[article] Travail : je t’aime, je te hais [texte imprimé] / Martine Fournier, Directeur de publication ; Xavier de la Véga, Directeur de publication . - 2007 . - pp. 31-45. Langues : Français ( fre) in Sciences Humaines > 179 (février 2007) . - pp. 31-45
Catégories : |
314 Démographie Etude de la population Sondage 316 Sociologie 331 Travail Organisation du travail 331.1 Rapports travailleurs/employeurs 331.101 Théorie du travail 331.4 Conditions de travail 331.47-331.48 Hygiène Médecine Santé du travail
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Résumé : |
Sommaire :
- Travail : je t’aime, je te hais / Dossier coordonné par Dossier coordonné par Martine Fournier et Xavier de la Vega
35 heures hebdomadaires ! Mais de quoi se plaignent-ils ? On sait bien que les Français ont toujours eu l’esprit critique, mais là , pourtant, il semble qu’ils n’aient pas que de mauvaises raisons de critiquer le travail. Depuis quelques années, les enquêtes montrent une sensible augmentation des maladies professionnelles et du stress chez les actifs. Une montée en pression généralisée s’observe sur la plupart des lieux de travail, dues aux conditions imposées par un management qui se veut modernisé et adapté au capitalisme mondialisé…
Mais comme le travail reste une valeur précieuse pour chacun et chacune, il en ressort des discours subjectifs fortement ambivalents : on aime son travail pour l’autonomie financière et symbolique qu’il confère, mais on a également bien des raisons de le détester…
- Travail : ce douloureux objet de désir / Martine Fournier
Bonheur/malheur, jouissance/souffrance, émancipation/aliénation… Pourquoi les ambivalences dont le travail est porteur prennent-elles aujourd’hui un tel relief ? Il semble que les nouvelles formes de management aient dans ce phénomène une large part de responsabilité.
- Santé au travail : une dégradation manifeste / Michel Gollac et Serge Volkoff
Zéro stock, flux tendus, sous-traitance, nouvelles relations avec la clientèle…, l’augmentation généralisée de la pression au travail ne laisse plus d’espace pour respirer. Si certains en retirent des gratifications, les enquêtes révèlent aussi une détérioration de la santé pour beaucoup.
- La complainte des travailleurs : Entretien avec François Dubet
Égalité, reconnaissance, autonomie : pour critiquer leurs conditions de travail, les Français invoquent des principes de justice très élaborés mais qui ne vont pas sans se contredire. D’où une ronde intarissable de critiques qui, loin d’aboutir à des mouvements solidaires, s’expriment surtout sur le mode individualiste.
- Quand gestion rime avec confusion / Marc Uhalde
Menées tambour battant, empilant les changements, les modernisations gestionnaires engendrent parfois une véritable crise sociale dans les organisations. Prenant leurs distances avec celles-ci, les salariés préfèrent alors se replier sur leur travail, autant source de satisfaction que zone refuge.
- Bibliographie du dossier |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
Travail : je t’aime, je te hais |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Martine Fournier, Directeur de publication ; Xavier de la Véga, Directeur de publication |
Année de publication : |
2007 |
Article en page(s) : |
pp. 31-45 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
314 Démographie Etude de la population Sondage 316 Sociologie 331 Travail Organisation du travail 331.1 Rapports travailleurs/employeurs 331.101 Théorie du travail 331.4 Conditions de travail 331.47-331.48 Hygiène Médecine Santé du travail
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Résumé : |
Sommaire :
- Travail : je t’aime, je te hais / Dossier coordonné par Dossier coordonné par Martine Fournier et Xavier de la Vega
35 heures hebdomadaires ! Mais de quoi se plaignent-ils ? On sait bien que les Français ont toujours eu l’esprit critique, mais là , pourtant, il semble qu’ils n’aient pas que de mauvaises raisons de critiquer le travail. Depuis quelques années, les enquêtes montrent une sensible augmentation des maladies professionnelles et du stress chez les actifs. Une montée en pression généralisée s’observe sur la plupart des lieux de travail, dues aux conditions imposées par un management qui se veut modernisé et adapté au capitalisme mondialisé…
Mais comme le travail reste une valeur précieuse pour chacun et chacune, il en ressort des discours subjectifs fortement ambivalents : on aime son travail pour l’autonomie financière et symbolique qu’il confère, mais on a également bien des raisons de le détester…
- Travail : ce douloureux objet de désir / Martine Fournier
Bonheur/malheur, jouissance/souffrance, émancipation/aliénation… Pourquoi les ambivalences dont le travail est porteur prennent-elles aujourd’hui un tel relief ? Il semble que les nouvelles formes de management aient dans ce phénomène une large part de responsabilité.
- Santé au travail : une dégradation manifeste / Michel Gollac et Serge Volkoff
Zéro stock, flux tendus, sous-traitance, nouvelles relations avec la clientèle…, l’augmentation généralisée de la pression au travail ne laisse plus d’espace pour respirer. Si certains en retirent des gratifications, les enquêtes révèlent aussi une détérioration de la santé pour beaucoup.
- La complainte des travailleurs : Entretien avec François Dubet
Égalité, reconnaissance, autonomie : pour critiquer leurs conditions de travail, les Français invoquent des principes de justice très élaborés mais qui ne vont pas sans se contredire. D’où une ronde intarissable de critiques qui, loin d’aboutir à des mouvements solidaires, s’expriment surtout sur le mode individualiste.
- Quand gestion rime avec confusion / Marc Uhalde
Menées tambour battant, empilant les changements, les modernisations gestionnaires engendrent parfois une véritable crise sociale dans les organisations. Prenant leurs distances avec celles-ci, les salariés préfèrent alors se replier sur leur travail, autant source de satisfaction que zone refuge.
- Bibliographie du dossier |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
in Sciences Humaines > 179 (février 2007) . - pp. 31-45
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