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343.917 Délinquance politique Terrorisme |
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The nazi terrorist who prepared for race war / David Williams in Searchlight, 398 (august 2008)
[article] The nazi terrorist who prepared for race war [texte imprimé] / David Williams, Auteur . - 2008 . - pp. 4-7.
Langues : Anglais (eng)
in Searchlight > 398 (august 2008) . - pp. 4-7
Catégories : 329.18(41) Extrême droite UK
343.917 Délinquance politique TerrorismeRésumé : David Williams reveals the nazi who planned terrorist acts with a bigot’s zeal Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : The nazi terrorist who prepared for race war Type de document : texte imprimé Auteurs : David Williams, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 4-7 Langues : Anglais (eng) Catégories : 329.18(41) Extrême droite UK
343.917 Délinquance politique TerrorismeRésumé : David Williams reveals the nazi who planned terrorist acts with a bigot’s zeal Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44284 sea Périodique Réserve Périodiques Disponible The secret that lurks deep in the US far right / Leonard Zeskind in Searchlight, 329 (november 2002)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 29968/1 P/3784 Périodique Réserve Périodiques Disponible
[n° ou bulletin] 47 - Les théories du complot [texte imprimé] . - 2012 . - 209 p. : couv. ill. ; 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
323.2 Relation peuple/Etat
343.917 Délinquance politique Terrorisme
930 Science historique
Tea Party (USA)Résumé : Site éditeur :
L’histoire, comme nous la connaissons d’après des documents originaux et telle qu’elle fut établie par les meilleurs historiens, est tissée de conspirations. Si, comme le veut la superstition moderne, les théories de la conspiration sont par nature folles, suspectes ou invraisemblables, alors l’histoire telle que nous la connaissons est un ramassis de non-sens – ce qui est fou, suspect et invraisemblable. La majeure partie de ce que nous croyons savoir de l’histoire de l’Angleterre, comme d’autres pays, serait systématiquement trop entachée de conspirations pour inspirer la confiance. Mais l’histoire n’est pas un amas de non-sens – de manière générale, elle n’est pas non plus folle, suspecte ou invraisemblable. Par conséquent, cette superstition moderne n’est qu’une superstition et il n’y a rien de fou, suspect ou invraisemblable dans la nature même des théories de la conspiration – bien qu’évidemment certaines d’entre elles soient folles, suspectes ou invraisemblables.Note de contenu : SOMMAIRE
Éditorial : De quelques idées reçues sur les « théories du complot » et de quelques arguments pour y objecter, Miguel Chueca
Une superstition moderne : la fausseté en soi des théories de la conspiration, Charles Pigden
L’Histoire, comme nous la connaissons d’après des documents originaux et telle qu’elle fut établie par les meilleurs historiens, est tissée de conspirations. Si, comme le veut la superstition moderne, les théories de la conspiration sont par nature folles, suspectes ou invraisemblables, alors l’histoire telle que nous la connaissons est un ramassis de non-sens – ce qui est fou, suspect et invraisemblable. La majeure partie de ce que nous croyons savoir de l’histoire de l’Angleterre, comme d’autres pays, serait systématiquement trop entachée de conspirations pour inspirer la confiance. Mais l’histoire n’est pas un amas de non-sens – de manière générale, elle n’est pas non plus folle, suspecte ou invraisemblable. Par conséquent, cette superstition moderne n’est qu’une superstition et il n’y a rien de fou, suspect ou invraisemblable dans la nature même des théories de la conspiration – bien qu’évidemment, certaines d’entre elles soient folles, suspectes ou invraisemblables.
