Ulg - Saint-Luc . Architecture. Entre architecture et mémoire : Berlin, ville du souvenir ? [texte imprimé] / Caroline Thonnart, Auteur . - [2012] . - 1 vol. (82 p. recto) ; 30 cm. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
069 Musées Muséologie Muséographie Exposition 321.6"1933/1945" Nazisme 352(430) Berlin 37:17 Travail de Mémoire 94(430) Histoire de l'Allemagne
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Index. décimale : |
37:17 Travail de Mémoire |
Résumé : |
Abstract.
Mon mémoire de fin d’études a pour sujet l’évolution et la concrétisation de la mémoire d’après-guerre en Allemagne. Il s’agit d’étudier la prise de conscience de l’Allemagne après la guerre et d’analyser comment cette conscience va évoluer au fil du temps et se concrétiser dans des œuvres architecturales. Les œuvres qui seront abordées dans notre étude sont au nombre de quatre. Dans un premier temps, nous aborderons l’œuvre du sculpteur Cerz, avec son monument contre le fascisme. Celui-ci met en place une stèle de 12 mètres de haut que l’on enfonce progressivement dans le sol. Cette œuvre aborde la disparition, l’enfoncement et l’effacement des discours fascistes, car elle se fait le réceptacle de divers témoignages, signes et autres formes d’écriture qui y sont gravées par toute personne désirant intervenir dessus. Les trois autres œuvres qui seront envisagées se situent à Berlin, capitale du national-socialisme, autrement dit du nazisme. Il s’agira d'étudier le musée juif, le Mémorial d’Eisenman ainsi que la bibliothèque vide. Mon mémoire envisagera donc la manière d’aborder la mémoire dans un laps de temps d’une dizaine d’années.
D’abord, nous nous pencherons donc sur le monument contre le fascisme, avec ce que l’on appellera par la suite le contre-monument de Gerz, qui est une oeuvre sur laquelle le spectateur peu intervenir. Cependant, celui-ci reste extérieur à l’espace, il observe, il écrit, mais il ne vit pas l’espace à proprement dit. Ce monument fut complètement enterré en 1993.
Ensuite, la bibliothèque d’üllman, plus connue sous le nom de la bibliothèque vide de Berlin, sera étudiée. Elle aborde, quant à elle, l’enfouissement, la réminiscence d’un fait qui est remémoré sur le lieu spécifique. Elle se caractérise par l’absence qu’elle matérialise, mais aussi par l’absence d’interaction. Il s’agit aussi d’un lieu où l’on ne vit pas d’espace interne mais où la mémoire est abordée par une mise en scène extérieure. On ne pénètre pas ses lieux.
Ces deux sculptures, celles de Gerz et Ullman, précèdent la volonté de voir construire une mémoire en dur et de donner des espaces « à vivre », qui seraient le fruit d’une nécessité de faire acte de mémoire et de remplir son devoir pour l’Allemagne.
Enfin, c’est avec le musée juif de Berlin et le Mémorial aux Juifs d’Europe que l’on concrétise, par l’architecture, le souvenir. Ces espaces, que nous aborderons, sont issus d’une volonté, publique pour le Mémorial, de voir s’ériger un lieu central en Allemagne et d’une volonté, politique pour le musée juif, de ne pas réduire l'histoire judéo-allemande à la Shoah. Ces deux projets seront analysés afin de mettre en évidence les procédés mis en place pour concevoir ces lieux.
Par l’analyse de différents bâtiments et œuvres abordant la mémoire du génocide juif en Allemagne, je compte mettre en avant les différentes étapes qui se sont déroulées lors de la transcription des actes des nazis effectués contre les Juifs ainsi que les différents thèmes abordés dans ces espaces. Il s’agit de comprendre comme l’architecture incarne le rôle de transmission et de réceptacle de la mémoire, autrement dit, il s’agit de répondre aux questions« pourquoi construit-on ? » et « dans quel cadre social ? », mais aussi, « comment le fait- on ? » J’entends par là les différents procédés utilisés, les différents thèmes abordés dans la réalisation de ces bâtiments.
