Catégories
> 3 Sciences sociales > 33 Economie politique et sociale > 33(091) Histoire économique et sociale
33(091) Histoire économique et sociale |
Documents disponibles dans cette catégorie (40)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
L'effacement de l'avenir / Pierre-André Taguieff
L'effacement de l'avenir [texte imprimé] / Pierre-André Taguieff (1946-....), Auteur . - Paris : Galilée, 2000 . - 1 vol. (483 p.) ; 24 cm. - (Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 978-2-7186-0498-5
Langues : Français (fre)
Catégories : 1 Philosophie Psychologie
316 Sociologie
321.7 Démocratie / Démocratisation
321:172 Idéologie - Utopies
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
33(091) Histoire économique et sociale
338 Politique économiqueIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Résumé de l'éditeur:
« La grande promesse des Lumières, c’était celle du passage à l’autonomie de tous les humains, en tant qu’êtres raisonnables poursuivant des fins communes. En se chargeant de significations imaginaires, le futur, forme vide du temps abstrait, se donnait comme avenir, à la fois explorable comme un champ de possibles et désirable comme un ensemble de promesses. Le programme progressiste était censé se réaliser dans le temps de l’histoire, finalisé par la liberté, la rationalité et le bonheur universellement partagés.
En guise d’autonomie, c’est l’anomie qui s’est partout installée. Avec la crise des Lumières, l’utopie du progrès s’est métamorphosée en utopisme techno-informationnel, tandis que la marche triomphale de l’histoire vers sa fin – son accomplissement – faisait place à un mouvement perpétuel, à un changement autotélique idéalisé comme tel. Avec le culte du mouvement pour le mouvement, surgit un nouveau mode de fatalisation du temps, disons le mouvementisme. L’effacement de l’avenir s’opère en même temps que les individus s’installent malgré eux dans un “présent perpétuel sans passé ni avenir” (Orwell), inscrit dans un destin planétaire pensé en termes de “contraintes inévitables” ou d’“évolutions irréversibles”. Dans le “présentisme” qui est l’ethos du moment contemporain, on reconnaît bien sûr quelque chose du nihilisme : au “sans pourquoi” de l’agitation frénétique dans un monde chaotique, mais fatalisé en tant que tel, s’ajoute la certitude angoissante de ne pouvoir surmonter l’incertitude, de ne pouvoir imaginer le “ce vers quoi’, non pas ce que l’avenir sera (le prévisible), mais ce qu’il doit être (le souhaitable).
C’est toute la question de la responsabilité post-humaniste et de la temporalité post-progressiste – voire post-historique et post-démocratique –, qui est posée, et qui doit inquiéter la pensée : Sommes-nous condamnés à un démocratisme planétaire sans communautés démocratiques vivantes ? Sommes-nous voués à un futur sans avenir ? À une responsabilité sans espoir ? L’inespoir est-il le destin ? »Note de contenu : Table des matières:
.Introduction
.Première partie: Le futur sans avenir
.Chapitre 1: Faillite du progrès, éclipse de l'avenir: l'impuissance du politique
-Crise de l'avenir
-L'évidence de la fin et le retour de la mélancolie
-De la curiosité insatiable à la volonté de progrès infini: l'endroit et l'envers
-Imaginer ou construire l'avenir: défaite du destin ou remythisation?
-L'utopie communicationnelle et l'abolition de la finitude
-Adaptation, uniformisation, médiocrisation: l'envers de l'invidualisme démocratique
-L'impuissance du politique et le retour du destin
-Décadentisme/Postmodernisme/nihilisme
.Chapitre 2: L'annulation inaccomplie de l'avenir. Présentisme, mouvementisme, juvénilisme
-Temps moderne et postmoderne: individualisme et présentisme
-Futurisme et progressisme
-Figures et interprétations du mobilisme
-Juvénilisme et mouvementisme: échos du modernisme, ombres du progressisme
-Individualisme tardif et désaffiliation
-Le "tout est possible" et l'avenir
.Deuxième partie: Nations et nationalismes dans un monde chaotique. La fin de l'optimisme historique
.Chapitre 3: Mondialisation marchande et fragmentation ethno-nationaliste du monde
-L'âge du nationalisme
-L'idéalisation du postnational, démonisation du national: la nouvelle vision irénique de ceux d'en haut
-Insignifiance, intolérance, cryptogouvernance
-De l'ambiguïté du nationalisme à l'effacement de l'optimisme historique
-Le "nouveau tribalisme": hypothèse féconde ou illusion séduisante?