Conspirations ou institutions ? Le 11-Septembre et au-delà, Michael Albert et Stephen Shalom
Une fois qu’on pénètre sur le terrain des adeptes des théories du complot, on est sur une sorte de pente savonneuse puisque qu’aucune des contre-preuves avancées ne sera jamais suffisante et que chaque information pourra être réinterprétée au moyen de nouvelles affirmations. On raconte une histoire (apocryphe) à propos d’une conférence donnée par Bertrand Russell. Une fois celle-ci terminée, une vieille dame se lève et dit : « Vous avez dit un tas de choses justes, mais sur l’univers, vous êtes à côté de la plaque. En fait, tout ce que nous voyons se trouve sur le dos d’une tortue géante. » Russell demande à son tour : « D’accord, mais sur quoi repose la tortue ? » Et la vieille dame de rétorquer : « Mais sur une autre tortue, plus grande que la première. » Russell demande alors sur quoi repose cette autre tortue et la dame de répondre : « Il n’y a que des tortues, du haut en bas. »
Les théories du complot fonctionnent souvent sur ce même modèle. Si une première affirmation ne marche pas, ça n’a pas d’importance : il suffit d’en fabriquer une autre.
À l’époque de l’irrationalité. Les conspirationnistes du 11-Septembre et le déclin de la gauche américaine, Alexander Cockburn
Ce que Barrett et Collins démontrent brillamment, ce sont les réelles conspirations de la corruption à porter au compte de Giuliani : le favoritisme à l’égard de Motorola qui équipa les pompiers de radios qui ne marchaient pas ; l’habileté de la Port Authority à lésiner sur les mesures de protection contre le feu, cet échec majeur qu’a été l’incapacité à mettre sur pied un commandement d’urgence unifié qui aurait permis aux policiers et aux pompiers de communiquer entre eux ; que de nombreux pompiers n’entrent pas inutilement à l’intérieur des Tours ; et enfin que les opérateurs des urgences ne disent pas aux gens qui se trouvaient dans ces mêmes Tours de rester sur place.
Voilà quel est le monde politique réel, dans lequel Giuliani et compagnie n’ont jamais été tenus pour responsables. Les conspirationnistes méprisent le monde réel parce qu’ils accordent à Bush, Cheney et autres néo-conservateurs un statut si élevé qu’ils en font des sortes d’archidémons de l’histoire des États-Unis, au lieu d’y voir une équipe de plus de gestionnaires de l’Empire, un groupe d’une stupidité et d’une incompétence plutôt supérieures à la moyenne.
L’assassinat de JFK : la phobie de la conspiration à gauche, Michael Parenti
Les gens atteints de la phobie des conspirations aiment à demander : « Pensez-vous vraiment qu’il y ait un groupe de gens assis dans une salle en train de comploter ? » Cette image est tellement absurde qu’elle ne résiste pas à une seconde d’examen. Mais où diable les puissants pourraient-ils se réunir ? Sur les bancs des squares ? Sur les chevaux de bois des manèges ? Non, ils se rencontrent bel et bien dans des salles : dans les salles de réunion des entreprises, du Pentagone, dans les meilleurs restaurants, les plus beaux lieux de villégiature et les plus belles propriétés, dans les grandes salles de conférence de la Maison-Blanche, de la NASA, de la CIA et d’ailleurs. Et en effet, ils y complotent volontairement – même s’ils appellent cela « planifier » et « développer des stratégies » – et ils le font dans un grand secret, résistant de toutes leurs forces aux révélations publiques. Afin de rendre le monde plus sûr pour ceux qui le dominent, les personnalités politiques de la classe des possédants ont créé un système de sûreté nationale qui dépense des milliards de dollars et nécessite le travail d’un grand nombre de personnes.
Les attentats du 11 mars 2004 à Madrid et les « théories de la conspiration », Miguel Chueca
La remise en cause de la « version officielle » des événements du 11-Mars a suscité l’apparition de trois théories de la conspiration : 1) celle qui, derrière le groupe islamiste de Madrid, voit la main des services secrets marocains ; 2) celle qui postule l’intervention de l’ETA, non plus seule mais de concert avec les islamistes ; 3) celle qui suggère l’intervention de certains secteurs « dévoyés » des services de sécurité espagnols, c’est-à-dire l’équivalent pour l’Espagne de la thèse américaine de l’inside job. Cependant, bien avant de se situer dans les arguments et les procédés dont ont usé leurs porte-parole, la spécificité des « théories alternatives » du 11-Mars doit être cherchée dans la répercussion dont elles ont bénéficié auprès de l’opinion publique, grâce à l’appui de très grands médias comme le quotidien El Mundo et une des principales chaînes de radio du pays, la COPE, propriété de l’épiscopat espagnol.