1. Le cadrage .
Le sujet porte sur la mémoire du génocide juif en Allemagne après 1945. Il se limite à la compréhension et à l’évolution de la mémoire allemande dans ce cadre. Nous aborderonsles différents moments-clefs de l’évolution de la mémoire allemande. Nous nous pencherons tout d’abord sur le silence d’après-guerre, la négation et l’abstention de prise de position, ensuite nous nous attarderons sur la seconde génération d’après-guerre, qui demande des comptes à ses parents suite à la mise en lumière des faits durant le procès Eichmann. De même, il sera abordé la manière de faire acte de mémoire en Allemagne durant cette période. Il s’agira de mettre en exergue le refus de reproduire les mêmes manières de commémorer. Il sera fait état de cette évolution et de la manière de transcrire la mémoire à la fin des années 80 et au début des années 90 par l’analyse de deux productions qui en découlent : le monument contre le fascisme de Gerz et la bibliothèque vide d’Ullman. Ensuite, nous étudierons la volonté de construire, par l’architecture, des espaces de mémoire à travers l’analyse de deux projets : le musée juif de Berlin et le Mémorial.
2.L’idée :
Notre idée est construite sur une ligne du temps qui met en évidence les différents moments de mémoire du génocide juif ainsi que sa retranscription dans le vécu spatial. Il s'agit de comprendre comment l’architecture devient nécessaire à la commémoration, à un moment donné, et comment celle-ci est construite.
Il s’agit de décrire et de remettre chaque œuvre citée ci-dessus dans son contexte et de comprendre les liens qui existent entre ces œuvres. Il s’agit également de mettre en évidence les grands thèmes abordés dans chaque œuvre et de voir comment ces thèmes sont exploités dans chacune d’entre elles. Il s’agit d’analyser les œuvres et d’appliquer différentes grilles de lecture afin de les comparer et d’en retirer des grandes options.
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Note de contenu : |
Table des matière :
1 introduction
Chapitre I. Historique et évolution de mémoire.
1.1 Définitions de la mémoire, du souvenir et de l’oubli.
1.2. Mémoire et oubli, indissociables l’un de l’autre.
1.3. Mémoire collective et mémoire culturelle.
1.4. Relation de la mémoire et d’un lieu.
1.5. L’écriture comme garant de durabilité ou exutoire à la mémoire.
Chapitre II. La mémoire et ses représentations physiques.
I 1.1. Définition de la notion de monument.
11.2. Les différents états du monument.
11.3. Définition de la notion de mémorial.
11.4. Le monument comme dépositaire du souvenir.
11.5. Le monument vu par la modernité.
11.6. Le mémorial après la Première Guerre.
11.7. Evolution de la manière d’appréhender la mémoire
après la Seconde Guerre.
Chapitre III.. Rupture dans la continuité historique et allemande.
111.1. Rupture dans l’histoire et falsification de la mémoire.
111.2. Les lieux de mémoire sont la matière dont se nourrit l’histoire.
111.3. Souvenir du national socialisme depuis 1945.
111.4. Le devoir de mémoire.
111.5. Le renouveau du monument en Allemagne.
111.6. Le monument intérieur de Jochen Gerz.
111.7. Le contre-monument de Hambourg.
Chapitre IV. Mémoire et architecture, décharger la mémoire ?
IV.1. Concevoir l’architecture de l’Holocauste.
IV.2. Discontinuité dans l’histoire, perte des métarécits, genèse d’une architecture intégrant ses limites.
IV.3. L’architecture déconstructiviste, une architecture de la mémoire ?
IV.4. L’expérience spatiale comme transmission.
IV.3. La ville, vaste lieu de mémoire collective.
