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L'économie sociale et solidaire
L'économie sociale et solidaire : levier de changement ? [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental, 2015 . - 1 vol. (195 p.) ; 22 cm. - (Alternatives Sud; vol. 22-2015/2) .
ISBN : 978-2-84950-464-2
Langues : Français (fre)
Catégories : 33 Economie politique et sociale
33(-77) Economie politique et sociale des Pays en voie développement
334 Formes d'organisation, de coopération économique. Système coopératifs. Aide au développementIndex. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
L’économie sociale et solidaire serait-elle la solution à la crise financière mondiale ? Constitue-t-elle, dans les pays du Sud, la clé de transition de l’économie informelle vers le travail décent, comme l’affirme un texte récent des Nations unies ? En tout cas, depuis 2008, du fait principalement de sa résilience aux chocs économiques, elle jouit d’un regain d’intérêt et a gagné du terrain dans les esprits comme dans les stratégies institutionnelles.
Espace hétérogène, l’économie sociale et solidaire regroupe un large éventail d’entités – associations, mutuelles, coopératives, entreprises sociales, fondations… –, de secteurs et d’activités, et développe une pensée théorique non univoque, qui emprunte un vocabulaire différent selon les contextes – économie « sociale », « populaire », etc. Plutôt qu’un manque de cohérence, cette multiplicité traduit un positionnement, dont les contours et ressorts participent de sa définition, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
Tiraillée, d’une part, entre des injonctions et ambitions contradictoires ou complémentaires – créer des emplois, inventer un « capitalisme à visage humain » ou construire une véritable alternative –, d’autre part, entre ses prétentions globales et ses pratiques locales plus prosaïques, l’économie sociale et solidaire n’a pas de frontière naturelle ou étanche avec l’économie informelle et l’entreprise capitaliste. Dans quelle mesure, sur quelles bases et à quelles conditions se distingue-t-elle d’une simple moralisation de l’économie pour opérer comme un véritable levier de changement social ?
Ce numéro d’« Alternatives Sud » a été réalisé dans le cadre d’une collaboration entre le CETRI et Solidarité socialiste.Note de contenu : Sommaire :
L’économie sociale et solidaire : enjeux, défis et perspectives / Frédéric Thomas
Féminisme « décolonial » et économie sociale et populaire / Natalia Quiroga Diaz
Portrait de l’économie solidaire au Brésil / Luiz Inácio Gaiger, Patricia Sorgatto Kuyven
Économie solidaire et communautaire : progrès et défis en Bolivie / Fernanda Wanderley
Économie sociale en milieu rural haïtien : ancrages, parachutages, hésitations et responsabilités / Jean Rénol Elie
La construction d’un mouvement d’économie sociale et solidaire au Burundi / Deogratias Niyonkuru
Koom buy lëkkale : l’économie sénégalaise « qui met en lien » / Abdou Salam Fall, Cheikhou Oumar Faye
Économie sociale et solidaire au Maroc : un état des lieux / Touhami Abdelkhalek
Kudumbashree : une initiative d’économie sociale en faveur des femmes du Kerala / Ananya Mukherjee-Reed
L’entreprise sociale en Chine : ressorts, développements et cadre juridique / Xiaomin Yu
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : L'économie sociale et solidaire : levier de changement ? Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental Année de publication : 2015 Collection : Alternatives Sud num. vol. 22-2015/2 Importance : 1 vol. (195 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-464-2 Langues : Français (fre) Catégories : 33 Economie politique et sociale
33(-77) Economie politique et sociale des Pays en voie développement
334 Formes d'organisation, de coopération économique. Système coopératifs. Aide au développementIndex. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur :
L’économie sociale et solidaire serait-elle la solution à la crise financière mondiale ? Constitue-t-elle, dans les pays du Sud, la clé de transition de l’économie informelle vers le travail décent, comme l’affirme un texte récent des Nations unies ? En tout cas, depuis 2008, du fait principalement de sa résilience aux chocs économiques, elle jouit d’un regain d’intérêt et a gagné du terrain dans les esprits comme dans les stratégies institutionnelles.