-L'explication par les besoins: entre fonctionnalisme et primordialisme
.Chapitre 4: Nationalismes en devenir
-Le présent des nationalismes: des dynamiques diverses
-Devenir et avenir du nationalisme
-Persistance(s) du nationalisme
-L'avenir obscurci: non-sens, instabilité, conflictualité
-Transitions chaotiques: la revanche de Schopenhauer
.Troisième partie: De l'avenir du progès au déclin de l'avenir
.Histoire, progrès, décadence
.Chapitre 5: la "religion du progrès": origines et avatars d'une représentation
-Une religion substitutive et corruptible
-Sens de l'histoire et justification
-Doutes sur le progrès
-Dogmes et passions générales de l'âge démocratique
-La croyance au progrès comme à priori culturel moderne, ses déserteurs et ses ennemis
-L'imagination postprogressiste
.Chapitre 6: Des critiques du progrès aux pensées de la décadence. Diversification des philosophies de l'histoire
-Esquisse d'une typologie des visions de l'histoire
-Au nom du progrès bien pensé. Critiques réformatrices du progressisme
-Une critique antiprogressiste de l'optimisme progressiste: Georges Vacher de Lapouge contre "l'utopie du progrès" au nom de la science
-Héroïsme et grandeur contre espoir et bonheur: la voie spenglérienne
.Chapitre 7: Le progrès perdu ou la conviction du pire
-La possibilité du pire et l'expérience du néant: répétitions
-L'idée-force de progrès comme socle moderne de la confiance dans l'avenir: interprétations
-Contre le progrès, "ce fanal obscur": le combat de Baudelaire
-L'"homme" du "Progrès" et de l'"Histoire"
-Fin de siècle, fin de mythes, mythe de la fin
-Dans un monde sans espérance: postures et styles
-Postprogressusme, antiprogressisme, néoprogressisme
.Chapitre 8: Le désir d'avenir
.Quatrième partie: Démocratie ou expertocratie
.Chapitre 9: Le savant, le politique ou le citoyen: la démocratie saisie par l'expertocratie
-Démocratie et discussion publique
-La position de l'expert: une zone d'ambiguïté
-Intellectuel "universel" et intellectuel "spécifique"
-Le sage, le savant et le prophète
-Autorité scientifique et militantisme moral: l'exemple de l'antiracisme
-Débat démocratique et conflit des principes: entre le méritocratique et l'expertocratique
-Hérissons et renards
.Chapitre 10: L'utopie démocratique et les élites du savoir: interpréter, transformer ou ménager
-Les limites de la compétence et la position de problèmes insolubles
-Une corruption idéologique du débat public: la chasse aux sorcières
-Utopie démocratique et intervention de l'avenir
.Épilogue: Un avenir par-delà le progrès?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'effacement de l'avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-André Taguieff (1946-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2000 Collection : Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (483 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0498-5 Langues : Français (fre) Catégories : 1 Philosophie Psychologie
316 Sociologie
321.7 Démocratie / Démocratisation
321:172 Idéologie - Utopies
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
33(091) Histoire économique et sociale
338 Politique économiqueIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : Résumé de l'éditeur:
« La grande promesse des Lumières, c’était celle du passage à l’autonomie de tous les humains, en tant qu’êtres raisonnables poursuivant des fins communes. En se chargeant de significations imaginaires, le futur, forme vide du temps abstrait, se donnait comme avenir, à la fois explorable comme un champ de possibles et désirable comme un ensemble de promesses. Le programme progressiste était censé se réaliser dans le temps de l’histoire, finalisé par la liberté, la rationalité et le bonheur universellement partagés.
