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Une arme blanche : la mort de George Floyd et les usages de l'histoire dans le discours néoconservateur [texte imprimé] / Jean-Pierre Le Glaunec, Auteur . - Montréal : Lux éditeur, DL 2020 . - 1 vol. (136 p.) ; 19 cm.. - (Lettres libres) .
ISBN : 978-2-89596-352-3 : 12 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 171:323.12 Antiracisme / Antisexisme / Antidiscrimination / Egalité des Chances
32 Politique
329.11 Tendance conservatrice
93 Histoire
94"20" Histoire du XXIe siècleIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Du site de la maison d'édition :
Le 25 mai 2020, George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans, meurt sous le poids d’un policier blanc lors d’une arrestation à Minneapolis. Sa mort suscite l’indignation de l’opinion publique partout dans le monde et relance le mouvement Black Lives Matter.
Le 5 juin suivant, Christian Rioux, correspondant de longue date du Devoir à Paris, signe un texte intitulé «Tous Américains?», republié deux jours plus tard dans le Courrier international. C’est la première d’une série de six chroniques polémiques sur le mouvement antiraciste. Il joint ainsi sa voix à la constellation des chroniqueurs de France et du Québec qui n’ont pas hésité à exploiter la mort de George Floyd pour mieux déployer leurs armes contre leurs cibles habituelles: le politiquement correct, les «racialistes», les vendus à la cause de l’impérialisme américain, le multiculturalisme.
Dans cet essai à mi-chemin entre la lettre et la réflexion critique, l’historien Jean-Pierre Le Glaunec déboulonne le discours conservateur des chroniques floydiennes de Christian Rioux. Il pose surtout cette question, décisive en démocratie: jusqu’où est-il permis de tordre les faits historiques afin d’honorer nos convictions politiques?
Ce livre appelle un choix: le bruit et la haine ou la compassion et la compréhension.Note de contenu : Table des matières :
Avant-propos
J'étais un raciste ordinaire
Le Christian Rioux du vendredi
Le prétexte George Floyd
L' "esprit des Lumières"
Le détour par les banlieues françaises ou l'histoire d'un trou de mémoire
Conclusion
Post-scriptum
RemerciementsEn ligne : http://luxediteur.com/catalogue/une-arme-blanche/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Une arme blanche : la mort de George Floyd et les usages de l'histoire dans le discours néoconservateur Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Le Glaunec, Auteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : DL 2020 Collection : Lettres libres Importance : 1 vol. (136 p.) Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-352-3 Prix : 12 € Langues : Français (fre) Catégories : 171:323.12 Antiracisme / Antisexisme / Antidiscrimination / Egalité des Chances
32 Politique
329.11 Tendance conservatrice
93 Histoire
94"20" Histoire du XXIe siècleIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Du site de la maison d'édition :
Le 25 mai 2020, George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans, meurt sous le poids d’un policier blanc lors d’une arrestation à Minneapolis. Sa mort suscite l’indignation de l’opinion publique partout dans le monde et relance le mouvement Black Lives Matter.
Le 5 juin suivant, Christian Rioux, correspondant de longue date du Devoir à Paris, signe un texte intitulé «Tous Américains?», republié deux jours plus tard dans le Courrier international. C’est la première d’une série de six chroniques polémiques sur le mouvement antiraciste. Il joint ainsi sa voix à la constellation des chroniqueurs de France et du Québec qui n’ont pas hésité à exploiter la mort de George Floyd pour mieux déployer leurs armes contre leurs cibles habituelles: le politiquement correct, les «racialistes», les vendus à la cause de l’impérialisme américain, le multiculturalisme.
Dans cet essai à mi-chemin entre la lettre et la réflexion critique, l’historien Jean-Pierre Le Glaunec déboulonne le discours conservateur des chroniques floydiennes de Christian Rioux. Il pose surtout cette question, décisive en démocratie: jusqu’où est-il permis de tordre les faits historiques afin d’honorer nos convictions politiques?