Espace hétérogène, l’économie sociale et solidaire regroupe un large éventail d’entités – associations, mutuelles, coopératives, entreprises sociales, fondations… –, de secteurs et d’activités, et développe une pensée théorique non univoque, qui emprunte un vocabulaire différent selon les contextes – économie « sociale », « populaire », etc. Plutôt qu’un manque de cohérence, cette multiplicité traduit un positionnement, dont les contours et ressorts participent de sa définition, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
Tiraillée, d’une part, entre des injonctions et ambitions contradictoires ou complémentaires – créer des emplois, inventer un « capitalisme à visage humain » ou construire une véritable alternative –, d’autre part, entre ses prétentions globales et ses pratiques locales plus prosaïques, l’économie sociale et solidaire n’a pas de frontière naturelle ou étanche avec l’économie informelle et l’entreprise capitaliste. Dans quelle mesure, sur quelles bases et à quelles conditions se distingue-t-elle d’une simple moralisation de l’économie pour opérer comme un véritable levier de changement social ?
Ce numéro d’« Alternatives Sud » a été réalisé dans le cadre d’une collaboration entre le CETRI et Solidarité socialiste.Note de contenu : Sommaire :
L’économie sociale et solidaire : enjeux, défis et perspectives / Frédéric Thomas
Féminisme « décolonial » et économie sociale et populaire / Natalia Quiroga Diaz
Portrait de l’économie solidaire au Brésil / Luiz Inácio Gaiger, Patricia Sorgatto Kuyven
Économie solidaire et communautaire : progrès et défis en Bolivie / Fernanda Wanderley
Économie sociale en milieu rural haïtien : ancrages, parachutages, hésitations et responsabilités / Jean Rénol Elie
La construction d’un mouvement d’économie sociale et solidaire au Burundi / Deogratias Niyonkuru
Koom buy lëkkale : l’économie sénégalaise « qui met en lien » / Abdou Salam Fall, Cheikhou Oumar Faye
Économie sociale et solidaire au Maroc : un état des lieux / Touhami Abdelkhalek
Kudumbashree : une initiative d’économie sociale en faveur des femmes du Kerala / Ananya Mukherjee-Reed
L’entreprise sociale en Chine : ressorts, développements et cadre juridique / Xiaomin Yu
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50538 LUTTE/ECO Livre Libre-accès Adultes Disponible
Etat des résistances dans le Sud 2010 : monde arabe [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental : Paris : Syllepse, 2009 . - 1 vol. (230 p.). - (Alternatives Sud; vol. 16-2009/4) .
ISBN : 978-2-84950-253-2
Catégories : (53) Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non arméeIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Site éditeur :
Deux clichés sont d’emblée discutés par cet Etat des résistances dans le monde arabe. D’abord, celui du « vide d’acteurs » civils et sociaux qui caractériserait les sociétés non démocratiques. L’autoritarisme, le militarisme ou les tiraillements des Etats de la région auraient pour corollaire mécanique la confiscation rédhibitoire de tout espace autonome de mobilisation citoyenne et de contestation sociale. Ensuite, second lieu commun mis en perspective, l’épuisement de l’essentiel des formes protestataires dans la figure simplifiée et réifiée des « fous de Dieu », figure qui fige et surdimensionne la rhétorique religieuse. Les contradictions supposées intrinsèques entre mouvements islamistes et dynamiques de modernisation sociale et politique sont fixées a priori. Or, les réalités des résistances à l’ordre établi et aux inégalités sociales dans le monde arabe apparaissent, à un deuxième niveau de lecture, à la fois plus denses et plus complexes. L’échec des politiques de développement mimétique, l’essoufflement des moteurs idéologiques – socialisme, nationalisme, panarabisme – des Etats postcoloniaux et les crises laissées ouvertes par la libéralisation économique, la mondialisation et la géopolitique du pétrole ont nourri le mécontentement social et ouvert la voie à la (ré)émergence de sociétés civiles identitaires, nationalistes et démocratiques… Les réactions des pouvoirs contestés oscillent entre éradication, répression cachée, cooptation sélective, ouvertures en trompe-l’oeil et intégration neutralisante à la scène politique.Note de contenu : Contestation versus coercition dans le monde arabe / Bernard Duterme