En guise d’autonomie, c’est l’anomie qui s’est partout installée. Avec la crise des Lumières, l’utopie du progrès s’est métamorphosée en utopisme techno-informationnel, tandis que la marche triomphale de l’histoire vers sa fin – son accomplissement – faisait place à un mouvement perpétuel, à un changement autotélique idéalisé comme tel. Avec le culte du mouvement pour le mouvement, surgit un nouveau mode de fatalisation du temps, disons le mouvementisme. L’effacement de l’avenir s’opère en même temps que les individus s’installent malgré eux dans un “présent perpétuel sans passé ni avenir” (Orwell), inscrit dans un destin planétaire pensé en termes de “contraintes inévitables” ou d’“évolutions irréversibles”. Dans le “présentisme” qui est l’ethos du moment contemporain, on reconnaît bien sûr quelque chose du nihilisme : au “sans pourquoi” de l’agitation frénétique dans un monde chaotique, mais fatalisé en tant que tel, s’ajoute la certitude angoissante de ne pouvoir surmonter l’incertitude, de ne pouvoir imaginer le “ce vers quoi’, non pas ce que l’avenir sera (le prévisible), mais ce qu’il doit être (le souhaitable).
C’est toute la question de la responsabilité post-humaniste et de la temporalité post-progressiste – voire post-historique et post-démocratique –, qui est posée, et qui doit inquiéter la pensée : Sommes-nous condamnés à un démocratisme planétaire sans communautés démocratiques vivantes ? Sommes-nous voués à un futur sans avenir ? À une responsabilité sans espoir ? L’inespoir est-il le destin ? »Note de contenu : Table des matières:
.Introduction
.Première partie: Le futur sans avenir
.Chapitre 1: Faillite du progrès, éclipse de l'avenir: l'impuissance du politique
-Crise de l'avenir
-L'évidence de la fin et le retour de la mélancolie
-De la curiosité insatiable à la volonté de progrès infini: l'endroit et l'envers
-Imaginer ou construire l'avenir: défaite du destin ou remythisation?
-L'utopie communicationnelle et l'abolition de la finitude
-Adaptation, uniformisation, médiocrisation: l'envers de l'invidualisme démocratique
-L'impuissance du politique et le retour du destin
-Décadentisme/Postmodernisme/nihilisme
.Chapitre 2: L'annulation inaccomplie de l'avenir. Présentisme, mouvementisme, juvénilisme
-Temps moderne et postmoderne: individualisme et présentisme
-Futurisme et progressisme
-Figures et interprétations du mobilisme
-Juvénilisme et mouvementisme: échos du modernisme, ombres du progressisme
-Individualisme tardif et désaffiliation
-Le "tout est possible" et l'avenir
.Deuxième partie: Nations et nationalismes dans un monde chaotique. La fin de l'optimisme historique
.Chapitre 3: Mondialisation marchande et fragmentation ethno-nationaliste du monde
-L'âge du nationalisme
-L'idéalisation du postnational, démonisation du national: la nouvelle vision irénique de ceux d'en haut
-Insignifiance, intolérance, cryptogouvernance
-De l'ambiguïté du nationalisme à l'effacement de l'optimisme historique
-Le "nouveau tribalisme": hypothèse féconde ou illusion séduisante?