Ce livre appelle un choix: le bruit et la haine ou la compassion et la compréhension.Note de contenu : Table des matières :
Avant-propos
J'étais un raciste ordinaire
Le Christian Rioux du vendredi
Le prétexte George Floyd
L' "esprit des Lumières"
Le détour par les banlieues françaises ou l'histoire d'un trou de mémoire
Conclusion
Post-scriptum
RemerciementsEn ligne : http://luxediteur.com/catalogue/une-arme-blanche/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53083 323.12/LEG Livre Libre-accès Adultes Disponible
Bande de colons : une mauvaise conscience de classe [texte imprimé] / Alain Deneault (1970-....), Auteur . - Montréal : Lux éditeur, DL 2020 . - 1 vol. (209 p.) ; 19 cm.. - (Lettres libres) .
ISBN : 978-2-89596-337-0
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
325.3 Colonisation/ décolonisation
Histoire du Canada et du QuébecIndex. décimale : 97 Histoire des Amériques (USA, Canada, Amérique du Sud) Résumé : «Il s’agit d’asseoir le statut de colon en tant qu’il continue de nous conditionner aujourd’hui. Le peu de cas que nous avons fait de cette notion, au profit de celles usurpées de colonisé et du couple colonisateur-colonisé, explique les lacunes actuelles de notre conscience de classe.»
Le colon, figure mitoyenne qui ne se trouve ni dans la position invivable du colonisé ni dans celle, indéfendable, du colonisateur, est généralement relégué au statut de figurant du récit colonial. Complétant le diptyque de Memmi, Alain Deneault révèle ici l’idiot utile, voire indispensable, de l’accaparement du territoire, une figure qui n’existe qu’en solidarité absolue avec la classe qui le domine, mais dont l’impuissance politique et économique l’autorise à s’identifier, lorsque opportun, au colonisé.
Le décor où Alain Deneault campe son personnage: le Canada. Coincé entre un passé colonial qu’il veut oublier et un essor républicain sans cesse ajourné, ce territoire qu’on appelle «pays» n’excelle que dans la médiocrité de ses politiques d’extrême centre, mais il livre à la pensée politique un objet d’importance: la condition du colon qui fut celle de la majorité de sa population et qui le reste de mille façons inavouées.Note de contenu : Table des matières :
Le colon travesti en colonisateur
Le colonisé travesti en colon
Le colon travesti en colonisé
Le colonisateur travesti en colon
Un colon sans colonisateur?
Un Congo de Léopold II réussi
L’Irvingnie, une colonie dans la colonie
Histoire et mauvaise conscience de classe
Démanteler le CanadaEn ligne : https://luxediteur.com/catalogue/bande-de-colons/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Bande de colons : une mauvaise conscience de classe Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault (1970-....), Auteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : DL 2020 Collection : Lettres libres Importance : 1 vol. (209 p.) Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-337-0 Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
325.3 Colonisation/ décolonisation
Histoire du Canada et du QuébecIndex. décimale : 97 Histoire des Amériques (USA, Canada, Amérique du Sud) Résumé : «Il s’agit d’asseoir le statut de colon en tant qu’il continue de nous conditionner aujourd’hui. Le peu de cas que nous avons fait de cette notion, au profit de celles usurpées de colonisé et du couple colonisateur-colonisé, explique les lacunes actuelles de notre conscience de classe.»
Le colon, figure mitoyenne qui ne se trouve ni dans la position invivable du colonisé ni dans celle, indéfendable, du colonisateur, est généralement relégué au statut de figurant du récit colonial. Complétant le diptyque de Memmi, Alain Deneault révèle ici l’idiot utile, voire indispensable, de l’accaparement du territoire, une figure qui n’existe qu’en solidarité absolue avec la classe qui le domine, mais dont l’impuissance politique et économique l’autorise à s’identifier, lorsque opportun, au colonisé.
Le décor où Alain Deneault campe son personnage: le Canada. Coincé entre un passé colonial qu’il veut oublier et un essor républicain sans cesse ajourné, ce territoire qu’on appelle «pays» n’excelle que dans la médiocrité de ses politiques d’extrême centre, mais il livre à la pensée politique un objet d’importance: la condition du colon qui fut celle de la majorité de sa population et qui le reste de mille façons inavouées.Note de contenu : Table des matières :
Le colon travesti en colonisateur
Le colonisé travesti en colon
Le colon travesti en colonisé
Le colonisateur travesti en colon
Un colon sans colonisateur?