Le Tea Party : un mouvement protestataire financé par des milliardaires, Pierre Guerlain
Le Tea Party, contrairement à ce que les médias dominants en ont fait, s’inscrit donc dans une longue tradition réactionnaire appelée par commodité, mais de façon problématique, « populiste », qui cherche à annuler toutes les conquêtes sociales du XXe siècle. Sur le plan des théories du complot, il s’inscrit dans la lignée de l’anticommunisme des années 1950, de l’anti-catholicisme du milieu du XIXe siècle, et de l’antimaçonnisme du début du XIXe siècle. Aujourd’hui ce que l’on appelle de façon également problématique l’islamophobie fonctionne comme une théorie du complot, qui est bien souvent une forme de racisme anti-Arabes voire antimusulmans mais n’est pas nécessairement de nature religieuse. L’ennemi mobilisateur officiel est le socialisme imaginaire d’Obama ou sa foi musulmane également fantaisiste. La contestation s’organise, sur le plan rhétorique, autour de l’impôt et du déficit budgétaire des États-Unis qui serait responsable des difficultés de la classe moyenne.
Usages médiatiques d’une critique « savante » de « la théorie du complot », Henri Maler et Patrick Champagne
Une critique sérieuse, c’est-à-dire argumentée et reposant sur des faits précis, se doit d’enquêter, de citer les déclarations et les commentaires de journalistes à l’appui des analyses, de compter les invitations dans les émissions, de mettre en évidence les échanges de services et les connivences, bref de faire apparaître des relations objectives à partir de la désignation de personnes qui ne cultivent guère leur anonymat et qui ne peuvent pas être dégagées de toute responsabilité individuelle. Dans cet univers social (comme dans tout autre), les relations objectives que l’on cherche à mettre en évidence passent en grande partie par des relations interpersonnelles qu’il n’y aurait aucun sens à passer sous silence. On comprend dès lors pourquoi la dénonciation de la « théorie du complot » trouve un écho favorable, notamment chez ceux qui occupent une position éminente dans les médias : elle permet de disqualifier toute analyse qui les désigne nommément et de se débarrasser à peu de frais de toute critique effective des médias.
HISTOIRE RADICALE
Le chemin de la vérité. André Prudhommeaux, l’incendie du Reichstag et la défense de Marinus Van der Lubbe, Charles JacquierPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 47 - Les théories du complot Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Importance : 209 p. Présentation : couv. ill. Format : 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : 167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
323.2 Relation peuple/Etat
343.917 Délinquance politique Terrorisme
930 Science historique
Tea Party (USA)Résumé : Site éditeur :
L’histoire, comme nous la connaissons d’après des documents originaux et telle qu’elle fut établie par les meilleurs historiens, est tissée de conspirations. Si, comme le veut la superstition moderne, les théories de la conspiration sont par nature folles, suspectes ou invraisemblables, alors l’histoire telle que nous la connaissons est un ramassis de non-sens – ce qui est fou, suspect et invraisemblable. La majeure partie de ce que nous croyons savoir de l’histoire de l’Angleterre, comme d’autres pays, serait systématiquement trop entachée de conspirations pour inspirer la confiance. Mais l’histoire n’est pas un amas de non-sens – de manière générale, elle n’est pas non plus folle, suspecte ou invraisemblable. Par conséquent, cette superstition moderne n’est qu’une superstition et il n’y a rien de fou, suspect ou invraisemblable dans la nature même des théories de la conspiration – bien qu’évidemment certaines d’entre elles soient folles, suspectes ou invraisemblables.Note de contenu : SOMMAIRE
Éditorial : De quelques idées reçues sur les « théories du complot » et de quelques arguments pour y objecter, Miguel Chueca
Une superstition moderne : la fausseté en soi des théories de la conspiration, Charles Pigden
L’Histoire, comme nous la connaissons d’après des documents originaux et telle qu’elle fut établie par les meilleurs historiens, est tissée de conspirations. Si, comme le veut la superstition moderne, les théories de la conspiration sont par nature folles, suspectes ou invraisemblables, alors l’histoire telle que nous la connaissons est un ramassis de non-sens – ce qui est fou, suspect et invraisemblable. La majeure partie de ce que nous croyons savoir de l’histoire de l’Angleterre, comme d’autres pays, serait systématiquement trop entachée de conspirations pour inspirer la confiance. Mais l’histoire n’est pas un amas de non-sens – de manière générale, elle n’est pas non plus folle, suspecte ou invraisemblable. Par conséquent, cette superstition moderne n’est qu’une superstition et il n’y a rien de fou, suspect ou invraisemblable dans la nature même des théories de la conspiration – bien qu’évidemment, certaines d’entre elles soient folles, suspectes ou invraisemblables.
