[article] L’idéal de simplicité [texte imprimé] . - 2017 . - p. 52-75 + livret 16 p. Langues : Français ( fre) in Philosophie magazine > 111 (été 2017) . - p. 52-75 + livret 16 p.
Catégories : |
179 Questions diverses de morale 364.1 Bien-être social
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Résumé : |
Alors que la vie en société prend un tour de plus en plus complexe, nous sommes nombreux à nous interroger sur la meilleure manière de simplifier notre rapport à l’existence. Mais encore faut-il préciser ce que recouvre l’idée de simplicité : cette dernière n’est-elle pas plus mystérieuse qu’il n’y paraît ?
En pratique, à quoi ressemble une activité guidée par l’idéal de sobriété ? Une mathématicienne, un maître d’arts martiaux, une designer, un cuisinier et une spécialiste de l’organisation du travail nous font part de leurs stratégies, sous l’œil bienveillant et acéré du philosophe Olivier Rey, fin lecteur d’Ivan Illich.
S’il y a une pratique qui ignore bien souvent la limpidité, c’est la philosophie ! Les grands penseurs ont-ils raison de sophistiquer leur vocabulaire et leurs argumentations ? Entre Frédéric Schiffter, pour qui la prose des grands moralistes classiques est un modèle, et Françoise Dastur, spécialiste de la phénoménologie, le débat est frontal.
Ce dossier s’achève par un très beau dialogue. Fabienne Verdier est une peintre inspirée par la voie du Tao. Edgar Morin est, depuis la parution de son grand œuvre La Méthode, le penseur de la complexité. Avec une complicité sincère, ils évoquent cet insaisissable instant où émerge un trait, une énergie, une formule qui embrasse, intensifie, transforme l’existence ! |
Note de contenu : |
Articles
Déliés, plutôt que pleins Par Alexandre Lacroix
À l’ère du trop-plein, l’aspiration à cultiver des vies plus sobres tente nombre de nos contemporains. Mais sur quel chemin s’engager pour accéder à la simplicité : l’épure, l’effort ou l’innocence ?
Ils reviennent à l’élémentaire Par Cédric Enjalbert, Samuel Lacroix
Nos cinq témoins sont habités par les difficiles vertus de la sobriété. À l’instar du philosophe Olivier Rey qui commente leurs étonnantes expériences.
La pensée doit-elle s’exprimer dans un langage accessible ? Par Martin Duru
La prose de Kant, Hegel ou Heidegger en a découragé plus d’un. Faut-il donc faire le plein de mots obscurs pour s’aventurer dans le monde des idées ? Le débat est ouvert entre Frédéric Schiffter, pourfendeur du bluff conceptuel, et Françoise Dastur, qui fait de cette difficulté une condition pour sortir de notre confort intellectuel.
Fabienne Verdier/Edgar Morin. L’union des contraires Par Michel Eltchaninoff
Lorsque le penseur de la complexité et l’artiste de l’ascèse inspirée par la Chine se rencontrent, on découvre qu’au terme d’un long travail de transformation, la sophistication peut aboutir à la simplicité la plus enfantine.
+ cahier central :extraits de "Walden ou la vie dans les bois" (1854) de Henry David Thoreau |
Permalink : |
https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
[article]
Titre : |
L’idéal de simplicité |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 52-75 + livret 16 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
179 Questions diverses de morale 364.1 Bien-être social
|
Résumé : |
Alors que la vie en société prend un tour de plus en plus complexe, nous sommes nombreux à nous interroger sur la meilleure manière de simplifier notre rapport à l’existence. Mais encore faut-il préciser ce que recouvre l’idée de simplicité : cette dernière n’est-elle pas plus mystérieuse qu’il n’y paraît ?
En pratique, à quoi ressemble une activité guidée par l’idéal de sobriété ? Une mathématicienne, un maître d’arts martiaux, une designer, un cuisinier et une spécialiste de l’organisation du travail nous font part de leurs stratégies, sous l’œil bienveillant et acéré du philosophe Olivier Rey, fin lecteur d’Ivan Illich.
S’il y a une pratique qui ignore bien souvent la limpidité, c’est la philosophie ! Les grands penseurs ont-ils raison de sophistiquer leur vocabulaire et leurs argumentations ? Entre Frédéric Schiffter, pour qui la prose des grands moralistes classiques est un modèle, et Françoise Dastur, spécialiste de la phénoménologie, le débat est frontal.
Ce dossier s’achève par un très beau dialogue. Fabienne Verdier est une peintre inspirée par la voie du Tao. Edgar Morin est, depuis la parution de son grand œuvre La Méthode, le penseur de la complexité. Avec une complicité sincère, ils évoquent cet insaisissable instant où émerge un trait, une énergie, une formule qui embrasse, intensifie, transforme l’existence ! |
Note de contenu : |
Articles
Déliés, plutôt que pleins Par Alexandre Lacroix
À l’ère du trop-plein, l’aspiration à cultiver des vies plus sobres tente nombre de nos contemporains. Mais sur quel chemin s’engager pour accéder à la simplicité : l’épure, l’effort ou l’innocence ?
Ils reviennent à l’élémentaire Par Cédric Enjalbert, Samuel Lacroix
Nos cinq témoins sont habités par les difficiles vertus de la sobriété. À l’instar du philosophe Olivier Rey qui commente leurs étonnantes expériences.
La pensée doit-elle s’exprimer dans un langage accessible ? Par Martin Duru
La prose de Kant, Hegel ou Heidegger en a découragé plus d’un. Faut-il donc faire le plein de mots obscurs pour s’aventurer dans le monde des idées ? Le débat est ouvert entre Frédéric Schiffter, pourfendeur du bluff conceptuel, et Françoise Dastur, qui fait de cette difficulté une condition pour sortir de notre confort intellectuel.
Fabienne Verdier/Edgar Morin. L’union des contraires Par Michel Eltchaninoff
Lorsque le penseur de la complexité et l’artiste de l’ascèse inspirée par la Chine se rencontrent, on découvre qu’au terme d’un long travail de transformation, la sophistication peut aboutir à la simplicité la plus enfantine.
+ cahier central :extraits de "Walden ou la vie dans les bois" (1854) de Henry David Thoreau |
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https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di |
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