Algérie : impuissance des mouvements populaires / Samir Larabi
Tunisie : des luttes renouvelées pour des droits inextinguibles / Karine Gantin
Libye : avancées sociales, régression politique, dissensions en perspective / Moncef Djaziri
Égypte : nouvelles dimensions des protestations sociales / Sarah Ben Néfissa
Palestine : un pays à réinventer / Pascal Fenaux
Liban : clivées et instrumentalisées, les résistances peinent à se développer / Marie-Noëlle Abi Yaghi
Jordanie : détérioration des relations entre islamistes et royalistes / Curtis R. Ryan
Syrie : entre contestation civile et politique / Salam Kawakibi
Irak : la renaissance ambiguë d’une « société civile » / Myriam Benraad
Pouvoirs et oppositions en Arabie saoudite : de la contestation armée à (...) / Pascal Ménoret
Yémen : précarité politique et sociale croissante / Laurent Bonnefoy
Koweït : paralysie institutionnelle, marchandage politique et lassitude (...) / Claire Beaugrand
Bahreïn : mise au pas de l’opposition légaliste, surenchère de la minorité (...) / Claire Beaugrand
Émirats arabes unis : une « société civile » mais pas de contre-pouvoirs / Brigitte Dumortier
La « rue arabe » au-delà de l’imaginaire occidental / Asef Bayat
Syndicalismes arabes au prisme de l’autoritarisme et du corporatisme / Eric Gobe
Rapports entre mouvements islamistes, nationalistes et de gauche au Moyen-Orient (...) / Nicolas Dot Pouillard
État, démocratie et société civile dans le monde arabe / Bichara Khader
Gouvernants et oppositions en Afrique du Nord / Jean-Noël Ferrié
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Titre : Etat des résistances dans le Sud 2010 : monde arabe Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental Année de publication : 2009 Autre Editeur : Paris : Syllepse Collection : Alternatives Sud num. vol. 16-2009/4 Importance : 1 vol. (230 p.) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-253-2 Catégories : (53) Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
172 Citoyenneté . Civisme . Solidarité . Morale sociale . Ethique sociale. Empathie
32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non arméeIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Site éditeur :
Deux clichés sont d’emblée discutés par cet Etat des résistances dans le monde arabe. D’abord, celui du « vide d’acteurs » civils et sociaux qui caractériserait les sociétés non démocratiques. L’autoritarisme, le militarisme ou les tiraillements des Etats de la région auraient pour corollaire mécanique la confiscation rédhibitoire de tout espace autonome de mobilisation citoyenne et de contestation sociale. Ensuite, second lieu commun mis en perspective, l’épuisement de l’essentiel des formes protestataires dans la figure simplifiée et réifiée des « fous de Dieu », figure qui fige et surdimensionne la rhétorique religieuse. Les contradictions supposées intrinsèques entre mouvements islamistes et dynamiques de modernisation sociale et politique sont fixées a priori. Or, les réalités des résistances à l’ordre établi et aux inégalités sociales dans le monde arabe apparaissent, à un deuxième niveau de lecture, à la fois plus denses et plus complexes. L’échec des politiques de développement mimétique, l’essoufflement des moteurs idéologiques – socialisme, nationalisme, panarabisme – des Etats postcoloniaux et les crises laissées ouvertes par la libéralisation économique, la mondialisation et la géopolitique du pétrole ont nourri le mécontentement social et ouvert la voie à la (ré)émergence de sociétés civiles identitaires, nationalistes et démocratiques… Les réactions des pouvoirs contestés oscillent entre éradication, répression cachée, cooptation sélective, ouvertures en trompe-l’oeil et intégration neutralisante à la scène politique.Note de contenu : Contestation versus coercition dans le monde arabe / Bernard Duterme
