflètent, en principe, l’expression de la volonté générale. Plaidoyer pour la médiation comme «la meilleures méthode » de règlement des violences et exclusions sociales.
Bilan de santé... communautaire : Entretiens
L’amélioration de la santé de la population tient à une action non seulement sur des facteurs biologiques, mais aussi sociaux, économiques, culturels, éducatifs. Comment insuffler une dynamique pour que les gens participent à un processus de santé à la fois individuel et collectif, dans une perspective de santé globale ? Réponses croisées de Jacques Morel, secrétaire général de la Fédération des maisons médicales, qui met l’accent sur le lien social et l’action de proximité, et de Bernadette Lambrecht, chef de cabinet adjoint de la ministre de la Santé en Communauté française, qui parle de priorités précises avec obligation de résultats visibles dans un contexte où la promotion de la santé risque peut-être de disparaître faute de budget.
Les mouvements sociaux comme espaces éducatifs par Raúl Zibechi
Parce que l’Amérique latine représente un des berceaux majeurs du travail communautaire, nous avons choisi d’illustrer cette expérience à travers l’article d’un journaliste uruguayen sur les enjeux de l’éducation comme logique d’émancipation sociale.
« On ne demande pas plus que l’égalité » par Julie Barbeaux
Etre jeune à Matongé, endosser la différence. L’indifférence peut-être. Matongé, un ghetto ? Police-parents, un tandem médiateur au niveau micro local. Petit bréviaire d’une tentative de sauvetage avortée.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Travail communautaire ? Action ! : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 1-27 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.73 Interculturel Métissage Différence MulticulturelRésumé : Edito par Massimo Bortolini
Juin 2004. Forum des cultures à Barcelone. Trois jours sont consacrés à la médiation dans la ville, et au lien dans la communauté. Les matins, défilent experts théoriciens et praticiens de la médiation qui en conférences et dialogues apportent leur savoir. Les après-midi sont dévolus à des ateliers qui illustrent autant d’expériences, parfois en temps réels, de médiation communautaire.
Cet après-midi-là , j’avais décidé de découvrir comment l’art pouvait participer à restaurer le lien dans la ville et comment construire des châteaux en Espagne. Josef Maria Marti est artiste conceptuel. Il investit un espace et le transforme en lui rendant une dimension humaine.
Ainsi au Japon, dans un village au milieu de nulle part, un abri où l’on attend le bus devient un espace où chacun dit quelque chose de lui et du lieu, chacun participant à la construction d’un carnet ethnologique du village le temps d’une attente qui souvent se prolonge.
Ainsi à Mexico-City, où une école abandonnée est investie par des enfants des rues et des travailleurs du bâtiment pour la transformer en ludothèque.
Ainsi à Barcelone, où un bus propose des téléphones mobiles gratuits dont les opérateurs sont des écrivains qui raconteront plus tard la chronique de tous ces déracinés qui trouvent là une connexion avec leur pays de départ.
Ainsi à Neufchâtel, cette ancienne bâtisse transformée en maison de la médiation où qui veut vient le temps qu’il veut pour construire, avec de grands blocs type lego géants, quelque chose avec celui ou celle avec qui il est en conflit.
Les castello sont des constructions humaines érigées dans toute la Catalogne. Chaque village rivalise d’ingéniosité ou de technique pour aller plus haut, monter plus fou. Les castells fixe un moment où le village entier se réunit pour soutenir les castellers dans leur entreprise de symboliser la solidité, la détermination, le savoir-faire d’une communauté.
Ces deux ateliers au Forum de Barcelone ont parfaitement illustré ce que la médiation entendue dans le sens très large peut apporter à une communauté de vie. Dans son intervention, l’artiste-médiateur nous a rappelé au moins deux réalités. Tout d’abord, ce sont les habitants qui connaissent leur espace suffisamment pour y trouver les ressources à sa survie, à sa réunification ; l’intervention extérieure doit donc se limiter à un accompagnement bienveillant. Ensuite, c’est en faisant ensemble que l’on trouve le minimum commun pour commencer à régler ensemble le conflit qui nous oppose et qui nous lie.
