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Armées oubliées de l'Asie britannique / Christopher Alan Bayly in Le Monde Diplomatique, 614 (mai 2005)
[article] Armées oubliées de l'Asie britannique : faces cachées de la Seconde Guerre mondiale [texte imprimé] / Christopher Alan Bayly (1945-....), Auteur ; Tim Harper, Auteur . - 2005 . - pp. 20-21.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique > 614 (mai 2005) . - pp. 20-21
Catégories : (41) Royaume-Uni d'Angleterre UK
(5) Asie (continent)
325 Colonisation
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(41) Histoire de l'Angleterre (UK)
Histoire de l'Asie et du Moyen-OrientRésumé : On ignore généralement , en Occident, ce que fut la guerre en Asie. La colère que vient de susciter en Chine un nouveau manuel scolaire japonais a rappelé les crimes épouvantables commis par l'armée de Tokyo. Pourtant, celle-ci trouva des alliés dans les pays qu'elle occupait : des mouvements pour qui le colonisateur britannique était l'ennemi principal... Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Armées oubliées de l'Asie britannique : faces cachées de la Seconde Guerre mondiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Christopher Alan Bayly (1945-....), Auteur ; Tim Harper, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 20-21 Langues : Français (fre) Catégories : (41) Royaume-Uni d'Angleterre UK
(5) Asie (continent)
325 Colonisation
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
94(41) Histoire de l'Angleterre (UK)
Histoire de l'Asie et du Moyen-OrientRésumé : On ignore généralement , en Occident, ce que fut la guerre en Asie. La colère que vient de susciter en Chine un nouveau manuel scolaire japonais a rappelé les crimes épouvantables commis par l'armée de Tokyo. Pourtant, celle-ci trouva des alliés dans les pays qu'elle occupait : des mouvements pour qui le colonisateur britannique était l'ennemi principal... Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Monde Diplomatique > 614 (mai 2005) . - pp. 20-21Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40525/1 mon Périodique Réserve Périodiques Disponible De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda / Tessa Lobbes in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda [texte imprimé] / Tessa Lobbes, Auteur . - 2009 . - pp.135-171.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda Type de document : texte imprimé Auteurs : Tessa Lobbes, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.135-171 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Assassinat de Lumumba / OLIVIER TAYMANS in Alternative Libertaire, 227 (avril 2000)
[article] Assassinat de Lumumba : la Belgique a les mains propres. [texte imprimé] / OLIVIER TAYMANS . - 0000 . - pp. 27 - 28.
Langues : Français (fre)
in Alternative Libertaire > 227 (avril 2000) . - pp. 27 - 28[article]
Titre : Assassinat de Lumumba : la Belgique a les mains propres. Type de document : texte imprimé Auteurs : OLIVIER TAYMANS Année de publication : 0000 Article en page(s) : pp. 27 - 28 Langues : Français (fre) Catégories : (675) République Démocratique du Congo (RDC)
325.3 Colonisation/ décolonisation
343.6 Infractions contre la personne / Trafic / AssassinatPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Alternative Libertaire > 227 (avril 2000) . - pp. 27 - 28Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 16245/1 P/2158 Périodique Réserve Périodiques Disponible En attendant les barbares / John Maxwell Coetzee
En attendant les barbares : roman [texte imprimé] / John Maxwell Coetzee (1940-....), Auteur ; Sophie Mayoux, Traducteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2000 . - 1 vol. (248 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Points, ISSN 0768-0481; 720) .
ISBN : 978-2-02-040456-3
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
325 Colonisation
82-3 Oeuvres de fiction
Histoire de l'Afrique du SudIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Site éditeur :
Dans un désert sans nom, dans un temps incertain, un homme juste et bon, le Magistrat, veille sur une cité paisible. Mais le pouvoir central s’inquiète d’une invasion barbare et dépêche sur les lieux un tortionnaire de la pire espèce. Parmi les prisonniers, une jeune femme blessée attire l’attention du Magistrat… Une parabole qui s’incarne dans un récit d’une rare intensité, par le prix Nobel de littérature 2003.
Né au Cap en 1940, J.M. Coetzee enseigne la littérature. Son œuvre, empreinte des années d’apartheid, est saluée dans le monde entier et traduite en 25 langues.