Conspirations ou institutions ? Le 11-Septembre et au-delà, Michael Albert et Stephen Shalom
Une fois qu’on pénètre sur le terrain des adeptes des théories du complot, on est sur une sorte de pente savonneuse puisque qu’aucune des contre-preuves avancées ne sera jamais suffisante et que chaque information pourra être réinterprétée au moyen de nouvelles affirmations. On raconte une histoire (apocryphe) à propos d’une conférence donnée par Bertrand Russell. Une fois celle-ci terminée, une vieille dame se lève et dit : « Vous avez dit un tas de choses justes, mais sur l’univers, vous êtes à côté de la plaque. En fait, tout ce que nous voyons se trouve sur le dos d’une tortue géante. » Russell demande à son tour : « D’accord, mais sur quoi repose la tortue ? » Et la vieille dame de rétorquer : « Mais sur une autre tortue, plus grande que la première. » Russell demande alors sur quoi repose cette autre tortue et la dame de répondre : « Il n’y a que des tortues, du haut en bas. »
Les théories du complot fonctionnent souvent sur ce même modèle. Si une première affirmation ne marche pas, ça n’a pas d’importance : il suffit d’en fabriquer une autre.
À l’époque de l’irrationalité. Les conspirationnistes du 11-Septembre et le déclin de la gauche américaine, Alexander Cockburn
Ce que Barrett et Collins démontrent brillamment, ce sont les réelles conspirations de la corruption à porter au compte de Giuliani : le favoritisme à l’égard de Motorola qui équipa les pompiers de radios qui ne marchaient pas ; l’habileté de la Port Authority à lésiner sur les mesures de protection contre le feu, cet échec majeur qu’a été l’incapacité à mettre sur pied un commandement d’urgence unifié qui aurait permis aux policiers et aux pompiers de communiquer entre eux ; que de nombreux pompiers n’entrent pas inutilement à l’intérieur des Tours ; et enfin que les opérateurs des urgences ne disent pas aux gens qui se trouvaient dans ces mêmes Tours de rester sur place.
Voilà quel est le monde politique réel, dans lequel Giuliani et compagnie n’ont jamais été tenus pour responsables. Les conspirationnistes méprisent le monde réel parce qu’ils accordent à Bush, Cheney et autres néo-conservateurs un statut si élevé qu’ils en font des sortes d’archidémons de l’histoire des États-Unis, au lieu d’y voir une équipe de plus de gestionnaires de l’Empire, un groupe d’une stupidité et d’une incompétence plutôt supérieures à la moyenne.
