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Artistes en Palestine : visite d'urgence in Le Journal de Culture et Démocratie, 3 (avril-juin 2002)
[article] Artistes en Palestine : visite d'urgence [texte imprimé] . - 2002 . - p. 12.
Langues : Français (fre)
in Le Journal de Culture et Démocratie > 3 (avril-juin 2002) . - p. 12
Catégories : (569.4) Palestine
7 Arts Divertissements Sports
7.07 Activités associées aux artsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : Artistes en Palestine : visite d'urgence Type de document : texte imprimé Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 12 Langues : Français (fre) Catégories : (569.4) Palestine
7 Arts Divertissements Sports
7.07 Activités associées aux artsPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
in Le Journal de Culture et Démocratie > 3 (avril-juin 2002) . - p. 12Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Artistes au travail
Artistes au travail : On bouscule les idées reçues. Actes du colloque organisé le 24 avril 2015 à Bruxelles [document électronique] . - Bruxelles : Culture et Démocratie / Kunst en Democratie, 2016 . - 1 fichier pdf (84 p.). - (Cahiers; 6) .
ISSN : D/2016/13.047/1
Langues : Français (fre)
Catégories : 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique
331.4 Conditions de travail
7.0 Art en généralIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Nous avons voulu aborder d’une manière originale la réflexion sur le statut social de l’artiste, sa place dans la société, le régime de reconnaissance. On sait que c’est complexe : comment normaliser un travail qui, dans ses processus, est par nature hors normes ? Comment lui conserver toute liberté, respecter ses propres filières de sélection et de reconnaissance, tout en offrant aux artistes des garanties de stabilité sociale standard ? “Intermittent, précaire”, sont des termes souvent utilisés pour qualifier le travail des artistes. Mais il y a dans la société beaucoup d’autres précaires, et aussi différentes formes d’intermittence. Comment avoir une réflexion globale sur cette précarité, subie ou voulue ? Qu’est-ce que cela nous apprend sur le rôle du travail dans la société ? Plutôt que de vouloir traiter le statut d’artiste comme un cas à part, isolé et stigmatisé, un cas d’école difficile que l’on voudrait régler en superficie, avec un agencement légal plus ou moins bricolé, nous suggérons qu’une réflexion globale sur l’intermittence pourrait élargir l’approche et déboucher sur des manières de concevoir les droits sociaux, pour les artistes et pour les autres travailleurs, d’une manière plus novatrice et progressiste (alors que l’on est de plus en plus dans une tendance régressive). Avoir quelque chose de cet ordre à l’esprit : à partir des artistes, comment l’étude des régimes de précarité peut nous aider à relancer une critique du monde du travail tel qu’il est organisé aujourd’hui ?Note de contenu : Table des matières :
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION
LES TRAVAILLEURS DES « INDUSTRIES CULTURELLES ET CRÉATIVES » EN TENSION ENTRE EMPLOI PRÉCAIRE ET AUTONOMIE
LES TRAVAILLEURS DU SPECTACLE EN LUTTE CONTRE LES RÉFORMES NÉOLIBÉRALES POUR UNE AUTRE EUROPE SOCIALE ?