Algérie : impuissance des mouvements populaires / Samir Larabi
Tunisie : des luttes renouvelées pour des droits inextinguibles / Karine Gantin
Libye : avancées sociales, régression politique, dissensions en perspective / Moncef Djaziri
Égypte : nouvelles dimensions des protestations sociales / Sarah Ben Néfissa
Palestine : un pays à réinventer / Pascal Fenaux
Liban : clivées et instrumentalisées, les résistances peinent à se développer / Marie-Noëlle Abi Yaghi
Jordanie : détérioration des relations entre islamistes et royalistes / Curtis R. Ryan
Syrie : entre contestation civile et politique / Salam Kawakibi
Irak : la renaissance ambiguë d’une « société civile » / Myriam Benraad
Pouvoirs et oppositions en Arabie saoudite : de la contestation armée à (...) / Pascal Ménoret
Yémen : précarité politique et sociale croissante / Laurent Bonnefoy
Koweït : paralysie institutionnelle, marchandage politique et lassitude (...) / Claire Beaugrand
Bahreïn : mise au pas de l’opposition légaliste, surenchère de la minorité (...) / Claire Beaugrand
Émirats arabes unis : une « société civile » mais pas de contre-pouvoirs / Brigitte Dumortier
La « rue arabe » au-delà de l’imaginaire occidental / Asef Bayat
Syndicalismes arabes au prisme de l’autoritarisme et du corporatisme / Eric Gobe
Rapports entre mouvements islamistes, nationalistes et de gauche au Moyen-Orient (...) / Nicolas Dot Pouillard
État, démocratie et société civile dans le monde arabe / Bichara Khader
Gouvernants et oppositions en Afrique du Nord / Jean-Noël Ferrié
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 49978 95MO/ETA Livre Libre-accès Adultes Disponible Documents numériques
Présentation et tous les articles en ligneURL Le "printemps arabe"
Le "printemps arabe" : un premier bilan [texte imprimé] / Bichara Khader, Directeur de publication . - Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental : Paris : Syllepse, 2012 . - 1 vol. (208 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Alternatives Sud; Vol.19-2012/2) .
ISBN : 978-2-84950-346-1
Langues : Français (fre)
Catégories : 32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'étatIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Site éditeur :
Révoltes ou révolutions, les soulèvements populaires apparus dans le monde arabe en 2011 ont renversé ou défient toujours les régimes autoritaires et leurs autocrates délégitimés. Mouvements d’affirmation sociale, politique et identitaire, portés par des exigences de liberté et d’égalité, de reconnaissance et de redistribution, ils ont balayé la fiction de « l’exception arabe » et rouvert le champ des possibles au Maghreb et au Moyen-Orient. Pour quelles transitions, vers quels horizons ? Déstabilisation de la région, crispation des acteurs, démocratisation des structures, récupération des aspirations, radicalisation des options, explosion des conflits, émancipation des peuples... ? Au-delà des traits communs aux sociétés arabes contemporaines, les scénarios varient d’un pays à l’autre. Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Syrie, Jordanie, Yémen, Bahreïn, Arabie saoudite, etc., ils sont tous concernés, directement ou indirectement, par des épisodes plus ou moins répressifs, plus ou moins sanglants. Quels premiers grands bilans tirer de ces soulèvements ? Quelles promesses contiennent-ils et quels risques pèsent sur leurs aboutissements ? La mise à plat de la genèse du « printemps arabe », de ses acteurs sociopolitiques locaux, nationaux et internationaux, de ses facteurs culturels, démographiques et économiques, mais aussi des rôles joués par l’Europe et les États-Unis, aide à lire un réel particulièrement complexe et, plus loin, à évaluer le potentiel libérateur d’une dynamique de changement social et d’autodétermination.Note de contenu : Sommaire :
Editorial
Le « printemps arabe » : un premier bilan par Bichara Khader
Un ou des « printemps arabes » ?