L’assassinat de JFK : la phobie de la conspiration à gauche, Michael Parenti
Les gens atteints de la phobie des conspirations aiment à demander : « Pensez-vous vraiment qu’il y ait un groupe de gens assis dans une salle en train de comploter ? » Cette image est tellement absurde qu’elle ne résiste pas à une seconde d’examen. Mais où diable les puissants pourraient-ils se réunir ? Sur les bancs des squares ? Sur les chevaux de bois des manèges ? Non, ils se rencontrent bel et bien dans des salles : dans les salles de réunion des entreprises, du Pentagone, dans les meilleurs restaurants, les plus beaux lieux de villégiature et les plus belles propriétés, dans les grandes salles de conférence de la Maison-Blanche, de la NASA, de la CIA et d’ailleurs. Et en effet, ils y complotent volontairement – même s’ils appellent cela « planifier » et « développer des stratégies » – et ils le font dans un grand secret, résistant de toutes leurs forces aux révélations publiques. Afin de rendre le monde plus sûr pour ceux qui le dominent, les personnalités politiques de la classe des possédants ont créé un système de sûreté nationale qui dépense des milliards de dollars et nécessite le travail d’un grand nombre de personnes.
Les attentats du 11 mars 2004 à Madrid et les « théories de la conspiration », Miguel Chueca
La remise en cause de la « version officielle » des événements du 11-Mars a suscité l’apparition de trois théories de la conspiration : 1) celle qui, derrière le groupe islamiste de Madrid, voit la main des services secrets marocains ; 2) celle qui postule l’intervention de l’ETA, non plus seule mais de concert avec les islamistes ; 3) celle qui suggère l’intervention de certains secteurs « dévoyés » des services de sécurité espagnols, c’est-à-dire l’équivalent pour l’Espagne de la thèse américaine de l’inside job. Cependant, bien avant de se situer dans les arguments et les procédés dont ont usé leurs porte-parole, la spécificité des « théories alternatives » du 11-Mars doit être cherchée dans la répercussion dont elles ont bénéficié auprès de l’opinion publique, grâce à l’appui de très grands médias comme le quotidien El Mundo et une des principales chaînes de radio du pays, la COPE, propriété de l’épiscopat espagnol.
Le Tea Party : un mouvement protestataire financé par des milliardaires, Pierre Guerlain
Le Tea Party, contrairement à ce que les médias dominants en ont fait, s’inscrit donc dans une longue tradition réactionnaire appelée par commodité, mais de façon problématique, « populiste », qui cherche à annuler toutes les conquêtes sociales du XXe siècle. Sur le plan des théories du complot, il s’inscrit dans la lignée de l’anticommunisme des années 1950, de l’anti-catholicisme du milieu du XIXe siècle, et de l’antimaçonnisme du début du XIXe siècle. Aujourd’hui ce que l’on appelle de façon également problématique l’islamophobie fonctionne comme une théorie du complot, qui est bien souvent une forme de racisme anti-Arabes voire antimusulmans mais n’est pas nécessairement de nature religieuse. L’ennemi mobilisateur officiel est le socialisme imaginaire d’Obama ou sa foi musulmane également fantaisiste. La contestation s’organise, sur le plan rhétorique, autour de l’impôt et du déficit budgétaire des États-Unis qui serait responsable des difficultés de la classe moyenne.
Usages médiatiques d’une critique « savante » de « la théorie du complot », Henri Maler et Patrick Champagne
Une critique sérieuse, c’est-à-dire argumentée et reposant sur des faits précis, se doit d’enquêter, de citer les déclarations et les commentaires de journalistes à l’appui des analyses, de compter les invitations dans les émissions, de mettre en évidence les échanges de services et les connivences, bref de faire apparaître des relations objectives à partir de la désignation de personnes qui ne cultivent guère leur anonymat et qui ne peuvent pas être dégagées de toute responsabilité individuelle. Dans cet univers social (comme dans tout autre), les relations objectives que l’on cherche à mettre en évidence passent en grande partie par des relations interpersonnelles qu’il n’y aurait aucun sens à passer sous silence. On comprend dès lors pourquoi la dénonciation de la « théorie du complot » trouve un écho favorable, notamment chez ceux qui occupent une position éminente dans les médias : elle permet de disqualifier toute analyse qui les désigne nommément et de se débarrasser à peu de frais de toute critique effective des médias.