« Un écrivain inouï, Coetzee. Il vous flanque, tandis que vous l’admirez intensément, une peur intolérable, avec son écriture hallucinée. Inoubliable. » Françoise Xenakis
extrait de l'article "Coetzee face aux barbares" de Marie Luise Knott (monde diplomatique, novembre 2003)
Waiting for the Barbarians consacra sa percée internationale. Dans la ville-frontière d’un empire colonial fictif, un juge, mandaté par un pouvoir colonial lointain, veille à l’application du droit, à la sauvegarde de la décence et de la dignité. Précaire, la paix avec les nomades voisins (mensongère, car elle est fondée sur la violence coloniale) s’effondre lorsqu’une soldatesque envoyée par la capitale provoque une guerre raciale contre les nomades, désormais proscrits et désignés comme des « barbares ». Personne ne sait pourquoi ces derniers seraient soudain une menace, mais la propagande et la terreur plongent les habitants dans la peur et l’effroi et les transforment en complices des soldats.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : En attendant les barbares : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : John Maxwell Coetzee (1940-....), Auteur ; Sophie Mayoux, Traducteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2000 Collection : Points, ISSN 0768-0481 num. 720 Importance : 1 vol. (248 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-040456-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
325 Colonisation
82-3 Oeuvres de fiction
Histoire de l'Afrique du SudIndex. décimale : 82 Fictions : roman, théâtre, poésie, bande dessinée adulte Résumé : Site éditeur :
Dans un désert sans nom, dans un temps incertain, un homme juste et bon, le Magistrat, veille sur une cité paisible. Mais le pouvoir central s’inquiète d’une invasion barbare et dépêche sur les lieux un tortionnaire de la pire espèce. Parmi les prisonniers, une jeune femme blessée attire l’attention du Magistrat… Une parabole qui s’incarne dans un récit d’une rare intensité, par le prix Nobel de littérature 2003.
Né au Cap en 1940, J.M. Coetzee enseigne la littérature. Son œuvre, empreinte des années d’apartheid, est saluée dans le monde entier et traduite en 25 langues.
« Un écrivain inouï, Coetzee. Il vous flanque, tandis que vous l’admirez intensément, une peur intolérable, avec son écriture hallucinée. Inoubliable. » Françoise Xenakis
extrait de l'article "Coetzee face aux barbares" de Marie Luise Knott (monde diplomatique, novembre 2003)
Waiting for the Barbarians consacra sa percée internationale. Dans la ville-frontière d’un empire colonial fictif, un juge, mandaté par un pouvoir colonial lointain, veille à l’application du droit, à la sauvegarde de la décence et de la dignité. Précaire, la paix avec les nomades voisins (mensongère, car elle est fondée sur la violence coloniale) s’effondre lorsqu’une soldatesque envoyée par la capitale provoque une guerre raciale contre les nomades, désormais proscrits et désignés comme des « barbares ». Personne ne sait pourquoi ces derniers seraient soudain une menace, mais la propagande et la terreur plongent les habitants dans la peur et l’effroi et les transforment en complices des soldats.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L'Attentat en Gaume in MRAX info, 142-143 (janvier-février 2003)
Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31386/1 P/3956 Périodique Libre-accès Périodiques Disponible L'Aumônerie militaire française en Guerre d'Algérie / XAVIER BONIFACE in Vingtième siècle, 77 (janvier-mars 2003)
PermalinkAuschwitz / Tal Bruttmann
PermalinkDe l’autonomie aux indépendances in Manière de voir, 86 (avril-mai 2006)
Permalink2063-2064 - 2010 - Les autorités belges et la décolonisation du Congo (Bulletin de Courrier Hebdomadaire)
PermalinkAutour de la mémoire
PermalinkUne autre priorité s'impose ! / Hugues Le Paige in Aide-Mémoire, 19 (octobre-décembre 2001)
PermalinkUne autre voix / UNION JUIVE FRANçAISE POUR LA PAIX in No Pasaran !, 9 (mai 2002)
PermalinkPermalinkUn avenir pour les peuples indigènes / FRANçOIS BRAEM in L'Antiraciste, 52 (juillet-septembre 1997)
PermalinkL'Axe des plus forts contre les droits des peuples / FRANçOIS WEISER in No Pasaran !, 9 (mai 2002)
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