- Tunisie : le paradigme d’une révolution heureuse par Bichara Khader
- Libye : le contre-paradigme d’une révolution heureuse par Bichara Khader
- Égypte : une révolution permanente, trahie ou kidnappée ? par Mohammad Selim , Gamal M. Selim
- Syrie : l’ascension et le déclin du nouvel acteur politique par Wael Sawah
- Yémen : mouvement révolutionnaire et logique de préservation du système par Marine Poirier
- Bahreïn : l’impasse du « printemps de Manama » par Claire Beaugrand
- Algérie : des réformes politiques pour éluder le « printemps arabe » par Ahmed Aghrout , Yahia H. Zoubir
- Maroc : les ressorts de la monarchie, les conditions de la contestation par Chawqui Lotfi
- Jordanie : un « printemps arabe » circonscrit ou en germe ? par Jamal Al Shalabi, Jimena Montaldo Mancilla, Vincent Legrand
- Les États-Unis face au « printemps arabe » : mise en perspective à partir des révolutions tunisienne et égyptienne par Amine Ait-Chaalal
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Titre : Le "printemps arabe" : un premier bilan Type de document : texte imprimé Auteurs : Bichara Khader, Directeur de publication Editeur : Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental Année de publication : 2012 Autre Editeur : Paris : Syllepse Collection : Alternatives Sud num. Vol.19-2012/2 Importance : 1 vol. (208 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-346-1 Langues : Français (fre) Catégories : 32(53) Politique du Moyen-Orient / Proche Orient / Pays Arabes
321.7 Démocratie / Démocratisation
323.27 Révolution . Putsch . Coup d'étatIndex. décimale : 95MO Histoire du Moyen-Orient et des pays arabes (Israël, Iran, Arabie, etc) Résumé : Site éditeur :
Révoltes ou révolutions, les soulèvements populaires apparus dans le monde arabe en 2011 ont renversé ou défient toujours les régimes autoritaires et leurs autocrates délégitimés. Mouvements d’affirmation sociale, politique et identitaire, portés par des exigences de liberté et d’égalité, de reconnaissance et de redistribution, ils ont balayé la fiction de « l’exception arabe » et rouvert le champ des possibles au Maghreb et au Moyen-Orient. Pour quelles transitions, vers quels horizons ? Déstabilisation de la région, crispation des acteurs, démocratisation des structures, récupération des aspirations, radicalisation des options, explosion des conflits, émancipation des peuples... ? Au-delà des traits communs aux sociétés arabes contemporaines, les scénarios varient d’un pays à l’autre. Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Syrie, Jordanie, Yémen, Bahreïn, Arabie saoudite, etc., ils sont tous concernés, directement ou indirectement, par des épisodes plus ou moins répressifs, plus ou moins sanglants. Quels premiers grands bilans tirer de ces soulèvements ? Quelles promesses contiennent-ils et quels risques pèsent sur leurs aboutissements ? La mise à plat de la genèse du « printemps arabe », de ses acteurs sociopolitiques locaux, nationaux et internationaux, de ses facteurs culturels, démographiques et économiques, mais aussi des rôles joués par l’Europe et les États-Unis, aide à lire un réel particulièrement complexe et, plus loin, à évaluer le potentiel libérateur d’une dynamique de changement social et d’autodétermination.Note de contenu : Sommaire :
Editorial
Le « printemps arabe » : un premier bilan par Bichara Khader
Un ou des « printemps arabes » ?
- Tunisie : le paradigme d’une révolution heureuse par Bichara Khader
- Libye : le contre-paradigme d’une révolution heureuse par Bichara Khader
- Égypte : une révolution permanente, trahie ou kidnappée ? par Mohammad Selim , Gamal M. Selim
- Syrie : l’ascension et le déclin du nouvel acteur politique par Wael Sawah
- Yémen : mouvement révolutionnaire et logique de préservation du système par Marine Poirier
- Bahreïn : l’impasse du « printemps de Manama » par Claire Beaugrand
- Algérie : des réformes politiques pour éluder le « printemps arabe » par Ahmed Aghrout , Yahia H. Zoubir
- Maroc : les ressorts de la monarchie, les conditions de la contestation par Chawqui Lotfi
- Jordanie : un « printemps arabe » circonscrit ou en germe ? par Jamal Al Shalabi, Jimena Montaldo Mancilla, Vincent Legrand
- Les États-Unis face au « printemps arabe » : mise en perspective à partir des révolutions tunisienne et égyptienne par Amine Ait-Chaalal
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 47749 95MO/PRI Livre Libre-accès Adultes Disponible Racisme : entre exclusion sociale et peur identitaire
Racisme : entre exclusion sociale et peur identitaire : points de vue du Sud [texte imprimé] . - Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental : Paris : Syllepse, 2010 . - 1 vol. (173 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Alternatives Sud; vol.17-2010/2) .
ISBN : 978-2-84950-275-4
Langues : Français (fre)
Catégories : (1-77) Pays en voie Développement
316.35 Groupes / Identités / Communautés
32(540) Politique de l'Inde
32(548.7) Politique du Sri Lanka
32(666.8) Politique de la Côte d'Ivoire
32(680) Politique de l'Afrique du Sud
32(728.1) Politique du Guatémala
32(729.1) Politique du Cuba
32(84) Politique de la Bolivie
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
Politique et Histoire de la MalaisieIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Site éditeur :
Le racisme a la peau dure mais il sait se faire élastique. Il résiste à sa condamnation en sacralisant le clivage entre « eux » et « nous » sur base d’attributs non plus uniquement physiques, mais culturels. La mondialisation, tout en diluant les particularismes dans le moule de la modernité, alimente les résurgences identitaires et renforce l’hétérogénéité culturelle des groupes sociaux sur fond de flux migratoires et d’accroissement de la mobilité.
