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940.531 : Camps de concentration et d'extermination / Judéocide 940 Histoire de l'Europe / Goulag / Génocide Arménien / Guerre d'Espagne
940.3 Histoire de la Première Guerre mondiale 940.53 Histoire de la Seconde Guerre mondiale 940.532 Occupation / Résistance / Collaboration 940.55 Histoire de l'Europe après 1945 |
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Eichman à Jérusalem / Hannah Arendt
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 16958/1 940.531/ARE Livre Libre-accès Adultes Exclu du prêt Eichmann à Jérusalem / Hannah Arendt
Eichmann à Jérusalem : rapport sur la banalité du mal [texte imprimé] / Hannah Arendt (1906-1975), Auteur ; Anne Guérin, Traducteur ; Martine Leibovici, Éditeur scientifique ; Michelle-Irène Brudny-de Launay, Présentateur . - Paris : Gallimard, 2019 . - 1 vol. (519 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - (Folio. Histoire; 32) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 32(569.4) Politique d'Israël
321.6"1933/1945" Nazisme
347.93 Procès
929 Eichmann, Adolf (ss)
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture
Voici un texte qui, par la controverse qu'il suscita dès sa parution chez les historiens, eut le mérite essentiel de contraindre ceux-ci à entreprendre des recherches nouvelles sur le génocide des Juifs par les nazis.
En effet, le reportage d'Hannah Arendt, envoyée spéciale du New Yorker au procès de Jérusalem, philosophe américaine d'origine juive allemande, auteur d'un ouvrage célèbre sur les origines du totalitarisme, fit scandale à New York et à Londres, en Allemagne comme en Israël.
Dans son procès du procès, l'auteur - qui ne fait siens ni tous les motifs de l'accusation ni tous les attendus du jugement - est entraîné d'abord à faire apparaître un nouvel Eichmann, d'autant plus inquiétant qu'il est plus «banal» ; puis à reconsidérer tout l'historique des conditions dans lesquelles furent exterminés des millions de Juifs. Et à mettre en cause les coopérations, voire les «complicités», que le lieutenant-colonel S.S. a trouvées dans toutes les couches de la population allemande, dans la plupart des pays occupés, et surtout jusqu'au sein des communautés juives et auprès des dirigeants de leurs organisations.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Eichmann à Jérusalem : rapport sur la banalité du mal Type de document : texte imprimé Auteurs : Hannah Arendt (1906-1975), Auteur ; Anne Guérin, Traducteur ; Martine Leibovici, Éditeur scientifique ; Michelle-Irène Brudny-de Launay, Présentateur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2019 Collection : Folio Sous-collection : Histoire num. 32 Importance : 1 vol. (519 p.) Présentation : couv. ill. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 32(569.4) Politique d'Israël
321.6"1933/1945" Nazisme
347.93 Procès
929 Eichmann, Adolf (ss)
94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : 4e de couverture
Voici un texte qui, par la controverse qu'il suscita dès sa parution chez les historiens, eut le mérite essentiel de contraindre ceux-ci à entreprendre des recherches nouvelles sur le génocide des Juifs par les nazis.
En effet, le reportage d'Hannah Arendt, envoyée spéciale du New Yorker au procès de Jérusalem, philosophe américaine d'origine juive allemande, auteur d'un ouvrage célèbre sur les origines du totalitarisme, fit scandale à New York et à Londres, en Allemagne comme en Israël.