Un Congo de Léopold II réussi
L’Irvingnie, une colonie dans la colonie
Histoire et mauvaise conscience de classe
Démanteler le CanadaEn ligne : https://luxediteur.com/catalogue/bande-de-colons/ Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52803 97/DEN Livre Libre-accès Adultes Disponible Dernières nouvelles du mensonge / Anne-Cécile Robert
Dernières nouvelles du mensonge [texte imprimé] / Anne-Cécile Robert, Auteur . - Montréal : Lux éditeur, 2020 . - 1 vol. (212 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Lettres libres) .
ISSN : 9782898963714
Langues : Français (fre)
Catégories : 070.1 Théorie/Ethique de la presse
167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politiqueIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : 4e de couverture
S’il y a toujours eu des mensonges dans le discours public, ceux-ci occupent aujourd’hui un nouvel espace, notamment à la faveur des réseaux sociaux. La volonté de contrôler les outils l’emporte de plus en plus sur une réflexion de fond quant à l’effacement des frontières qui séparent le mensonge de la vérité. On tend à organiser la surveillance d’internet au risque de réduire les libertés de tous, alors qu’il faudrait rechercher les racines d’une confusion essentiellement politique et philosophique.
La classe dirigeante n’hésite pas à instrumentaliser la lutte contre les fake news pour se maintenir au pouvoir. Elle cherche ainsi à faire oublier sa responsabilité dans l’installation du mensonge au cœur de la vie publique et dans l’avènement d’un monde où il importe surtout de mieux mentir que l’adversaire. Ce dévoiement de la politique transforme encore plus l’électeur en spectateur et impose des formes de vérités indiscutables, voire une vérité officielle.
Pour reconstituer l’espace public démocratique, il devient impératif de réaffirmer la place de l’humain en tant qu’être pensant capable d’exercer sa faculté de jugement.Note de contenu : Sommaire
INTRODUCTION
1. TOUT EST EXACT, MAIS RIEN N'EST VRAI
Le mythe de l’objectivité
Un faux ami: l’expert médiatique
Chiffres en folie
Une science sans culture
Leçons de morale
Des sociétés sophistiques
2. QUAND LA POLITIQUE RÉINVENTE LE MENSONGE
Démocraties mensongères
Le retour des vérités officielles
«Parler vrai» ou variation sur l’usage du mensonge
La responsabilité de la gauche
D’un dogme à l’autre
Un dévoiement durable: pas de mots, pas de vérité
Le pouvoir aux abois
3. SCEPTICISME GÉNÉRALISÉ ET MENSONGE ROI
Le complotisme, une pathologie en réaction
Le populisme ou (re)faire société
La privatisation de la vérité
Toutes classes confondues
Qui détient la «réalité»?
4. LA GUERRE DES VÉRITÉS
«Faits alternatifs» ou le mensonge comme outil de guerre
Fake news officielles
Bras de fer
Quand le combat remplace le débat
Fractures sociales
5. LA VÉRITÉ N'EST PAS LE CONTRAIRE DU MENSONGE
La vérité, un lieu et un lien
Esprit critique, es-tu là ?
La politique, une condition pour construire la vérité
Vive le dissensus Confiance dans le citoyen et dans l’être humain
Signaux d’alarme
CONCLUSION - RETROUVER LE GOÛT DU VRAI
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Dernières nouvelles du mensonge Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Cécile Robert, Auteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : 2020 Collection : Lettres libres Importance : 1 vol. (212 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 9782898963714 Langues : Français (fre) Catégories : 070.1 Théorie/Ethique de la presse
167.5 Théorie du Complot - Rumeur - Invention
32.019 Propagande / Communication politique / Médias et politiqueIndex. décimale : 321.7 Démocratie / Dictature Résumé : 4e de couverture
S’il y a toujours eu des mensonges dans le discours public, ceux-ci occupent aujourd’hui un nouvel espace, notamment à la faveur des réseaux sociaux. La volonté de contrôler les outils l’emporte de plus en plus sur une réflexion de fond quant à l’effacement des frontières qui séparent le mensonge de la vérité. On tend à organiser la surveillance d’internet au risque de réduire les libertés de tous, alors qu’il faudrait rechercher les racines d’une confusion essentiellement politique et philosophique.