Comment articuler égalité et différence dans une perspective citoyenne et démocratique ? La question se pose dans les sociétés « accueillant » des populations immigrées, comme dans celles qui abritent des minorités ethniques et nationales. Des modèles « intégrateurs » aux variantes multiples ont vu le jour au Nord comme au Sud. Quels sont les enjeux de ces politiques ? Reconnaître la diversité dans la perspective d’un projet national commun ? Certaines expériences génèrent des liens collectifs nouveaux – certes conflictuels, imparfaits et inachevés –, d’autres aboutissent au rejet parfois violent de pans entiers de la population.
Si le racisme plonge ses racines dans les inquiétudes culturelles et les peurs identitaires, il a aussi partie liée avec l’exploitation économique et sociale. Discriminations et inégalités se confondent-elles pour autant ? Tantôt le combat pour le respect de la diversité et la lutte contre les dominations sociales vont de pair, tantôt ils s’ignorent, voire s’opposent, dans les principes, comme dans la pratique.
Note de contenu : Contenu :
- Editorial : De l’usage de la différence / par Aurélie Leroy
Résistant et élastique, le racisme mue au gré des évolutions des sociétés contemporaines. La reconfiguration des liens sociaux vers plus d’hétérogénéité questionne le rapport aux « autres » et la frontière entre « eux » et « nous ». Le réveil des affirmations identitaires se révèle, selon l’usage, instrument d’intégration ou d’exclusion. Au-delà d’un simple discours écran, la promotion de la diversité articulée à la quête d’égalité peut être moteur d’émancipation. Lorsqu’un conflit ébranle le continent africain, les (...)
- Inde : « race » et « racialisation » par Zaheer Baber
Si les notions de « race » et de « caste » renvoient à des réalités distinctes (histoire, contexte, représentation), le « racisme » et le « castéisme » partagent quant à eux des traits communs évidents (fondements, logiques et effets sociaux). La dynamique de « racialisation », déterminée par les luttes de pouvoir, le contrôle des ressources et l’idéologie, s’applique dans un cas comme dans (...)
- Malaisie : rôle de l’État dans la gestion des tensions ethniques par Shamsul Haque
La Malaisie est considérée comme un exemple de société multiethnique « pacifique » où l’État joue un rôle volontariste au travers de politiques préférentielles. Malgré des avancées en faveur du groupe majoritaire historiquement discriminé, l’efficacité de ces programmes est toutefois questionnée, notamment au vu de la progression des inégalités inter et intra-ethniques sur fond de libéralisation et de (...)
- État sri-lankais ou cinghalais ? par Jude Lal Fernando
Depuis 2005, le succès des nationalistes cinghalais – JVP et JHU – et leur compétition pour le pouvoir étatique ont joué un rôle déterminant dans la reprise des conflits et la polarisation des rapports entre Cinghalais et Tamouls. La convergence des deux partis a contribué à la consolidation d’un État unitaire fondé sur la suprématie bouddhiste cinghalaise et à la justification morale d’un déni de droits de la population (...)
- Persistance de la « race » dans l’Afrique du Sud post-apartheid par Jeremy Seekings
Depuis la fin de l’apartheid, l’Afrique du Sud reste « racialisée » d’un point de vue culturel et social, et inégale en termes de revenus et d’opportunités. L’intégration demeure faible, notamment dans les champs de l’éducation et de l’emploi, malgré l’amélioration des rapports entre groupes raciaux. L’inégalité économique semble désormais moins le résultat de pratiques discriminatoires que de distances de (...)
- Conflits fonciers, ethnicité politique et guerre en Côte d’Ivoire par Alfred Babo
En Côte d’Ivoire, les conflits fonciers – comme celui de Tabou – apparaissent comme les prolongements de la gestion par l’État des clivages intercommunautaires autour de la terre. L’instrumentalisation de ce type de conflit, dans un environnement politique « exclusionniste » – fondé sur l’idéologie de « l’ivoirité » – et dans un contexte de crise économique et sociale, a plongé le pays dans la guerre en (...)