Dans son procès du procès, l'auteur - qui ne fait siens ni tous les motifs de l'accusation ni tous les attendus du jugement - est entraîné d'abord à faire apparaître un nouvel Eichmann, d'autant plus inquiétant qu'il est plus «banal» ; puis à reconsidérer tout l'historique des conditions dans lesquelles furent exterminés des millions de Juifs. Et à mettre en cause les coopérations, voire les «complicités», que le lieutenant-colonel S.S. a trouvées dans toutes les couches de la population allemande, dans la plupart des pays occupés, et surtout jusqu'au sein des communautés juives et auprès des dirigeants de leurs organisations.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 52781 940.531/ARE Livre Libre-accès Adultes Disponible Les Einsatzgruppen / Ralf Ogorreck
Les Einsatzgruppen : les groupes d'intervention et la genèse de la Solution finale [texte imprimé] / Ralf Ogorreck, Auteur ; Olivier Mannoni (1960-....), Traducteur . - Paris : Calmann-Lévy : Paris : Mémorial de la Shoah, 2007 . - 1 vol. (320 p.) : couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 2-7021-3799-7 : 20,90 EUR
Bibliogr. p. 244-250. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : 94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Constitués à l’origine de volontaires issus de la SS, les Einsatzgruppen (« groupes d’intervention »), sont actifs dès 1939. Réorganisés au printemps 1941, ils opèrent à partir du 22 juin 1941sur le front de l’Est, derrière la Wehrmacht, et étoffent massivement leurs effectifs au cours des dix-huit mois suivant. Donné avant l’offensive, l’ordre de tuer les cadres du régime soviétique et les hommes juifs adultes bascule en décision génocidaire dans la première semaine du mois d’août 1941. Loin d’être éloignée du massacre, la Wehrmacht en est le premier témoin oculaire tout en prêtant souvent main-forte aux tueurs.
En moins de cinq mois, le massacre devient un génocide à l’échelle de l’URSS d’abord (août 1941), puis à celle du continent européen tout entier (novembre 1941). Les tueries par fusillades opérées par les Einsatzgruppen constituent le laboratoire de la « solution finale ».
La machine génocidaire connaît toutefois des ratés. À partir de la tuerie de Minsk à laquelle il assiste le 15 août 1941, Himmler se déclare convaincu qu’il faut mettre au point un autre moyen de mise à mort, plus rapide et discret, moins éprouvant surtout pour les tueurs. Ce sera le camion à gaz (Chelmno, décembre 1941) puis la chambre à gaz.
Les volontaires du meurtre de masse n’étaient pas des hommes ordinaires, mais les héritiers d’un endoctrinement pour lequel tout Juif constituait une nuisance à éradiquer. La force des Einsatzgruppen tient à la convergence de l’endoctrinement, de l’esprit de corps qui ouvre le chemin aux exactions de groupe, et d’une coupure d’avec le monde traditionnel qui permet de lever les inhibitions.
Ralf Ogorreck analyse le recrutement, la formation et le modus operandi de ceux qui mirent en oeuvre cette "Shoah par balles" dont on commence à peine à mesurer l'ampleur.Note de contenu : Table des matières
1. Les ordres de l'opération Barbarossa
2. Les missions assignés aux chefs des groupes d'intervention dans la zone de préparation de Pretzsch en juin 1941
3. Résumé
4. L’activité des groupes d’interventions de juin à août 1941
5. Les décisions politiques de la direction nationale-socialiste sur la politique d'occupation et la politique à l'égard des Juifs aux mois de juillet et d'août 1941
6. L'élargissement de la mission confiée aux chefs de groupes d'intervention en août 1941
7. RésuméPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les Einsatzgruppen : les groupes d'intervention et la genèse de la Solution finale Type de document : texte imprimé Auteurs : Ralf Ogorreck, Auteur ; Olivier Mannoni (1960-....), Traducteur Editeur : Paris : Calmann-Lévy Année de publication : 2007 Autre Editeur : Paris : Mémorial de la Shoah Importance : 1 vol. (320 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7021-3799-7 Prix : 20,90 EUR Note générale : Bibliogr. p. 244-250. Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : 94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Constitués à l’origine de volontaires issus de la SS, les Einsatzgruppen (« groupes d’intervention »), sont actifs dès 1939. Réorganisés au printemps 1941, ils opèrent à partir du 22 juin 1941sur le front de l’Est, derrière la Wehrmacht, et étoffent massivement leurs effectifs au cours des dix-huit mois suivant. Donné avant l’offensive, l’ordre de tuer les cadres du régime soviétique et les hommes juifs adultes bascule en décision génocidaire dans la première semaine du mois d’août 1941. Loin d’être éloignée du massacre, la Wehrmacht en est le premier témoin oculaire tout en prêtant souvent main-forte aux tueurs.
En moins de cinq mois, le massacre devient un génocide à l’échelle de l’URSS d’abord (août 1941), puis à celle du continent européen tout entier (novembre 1941). Les tueries par fusillades opérées par les Einsatzgruppen constituent le laboratoire de la « solution finale ».