-L'explication par les besoins: entre fonctionnalisme et primordialisme
.Chapitre 4: Nationalismes en devenir
-Le présent des nationalismes: des dynamiques diverses
-Devenir et avenir du nationalisme
-Persistance(s) du nationalisme
-L'avenir obscurci: non-sens, instabilité, conflictualité
-Transitions chaotiques: la revanche de Schopenhauer
.Troisième partie: De l'avenir du progès au déclin de l'avenir
.Histoire, progrès, décadence
.Chapitre 5: la "religion du progrès": origines et avatars d'une représentation
-Une religion substitutive et corruptible
-Sens de l'histoire et justification
-Doutes sur le progrès
-Dogmes et passions générales de l'âge démocratique
-La croyance au progrès comme à priori culturel moderne, ses déserteurs et ses ennemis
-L'imagination postprogressiste
.Chapitre 6: Des critiques du progrès aux pensées de la décadence. Diversification des philosophies de l'histoire
-Esquisse d'une typologie des visions de l'histoire
-Au nom du progrès bien pensé. Critiques réformatrices du progressisme
-Une critique antiprogressiste de l'optimisme progressiste: Georges Vacher de Lapouge contre "l'utopie du progrès" au nom de la science
-Héroïsme et grandeur contre espoir et bonheur: la voie spenglérienne
.Chapitre 7: Le progrès perdu ou la conviction du pire
-La possibilité du pire et l'expérience du néant: répétitions
-L'idée-force de progrès comme socle moderne de la confiance dans l'avenir: interprétations
-Contre le progrès, "ce fanal obscur": le combat de Baudelaire
-L'"homme" du "Progrès" et de l'"Histoire"
-Fin de siècle, fin de mythes, mythe de la fin
-Dans un monde sans espérance: postures et styles
-Postprogressusme, antiprogressisme, néoprogressisme
.Chapitre 8: Le désir d'avenir
.Quatrième partie: Démocratie ou expertocratie
.Chapitre 9: Le savant, le politique ou le citoyen: la démocratie saisie par l'expertocratie
-Démocratie et discussion publique
-La position de l'expert: une zone d'ambiguïté
-Intellectuel "universel" et intellectuel "spécifique"
-Le sage, le savant et le prophète
-Autorité scientifique et militantisme moral: l'exemple de l'antiracisme
-Débat démocratique et conflit des principes: entre le méritocratique et l'expertocratique
-Hérissons et renards
.Chapitre 10: L'utopie démocratique et les élites du savoir: interpréter, transformer ou ménager
-Les limites de la compétence et la position de problèmes insolubles
-Une corruption idéologique du débat public: la chasse aux sorcières
-Utopie démocratique et intervention de l'avenir
.Épilogue: Un avenir par-delà le progrès?
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45640 321.7/TAG Livre Libre-accès Adultes Disponible
[n° ou bulletin] 12 - 2me numéro juin 1941 - A l'épreuve contre tous les climats. En Afrique : le visage du soldat allemand sous le masque de sable [texte imprimé] / Harald Lechenperg (05/10/1904 - 01/01/1994), Directeur de publication . - 1941 . - 45 p. : ill. en coul. ; 36 cm.
Les pages 23, 24, 25 et 26 (attachées ensemble) ne sont plus attachées à la revue
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : 33(091) Histoire économique et sociale
623 Génie militaire
94(4) Histoire de l'Europe
94(430) Histoire de l'AllemagneNote de contenu : Sommaire :
- Communiqué de la cinquième colonne (p.2)
- Quatre cercles, quatre bombes (p.3)
- Comment s'expliquer un commerce extérieur sans or ? (p.4 et 42)
- Au-dessus de l'Acropole (p.6)
- Le problème grec (p.8 et 34)
- Le plus jeune état d'Europe : La Croatie (p.11)
- Le chemin de la liberté (p.13)
- L'Europe doit enfin naître (p.16 et 27)
- Stop ! Stop ! Arrêtez radio ! Descendez dans bateaux ! (p.17)
- Les maîtres du champ de bataille (p.22)
- Entre les batailles (p.23)
- Le onzième jour (p.24)
- Des générations sur l'écran (p.26)
- Bergstrasse 75 (p.28 et 32)
- Des crinolines selon la bonne règle (p.30)
- Curiosités sportives (p.35)
- Un bain fou (p.36)
- Choux en comprimés (p.38)
- Trois amis chers (p.39)
- La brillante réussite d'un "test" (p.40)
- La déesse trahie (p.41 et 46)
- Pour la protection de sa neutralité (p.43)
- Il faut changer de méthode ! (p.44)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ [n° ou bulletin]
Titre : 12 - 2me numéro juin 1941 - A l'épreuve contre tous les climats. En Afrique : le visage du soldat allemand sous le masque de sable Type de document : texte imprimé Auteurs : Harald Lechenperg (05/10/1904 - 01/01/1994), Directeur de publication Année de publication : 1941 Importance : 45 p. Présentation : ill. en coul. Format : 36 cm. Note générale : Les pages 23, 24, 25 et 26 (attachées ensemble) ne sont plus attachées à la revue Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : 33(091) Histoire économique et sociale
623 Génie militaire
94(4) Histoire de l'Europe
94(430) Histoire de l'AllemagneNote de contenu : Sommaire :
- Communiqué de la cinquième colonne (p.2)
- Quatre cercles, quatre bombes (p.3)
- Comment s'expliquer un commerce extérieur sans or ? (p.4 et 42)
- Au-dessus de l'Acropole (p.6)
- Le problème grec (p.8 et 34)