HISTOIRE RADICALE
Le chemin de la vérité. André Prudhommeaux, l’incendie du Reichstag et la défense de Marinus Van der Lubbe, Charles JacquierPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47694 AGO Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Documents numériques
Bulletin en pdfURL Time to end the race to the bottom / Nick Lowles in Searchlight, 377 (november 2006)
[article] Time to end the race to the bottom [texte imprimé] / Nick Lowles, Auteur . - 2006 . - pp. 8-9.
Langues : Anglais (eng)
in Searchlight > 377 (november 2006) . - pp. 8-9
Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(41) Politique du Royaume-Uni d'Angleterre UK
343.917 Délinquance politique TerrorismeRésumé : Nick Lowles explains that the debate over the Muslim veil has obscured the fundamental issues Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Time to end the race to the bottom Type de document : texte imprimé Auteurs : Nick Lowles, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 8-9 Langues : Anglais (eng) Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
32(41) Politique du Royaume-Uni d'Angleterre UK
343.917 Délinquance politique TerrorismeRésumé : Nick Lowles explains that the debate over the Muslim veil has obscured the fundamental issues Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Searchlight > 377 (november 2006) . - pp. 8-9Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41948 sea Périodique Réserve Périodiques Disponible Tolérances et radicalismes
Tolérances et radicalismes : que n'avons-nous pas compris? : le terrorisme islamiste en Europe [texte imprimé] / Pierre-Joseph Laurent, Directeur de publication . - Charleroi : Couleur livres, 2016 . - 1 vol. (187 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Question de société) .
ISBN : 978-2-87003-685-3
Langues : Français (fre)
Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
343.917 Délinquance politique Terrorisme
351.78 Sécurité publique / Insécurité
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 2 Religion / Laïcité / Sectes / Paranormal Résumé : 4E DE COUVERTURE
Ce nouveau livre rédigé dans un style clair et concis est à conseiller absolument à qui veut comprendre les processus qui ont conduit aux attentats de Paris, de Bruxelles et de Nice.
Au-delà de l’émotion et des avis en tous sens des « experts » et « spécialistes » (parfois autoproclamés), seize professeurs et chercheurs de l’Université catholique de Louvain, soutenus par la faculté des sciences économiques, sociales et politiques, ont relevé le défi. Issus de différentes disciplines et réputés pour leurs analyses et leurs implications, ils tentent de mieux comprendre les racines de ce phénomène qui nous a tous bouleversés.
On sait aujourd’hui qu’il n’existe pas une explication des attentats, mais différentes causes. Par ce livre, courageux et original, les auteurs offrent aux lecteurs une analyse équilibrée et très large des attentats.
Des analyses brèves et percutantes, emboîtées les unes aux autres, débutent par la prise en considération de la trajectoire des individus, pour aborder ensuite la famille, le quartier, la communauté, l’État, les relations internationales pour aboutir à la société globale (Internet).
Complet, l’ouvrage débouche sur la proposition de rencontres politiques organisées au niveau national, afin d’impulser la réalisation d’un plan d’action, vaste et complexe. La démarche privilégie un débat politique crucial, en réaffirmant la vivacité de notre démocratie.Note de contenu : SOMMAIRE
Remerciements
Préface :
L’université face au radicalisme
Sébastien Van Bellegem
Introduction :
“On n’excuse pas la barbarie par des causes sociales..
Plaidoyer pour un diagnostic multifactoriel et multidisciplinaire
des causes des attentats revendiqués par Daesh en Europe (2015-2016)
Pierre-Josepb Laurent
Chapitre 1 :
Prévenir les radicalisations en soutenant les métissages socio-culturels
Pascale Jamoulle
Chapitre 2 :
Conflit israélo-palestinien, injustices socio-économiques et terrorisme :
entre “causes de fond” structurelles et psycho-sociales
Vincent Legrand et Andreia Lemaître
Chapitre 3 :
Sentiments d’injustice et théories du complot.
Des subjectivités meurtries aux subjectivités meurtrières ?
Jacinthe Mazzocchetti
Chapitre 4 :
“Don’t Laïk”, La Mecque des“negraustralopithèques”?