La machine génocidaire connaît toutefois des ratés. À partir de la tuerie de Minsk à laquelle il assiste le 15 août 1941, Himmler se déclare convaincu qu’il faut mettre au point un autre moyen de mise à mort, plus rapide et discret, moins éprouvant surtout pour les tueurs. Ce sera le camion à gaz (Chelmno, décembre 1941) puis la chambre à gaz.
Les volontaires du meurtre de masse n’étaient pas des hommes ordinaires, mais les héritiers d’un endoctrinement pour lequel tout Juif constituait une nuisance à éradiquer. La force des Einsatzgruppen tient à la convergence de l’endoctrinement, de l’esprit de corps qui ouvre le chemin aux exactions de groupe, et d’une coupure d’avec le monde traditionnel qui permet de lever les inhibitions.
Ralf Ogorreck analyse le recrutement, la formation et le modus operandi de ceux qui mirent en oeuvre cette "Shoah par balles" dont on commence à peine à mesurer l'ampleur.Note de contenu : Table des matières
1. Les ordres de l'opération Barbarossa
2. Les missions assignés aux chefs des groupes d'intervention dans la zone de préparation de Pretzsch en juin 1941
3. Résumé
4. L’activité des groupes d’interventions de juin à août 1941
5. Les décisions politiques de la direction nationale-socialiste sur la politique d'occupation et la politique à l'égard des Juifs aux mois de juillet et d'août 1941
6. L'élargissement de la mission confiée aux chefs de groupes d'intervention en août 1941
7. RésuméPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 44217 940.531/OGO Livre Réserve - Disponible Les Einsatzgruppen / Ralf Ogorreck
Les Einsatzgruppen : les groupes d'intervention et la genèse de la Solution finale [texte imprimé] / Ralf Ogorreck, Auteur ; Olivier Mannoni (1960-....), Traducteur . - Paris : Tallandier, 2014 . - 1 vol. (320 p.) : couv. ill. ; 23 cm. - (Texto) .
ISBN : 979-10-210-0419-1
Bibliogr. p. 237-250. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : 94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur
Qui sont ces volontaires issus de la SS dénommés les Einsatzgruppen (« groupes d’intervention ») ?
À la suite de l’invasion de l’URSS en juin 1941 par la Wehrmacht, 3 000 hommes affectés sur le front de l’Est sont chargés d’exterminer les opposants au Reich et les Juifs, hommes, femmes, et enfants sans distinction. Près d’un million et demi de Juifs d’Europe de l’Est seront exécutés par ces commandos de la mort. Ces tueries par fusillades, commises avant la création des camps d’extermination, constituent le laboratoire de la « solution finale ».Note de contenu : Table des matières
1. Les ordres de l'opération Barbarossa
2. Les missions assignés aux chefs des groupes d'intervention dans la zone de préparation de Pretzsch en juin 1941
3. Résumé
4. L’activité des groupes d’interventions de juin à août 1941
5. Les décisions politiques de la direction nationale-socialiste sur la politique d'occupation et la politique à l'égard des Juifs aux mois de juillet et d'août 1941
6. L'élargissement de la mission confiée aux chefs de groupes d'intervention en août 1941
7. RésuméPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Les Einsatzgruppen : les groupes d'intervention et la genèse de la Solution finale Type de document : texte imprimé Auteurs : Ralf Ogorreck, Auteur ; Olivier Mannoni (1960-....), Traducteur Editeur : Paris : Tallandier Année de publication : 2014 Collection : Texto Importance : 1 vol. (320 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-210-0419-1 Note générale : Bibliogr. p. 237-250. Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : 94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur
Qui sont ces volontaires issus de la SS dénommés les Einsatzgruppen (« groupes d’intervention ») ?