- Le plus jeune état d'Europe : La Croatie (p.11)
- Le chemin de la liberté (p.13)
- L'Europe doit enfin naître (p.16 et 27)
- Stop ! Stop ! Arrêtez radio ! Descendez dans bateaux ! (p.17)
- Les maîtres du champ de bataille (p.22)
- Entre les batailles (p.23)
- Le onzième jour (p.24)
- Des générations sur l'écran (p.26)
- Bergstrasse 75 (p.28 et 32)
- Des crinolines selon la bonne règle (p.30)
- Curiosités sportives (p.35)
- Un bain fou (p.36)
- Choux en comprimés (p.38)
- Trois amis chers (p.39)
- La brillante réussite d'un "test" (p.40)
- La déesse trahie (p.41 et 46)
- Pour la protection de sa neutralité (p.43)
- Il faut changer de méthode ! (p.44)Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=bulletin_ Contient
- Modestes symboles des gloires militaires allemandes in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- Les épaves anglaises se retrouvent même en Cyrénaïque in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- Une vue de la campagne de Grèce in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- Entre les batailles in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- Le onzième jour in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- 1880 in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- 1887 in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- 1940 in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- 1914 in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- Trois amis chers in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- La brillante réussite d'un « test » in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- La brillante réussite d'un « test » in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- La brillante réussite d'un « test » in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
- La brillante réussite d'un « test » in Signal, 12 (2me numéro juin 1941)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52608 SIG Périodique Bureau Bureau accessible Exclu du prêt Documents numériques
Fichier PDF Photos Signal 12/1941Adobe Acrobat PDF Le fascisme / Jeliu Mitev Jelev
Le fascisme : état totalitaire [texte imprimé] / Jeliu Mitev Jelev (1935-....), Auteur . - Genève : Ed. Rousseau, 1993 . - 1 vol. (204 p.) : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-88415-015-6
Langues : Français (fre)
Catégories : 14 Communisme (philosophie, idéologie)
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.6"1922/1944" Fascisme
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
329.15(091) Histoire du communisme
33(091) Histoire économique et socialeIndex. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : 4e de couverture :
Frères jumeaux aux idéologies divergentes, le Communisme et le Fascisme se rejoignent cependant par maints aspects.
Dans cette comparaison, le Communisme apparait comme la version la plus parfaite et la plus achevée du régime totalitaire. Son intégration verticale englobe à la fois tant la superstructure politique que la base économique de la société. L'individu est au service du système et celui-ci en retour, assume son existence matérielle, condition nécessaire avec l'endoctrinement des esprits, pour assurer la survie du système.
Le Fascisme apparait par contre comme un totalitarisme moins complet d!s lors qu'il conserve un système économique fondé sur le libéralisme et la propriété individuelle. Cette contradiction entre le monolithique politique et le pluralisme économique s'avère à terme fatale pour le fascisme. Généralement les régimes fascistes se sont révélés moins résistants au cours de l'Histoire et ont péri beaucoup plus rapidement que les régimes communistes.
Sur le long terme l'économique finit cependant par l'emporter sur le politique, mais l'enracinement idéologique a été si profond que ces régimes ont pu masquer pendant très longtemps leurs échecs flagrants. Le pouvoir s'est construit, imposé puis maintenu sur une escroquerie intellectuelle...Note de contenu : Sommaire :
chapitre premier : structure de l'état fasciste
chapitre II : particularités fonctionnelles de l'état fasciste totalitaire
chapitre III : caractéristique intégrale de l'état totalitaire
chapitre IV : désintégration de l'état fasciste
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Le fascisme : état totalitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeliu Mitev Jelev (1935-....), Auteur Editeur : Genève : Ed. Rousseau Année de publication : 1993 Importance : 1 vol. (204 p.) Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88415-015-6 Langues : Français (fre) Catégories : 14 Communisme (philosophie, idéologie)
321.6 Régime autoritaire / Dictature / Gouvernement non démocratique / Totalitarisme
321.6"1922/1944" Fascisme
329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche
329.15(091) Histoire du communisme
33(091) Histoire économique et socialeIndex. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : 4e de couverture :
Frères jumeaux aux idéologies divergentes, le Communisme et le Fascisme se rejoignent cependant par maints aspects.