Anne-Marie Vuülemenot et Farid El Asri
Chapitre 5 :
De la violence à la liberté, la part de la réforme religieuse
Benoît Boinvine
Chapitre 6 :
Retour sur l’expérience de discours radicaux
qui ont forgé l’imaginaire de jeunes Européens lors des années 2000
et au-delà : les ressorts du prédicateur salafiste Anwar al-Awlaqi,
depuis ses conférences à l’Université de Nottingham
Brigitte Maréchal
Chapitre 7 :
Radicalité religieuse et pente glissante face aux politiques de l’implicite et du “signe faible” -.faiblesse de l’expertise et fragilité du droit
Louis-Léon Christiam
Chapitre 8 :
Au-delà des inégalités. Pour une autre perspective sociologique
Eric Mangez et Pieter Vanden Broeck
Chapitre 9 :
Tolérances et radicalismes : à propos du rôle des sciences sociales
Felice Dassetto
Chapitre 10 :
Hors contexte, hors contrôle : doctrine et interprétations modernes du djihad susceptibles de légitimer l’attentat contre Chcirlie Hebdo Abdessamad Belhaj
Chapitre 11 :
Passer du vivre ensemble à une éthique du vivre ensemble ?
Tloierty Amougoit
Chapitre 12 :
La radicalisation virtuelle. Contextes et logiques des scènes en ligne Olivier ServaisPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Tolérances et radicalismes : que n'avons-nous pas compris? : le terrorisme islamiste en Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Joseph Laurent, Directeur de publication Editeur : Charleroi : Couleur livres Année de publication : 2016 Collection : Question de société Importance : 1 vol. (187 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87003-685-3 Langues : Français (fre) Catégories : 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme)
343.917 Délinquance politique Terrorisme
351.78 Sécurité publique / Insécurité
Daech / Etat Islamique (EI)Index. décimale : 2 Religion / Laïcité / Sectes / Paranormal Résumé : 4E DE COUVERTURE
Ce nouveau livre rédigé dans un style clair et concis est à conseiller absolument à qui veut comprendre les processus qui ont conduit aux attentats de Paris, de Bruxelles et de Nice.
Au-delà de l’émotion et des avis en tous sens des « experts » et « spécialistes » (parfois autoproclamés), seize professeurs et chercheurs de l’Université catholique de Louvain, soutenus par la faculté des sciences économiques, sociales et politiques, ont relevé le défi. Issus de différentes disciplines et réputés pour leurs analyses et leurs implications, ils tentent de mieux comprendre les racines de ce phénomène qui nous a tous bouleversés.
On sait aujourd’hui qu’il n’existe pas une explication des attentats, mais différentes causes. Par ce livre, courageux et original, les auteurs offrent aux lecteurs une analyse équilibrée et très large des attentats.
Des analyses brèves et percutantes, emboîtées les unes aux autres, débutent par la prise en considération de la trajectoire des individus, pour aborder ensuite la famille, le quartier, la communauté, l’État, les relations internationales pour aboutir à la société globale (Internet).
Complet, l’ouvrage débouche sur la proposition de rencontres politiques organisées au niveau national, afin d’impulser la réalisation d’un plan d’action, vaste et complexe. La démarche privilégie un débat politique crucial, en réaffirmant la vivacité de notre démocratie.Note de contenu : SOMMAIRE
Remerciements
Préface :
L’université face au radicalisme
Sébastien Van Bellegem
Introduction :
“On n’excuse pas la barbarie par des causes sociales..
Plaidoyer pour un diagnostic multifactoriel et multidisciplinaire
des causes des attentats revendiqués par Daesh en Europe (2015-2016)
Pierre-Josepb Laurent
Chapitre 1 :
Prévenir les radicalisations en soutenant les métissages socio-culturels
Pascale Jamoulle
Chapitre 2 :
Conflit israélo-palestinien, injustices socio-économiques et terrorisme :
entre “causes de fond” structurelles et psycho-sociales
Vincent Legrand et Andreia Lemaître
Chapitre 3 :
Sentiments d’injustice et théories du complot.
Des subjectivités meurtries aux subjectivités meurtrières ?
