[article] Comprendre le « printemps d’érable » [texte imprimé] . - 2012 . - p. 24-34. Langues : Français ( fre) in Politique > 76 (septembre - octobre 2012) . - p. 24-34
Catégories : |
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration 323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée Histoire du Canada et du Québec Politique du Québec
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Note de contenu : |
Articles:
* Printemps d’érable, automne libéral ? / Laurent de BRIEY
Plus de cent jours de grève étudiante. Une cinquantaine de manifestations nocturnes consécutives, réunissant souvent plusieurs milliers de personnes. De nombreuses manifestations en journée ayant parfois rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes. On a du mal à imaginer qu’un mouvement comparable à celui qui a animé le printemps québécois 2012 puisse apparaître en Belgique.
* Québec : exaspération et défiance / Laurent de BRIEY
Comme ce fut le cas pour le mai 68 français, peut-on déduire d’un mouvement étudiant massif l’existence d’une crise sociale qui le dépasse ? Pas sûr. Le « Printemps d’érable » interpelle un certain style de gouvernance sans être forcément porteur d’une alternative.
* Ce que les étudiants (québecquois) apportent à la gauche / Marcel PEPIN
Un mouvement de petits-bourgeois privilégiés ? Ce n’est pas l’avis des syndicalistes québécois qui n’ont jamais ménagé leur soutien aux étudiants.
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Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
Comprendre le « printemps d’érable » |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2012 |
Article en page(s) : |
p. 24-34 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
323.23 Troubles politiques . Manifestation . Commémoration 323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée Histoire du Canada et du Québec Politique du Québec
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Note de contenu : |
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* Printemps d’érable, automne libéral ? / Laurent de BRIEY
Plus de cent jours de grève étudiante. Une cinquantaine de manifestations nocturnes consécutives, réunissant souvent plusieurs milliers de personnes. De nombreuses manifestations en journée ayant parfois rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes. On a du mal à imaginer qu’un mouvement comparable à celui qui a animé le printemps québécois 2012 puisse apparaître en Belgique.
* Québec : exaspération et défiance / Laurent de BRIEY
Comme ce fut le cas pour le mai 68 français, peut-on déduire d’un mouvement étudiant massif l’existence d’une crise sociale qui le dépasse ? Pas sûr. Le « Printemps d’érable » interpelle un certain style de gouvernance sans être forcément porteur d’une alternative.
* Ce que les étudiants (québecquois) apportent à la gauche / Marcel PEPIN
Un mouvement de petits-bourgeois privilégiés ? Ce n’est pas l’avis des syndicalistes québécois qui n’ont jamais ménagé leur soutien aux étudiants.
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