RECHERCHE EN ARTS : VALEUR PRATIQUE, VALEUR ÉCONOMIQUE
PORTRAITS DES TRAVAILLEURS AUTONOMES
TABLE RONDE : QUAND L’ARTISTE TRANSMET SA CRÉATIVITÉ
CONCLUSION/OUVERTURE
DES IMAGES EN PARALLÈLE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Artistes au travail : On bouscule les idées reçues. Actes du colloque organisé le 24 avril 2015 à Bruxelles Type de document : document électronique Editeur : Bruxelles : Culture et Démocratie / Kunst en Democratie Année de publication : 2016 Collection : Cahiers num. 6 Importance : 1 fichier pdf (84 p.) ISBN/ISSN/EAN : D/2016/13.047/1 Langues : Français (fre) Catégories : 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique
331.4 Conditions de travail
7.0 Art en généralIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Nous avons voulu aborder d’une manière originale la réflexion sur le statut social de l’artiste, sa place dans la société, le régime de reconnaissance. On sait que c’est complexe : comment normaliser un travail qui, dans ses processus, est par nature hors normes ? Comment lui conserver toute liberté, respecter ses propres filières de sélection et de reconnaissance, tout en offrant aux artistes des garanties de stabilité sociale standard ? “Intermittent, précaire”, sont des termes souvent utilisés pour qualifier le travail des artistes. Mais il y a dans la société beaucoup d’autres précaires, et aussi différentes formes d’intermittence. Comment avoir une réflexion globale sur cette précarité, subie ou voulue ? Qu’est-ce que cela nous apprend sur le rôle du travail dans la société ? Plutôt que de vouloir traiter le statut d’artiste comme un cas à part, isolé et stigmatisé, un cas d’école difficile que l’on voudrait régler en superficie, avec un agencement légal plus ou moins bricolé, nous suggérons qu’une réflexion globale sur l’intermittence pourrait élargir l’approche et déboucher sur des manières de concevoir les droits sociaux, pour les artistes et pour les autres travailleurs, d’une manière plus novatrice et progressiste (alors que l’on est de plus en plus dans une tendance régressive). Avoir quelque chose de cet ordre à l’esprit : à partir des artistes, comment l’étude des régimes de précarité peut nous aider à relancer une critique du monde du travail tel qu’il est organisé aujourd’hui ?Note de contenu : Table des matières :
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION
LES TRAVAILLEURS DES « INDUSTRIES CULTURELLES ET CRÉATIVES » EN TENSION ENTRE EMPLOI PRÉCAIRE ET AUTONOMIE
LES TRAVAILLEURS DU SPECTACLE EN LUTTE CONTRE LES RÉFORMES NÉOLIBÉRALES POUR UNE AUTRE EUROPE SOCIALE ?
RECHERCHE EN ARTS : VALEUR PRATIQUE, VALEUR ÉCONOMIQUE
PORTRAITS DES TRAVAILLEURS AUTONOMES
TABLE RONDE : QUAND L’ARTISTE TRANSMET SA CRÉATIVITÉ
CONCLUSION/OUVERTURE
DES IMAGES EN PARALLÈLE
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8342/1 P/1185 Périodique Réserve Périodiques Disponible De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda / Tessa Lobbes in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP), 21 (2009)
[article] De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda [texte imprimé] / Tessa Lobbes, Auteur . - 2009 . - pp.135-171.
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171
Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di [article]
Titre : De artistieke reisbeurs in dienst van de Belgische koloniale propaganda Type de document : texte imprimé Auteurs : Tessa Lobbes, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.135-171 Langues : Néerlandais (dut) Catégories : 32(493) Politique de la Belgique
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politique
325 Colonisation
7.05 Utilisation de l'art
94(493) Histoire de la BelgiqueRésumé : LA BOURSE DE VOYAGE ARTISTIQUE AU SERVICE DE LA PROPAGANDE COLONIALE BELGE
Le Ministère des colonies et les artistes coloniaux pendant l’Entre-deux-guerres La propagande artistique coloniale constitue un aspect presque complètement oublié du passé colonial belge. La collaboration entre les artistes coloniaux belges et le Ministère des colonies dans le cadre de la propagande coloniale pendant l’Entre-deux guerres occupe une place centrale dans cet article. L’expression ‘artistes coloniaux’ renvoie principalement aux peintres et sculpteurs blancs qui au cours de la période coloniale, soit d’environ 1880 à 1960, entreprirent une mission artistique au Congo. D’un point de vue institutionnel, l’accent est surtout mis sur une caractérisation de la politique des bourses de voyage artistiques du Ministère des colonies.