Jacinthe Mazzocchetti
Chapitre 4 :
“Don’t Laïk”, La Mecque des“negraustralopithèques”?
Anne-Marie Vuülemenot et Farid El Asri
Chapitre 5 :
De la violence à la liberté, la part de la réforme religieuse
Benoît Boinvine
Chapitre 6 :
Retour sur l’expérience de discours radicaux
qui ont forgé l’imaginaire de jeunes Européens lors des années 2000
et au-delà : les ressorts du prédicateur salafiste Anwar al-Awlaqi,
depuis ses conférences à l’Université de Nottingham
Brigitte Maréchal
Chapitre 7 :
Radicalité religieuse et pente glissante face aux politiques de l’implicite et du “signe faible” -.faiblesse de l’expertise et fragilité du droit
Louis-Léon Christiam
Chapitre 8 :
Au-delà des inégalités. Pour une autre perspective sociologique
Eric Mangez et Pieter Vanden Broeck
Chapitre 9 :
Tolérances et radicalismes : à propos du rôle des sciences sociales
Felice Dassetto
Chapitre 10 :
Hors contexte, hors contrôle : doctrine et interprétations modernes du djihad susceptibles de légitimer l’attentat contre Chcirlie Hebdo Abdessamad Belhaj
Chapitre 11 :
Passer du vivre ensemble à une éthique du vivre ensemble ?
Tloierty Amougoit
Chapitre 12 :
La radicalisation virtuelle. Contextes et logiques des scènes en ligne Olivier ServaisPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50292 2/tol Livre Libre-accès Adultes Disponible Tom Lanoye / Tom Lanoye in Le Vif / L'Express, 3 ([17/01/2019])
PermalinkLe tournant de Poutine / Jean-Marie Chauvier in Espace de Libertés, 299 (mars 2002)
PermalinkTous américains / Serge Halimi in Manière de voir, 63 (mai-juin 2002)
PermalinkTragique impasse du fondamentalisme sunnite / Olivier Roy in Manière de voir, 60 (novembre-décembre 2001)
Permalink2 - Transparence (Bulletin de Le Vif / L'Express, 2 [13/01/2017])
PermalinkPermalinkTueries / Franco Berardi
PermalinkTunisie : la democrate à l'épreuve des terroristes / Aïcha Ayari in Espace de Libertés, 441 (Septembre 2015)
PermalinkVers des dommages boursiers collatéraux / IBRAHIM WARDE in Le Monde Diplomatique, 572 (novembre 2001)
Permalink134 - Avril-Mai-Juin 2017 - Vingtiéme siècle à l'épreuve du présent (Bulletin de Vingtième siècle)
Permalink279 - mars 2016 - Violence, 15 questions pour comprendre (Bulletin de Sciences Humaines)
PermalinkViolence et résistances à Guantánamo + Peine de mort pour M. Zacarias Moussaoui ? / Marie-Agnès Combesque in Le Monde Diplomatique, 623 (février 2006)
PermalinkPermalinkVous avez dit terrorisme ? / Patrice Dartevelle in Espace de Libertés, 295 (novembre 2001)
PermalinkVous avez dit terrorisme ? / Mélanie Simon-Franza in Ballast, 6 (printemps 2017)
PermalinkPermalinkVoyage à l’intérieur des madrasa pakistanaises / William Dalrymple in Le Monde Diplomatique, 624 (mars 2006)
PermalinkLe vrai choix / Zbigniew Brzezinski
PermalinkLes Vrais desseins de M. George W. Bush / MICHAEL KLARE in Manière de voir, 67 (janvier-février 2003)
PermalinkWanted Willy Bin Demeyer terroriste / CHARLY in Alternative Libertaire, 28 (juillet-août 2003)
PermalinkWhen a terrorist not a terrorist ? When he is a nazi / Matthew Collins in Searchlight, 375 (september 2006)
PermalinkWhite supremacist link to abortion clinic bomb in Searchlight, 274 (april 1998)
PermalinkWhy i turned my back on C18 terrorists / DARREN WELLS in Searchlight, 318 (december 2001)
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