IV.6. Berlin, ville mémoire.
IV.7. La bibliothèque vide de Micha Ullman.
IV.8. Etude du Mémorial des Juifs assassinés en Europe.
IV.8.a. Un monument central pour l’Allemagne.
IV.i.b. Quel discours, quelle forme pour le projet ?
IV.8.C Première approche personnelle du Mémorial.
IV.8.d. Composer l’architecture sur base d'une trame rigide. IV.8.e. Dislocation de la trame, perte du centre, mise en place du mouvement.
IV.8.f. Représentation du plein et du vide.
IV.8.g. La masse comme élément directeur.
IV.8.h. Variation non linéaire, l’individu au centre du projet. IV.8.i. Créer des liens avec le passé.
IV.8.j. Continuité et inversion des mécanismes.
IV.8.k. Analyse du plan du Mémorial.
IV.8.k. 1. La salle des lettres.
IV.8.k. 2. La salle des familles.
IV.8.k.3- La salle des noms.
IV.8.k4. La salle des informations.
IV.9. Analyse du parcours et mise en parallèle avec le champ de stèles
IV.10. Un Mémorial qui pourrait oublier sa fonction ?
IV.11. Etude du musée juif de Berlin par Daniel Libeskind.
IV.11.a Le programme.
IV.11 b. L’essence du projet, fil directeur.
IV.11.c. La ligne comme élément de composition.
IV.11.d. Dissimuler pour mieux s’inscrire dans l’histoire.
IV.11.e. Composer la mémoire par le mouvement.
IV.11.f. Analyse des dispositifs mis en place dans l’espace souterrain.
IV.11.g. Matérialité des espaces.
IV.11.h. Le bâtiment de surface.
IV.11.i. Le vide comme espace de narration.
IV.12. Synthèse et comparaison des modes de compositions de l’espace.
IV.13. L’architecture comme élément de fixation de la mémoire.
Conclusion
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Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
Titre de série : |
Ulg - Saint-Luc . Architecture |
Titre : |
Entre architecture et mémoire : Berlin, ville du souvenir ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Caroline Thonnart, Auteur |
Année de publication : |
[2012] |
Importance : |
1 vol. (82 p. recto) |
Format : |
30 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
069 Musées Muséologie Muséographie Exposition 321.6"1933/1945" Nazisme 352(430) Berlin 37:17 Travail de Mémoire 94(430) Histoire de l'Allemagne
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Index. décimale : |
37:17 Travail de Mémoire |
Résumé : |
Abstract.
Mon mémoire de fin d’études a pour sujet l’évolution et la concrétisation de la mémoire d’après-guerre en Allemagne. Il s’agit d’étudier la prise de conscience de l’Allemagne après la guerre et d’analyser comment cette conscience va évoluer au fil du temps et se concrétiser dans des œuvres architecturales. Les œuvres qui seront abordées dans notre étude sont au nombre de quatre. Dans un premier temps, nous aborderons l’œuvre du sculpteur Cerz, avec son monument contre le fascisme. Celui-ci met en place une stèle de 12 mètres de haut que l’on enfonce progressivement dans le sol. Cette œuvre aborde la disparition, l’enfoncement et l’effacement des discours fascistes, car elle se fait le réceptacle de divers témoignages, signes et autres formes d’écriture qui y sont gravées par toute personne désirant intervenir dessus. Les trois autres œuvres qui seront envisagées se situent à Berlin, capitale du national-socialisme, autrement dit du nazisme. Il s’agira d'étudier le musée juif, le Mémorial d’Eisenman ainsi que la bibliothèque vide. Mon mémoire envisagera donc la manière d’aborder la mémoire dans un laps de temps d’une dizaine d’années.