Les castellers-médiateurs de Villafranca rappellent aussi deux éléments nécessaires à la vie d’un groupe humain. Primo, au-delà des discours normalisants sur l’intégration, c’est dans l’activité commune, le partage, le faire ensemble que la communauté saura accueillir dignement le nouveau venu et lui faire une juste place, et pas dans une mise à l’écart aussi ouverte soit-elle. Secondo, lorsqu’un membre du castells en construction vacille et tombe, il ne sert à rien de s’écarter pour éviter le choc, parce qu’à terme c’est toute la construction qui vacille et qui tombe. Aussi la règle chez les castellers est-elle de redoubler d’effort pour soutenir et renforcer l’ensemble.
L’action communautaire et la médiation trouvent dans ces quelques exemples leur sens et leur importance : (re)donner aux habitants le choix, la légitimité, la possibilité de faire ensemble, mais aussi les responsabiliser dans ces choix, cette légitimité, ce faire ensemble. Ce n’est que dans ce deuxième moment que l’intervention extérieure politique prouve son utilité, dans les limites de la bienveillance, et non dans le contrôle qui, souvent, n’est qu’une manière d’éviter de distinguer celui qui vacille, voire de le punir.
Sommaire :
La médiation dans la communauté locale par Geoffrey François
Comme le souligne le manifeste de l’association française nationale des Médiateurs dans la Ville, alors même que les outils de communication prolifèrent, qu’ils relient tous les lieux de notre planète, nous savons bien que la communication, dans la vie concrète et quotidienne de nos cités est défaillante, le tissu social se désintègre… La médiation (...) peut apporter sa quote-part, de manière spécifique, dans le travail urgent de consolidation du tissu social, de tous les rapports entre citoyens
Pas claire, la demande de projet ! par Suzanne Rosenberg
Le projet communautaire produit des effets multiples et parfois pervers : si les règles du jeu décisionnel n’ont pas été précisées, il peut s’avérer un «marché de dupes». D’où les questions : comment monter un projet de quartier ? Faut-il même faire un projet ?
Ne pas confondre État social actif et développement communautaire par Hugues-Olivier Hubert
Aujourd’hui, en Belgique comme en Europe, l’Etat providence a cédé la place à l’Etat social actif. L’objectif est-il de permettre au citoyen de participer activement à la protection et à l’émancipation sociales ? Ou s’agit-il d’une opération cosmétique libérale pour un social à la marge ?
Du jeu pour l’institution par Serge Antoine Claeys
Communication intersubjective qui permet de se réapproprier la parole et l’action, la médiation ne doit pas remplacer les politiques publiques, mais bien être menée par les institutions qui reflètent, en principe, l’expression de la volonté générale. Plaidoyer pour la médiation comme «la meilleures méthode » de règlement des violences et exclusions sociales.
Bilan de santé... communautaire : Entretiens
L’amélioration de la santé de la population tient à une action non seulement sur des facteurs biologiques, mais aussi sociaux, économiques, culturels, éducatifs. Comment insuffler une dynamique pour que les gens participent à un processus de santé à la fois individuel et collectif, dans une perspective de santé globale ? Réponses croisées de Jacques Morel, secrétaire général de la Fédération des maisons médicales, qui met l’accent sur le lien social et l’action de proximité, et de Bernadette Lambrecht, chef de cabinet adjoint de la ministre de la Santé en Communauté française, qui parle de priorités précises avec obligation de résultats visibles dans un contexte où la promotion de la santé risque peut-être de disparaître faute de budget.
Les mouvements sociaux comme espaces éducatifs par Raúl Zibechi
Parce que l’Amérique latine représente un des berceaux majeurs du travail communautaire, nous avons choisi d’illustrer cette expérience à travers l’article d’un journaliste uruguayen sur les enjeux de l’éducation comme logique d’émancipation sociale.