La classe dirigeante n’hésite pas à instrumentaliser la lutte contre les fake news pour se maintenir au pouvoir. Elle cherche ainsi à faire oublier sa responsabilité dans l’installation du mensonge au cœur de la vie publique et dans l’avènement d’un monde où il importe surtout de mieux mentir que l’adversaire. Ce dévoiement de la politique transforme encore plus l’électeur en spectateur et impose des formes de vérités indiscutables, voire une vérité officielle.
Pour reconstituer l’espace public démocratique, il devient impératif de réaffirmer la place de l’humain en tant qu’être pensant capable d’exercer sa faculté de jugement.Note de contenu : Sommaire
INTRODUCTION
1. TOUT EST EXACT, MAIS RIEN N'EST VRAI
Le mythe de l’objectivité
Un faux ami: l’expert médiatique
Chiffres en folie
Une science sans culture
Leçons de morale
Des sociétés sophistiques
2. QUAND LA POLITIQUE RÉINVENTE LE MENSONGE
Démocraties mensongères
Le retour des vérités officielles
«Parler vrai» ou variation sur l’usage du mensonge
La responsabilité de la gauche
D’un dogme à l’autre
Un dévoiement durable: pas de mots, pas de vérité
Le pouvoir aux abois
3. SCEPTICISME GÉNÉRALISÉ ET MENSONGE ROI
Le complotisme, une pathologie en réaction
Le populisme ou (re)faire société
La privatisation de la vérité
Toutes classes confondues
Qui détient la «réalité»?
4. LA GUERRE DES VÉRITÉS
«Faits alternatifs» ou le mensonge comme outil de guerre
Fake news officielles
Bras de fer
Quand le combat remplace le débat
Fractures sociales
5. LA VÉRITÉ N'EST PAS LE CONTRAIRE DU MENSONGE
La vérité, un lieu et un lien
Esprit critique, es-tu là ?
La politique, une condition pour construire la vérité
Vive le dissensus Confiance dans le citoyen et dans l’être humain
Signaux d’alarme
CONCLUSION - RETROUVER LE GOÛT DU VRAI
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53131 321.7/ROB Livre Libre-accès Adultes Disponible Les empoisonneurs / Sébastien Fontenelle
Les empoisonneurs : antisémitisme, islamophobie, xénophobie [texte imprimé] / Sébastien Fontenelle (1968?-....), Auteur . - Montréal : Lux éditeur, 2020 . - 1 vol. (117 p.) : couv. ill. ; 19 cm. - (Lettres libres) .
ISBN : 978-2-89596-348-6
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
NationalismeIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Editeur :
Quotidiennement, des agitateurs prennent d’assaut les tribunes pour attiser colères identitaires et passions xénophobes. Leur brutalité verbale, qui vise principalement les «migrants» et les «musulmans», rappelle la violence de ceux qui, dans la première moitié du siècle précédent, vilipendaient les «métèques» et les «juifs». De la même façon que les droites d’antan vitupéraient contre le «judéo-bolchevisme», leurs épigones fustigent l’«islamo-gauchisme», qu’ils associent à l’antisémitisme.
Or ces mêmes accusateurs font parfois preuve d’une étonnante complaisance lorsqu’ils se trouvent confrontés, dans leurs alentours culturels et idéologiques, à des considérations pour le moins équivoques sur les juifs ou sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Soudain ils deviennent magnanimes et peuvent même trouver à leurs auteurs des circonstances atténuantes. Et ainsi se perpétue l’abject.Note de contenu : Table des matières :
Altérophobies
Renaud Camus et «les collaborateurs juifs du Panorama de France Culture»
Oriana Fallaci, journaliste «de bon goût»
Le communisme du XXIe siècle
«Cinq Juifs ou dix Noirs»
La «France musulmane» de Renaud Camus
Éric Zemmour et «la race blanche»
Enfumage
Célébrations
Terrorisme
«Le grand remplacement»
En toute désinvolture
Encore le «grand remplacement»
«Rare outrance»
«L’amour inquiet des belles choses»
«Ces propos donnent la nausée»
Trumpistes
«Pas globalement antisémite»
«Pour parler de la question migratoire, j’invite Renaud Camus»
Flambeaux
Vice de forme
Fêter Maurras
«Écrits polémiques»
«Dangereux mensonges»
Le mépris
«Passage à l’acte»
Les «envahisseurs pogromistes»
L’assaut contre notre civilisation
«Collabos»
Sans «complaisance»
Duplicité
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les empoisonneurs : antisémitisme, islamophobie, xénophobie Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Fontenelle (1968?-....), Auteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : 2020 Collection : Lettres libres Importance : 1 vol. (117 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-348-6 Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
NationalismeIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Editeur :
Quotidiennement, des agitateurs prennent d’assaut les tribunes pour attiser colères identitaires et passions xénophobes. Leur brutalité verbale, qui vise principalement les «migrants» et les «musulmans», rappelle la violence de ceux qui, dans la première moitié du siècle précédent, vilipendaient les «métèques» et les «juifs». De la même façon que les droites d’antan vitupéraient contre le «judéo-bolchevisme», leurs épigones fustigent l’«islamo-gauchisme», qu’ils associent à l’antisémitisme.