L’Entre-deux-guerres constitua une période cruciale pour l’institutionnalisation de l’art africanisant comme moyen de propagande. Une première collaboration importante entre les artistes coloniaux et les autorités coloniales se manifesta déjà peu avant la Première Guerre mondiale. Mais c’est seulement dans l’Entre-deux-guerres que le Ministère des colonies élabora une politique systématique de bourses de voyage. Au cours de ces années, un vent d’africanophilie souffla sur les villes européennes. La fascination culturelle pour l’Afrique soi-disant intuitive et authentique fut ressentie comme un antidote à la mentalité rationnelle occidentale sclérosée. Autour du nombre croissant d’africanistes naquit un réseau artistico-culturel africanophile sous la forme de l’Association des écrivains et artistes coloniaux. Par le biais de cette association naquit un important réseau où des fonctionnaires coloniaux comme le mécène africanophile Gaston-Denys Périer et des artistes purent se rencontrer et se stimuler. De son côté, le Ministère des colonies renforça son rôle de diffuseur de propagande. Pendant l’Entre-deux-guerres, presque tous les partis politiques comme aussi les autorités coloniales prêtèrent attention à l’éducation populaire visuelle et à la propagande par la photographie, la cinématographie et l’art. La démocratisation fi t en sorte que les masses populaires qui souvent étaient illettrées, furent également amenées à être convaincues.
Le moteur du développement de la politique artistique coloniale ne fut cependant pas le Ministère des colonies. Le stimulant vint en effet du milieu artistico-culturel africanophile qui tint des expositions et des plaidoyers en faveur de l’institution d’une bourse de voyage. Ainsi, le Ministère des colonies devint de plus en plus convaincu de la force de l’instrument de propagande artistique. L’attrait de l’art africain reposait notamment sur le rayonnement exotique de la palette colorée et sur la possibilité, via des toiles et des images monumentales, de convaincre le peuple de la splendeur coloniale. Ce n’est qu’à la fi n des années 1920 que le réseau artistico-culturel parvint à ses fi ns. Le ministre des Colonies accorda en effet à l’époque une bourse de voyage artistique officielle aux peintres Fernand Allard l’Olivier et Henri Kerels dans le cadre des grandes missions en faveur du pavillon colonial de l’Exposition universelle d’Anvers de 1930. L’important succès public d’Allard l’Olivier, la naissance du tourisme de luxe et la plus intense collaboration entre le Ministère des colonies et l’Association des écrivains et artistes coloniaux belges, entre autres, stimulèrent le Ministère des colonies à poursuivre le développement de la politique des bourses de voyage pendant les années 1930. Cette politique des bourses de voyage brilla cependant souvent par son inconstance et son indécision. Une crise économique persistante et une retenue officielle pour développer une vraie politique en furent à la base. Les procédures informelles, l’absence de budget fixe et les préférences des fonctionnaires y contribuèrent. Néanmoins l’institution de la bourse de voyage coloniale fut une condition importante et même essentielle au développement de la propagande artistique.
À partir des années 1930, les autorités coloniales développèrent l’habitude de subsidier deux missions artistiques par an. Ainsi une dizaine d’artistes belges comme André Hallet, Clément Serneels et Jane Tercafs reçurent des bourses de voyage pour les territoires d’outre-mer. La bourse était totalement associée à la propagande coloniale puisque les autorités faisaient effectuer des missions ou acquéraient des oeuvres d’art en échange des subsides. Les thèmes officiels favoris étaient les synthèses historicisantes sur l’impact de la présence belge au Congo, des portraits et scènes ethnographiques exotiques et l’exaltation de figures coloniales et d’évènements historiques mémorables. Un aperçu de la politique des bourses de voyage coloniales pendant l’Entre-deuxguerres montre clairement que le Ministère des colonies a investi dans ce domaine culturel principalement selon un angle d’approche utilitaire et très peu pour des motifs artistiques. De cette manière, les autorités coloniales purent faire jouer un rôle à cet art exotique dans la propagande populaire visuelle moderne en faveur du Congo et du Ruanda-Urundi.
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in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) > 21 (2009) . - pp.135-171Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45426 cah Périodique Libre-accès Périodiques Disponible Artivisme / Stéphanie Lemoine
Artivisme : art, action politique et résistance culturelle [texte imprimé] / Stéphanie Lemoine, Auteur ; Samira Ouardi, Auteur . - Paris : Alternatives, 2010 . - 1 vol. (191 p.) : ill. en coul. ; 28 cm.