« On ne demande pas plus que l’égalité » par Julie Barbeaux
Etre jeune à Matongé, endosser la différence. L’indifférence peut-être. Matongé, un ghetto ? Police-parents, un tandem médiateur au niveau micro local. Petit bréviaire d’une tentative de sauvetage avortée.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Agenda Interculturel > 235 (septembre 2005) . - pp. 1-27Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40740/1 p/5343 Périodique Réserve Périodiques Disponible Travail et émancipation sociale / Antoine Artous
Travail et émancipation sociale : Marx et le travail [texte imprimé] / Antoine Artous (1946-....), Auteur . - Paris : Syllepse, 2003 . - 1 vol. (197 p.) ; 21 cm. - (Collection Utopie critique) .
ISBN : 978-2-84797-041-8
Bibliogr. p. 193-197
Langues : Français (fre)
Catégories : 14 Marxisme
331.101 Théorie du travail
929 Marx, Karl (1818-1883)Index. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
Pour qui veut porter un regard critique sur le travail, son organisation et sa place dans nos sociétés, la confrontation avec Marx est incontournable. Non pas pour faire une exégèse savante des textes ou restituer une vérité qui aurait été cachée mais pour traiter des problèmes qu’il a rencontrés, des réponses qu’il a apportées, des contradictions auxquelles il s’est heurté. Si le dispositif théorique mis en place par Marx a structuré l’horizon de la période historique passée, ses analyses sont toujours actuelles car le capitalisme c’est toujours l’assujettissement des individus à une production dominée par la valorisation marchande et le développement de la précarité et de l’insécurité sociale. S’il est toujours indispensable de remettre en cause l’organisation capitaliste du travail tout en se battant pour le droit à l’emploi, il est également nécessaire de jeter un regard critique sur un mouvement ouvrier qui a, trop souvent, valorisé le travail. Et au-delà sur une perspective d’émancipation tout entière centrée sur la réorganisation de la vie sociale autour d’une production enfin libérée de la domination du capital. Si Marx n’a pas échappé à cette vision, il trace toutefois un autre horizon dont l’actualité est étonnante. Celui d’une émancipation pensée à travers une dialectique du temps de travail et du temps libre, permise par une réduction massive du temps de travail. Il s’agit alors de libérer le travail mais aussi de se libérer du travail. C’est cette lecture de Marx que nous propose ce livre qui, en référence aux débats contemporains, mobilise des auteurs tels que Pierre Naville, Jean-Marie Vincent, André Gorz ou Dominique Méda.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Travail et émancipation sociale : Marx et le travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Artous (1946-....), Auteur Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : 2003 Collection : Collection Utopie critique Importance : 1 vol. (197 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84797-041-8 Note générale : Bibliogr. p. 193-197 Langues : Français (fre) Catégories : 14 Marxisme
331.101 Théorie du travail
929 Marx, Karl (1818-1883)Index. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
Pour qui veut porter un regard critique sur le travail, son organisation et sa place dans nos sociétés, la confrontation avec Marx est incontournable. Non pas pour faire une exégèse savante des textes ou restituer une vérité qui aurait été cachée mais pour traiter des problèmes qu’il a rencontrés, des réponses qu’il a apportées, des contradictions auxquelles il s’est heurté. Si le dispositif théorique mis en place par Marx a structuré l’horizon de la période historique passée, ses analyses sont toujours actuelles car le capitalisme c’est toujours l’assujettissement des individus à une production dominée par la valorisation marchande et le développement de la précarité et de l’insécurité sociale. S’il est toujours indispensable de remettre en cause l’organisation capitaliste du travail tout en se battant pour le droit à l’emploi, il est également nécessaire de jeter un regard critique sur un mouvement ouvrier qui a, trop souvent, valorisé le travail. Et au-delà sur une perspective d’émancipation tout entière centrée sur la réorganisation de la vie sociale autour d’une production enfin libérée de la domination du capital. Si Marx n’a pas échappé à cette vision, il trace toutefois un autre horizon dont l’actualité est étonnante. Celui d’une émancipation pensée à travers une dialectique du temps de travail et du temps libre, permise par une réduction massive du temps de travail. Il s’agit alors de libérer le travail mais aussi de se libérer du travail. C’est cette lecture de Marx que nous propose ce livre qui, en référence aux débats contemporains, mobilise des auteurs tels que Pierre Naville, Jean-Marie Vincent, André Gorz ou Dominique Méda.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42845 LUTTE/ART Livre Libre-accès Adultes Disponible Travail émietté, citoyens déboussolés / DANIELE LINHART in Manière de voir, 66 (novembre-décembre 2002)
[article] Travail émietté, citoyens déboussolés : individualisation, stress, chantage à l'emploi... Les déchirures du travail renforcent le sentiment d'insécurité sociale [texte imprimé] / DANIELE LINHART . - 2002 . - pp. 10 - 13.