- Guatemala : modernisation capitaliste et racisme dans les circuits du café / par Matilde González-Izás
Le racisme contemporain et la violence au Guatemala sont des phénomènes complexes et persistants intimement liés au processus de modernisation capitaliste et de formation de l’État aux 19e et 20e siècles. L’expansion coloniale européenne, l’immigration allemande, l’essor des plantations caféières ont institutionnalisé les discriminations, légitimé le racisme et instrumentalisé en particulier l’opposition entre « Indiens » et « Ladinos (...)
- Cuba : la dimension raciale dans le processus de reproduction de la pauvreté par MarÃa del Carmen Zabala Argüelles
Le racisme et la pauvreté sont des phénomènes complexes, multidimensionnels et perméables à leur environnement social. Le jeu d’influence qui les unit tient pour partie à des facteurs historiques, conjoncturels, subjectifs et générationnels propres au contexte cubain. Des politiques sociales « universelles » tentent d’en réduire les effets en favorisant l’équité et l’intégration sociale, mais des inégalités à caractère racial (...)
- Racisme et nouveau modèle d’État en Bolivie par Carlos Mendoza
En Bolivie, les relations interethniques sont historiquement caractérisées par la domination de la minorité métisse-créole et l’exclusion des indigènes de l’appareil d’État. Certes, le modèle d’Étatnation a cherché à intégrer cette communauté, mais sans jamais lui reconnaître ses particularités culturelles et en l’assimilant au paysannat. Le nouvel État plurinational entend désormais satisfaire cette revendication (...)
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Racisme : entre exclusion sociale et peur identitaire : points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Editeur : Louvain-la-Neuve : Centre Tricontinental Année de publication : 2010 Autre Editeur : Paris : Syllepse Collection : Alternatives Sud num. vol.17-2010/2 Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-275-4 Langues : Français (fre) Catégories : (1-77) Pays en voie Développement
316.35 Groupes / Identités / Communautés
32(540) Politique de l'Inde
32(548.7) Politique du Sri Lanka
32(666.8) Politique de la Côte d'Ivoire
32(680) Politique de l'Afrique du Sud
32(728.1) Politique du Guatémala
32(729.1) Politique du Cuba
32(84) Politique de la Bolivie
323.118 Racisme. Rejet. Préjugés. Discriminations. Ségrégation raciale. Xénophobie
323.15 Minorité / communauté nationale ou ethnique
Politique et Histoire de la MalaisieIndex. décimale : 323.12 Racisme / Antiracisme Résumé : Site éditeur :
Le racisme a la peau dure mais il sait se faire élastique. Il résiste à sa condamnation en sacralisant le clivage entre « eux » et « nous » sur base d’attributs non plus uniquement physiques, mais culturels. La mondialisation, tout en diluant les particularismes dans le moule de la modernité, alimente les résurgences identitaires et renforce l’hétérogénéité culturelle des groupes sociaux sur fond de flux migratoires et d’accroissement de la mobilité.
Comment articuler égalité et différence dans une perspective citoyenne et démocratique ? La question se pose dans les sociétés « accueillant » des populations immigrées, comme dans celles qui abritent des minorités ethniques et nationales. Des modèles « intégrateurs » aux variantes multiples ont vu le jour au Nord comme au Sud. Quels sont les enjeux de ces politiques ? Reconnaître la diversité dans la perspective d’un projet national commun ? Certaines expériences génèrent des liens collectifs nouveaux – certes conflictuels, imparfaits et inachevés –, d’autres aboutissent au rejet parfois violent de pans entiers de la population.
Si le racisme plonge ses racines dans les inquiétudes culturelles et les peurs identitaires, il a aussi partie liée avec l’exploitation économique et sociale. Discriminations et inégalités se confondent-elles pour autant ? Tantôt le combat pour le respect de la diversité et la lutte contre les dominations sociales vont de pair, tantôt ils s’ignorent, voire s’opposent, dans les principes, comme dans la pratique.