À la suite de l’invasion de l’URSS en juin 1941 par la Wehrmacht, 3 000 hommes affectés sur le front de l’Est sont chargés d’exterminer les opposants au Reich et les Juifs, hommes, femmes, et enfants sans distinction. Près d’un million et demi de Juifs d’Europe de l’Est seront exécutés par ces commandos de la mort. Ces tueries par fusillades, commises avant la création des camps d’extermination, constituent le laboratoire de la « solution finale ».Note de contenu : Table des matières
1. Les ordres de l'opération Barbarossa
2. Les missions assignés aux chefs des groupes d'intervention dans la zone de préparation de Pretzsch en juin 1941
3. Résumé
4. L’activité des groupes d’interventions de juin à août 1941
5. Les décisions politiques de la direction nationale-socialiste sur la politique d'occupation et la politique à l'égard des Juifs aux mois de juillet et d'août 1941
6. L'élargissement de la mission confiée aux chefs de groupes d'intervention en août 1941
7. RésuméPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 50406 940.531/OGO Livre Libre-accès Adultes Disponible Einsatzgruppen / Michaël Prazan
Einsatzgruppen : sur les traces des commandos de la mort nazis [texte imprimé] / Michaël Prazan (1970-....), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2010 . - 1 vol. (564 p.-[16] p. de pl.) : ill., cartes, couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-02-099290-9
Bibliogr. p. 551-555. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : 341.485(477) Babi Iar
94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
94(100)"1941-1945" Opération 1005
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Littéralement, « Einsatzgruppen » signifie « groupes d’intervention ». La mission de ces 3000 hommes lancés à partir de juin 1941 dans le sillage des armées allemandes à la conquête de l’URSS était de « liquider » les ennemis potentiels du Reich. Ils furent les exécutants zélés de la première phase de « la solution finale de la question juive ». Hommes, femmes, enfants, tous sont visés, abattus dans de grandes fusillades par les formations allemandes et leurs auxiliaires locaux. Trois mois après le massacre du ravin Babi Yar, à Kiev, où 33 771 personnes sont exécutées en deux jours, les États baltes sont déclarés « Judenfrei » ; libres de Juifs. À l’été 1942, ce sont près d’1,5 million de Juifs qui ont été assassinés par les Einsatzgruppen. La même année, la décision est prise par Hitler de poursuivre l’extermination des Juifs occidentaux dans des camps de la mort et d'effacer les traces des massacres perpétrés à l'Est. Pour ce faire, les nazis forment des commandos d’hommes juifs chargés de déterrer et de brûler les cadavres, et eux-mêmes promis à une mort certaine.
Soixante-cinq ans plus tard, sillonnant l’Europe de l’Est, des États baltes aux confins de la Roumanie, de la Galicie à la Crimée, je suis allé à la rencontre des témoins, des rares survivants et de leurs bourreaux. J'ai arpenté les ravins, les champs, les marais et les villes qui furent le théâtre des exécutions de masse. J'ai retrouvé les rares sépultures, les fosses anonymes et les lieux de mémoire ; autant de stigmates laissés par ce cataclysme sans précédent. Ici, le présent se mêle à l’histoire, la géographie est le cadastre d’un gigantesque cimetière.
Michael Prazan, documentariste, est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages dont Les Fanatiques, histoire de l'Armée rouge japonaise (Seuil, 2002) et Pierre Goldman, le frère de l’ombre (Seuil, 2005). Il collabore à différents journaux et magazines.Note de contenu : Table :
- un prologue
I. "Et creuser dans la terre une tombe" (juin-décembre 1941)
1. Pogroms
2. Sur la participation des populations locales
3. premières exécutions
4. les prisonniers soviétiques
5. "tuez-les tous"
6. la brigade de cavalerie Hermann Fegelein
7. Leon Wells au procès Eichmann (première journée d'audience)
8. les fonctionnaires du crime
9. Ponary
10. les "abatteurs" de Ponary
11. Kamenetes-Podolski
12. Babi yar
13. Lubny
14. L'inquiétant Stepan Farmiga (Galicie)
15. les camions à gaz
16. Rumbula
17. le camp de Kaiserwald
18. près de Liepaja, la plage de Skede
19. "Judenfrei"
II. "Et votre fumée montera vers le ciel" (1942-1945)
1. un tueur
2. la vague à l'âme des bourreaux
3. opération Reinhardt
4. Biélorussie, 1942
5. Un champ de blé
6. Transnistrie
7. Katyn
8. les bûchers