D’abord, nous nous pencherons donc sur le monument contre le fascisme, avec ce que l’on appellera par la suite le contre-monument de Gerz, qui est une oeuvre sur laquelle le spectateur peu intervenir. Cependant, celui-ci reste extérieur à l’espace, il observe, il écrit, mais il ne vit pas l’espace à proprement dit. Ce monument fut complètement enterré en 1993.
Ensuite, la bibliothèque d’üllman, plus connue sous le nom de la bibliothèque vide de Berlin, sera étudiée. Elle aborde, quant à elle, l’enfouissement, la réminiscence d’un fait qui est remémoré sur le lieu spécifique. Elle se caractérise par l’absence qu’elle matérialise, mais aussi par l’absence d’interaction. Il s’agit aussi d’un lieu où l’on ne vit pas d’espace interne mais où la mémoire est abordée par une mise en scène extérieure. On ne pénètre pas ses lieux.
Ces deux sculptures, celles de Gerz et Ullman, précèdent la volonté de voir construire une mémoire en dur et de donner des espaces « à vivre », qui seraient le fruit d’une nécessité de faire acte de mémoire et de remplir son devoir pour l’Allemagne.
Enfin, c’est avec le musée juif de Berlin et le Mémorial aux Juifs d’Europe que l’on concrétise, par l’architecture, le souvenir. Ces espaces, que nous aborderons, sont issus d’une volonté, publique pour le Mémorial, de voir s’ériger un lieu central en Allemagne et d’une volonté, politique pour le musée juif, de ne pas réduire l'histoire judéo-allemande à la Shoah. Ces deux projets seront analysés afin de mettre en évidence les procédés mis en place pour concevoir ces lieux.
Par l’analyse de différents bâtiments et œuvres abordant la mémoire du génocide juif en Allemagne, je compte mettre en avant les différentes étapes qui se sont déroulées lors de la transcription des actes des nazis effectués contre les Juifs ainsi que les différents thèmes abordés dans ces espaces. Il s’agit de comprendre comme l’architecture incarne le rôle de transmission et de réceptacle de la mémoire, autrement dit, il s’agit de répondre aux questions« pourquoi construit-on ? » et « dans quel cadre social ? », mais aussi, « comment le fait- on ? » J’entends par là les différents procédés utilisés, les différents thèmes abordés dans la réalisation de ces bâtiments.
1. Le cadrage .
Le sujet porte sur la mémoire du génocide juif en Allemagne après 1945. Il se limite à la compréhension et à l’évolution de la mémoire allemande dans ce cadre. Nous aborderonsles différents moments-clefs de l’évolution de la mémoire allemande. Nous nous pencherons tout d’abord sur le silence d’après-guerre, la négation et l’abstention de prise de position, ensuite nous nous attarderons sur la seconde génération d’après-guerre, qui demande des comptes à ses parents suite à la mise en lumière des faits durant le procès Eichmann. De même, il sera abordé la manière de faire acte de mémoire en Allemagne durant cette période. Il s’agira de mettre en exergue le refus de reproduire les mêmes manières de commémorer. Il sera fait état de cette évolution et de la manière de transcrire la mémoire à la fin des années 80 et au début des années 90 par l’analyse de deux productions qui en découlent : le monument contre le fascisme de Gerz et la bibliothèque vide d’Ullman. Ensuite, nous étudierons la volonté de construire, par l’architecture, des espaces de mémoire à travers l’analyse de deux projets : le musée juif de Berlin et le Mémorial.
2.L’idée :
Notre idée est construite sur une ligne du temps qui met en évidence les différents moments de mémoire du génocide juif ainsi que sa retranscription dans le vécu spatial. Il s'agit de comprendre comment l’architecture devient nécessaire à la commémoration, à un moment donné, et comment celle-ci est construite.
Il s’agit de décrire et de remettre chaque œuvre citée ci-dessus dans son contexte et de comprendre les liens qui existent entre ces œuvres. Il s’agit également de mettre en évidence les grands thèmes abordés dans chaque œuvre et de voir comment ces thèmes sont exploités dans chacune d’entre elles. Il s’agit d’analyser les œuvres et d’appliquer différentes grilles de lecture afin de les comparer et d’en retirer des grandes options.