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- Editorial : De l’usage de la différence / par Aurélie Leroy
Résistant et élastique, le racisme mue au gré des évolutions des sociétés contemporaines. La reconfiguration des liens sociaux vers plus d’hétérogénéité questionne le rapport aux « autres » et la frontière entre « eux » et « nous ». Le réveil des affirmations identitaires se révèle, selon l’usage, instrument d’intégration ou d’exclusion. Au-delà d’un simple discours écran, la promotion de la diversité articulée à la quête d’égalité peut être moteur d’émancipation. Lorsqu’un conflit ébranle le continent africain, les (...)
- Inde : « race » et « racialisation » par Zaheer Baber
Si les notions de « race » et de « caste » renvoient à des réalités distinctes (histoire, contexte, représentation), le « racisme » et le « castéisme » partagent quant à eux des traits communs évidents (fondements, logiques et effets sociaux). La dynamique de « racialisation », déterminée par les luttes de pouvoir, le contrôle des ressources et l’idéologie, s’applique dans un cas comme dans (...)
- Malaisie : rôle de l’État dans la gestion des tensions ethniques par Shamsul Haque
La Malaisie est considérée comme un exemple de société multiethnique « pacifique » où l’État joue un rôle volontariste au travers de politiques préférentielles. Malgré des avancées en faveur du groupe majoritaire historiquement discriminé, l’efficacité de ces programmes est toutefois questionnée, notamment au vu de la progression des inégalités inter et intra-ethniques sur fond de libéralisation et de (...)
- État sri-lankais ou cinghalais ? par Jude Lal Fernando
Depuis 2005, le succès des nationalistes cinghalais – JVP et JHU – et leur compétition pour le pouvoir étatique ont joué un rôle déterminant dans la reprise des conflits et la polarisation des rapports entre Cinghalais et Tamouls. La convergence des deux partis a contribué à la consolidation d’un État unitaire fondé sur la suprématie bouddhiste cinghalaise et à la justification morale d’un déni de droits de la population (...)
- Persistance de la « race » dans l’Afrique du Sud post-apartheid par Jeremy Seekings
Depuis la fin de l’apartheid, l’Afrique du Sud reste « racialisée » d’un point de vue culturel et social, et inégale en termes de revenus et d’opportunités. L’intégration demeure faible, notamment dans les champs de l’éducation et de l’emploi, malgré l’amélioration des rapports entre groupes raciaux. L’inégalité économique semble désormais moins le résultat de pratiques discriminatoires que de distances de (...)
- Conflits fonciers, ethnicité politique et guerre en Côte d’Ivoire par Alfred Babo
En Côte d’Ivoire, les conflits fonciers – comme celui de Tabou – apparaissent comme les prolongements de la gestion par l’État des clivages intercommunautaires autour de la terre. L’instrumentalisation de ce type de conflit, dans un environnement politique « exclusionniste » – fondé sur l’idéologie de « l’ivoirité » – et dans un contexte de crise économique et sociale, a plongé le pays dans la guerre en (...)
- Guatemala : modernisation capitaliste et racisme dans les circuits du café / par Matilde González-Izás
Le racisme contemporain et la violence au Guatemala sont des phénomènes complexes et persistants intimement liés au processus de modernisation capitaliste et de formation de l’État aux 19e et 20e siècles. L’expansion coloniale européenne, l’immigration allemande, l’essor des plantations caféières ont institutionnalisé les discriminations, légitimé le racisme et instrumentalisé en particulier l’opposition entre « Indiens » et « Ladinos (...)
- Cuba : la dimension raciale dans le processus de reproduction de la pauvreté par MarÃa del Carmen Zabala Argüelles
Le racisme et la pauvreté sont des phénomènes complexes, multidimensionnels et perméables à leur environnement social. Le jeu d’influence qui les unit tient pour partie à des facteurs historiques, conjoncturels, subjectifs et générationnels propres au contexte cubain. Des politiques sociales « universelles » tentent d’en réduire les effets en favorisant l’équité et l’intégration sociale, mais des inégalités à caractère racial (...)
- Racisme et nouveau modèle d’État en Bolivie par Carlos Mendoza
En Bolivie, les relations interethniques sont historiquement caractérisées par la domination de la minorité métisse-créole et l’exclusion des indigènes de l’appareil d’État. Certes, le modèle d’Étatnation a cherché à intégrer cette communauté, mais sans jamais lui reconnaître ses particularités culturelles et en l’assimilant au paysannat. Le nouvel État plurinational entend désormais satisfaire cette revendication (...)
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