Dans cette comparaison, le Communisme apparait comme la version la plus parfaite et la plus achevée du régime totalitaire. Son intégration verticale englobe à la fois tant la superstructure politique que la base économique de la société. L'individu est au service du système et celui-ci en retour, assume son existence matérielle, condition nécessaire avec l'endoctrinement des esprits, pour assurer la survie du système.
Le Fascisme apparait par contre comme un totalitarisme moins complet d!s lors qu'il conserve un système économique fondé sur le libéralisme et la propriété individuelle. Cette contradiction entre le monolithique politique et le pluralisme économique s'avère à terme fatale pour le fascisme. Généralement les régimes fascistes se sont révélés moins résistants au cours de l'Histoire et ont péri beaucoup plus rapidement que les régimes communistes.
Sur le long terme l'économique finit cependant par l'emporter sur le politique, mais l'enracinement idéologique a été si profond que ces régimes ont pu masquer pendant très longtemps leurs échecs flagrants. Le pouvoir s'est construit, imposé puis maintenu sur une escroquerie intellectuelle...Note de contenu : Sommaire :
chapitre premier : structure de l'état fasciste
chapitre II : particularités fonctionnelles de l'état fasciste totalitaire
chapitre III : caractéristique intégrale de l'état totalitaire
chapitre IV : désintégration de l'état fasciste
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44866 329fns/JEL Livre Libre-accès Adultes Exclu du prêt Le fil rouge du 1er mai / Jacky Degueldre
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43043 dossier 05/09/2007 Documents divers Libre-accès Farde Dossiers Disponible Godin, inventeur de l'économie sociale / Jean-François Draperi
Godin, inventeur de l'économie sociale : mutualiser, coopérer, s'associer [texte imprimé] / Jean-François Draperi (1954-....), Auteur . - Valence : Repas, DL 2008 . - 1 vol. (192 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Pratiques utopiques, ISSN 1769-2490) .
ISBN : 978-2-9520180-4-3 : 15 EUR
Bibliogr. p. 184-190
Langues : Français (fre)
Catégories : 33(091) Histoire économique et sociale
330.8 Histoire des doctrines économiques
929 Godin, Jean Baptiste André (1817-1888)Index. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
L'histoire
Familistère de Guise Fondé par Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), le familistère de Guise (1870-1968) apparaît aujourd'hui comme un des modèles les plus aboutis d'une alternative à l'entreprise capitaliste. L'objet de ce livre est de montrer qu'à travers cette formidable aventure, Godin prouve qu'il est possible de permettre à chacun de bien vivre, dans un habitat confortable et par un travail digne, où il est respecté, sans passer par la violence et sans appauvrir quiconque. En concevant cette coopérative d'habitat, de production et de consommation et cet ensemble de mutuelles et d'associations qu'est le familistère, Godin s'inscrit en rupture aussi bien avec le père de l'organisation scientifique du travail, F.W. Taylor, qu'avec la critique du capitalisme formulée par K. Marx. Ce livre démontre qu'on peut considérer Godin comme l'un des fondateurs de l'économie sociale et sans doute le plus moderne d'entre eux.
Godin constitue en effet le principal chaînon entre le premier XIXe siècle, celui de Fourier et des utopies socialistes, et le second XIXe siècle, celui de Marx, de Taylor et de la grande industrie. Son œuvre est irréductible à la fois à la pensée libérale et fonctionnelle, et à la pensée marxiste. Elle est l'une de celles qui contribuent à l'émergence d'une pensée et d'une pratique d'économie sociale. Au sein de cette tradition, Godin occupe une place à part. Ses propositions ne concernent pas seulement les convaincus - les militants recherchant une alternative -, elles s'adressent à tous les hommes.