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Note de contenu : |
Table des matière :
1 introduction
Chapitre I. Historique et évolution de mémoire.
1.1 Définitions de la mémoire, du souvenir et de l’oubli.
1.2. Mémoire et oubli, indissociables l’un de l’autre.
1.3. Mémoire collective et mémoire culturelle.
1.4. Relation de la mémoire et d’un lieu.
1.5. L’écriture comme garant de durabilité ou exutoire à la mémoire.
Chapitre II. La mémoire et ses représentations physiques.
I 1.1. Définition de la notion de monument.
11.2. Les différents états du monument.
11.3. Définition de la notion de mémorial.
11.4. Le monument comme dépositaire du souvenir.
11.5. Le monument vu par la modernité.
11.6. Le mémorial après la Première Guerre.
11.7. Evolution de la manière d’appréhender la mémoire
après la Seconde Guerre.
Chapitre III.. Rupture dans la continuité historique et allemande.
111.1. Rupture dans l’histoire et falsification de la mémoire.
111.2. Les lieux de mémoire sont la matière dont se nourrit l’histoire.
111.3. Souvenir du national socialisme depuis 1945.
111.4. Le devoir de mémoire.
111.5. Le renouveau du monument en Allemagne.
111.6. Le monument intérieur de Jochen Gerz.
111.7. Le contre-monument de Hambourg.
Chapitre IV. Mémoire et architecture, décharger la mémoire ?
IV.1. Concevoir l’architecture de l’Holocauste.
IV.2. Discontinuité dans l’histoire, perte des métarécits, genèse d’une architecture intégrant ses limites.
IV.3. L’architecture déconstructiviste, une architecture de la mémoire ?
IV.4. L’expérience spatiale comme transmission.
IV.3. La ville, vaste lieu de mémoire collective.
IV.6. Berlin, ville mémoire.
IV.7. La bibliothèque vide de Micha Ullman.
IV.8. Etude du Mémorial des Juifs assassinés en Europe.
IV.8.a. Un monument central pour l’Allemagne.
IV.i.b. Quel discours, quelle forme pour le projet ?
IV.8.C Première approche personnelle du Mémorial.
IV.8.d. Composer l’architecture sur base d'une trame rigide. IV.8.e. Dislocation de la trame, perte du centre, mise en place du mouvement.
IV.8.f. Représentation du plein et du vide.
IV.8.g. La masse comme élément directeur.
IV.8.h. Variation non linéaire, l’individu au centre du projet. IV.8.i. Créer des liens avec le passé.
IV.8.j. Continuité et inversion des mécanismes.
IV.8.k. Analyse du plan du Mémorial.
IV.8.k. 1. La salle des lettres.
IV.8.k. 2. La salle des familles.
IV.8.k.3- La salle des noms.
IV.8.k4. La salle des informations.
IV.9. Analyse du parcours et mise en parallèle avec le champ de stèles
IV.10. Un Mémorial qui pourrait oublier sa fonction ?
IV.11. Etude du musée juif de Berlin par Daniel Libeskind.
IV.11.a Le programme.
IV.11 b. L’essence du projet, fil directeur.
IV.11.c. La ligne comme élément de composition.
IV.11.d. Dissimuler pour mieux s’inscrire dans l’histoire.
IV.11.e. Composer la mémoire par le mouvement.
IV.11.f. Analyse des dispositifs mis en place dans l’espace souterrain.
IV.11.g. Matérialité des espaces.
IV.11.h. Le bâtiment de surface.
IV.11.i. Le vide comme espace de narration.
IV.12. Synthèse et comparaison des modes de compositions de l’espace.
IV.13. L’architecture comme élément de fixation de la mémoire.
Conclusion
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https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
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