9. le Sonderkommando 1005 (Lviv)
10. Leon Welles au procès Eichmann (deuxième journée d'audience)
11. "Pour que ça brûle mieux"
12. une enfant de 5 ans (Simféropol)
13. la débâcle
14. un champ de ruines
15. l'heure des comptes
16. personne ne bénira notre poussière
Post-scritpum
Composition des Einsatzgruppen
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Einsatzgruppen : sur les traces des commandos de la mort nazis Type de document : texte imprimé Auteurs : Michaël Prazan (1970-....), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (564 p.-[16] p. de pl.) Présentation : ill., cartes, couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-099290-9 Note générale : Bibliogr. p. 551-555. Index Langues : Français (fre) Catégories : 341.485(477) Babi Iar
94(100)"1933/45":356 Einsatzgruppen
94(100)"1941-1945" Opération 1005
Judéocide / ShoahIndex. décimale : 940.531 Camps de concentration et d'extermination / Judéocide Résumé : Site éditeur :
Littéralement, « Einsatzgruppen » signifie « groupes d’intervention ». La mission de ces 3000 hommes lancés à partir de juin 1941 dans le sillage des armées allemandes à la conquête de l’URSS était de « liquider » les ennemis potentiels du Reich. Ils furent les exécutants zélés de la première phase de « la solution finale de la question juive ». Hommes, femmes, enfants, tous sont visés, abattus dans de grandes fusillades par les formations allemandes et leurs auxiliaires locaux. Trois mois après le massacre du ravin Babi Yar, à Kiev, où 33 771 personnes sont exécutées en deux jours, les États baltes sont déclarés « Judenfrei » ; libres de Juifs. À l’été 1942, ce sont près d’1,5 million de Juifs qui ont été assassinés par les Einsatzgruppen. La même année, la décision est prise par Hitler de poursuivre l’extermination des Juifs occidentaux dans des camps de la mort et d'effacer les traces des massacres perpétrés à l'Est. Pour ce faire, les nazis forment des commandos d’hommes juifs chargés de déterrer et de brûler les cadavres, et eux-mêmes promis à une mort certaine.
Soixante-cinq ans plus tard, sillonnant l’Europe de l’Est, des États baltes aux confins de la Roumanie, de la Galicie à la Crimée, je suis allé à la rencontre des témoins, des rares survivants et de leurs bourreaux. J'ai arpenté les ravins, les champs, les marais et les villes qui furent le théâtre des exécutions de masse. J'ai retrouvé les rares sépultures, les fosses anonymes et les lieux de mémoire ; autant de stigmates laissés par ce cataclysme sans précédent. Ici, le présent se mêle à l’histoire, la géographie est le cadastre d’un gigantesque cimetière.
Michael Prazan, documentariste, est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages dont Les Fanatiques, histoire de l'Armée rouge japonaise (Seuil, 2002) et Pierre Goldman, le frère de l’ombre (Seuil, 2005). Il collabore à différents journaux et magazines.Note de contenu : Table :
- un prologue
I. "Et creuser dans la terre une tombe" (juin-décembre 1941)
1. Pogroms
2. Sur la participation des populations locales
3. premières exécutions
4. les prisonniers soviétiques
5. "tuez-les tous"
6. la brigade de cavalerie Hermann Fegelein
7. Leon Wells au procès Eichmann (première journée d'audience)
8. les fonctionnaires du crime
9. Ponary
10. les "abatteurs" de Ponary
11. Kamenetes-Podolski
12. Babi yar
13. Lubny
14. L'inquiétant Stepan Farmiga (Galicie)
15. les camions à gaz
16. Rumbula
17. le camp de Kaiserwald
18. près de Liepaja, la plage de Skede
19. "Judenfrei"
II. "Et votre fumée montera vers le ciel" (1942-1945)
1. un tueur
2. la vague à l'âme des bourreaux
3. opération Reinhardt
4. Biélorussie, 1942
5. Un champ de blé
6. Transnistrie
7. Katyn
8. les bûchers
9. le Sonderkommando 1005 (Lviv)
10. Leon Welles au procès Eichmann (deuxième journée d'audience)
11. "Pour que ça brûle mieux"
12. une enfant de 5 ans (Simféropol)
13. la débâcle
14. un champ de ruines
15. l'heure des comptes
16. personne ne bénira notre poussière
Post-scritpum
Composition des Einsatzgruppen
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 46493 940.531/PRA Livre Libre-accès Adultes Disponible PermalinkPermalinkPermalinkLes Enfants de Buchenwald / JUDITH HEMMENDINGER
PermalinkEnfants cachés / Viviane Teitelbaum-Hirsch
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PermalinkPermalinkPermalinkLes Enfants d'Izieu / Serge Klarsfeld
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