[article] Plongée au cœur de l’Inde musulmane [texte imprimé] / Wendy Kristianasen, Auteur . - 2009 . - pp. 1 et 8-9. Langues : Français ( fre) in Le Monde Diplomatique > 658 (janvier 2009) . - pp. 1 et 8-9
Catégories : |
291.7 Guerres de religion 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme) 32(540) Politique de l'Inde 343.917 Délinquance politique Terrorisme
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Résumé : |
Extrait :
Moins d’un mois après les attaques du 26 novembre, les hôtels de luxe de Bombay, Taj Mahal et Oberoi-Trident, ont rouvert leurs portes. Mais, dans tout le pays, le traumatisme reste vif. D’emblée, le premier ministre indien Manmohan Singh avait estimé que les coupables se situaient du côté du Pakistan et des mouvements islamistes qui y ont pignon sur rue. Depuis, la pression sur Islamabad s’est accentuée, non sans arrière-pensées géopolitiques (lire « Liaisons dangereuses en Asie du Sud »). Toutefois, en désignant aussitôt un ennemi extérieur, M. Singh cherchait également à éviter un affrontement entre les communautés hindoue et musulmane. Le principal parti nationaliste hindou, le Bharatiya Janata Party (BJP), jouait, lui, la carte de la peur. Sans succès. La quasi-totalité des mouvements islamiques a, en effet, condamné les attentats — ceux de Bombay mais aussi ceux qui ont endeuillé l’Inde tout au long de l’année 2008. Certaines organisations craignent néanmoins une radicalisation des jeunes musulmans, dont la très grande majorité vit dans la misère. |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
Plongée au cœur de l’Inde musulmane |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Wendy Kristianasen, Auteur |
Année de publication : |
2009 |
Article en page(s) : |
pp. 1 et 8-9 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
291.7 Guerres de religion 297 Islam & Intégrisme islamique (islamisme) 32(540) Politique de l'Inde 343.917 Délinquance politique Terrorisme
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Résumé : |
Extrait :
Moins d’un mois après les attaques du 26 novembre, les hôtels de luxe de Bombay, Taj Mahal et Oberoi-Trident, ont rouvert leurs portes. Mais, dans tout le pays, le traumatisme reste vif. D’emblée, le premier ministre indien Manmohan Singh avait estimé que les coupables se situaient du côté du Pakistan et des mouvements islamistes qui y ont pignon sur rue. Depuis, la pression sur Islamabad s’est accentuée, non sans arrière-pensées géopolitiques (lire « Liaisons dangereuses en Asie du Sud »). Toutefois, en désignant aussitôt un ennemi extérieur, M. Singh cherchait également à éviter un affrontement entre les communautés hindoue et musulmane. Le principal parti nationaliste hindou, le Bharatiya Janata Party (BJP), jouait, lui, la carte de la peur. Sans succès. La quasi-totalité des mouvements islamiques a, en effet, condamné les attentats — ceux de Bombay mais aussi ceux qui ont endeuillé l’Inde tout au long de l’année 2008. Certaines organisations craignent néanmoins une radicalisation des jeunes musulmans, dont la très grande majorité vit dans la misère. |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
in Le Monde Diplomatique > 658 (janvier 2009) . - pp. 1 et 8-9
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