Le commentaire des éditeurs
Il peut paraître étrange de trouver dans une collection qui rassemble des témoignages directs sur des « pratiques utopiques » contemporaines, un ouvrage comme celui-ci. Que peut nous apprendre en effet une histoire née au XIXe siècle en pleine révolution industrielle, dans un contexte politique, économique, social et culturel a priori si différent du nôtre ? Quel intérêt, autre qu'historique, peut-il apporter à une réflexion sur l'alternative aujourd'hui ? En publiant ce livre, les éditions REPAS prennent le pari que le lecteur du XXIe siècle y trouvera plus d'un écho à ses propres réflexions et pratiques. Godin est un personnage hors du commun, une sorte de génie précurseur qui anticipe sur bien des points, mais c'est avant tout un praticien, c'est-à-dire un individu qui crée, agit, construit.
La classe de Madame Lobjeois à l'école du Familistère de GuiseIl prouve, en ce XIXe siècle industriel, que les chemins du travail et de la production peuvent dès cette époque être balisés autrement que selon les normes qui s'imposent alors et se perfectionneront ensuite avec Taylor, au sein du modèle de la grande entreprise de production de masse. Il démontre que l'alternative est de tous les temps et qu'on peut construire l'histoire par les actes d'abord et pas seulement par la pensée. Il s'affirme expérimentateur, croit en la possibilité des individus de changer leur environnement, de le maîtriser et de se l'approprier. Il ne fige pas l'individu dans une situation bloquée mais mise sur sa capacité à progresser grâce à l'éducation qui seule lui permettra d'accéder au statut de coopérateur. Il privilégie l'association et n'hésite pas à mettre ses idées en pratique avec les hommes (et les femmes - autre anticipation de Godin et non des moindres) avec lesquels il bâtit, bien au-delà du travail, une véritable contre-société coopérative. Pour toutes ces raisons, nous pouvons nous sentir aujourd'hui ses héritiers.
« Les idées, disait-il en 1884, ne reçoivent pas tout d'un coup leur application intégrale ; elles font leur chemin peu à peu et ce n'est qu'en les soumettant à l'examen et à la discussion qu'on ouvre la voie pour l'avenir. » C'est bien là la mission de ce livre.
L'auteur
Jean-François Draperi est directeur du Centre d'économie sociale du Conservatoire des Arts et métiers (Ceste-Cnam) à Paris et rédacteur en chef de la RECMA (Revue internationale de l'économie sociale). A côté de son activité de chercheur et d'enseignant, il intervient dans de nombreuses manifestations liées à l'économie sociale et solidaire. Il est entre autres l'auteur de « Rendre possible un autre monde » (Presses de l'économie sociale, 2005) et de « L'économie sociale. Utopies, pratiques, principes » (Presses de l'économie sociale, 2005).
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Godin, inventeur de l'économie sociale : mutualiser, coopérer, s'associer Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Draperi (1954-....), Auteur Editeur : Valence : Repas Année de publication : DL 2008 Collection : Pratiques utopiques, ISSN 1769-2490 Importance : 1 vol. (192 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9520180-4-3 Prix : 15 EUR Note générale : Bibliogr. p. 184-190 Langues : Français (fre) Catégories : 33(091) Histoire économique et sociale
330.8 Histoire des doctrines économiques
929 Godin, Jean Baptiste André (1817-1888)Index. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
L'histoire
Familistère de Guise Fondé par Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), le familistère de Guise (1870-1968) apparaît aujourd'hui comme un des modèles les plus aboutis d'une alternative à l'entreprise capitaliste. L'objet de ce livre est de montrer qu'à travers cette formidable aventure, Godin prouve qu'il est possible de permettre à chacun de bien vivre, dans un habitat confortable et par un travail digne, où il est respecté, sans passer par la violence et sans appauvrir quiconque. En concevant cette coopérative d'habitat, de production et de consommation et cet ensemble de mutuelles et d'associations qu'est le familistère, Godin s'inscrit en rupture aussi bien avec le père de l'organisation scientifique du travail, F.W. Taylor, qu'avec la critique du capitalisme formulée par K. Marx. Ce livre démontre qu'on peut considérer Godin comme l'un des fondateurs de l'économie sociale et sans doute le plus moderne d'entre eux.