Or ces mêmes accusateurs font parfois preuve d’une étonnante complaisance lorsqu’ils se trouvent confrontés, dans leurs alentours culturels et idéologiques, à des considérations pour le moins équivoques sur les juifs ou sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Soudain ils deviennent magnanimes et peuvent même trouver à leurs auteurs des circonstances atténuantes. Et ainsi se perpétue l’abject.Note de contenu : Table des matières :
Altérophobies
Renaud Camus et «les collaborateurs juifs du Panorama de France Culture»
Oriana Fallaci, journaliste «de bon goût»
Le communisme du XXIe siècle
«Cinq Juifs ou dix Noirs»
La «France musulmane» de Renaud Camus
Éric Zemmour et «la race blanche»
Enfumage
Célébrations
Terrorisme
«Le grand remplacement»
En toute désinvolture
Encore le «grand remplacement»
«Rare outrance»
«L’amour inquiet des belles choses»
«Ces propos donnent la nausée»
Trumpistes
«Pas globalement antisémite»
«Pour parler de la question migratoire, j’invite Renaud Camus»
Flambeaux
Vice de forme
Fêter Maurras
«Écrits polémiques»
«Dangereux mensonges»
Le mépris
«Passage à l’acte»
Les «envahisseurs pogromistes»
L’assaut contre notre civilisation
«Collabos»
Sans «complaisance»
Duplicité
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52774 323.12/FON Livre Libre-accès Adultes Disponible
"Gouvernance" : le management totalitaire [texte imprimé] / Alain Deneault (1970-....), Auteur . - Montréal : Lux éditeur, impr. 2013 . - 1 vol. (194 p.) ; 19 cm. - (Lettres libres) .
ISBN : 978-2-89596-155-0 : 12 EUR
Bibliogr. des oeuvres de A. Deneault, 1 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : 321 Formes de l'organisation politique
323.2 Relation peuple/Etat
328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peupleIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Dans les années 1980, les technocrates de Margaret Thatcher ont habillé du joli nom de «gouvernance» le projet d’adapter l’État aux intérêts et à la culture de l’entreprise privée. Ce coup d’État conceptuel va travestir avec succès la sauvagerie néoÂlibérale en modèle de «saine gestion». Nous en ferons collectiÂvement les frais: dérèglementation de l’économie, privatisation des services publics, clientélisation du citoyen, mise au pas des syndicats... ce sera désormais cela gouverner.
Appliquée sur un mode gestionnaire ou commercial par des groupes sociaux représentant des intérêts divers, la Âgouvernance prétend à un art de la gestion pour elle-même. Entrée dans les mÅ“urs, évoquée aujourd’hui à toute occasion et de tous bords de l’échiquier politique, sa plasticité opportune tend à remplacer les vieux vocables de la politique.
En 50 courtes prémisses, Alain Deneault montre la logique de cette colonisation de tous les champs de la société par la gouvernance. Car cette «révolution anesthésiante» doit être bien comprise: elle partiÂcipe discrètement à l’instauration de l’ère du management Âtotalitaire.
