Le pouvoir illégitime [texte imprimé] / Olivier Pinot de Villechenon (1950-....), Auteur ; Francis Mollet-Viéville (1918-2008), Préfacier, etc. . - Paris : Lettres du monde, 1993 . - 1 vol. (II-91 p.) ; 23 cm. ISBN : 978-2-7301-0069-4 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
32(44) Politique de la France 321.01 Pouvoirs.Frontières 321.17 Féodalité / Monarchie / Royauté 321.7 Démocratie / Démocratisation 321.77 République 323.2 Relation peuple/Etat 328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peuple
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Index. décimale : |
321.7 Démocratie / Dictature |
Résumé : |
Quatrième de couverture :
Le pouvoir : pour quoi ? pour qui ? pour le bien-être du peuple ! c'est sa seule légitimité. Pourtant les politiques, aujourd'hui, croient pouvoir gouverner selon leur "bon plaisir", pourvu qu'ils aient été régulièrement élus.
Olivier Pinot de Villechenon redécouvre l'idée d'Aristote et de bien d'autres selon laquelle la véritable légitimité naît du respect des fins du pouvoir et non pas seulement de son mode de dévolution. Il montre que le positivisme sert d'habillage à l'absolutisme sous la Ve République.
L'absolutisme républicain n'est pas plus légitime que son ancêtre monarchique. De Gaulle, s'il excédait ses pouvoirs, a su démissionner après avoir été désavoué. Avec ses successeurs, l'absolutisme connaît l'outrance. Le président absolu devient un satrape omnipotent.
Le pouvoir absolu n'est pas fort : il est autoritaire et parasite.
Comment peut-il redevenir légitime ?
Par une inflexion de la pratique politique, afin de retrouver l'esprit fondateur de la Ve République, par une séparation des rôles entre :
- ceux qui doivent agir (le Parlement, le Gouvernement et les Tribunaux);
- ceux qui doivent déterminer les fins supérieures du pouvoir et garantir leur respect (le Peuple consulté par referendum, le Président et le Conseil Constitutionnel). |
Note de contenu : |
Sommaire :
Introduction
Première partie : Légitimité et absolutisme
Le rattachement de la légitimité du pouvoir à son origine
L'influence des doctrines positives
Deuxième partie : Légitimité et démocratie
Une conception strictement légaliste de la légitimité n'est pas compatible avec la démocratie
La légitimité démocratique repose, en dernière analyse sur l'organisation des pouvoirs
Troisième partie: Légitimité et institutions de la Ve Républiques
La légitimité repose sur le principe d'une séparation téléologique des pouvoirs, sur équilibre des pouvoirs qui traduise la hiérarchie de leurs missions, la hiérarchie des normes
Application actuelle et souhaitable de ce printemps dans les institutions de la V République
Conclusion |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
Titre : |
Le pouvoir illégitime |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Olivier Pinot de Villechenon (1950-....), Auteur ; Francis Mollet-Viéville (1918-2008), Préfacier, etc. |
Editeur : |
Paris : Lettres du monde |
Année de publication : |
1993 |
Importance : |
1 vol. (II-91 p.) |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7301-0069-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
32(44) Politique de la France 321.01 Pouvoirs.Frontières 321.17 Féodalité / Monarchie / Royauté 321.7 Démocratie / Démocratisation 321.77 République 323.2 Relation peuple/Etat 328 Parlements. Gouvernements. Représentation du peuple
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Index. décimale : |
321.7 Démocratie / Dictature |
Résumé : |
Quatrième de couverture :
Le pouvoir : pour quoi ? pour qui ? pour le bien-être du peuple ! c'est sa seule légitimité. Pourtant les politiques, aujourd'hui, croient pouvoir gouverner selon leur "bon plaisir", pourvu qu'ils aient été régulièrement élus.
Olivier Pinot de Villechenon redécouvre l'idée d'Aristote et de bien d'autres selon laquelle la véritable légitimité naît du respect des fins du pouvoir et non pas seulement de son mode de dévolution. Il montre que le positivisme sert d'habillage à l'absolutisme sous la Ve République.
L'absolutisme républicain n'est pas plus légitime que son ancêtre monarchique. De Gaulle, s'il excédait ses pouvoirs, a su démissionner après avoir été désavoué. Avec ses successeurs, l'absolutisme connaît l'outrance. Le président absolu devient un satrape omnipotent.
Le pouvoir absolu n'est pas fort : il est autoritaire et parasite.
Comment peut-il redevenir légitime ?
Par une inflexion de la pratique politique, afin de retrouver l'esprit fondateur de la Ve République, par une séparation des rôles entre :
- ceux qui doivent agir (le Parlement, le Gouvernement et les Tribunaux);
- ceux qui doivent déterminer les fins supérieures du pouvoir et garantir leur respect (le Peuple consulté par referendum, le Président et le Conseil Constitutionnel). |
Note de contenu : |
Sommaire :
Introduction
Première partie : Légitimité et absolutisme
Le rattachement de la légitimité du pouvoir à son origine
L'influence des doctrines positives
Deuxième partie : Légitimité et démocratie
Une conception strictement légaliste de la légitimité n'est pas compatible avec la démocratie
La légitimité démocratique repose, en dernière analyse sur l'organisation des pouvoirs
Troisième partie: Légitimité et institutions de la Ve Républiques
La légitimité repose sur le principe d'une séparation téléologique des pouvoirs, sur équilibre des pouvoirs qui traduise la hiérarchie de leurs missions, la hiérarchie des normes
Application actuelle et souhaitable de ce printemps dans les institutions de la V République
Conclusion |
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