Langues : Français (fre)
in Manière de voir > 66 (novembre-décembre 2002) . - pp. 10 - 13
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
331 Travail Organisation du travail
331.4 Conditions de travail
364 Problèmes sociauxPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Travail émietté, citoyens déboussolés : individualisation, stress, chantage à l'emploi... Les déchirures du travail renforcent le sentiment d'insécurité sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : DANIELE LINHART Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 10 - 13 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
331 Travail Organisation du travail
331.4 Conditions de travail
364 Problèmes sociauxPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Manière de voir > 66 (novembre-décembre 2002) . - pp. 10 - 13Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30396/1 P/3839 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Travail, famille : le temps déchiré / Martine Vandemeulebroucke in Espace de Libertés - document, 9 (décembre 2002)
[article] Travail, famille : le temps déchiré : les femmes continuent d'adapter leurs modalités de travail à leurs contraintes familiales [texte imprimé] / Martine Vandemeulebroucke . - 2002 . - pp. 20 - 21.
Langues : Français (fre)
in Espace de Libertés - document > 9 (décembre 2002) . - pp. 20 - 21
Catégories : (493) Belgique
173 Morale familiale Vie de famille
316 Sociologie
331 Travail Organisation du travail
396 Droits des femmes. Féminisme. Emancipation des femmesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Travail, famille : le temps déchiré : les femmes continuent d'adapter leurs modalités de travail à leurs contraintes familiales Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Vandemeulebroucke Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 20 - 21 Langues : Français (fre) Catégories : (493) Belgique
173 Morale familiale Vie de famille
316 Sociologie
331 Travail Organisation du travail
396 Droits des femmes. Féminisme. Emancipation des femmesPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Espace de Libertés - document > 9 (décembre 2002) . - pp. 20 - 21Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30850/1 P/3897 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Travail de fin d'études: Comment se reconstruire une vie quand on a survécu aux camps de la mort? / Simon Vanderbemden
PermalinkTravail, je t’aime (moi non plus) in Philosophie magazine, 109 (mai 2017)
PermalinkTravail de la langue, travail de la pensée / NICOLE GRATALOUP in Entre-vues, 24 (décembre 1994)
PermalinkLe Travail : une machine à insérer ? / Matéo Alaluf in Eduquer Hors série, (Mars 2002 supplément Eduquer n 38)
PermalinkTravail ou revenu ? / Claudine Leleux
Permalink"Le Travail rend heureux" / PIERRE ASSOULINE in Farde Articles 2005, 1 (2005)
PermalinkLe Travail selon l'Onem / FLORENCE KEYMEULEN in C4, 107-108 (mai-juin 2003)
PermalinkLe travail sur soi in La Revue Nouvelle, 10 (octobre 2007)
PermalinkHS 9 - septembre 2008 - Travailler à l'être ensemble (Bulletin de Politique)
PermalinkTravailler, moi ? jamais ! / Robert Black
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