Alain Deneault, docteur en philosophie de l’Université Paris-VIIINote de contenu : Table :
Introduction
Note de la traductrice des ouvrages cités
Prémisse 1 Réduire la politique à une technique
Prémisse 2 Restreindre l’État à une entité privée
Prémisse 3 Fantasmer la « société civile » dans un état de nature sans tourment
Prémisse 4 Postuler la montée en force d’un « citoyen » réduit à lui-même
Prémisse 5 Rendre folklorique le droit des peuples à l’autodétermination
Prémisse 6 Assigner des fonctions et prérogatives selon une définition sui generis
Prémisse 7 Se poser implicitement comme la réponse aux tares présumées des sujets
Prémisse 8 Appliquer une logique d’exclusion déguisée en son contraire
Prémisse 9 Rendre la partie (l’organisation privée) plus grande que le tout (l’État)
Prémisse 10 Privatiser en privant
Prémisse 11 Avoir intérêt a défendre des intérêts:
Prémisse 12 Prétendre à l’horizontalité, fonder d’impitoyables hiérarchies
Prémisse 13 Élire les leaders
Prémisse 14 Privatiser les projets de société
Prémisse 15 Arborer la devise «Liberté, Fraternité, Inégalité»
Prémisse 16 Justifier par l’éthique communicationnelle une charge morale individuelle
Prémisse 17 Contraindre au consentement
Prémisse 18 Privatiser les prérogatives gouvernementales
Prémisse 19 Toujours réserver le mauvais rôle à l’instance publique (l’État)
Prémisse 20 Éviter le retour de manifestations populaires
Prémisse 21 Moins décider que faire décider
Prémisse 22 Que la gouvernance gouverne, que les médias médiatisent
Prémisse 23 Étriquer les mots et leur chose
Prémisse 24 Ne pas prêcher par l’exemple
Prémisse 25 Passer outre l’histoire et les conditions d’enrichissement des puissants
Prémisse 26 Naturaliser l’économie de marché
Prémisse 27 Enfermer les États dans la compétitivité fiscale
Prémisse 28 Récupérer les discours militants ne nuisant pas au système d’exploitation
Prémisse 29 Lutter contre une corruption... sans corrupteurs
Prémisse 30 Inverser causes et effets au vu d’un passé fantasmé
Prémisse 31 Délibérer à vide
Prémisse 32 Favoriser les recherches universitaires... de subventions
Prémisse 33 Donner au dogme des airs de pensée critique
Prémisse 34 Jouer à la théorie
Prémisse 35 Prétendre vainement à l’interactionnisme....
Prémisse 36 Effectuer une «sélection naturelle»
Prémisse 37 Entraîner les âmes dociles
Prémisse 38 Sciemment recourir à une pensée désincarnée
Prémisse 39 Proscrire toute conclusion
Prémisse 40 Extraire du bien commun des biens jusqu’alors essentiellement partagés
Prémisse 41 Élaborer des « normes » privées d’inspiration impérialiste
Prémisse 42 Oublier la fiscalité et sa raison d’être
Prémisse 43 Se montrer compatible offshore
Prémisse 44 Candidement «dialoguer» avec des fous et des criminels
Prémisse 45 Privatiser un droit «postmoderne»
Prémisse 46 Déterminer par l’argent l’accès au droit public
Prémisse 47 Restreindre la lutte des classes aux acteurs entrepreneuriaux
Prémisse 48 Rendre médiocres les classes moyennes
Prémisse 49 Anesthésier quiconque est sujet à la dissonance cognitive
Prémisse 50 Retourner la vanité en une puissance
Conclusion « D'accord... Mais vous, que proposez-vous ? »
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Titre : "Gouvernance" : le management totalitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault (1970-....), Auteur Editeur : Montréal : Lux éditeur Année de publication : impr. 2013 Collection : Lettres libres Importance : 1 vol. (194 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-155-0 Prix : 12 EUR Note générale : Bibliogr. des oeuvres de A. Deneault, 1 p. Langues : Français (fre) Catégories : 321 Formes de l'organisation politique
323.2 Relation peuple/Etat
328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peupleIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Site éditeur :
Dans les années 1980, les technocrates de Margaret Thatcher ont habillé du joli nom de «gouvernance» le projet d’adapter l’État aux intérêts et à la culture de l’entreprise privée. Ce coup d’État conceptuel va travestir avec succès la sauvagerie néoÂlibérale en modèle de «saine gestion». Nous en ferons collectiÂvement les frais: dérèglementation de l’économie, privatisation des services publics, clientélisation du citoyen, mise au pas des syndicats... ce sera désormais cela gouverner.
Appliquée sur un mode gestionnaire ou commercial par des groupes sociaux représentant des intérêts divers, la Âgouvernance prétend à un art de la gestion pour elle-même. Entrée dans les mÅ“urs, évoquée aujourd’hui à toute occasion et de tous bords de l’échiquier politique, sa plasticité opportune tend à remplacer les vieux vocables de la politique.