ISBN : 978-2-86227-658-8
Langues : Français (fre)
Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
342.727 Liberté d'expression - blasphème
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'artIndex. décimale : 32 Politique Résumé : SITE EDITEUR
L’artivisme est l’art d’artistes militants. Il est parfois l’art sans artiste mais avec des militants. Art engagé et engageant, il cherche à mobiliser le spectateur, à le sortir de son inertie supposée, à lui faire prendre position. C’est l’art insurrectionnel des zapatistes, l’art communautaire des muralistes, l’art résistant et rageur des féministes queers, l’art festif des collectifs décidés à réenchanter la vie, c’est l’art utopiste des hackers du Net (hacktivistes d’une guerilla teckno-politique), c’est la résistance esthétique à la publicité, à la privatisation de l’espace public… Dans cette galaxie, on trouve JR, Zevs, les Yes Men, les Guerilla Girls, Critical art ensemble, Reclaim the streets, Banksy, Steven Cohen, Reverend Billy, etc. Sur près de 200 pages largement illustrées, Artivisme dresse un état des lieux des pratiques contemporaines d’art radical.Note de contenu : SOMMAIRE
- Histoire d’une indiscipline
- Rêve générale
- No Border !
- L’art de guérilla
- Un art sans artistes ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Artivisme : art, action politique et résistance culturelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Lemoine, Auteur ; Samira Ouardi, Auteur Editeur : Paris : Alternatives Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (191 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86227-658-8 Langues : Français (fre) Catégories : 172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
342.727 Liberté d'expression - blasphème
7.0 Art en général
7.05 Utilisation de l'artIndex. décimale : 32 Politique Résumé : SITE EDITEUR
L’artivisme est l’art d’artistes militants. Il est parfois l’art sans artiste mais avec des militants. Art engagé et engageant, il cherche à mobiliser le spectateur, à le sortir de son inertie supposée, à lui faire prendre position. C’est l’art insurrectionnel des zapatistes, l’art communautaire des muralistes, l’art résistant et rageur des féministes queers, l’art festif des collectifs décidés à réenchanter la vie, c’est l’art utopiste des hackers du Net (hacktivistes d’une guerilla teckno-politique), c’est la résistance esthétique à la publicité, à la privatisation de l’espace public… Dans cette galaxie, on trouve JR, Zevs, les Yes Men, les Guerilla Girls, Critical art ensemble, Reclaim the streets, Banksy, Steven Cohen, Reverend Billy, etc. Sur près de 200 pages largement illustrées, Artivisme dresse un état des lieux des pratiques contemporaines d’art radical.Note de contenu : SOMMAIRE
- Histoire d’une indiscipline
- Rêve générale
- No Border !
- L’art de guérilla
- Un art sans artistes ?Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49084 32/LEM Livre Libre-accès Adultes Disponible L’ARTIVISTE : Shepard Fairey in Le Vif / L'Express, 26 ([01/07/2016])
PermalinkArts contre droits de l’homme / Jean-Yves Carlier in Espace de Libertés, 444 (décembre 2015)
PermalinkArts et engagements in Pétition, 1 (Janvier-Mars 1998)
PermalinkLes arts plastiques / Anne Vincent
PermalinkLes Arts en prison / ALAIN HARFORD in Le Journal de Culture et Démocratie, 8 (octobre-décembre 2003)
PermalinkArts en résistance / SABINE VERHELST in Le Journal de Culture et Démocratie, 12 (octobre-décembre 2004)
Permalink- Auschwitz (Bulletin de Le Monde, [29/01/2005])
PermalinkAuschwitz : a limit and a starting point for postmodern art / STEPHANOS ROZANIS in Fondation Auschwitz (bulletin trimestrielle), 60 (juillet-septembre 1998)
PermalinkL'Autodestruction de l'archéologie allemande sous le régime nazi / ALAIN SCHNAPP in Vingtième siècle, 78 (avril-juin 2003)
PermalinkAutour de "Culture et démocratie" / Georges Vercheval in La Chronique de la Ligue des droits de l'Homme, 94 (septembre-octobre 2002)
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