Godin constitue en effet le principal chaînon entre le premier XIXe siècle, celui de Fourier et des utopies socialistes, et le second XIXe siècle, celui de Marx, de Taylor et de la grande industrie. Son œuvre est irréductible à la fois à la pensée libérale et fonctionnelle, et à la pensée marxiste. Elle est l'une de celles qui contribuent à l'émergence d'une pensée et d'une pratique d'économie sociale. Au sein de cette tradition, Godin occupe une place à part. Ses propositions ne concernent pas seulement les convaincus - les militants recherchant une alternative -, elles s'adressent à tous les hommes.
Le commentaire des éditeurs
Il peut paraître étrange de trouver dans une collection qui rassemble des témoignages directs sur des « pratiques utopiques » contemporaines, un ouvrage comme celui-ci. Que peut nous apprendre en effet une histoire née au XIXe siècle en pleine révolution industrielle, dans un contexte politique, économique, social et culturel a priori si différent du nôtre ? Quel intérêt, autre qu'historique, peut-il apporter à une réflexion sur l'alternative aujourd'hui ? En publiant ce livre, les éditions REPAS prennent le pari que le lecteur du XXIe siècle y trouvera plus d'un écho à ses propres réflexions et pratiques. Godin est un personnage hors du commun, une sorte de génie précurseur qui anticipe sur bien des points, mais c'est avant tout un praticien, c'est-à-dire un individu qui crée, agit, construit.
La classe de Madame Lobjeois à l'école du Familistère de GuiseIl prouve, en ce XIXe siècle industriel, que les chemins du travail et de la production peuvent dès cette époque être balisés autrement que selon les normes qui s'imposent alors et se perfectionneront ensuite avec Taylor, au sein du modèle de la grande entreprise de production de masse. Il démontre que l'alternative est de tous les temps et qu'on peut construire l'histoire par les actes d'abord et pas seulement par la pensée. Il s'affirme expérimentateur, croit en la possibilité des individus de changer leur environnement, de le maîtriser et de se l'approprier. Il ne fige pas l'individu dans une situation bloquée mais mise sur sa capacité à progresser grâce à l'éducation qui seule lui permettra d'accéder au statut de coopérateur. Il privilégie l'association et n'hésite pas à mettre ses idées en pratique avec les hommes (et les femmes - autre anticipation de Godin et non des moindres) avec lesquels il bâtit, bien au-delà du travail, une véritable contre-société coopérative. Pour toutes ces raisons, nous pouvons nous sentir aujourd'hui ses héritiers.
« Les idées, disait-il en 1884, ne reçoivent pas tout d'un coup leur application intégrale ; elles font leur chemin peu à peu et ce n'est qu'en les soumettant à l'examen et à la discussion qu'on ouvre la voie pour l'avenir. » C'est bien là la mission de ce livre.
L'auteur
Jean-François Draperi est directeur du Centre d'économie sociale du Conservatoire des Arts et métiers (Ceste-Cnam) à Paris et rédacteur en chef de la RECMA (Revue internationale de l'économie sociale). A côté de son activité de chercheur et d'enseignant, il intervient dans de nombreuses manifestations liées à l'économie sociale et solidaire. Il est entre autres l'auteur de « Rendre possible un autre monde » (Presses de l'économie sociale, 2005) et de « L'économie sociale. Utopies, pratiques, principes » (Presses de l'économie sociale, 2005).
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Histoire mondiale de la guerre économique / Ali Laïdi
PermalinkHistoire du mouvement ouvrier en Europe / Wolfgang Abendroth
Permalink102 - décembre 2008-janvier 2009 - Le Krach du libéralisme (Bulletin de Manière de voir)
PermalinkNaissance et croissance du syndicalisme / Jean Neuville
PermalinkNouveaux emplois, vieilles attaques in Manière de voir, 156 (décembre 2017 - janvier 2018)
PermalinkLes nouvelles formes du capitalisme / Xavier de la Véga in Sciences Humaines, 176 (novembre 2006)
PermalinkPrincipes d'économie contemporaine, 1. La production / Fernand Baudhuin
PermalinkPrincipes d'économie contemporaine, 2. La circulation / Fernand Baudhuin
PermalinkPrincipes d'économie contemporaine, 3. La répartition / Fernand Baudhuin
PermalinkPrincipes d'économie contemporaine, 4. La consommation / Fernand Baudhuin
Permalink