En 50 courtes prémisses, Alain Deneault montre la logique de cette colonisation de tous les champs de la société par la gouvernance. Car cette «révolution anesthésiante» doit être bien comprise: elle partiÂcipe discrètement à l’instauration de l’ère du management Âtotalitaire.
Alain Deneault, docteur en philosophie de l’Université Paris-VIIINote de contenu : Table :
Introduction
Note de la traductrice des ouvrages cités
Prémisse 1 Réduire la politique à une technique
Prémisse 2 Restreindre l’État à une entité privée
Prémisse 3 Fantasmer la « société civile » dans un état de nature sans tourment
Prémisse 4 Postuler la montée en force d’un « citoyen » réduit à lui-même
Prémisse 5 Rendre folklorique le droit des peuples à l’autodétermination
Prémisse 6 Assigner des fonctions et prérogatives selon une définition sui generis
Prémisse 7 Se poser implicitement comme la réponse aux tares présumées des sujets
Prémisse 8 Appliquer une logique d’exclusion déguisée en son contraire
Prémisse 9 Rendre la partie (l’organisation privée) plus grande que le tout (l’État)
Prémisse 10 Privatiser en privant
Prémisse 11 Avoir intérêt a défendre des intérêts:
Prémisse 12 Prétendre à l’horizontalité, fonder d’impitoyables hiérarchies
Prémisse 13 Élire les leaders
Prémisse 14 Privatiser les projets de société
Prémisse 15 Arborer la devise «Liberté, Fraternité, Inégalité»
Prémisse 16 Justifier par l’éthique communicationnelle une charge morale individuelle
Prémisse 17 Contraindre au consentement
Prémisse 18 Privatiser les prérogatives gouvernementales
Prémisse 19 Toujours réserver le mauvais rôle à l’instance publique (l’État)
Prémisse 20 Éviter le retour de manifestations populaires
Prémisse 21 Moins décider que faire décider
Prémisse 22 Que la gouvernance gouverne, que les médias médiatisent
Prémisse 23 Étriquer les mots et leur chose
Prémisse 24 Ne pas prêcher par l’exemple
Prémisse 25 Passer outre l’histoire et les conditions d’enrichissement des puissants
Prémisse 26 Naturaliser l’économie de marché
Prémisse 27 Enfermer les États dans la compétitivité fiscale
Prémisse 28 Récupérer les discours militants ne nuisant pas au système d’exploitation
Prémisse 29 Lutter contre une corruption... sans corrupteurs
Prémisse 30 Inverser causes et effets au vu d’un passé fantasmé
Prémisse 31 Délibérer à vide
Prémisse 32 Favoriser les recherches universitaires... de subventions
Prémisse 33 Donner au dogme des airs de pensée critique
Prémisse 34 Jouer à la théorie
Prémisse 35 Prétendre vainement à l’interactionnisme....
Prémisse 36 Effectuer une «sélection naturelle»
Prémisse 37 Entraîner les âmes dociles
Prémisse 38 Sciemment recourir à une pensée désincarnée
Prémisse 39 Proscrire toute conclusion
Prémisse 40 Extraire du bien commun des biens jusqu’alors essentiellement partagés
Prémisse 41 Élaborer des « normes » privées d’inspiration impérialiste
Prémisse 42 Oublier la fiscalité et sa raison d’être
Prémisse 43 Se montrer compatible offshore
Prémisse 44 Candidement «dialoguer» avec des fous et des criminels
Prémisse 45 Privatiser un droit «postmoderne»
Prémisse 46 Déterminer par l’argent l’accès au droit public
Prémisse 47 Restreindre la lutte des classes aux acteurs entrepreneuriaux
Prémisse 48 Rendre médiocres les classes moyennes
Prémisse 49 Anesthésier quiconque est sujet à la dissonance cognitive
Prémisse 50 Retourner la vanité en une puissance
Conclusion « D'accord... Mais vous, que proposez-vous ? »
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49611 32/DEN Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
L’imposture de la gouvernance ou l’héritage de Margaret Thatcher Par Olivier Starquit (Aide-mémoire, n°65)URL La Médiocratie / Alain Deneault
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