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La Décolonisation / HENRI GRIMAL
La Décolonisation : de 1919 à nos jours [texte imprimé] / HENRI GRIMAL . - Bruxelles : Complexe, 1985 . - p. 349. - (Historiques; 25) .
ISBN : 2-87027-157-3
Langues : Français (fre)
Catégories : (4) Europe (continent)
(5) Asie (continent)
(6) Afrique
325.3 Colonisation/ décolonisation
327 Relations internationales
94"19" Histoire du XXe siècleIndex. décimale : 9 Histoire générale Note de contenu : La Phase de préparation 1919-1939 : la Première Guerre mondiale - forces de conservation et forces d'émancipation - politique coloniale et nationalismes. - pp. 13-94
Les Conditions nouvelles des rapports entre colonisateurs et colonisés : conséquences immédiates de la guerre - l'action des forces extérieures (Eglises chrétiennes, idéologie marxiste, USA, ONU). - pp. 95-152
L'Emancipation des colonies asiatiques : Indonésie - Asie anglaise (Inde, Birmanie, Ceylan, Malaisie) - Indochine. - pp. 153-222
La Décolonisation de l'Afrique : Afrique anglaise - Congo belge - protectorats français d'Afrique du Nord - Afrique noire française - Algérie. - pp. 223-323
Chronologie. - pp. 340-342
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Décolonisation : de 1919 à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : HENRI GRIMAL Editeur : Bruxelles : Complexe Année de publication : 1985 Collection : Historiques num. 25 Importance : p. 349 ISBN/ISSN/EAN : 2-87027-157-3 Langues : Français (fre) Catégories : (4) Europe (continent)
(5) Asie (continent)
(6) Afrique
325.3 Colonisation/ décolonisation
327 Relations internationales
94"19" Histoire du XXe siècleIndex. décimale : 9 Histoire générale Note de contenu : La Phase de préparation 1919-1939 : la Première Guerre mondiale - forces de conservation et forces d'émancipation - politique coloniale et nationalismes. - pp. 13-94
Les Conditions nouvelles des rapports entre colonisateurs et colonisés : conséquences immédiates de la guerre - l'action des forces extérieures (Eglises chrétiennes, idéologie marxiste, USA, ONU). - pp. 95-152
L'Emancipation des colonies asiatiques : Indonésie - Asie anglaise (Inde, Birmanie, Ceylan, Malaisie) - Indochine. - pp. 153-222
La Décolonisation de l'Afrique : Afrique anglaise - Congo belge - protectorats français d'Afrique du Nord - Afrique noire française - Algérie. - pp. 223-323
Chronologie. - pp. 340-342
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 33694/1 9/GRI Livre Libre-accès Adultes Disponible La Dette de sang / Archavir Chiragian
La Dette de sang : un Arménien traque les responsables du génocide [texte imprimé] / Archavir Chiragian (1900-1973) . - Bruxelles : Complexe, 1984 . - 332 p. : couv. ill. ; 18 cm. - (Historiques; 10) .
ISBN : 2-87027-133-6
Langues : Français (fre)
Catégories : 341.485(479.25) Génocide arménien
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
912 Atlas Cartes Plans
94"19" Histoire du XXe siècle
94(4) Histoire de l'Europe
94(560) Histoire de la TurquieIndex. décimale : 940 Histoire de l'Europe / Goulag / Génocide Arménien / Guerre d'Espagne Résumé : Site éditeur :
En 1915-1916, plus d’un million d’Arméniens sont déportés et massacrés par le gouvernement jeune-turc. Pourtant, au lendemain de la guerre, aucun « procès de Nuremberg » ne châtie les auteurs du premier génocide du XXe siècle. La Fédération révolutionnaire arménienne décide alors de rendre justice elle-même. Des militants chargés d’exécuter les responsables majeurs du carnage se lancent sur leurs traces à travers toute l’Europe. C'est le cas de Archavir Chiragian (1900-1973), à la fois témoin du génocide et acteur de la longue traque qui s’ensuivit.
Son récit, à la fois haletant et froid, se lit avec émotion et passion.
Argumentaire :
En 1915-1916, plus d’un million d’Arméniens sont déportés et massacrés par le gouvernement jeune-turc. Malgré l’effondrement de l’Empire ottoman, allié de l’Allemagne et de l’Autriche, au lendemain de la guerre, aucun « procès de Nuremberg » ne châtie les auteurs du premier génocide du XXe siècle.
La Fédération révolutionnaire arménienne (Dachnak) décide alors de rendre justice elle-même. Des militants chargés d’exécuter les responsables majeurs du carnage se lancent sur leurs traces à travers toute l’Europe.
Archavir Chiragian (1900-1973) est à la fois le témoin du génocide et l’acteur de la longue traque qui s’ensuivit. Il rapporte, dans ses souvenirs, comment âgé d’une vingtaine d’années, il a pourchassé à Rome l’ex-Premier ministre du gouvernement jeune-turc, et à Berlin l’idéologue du mouvement, tous deux en tête de la liste noire dressée par les victimes de l’extermination. De capitale en capitale, de train en train, de service secret en service secret, ce roman vrai d’une vengeance froide se lit avec émotion et passion.
Un témoignage unique qui peut figurer en bonne place dans la littérature concernant le terrorisme. Non point du terrorisme aveugle et publicitaire tant pratiqué aujourd’hui, mais, terrorisme du dernier recours au nom d’une collectivité, dans le droit fil de la tradition du tyranicide.
Auteur (avec Yves Ternon) de 1915, le Génocide des arméniens aux Éditions Complexe en 2006, spécialiste des questions politiques et stratégiques du tiers-monde, Gérard Chaliand, dans sa présentation, fournit les données d’un dossier qui reste ouvert, et situe le contexte historique des événements relatés.
Auteur :
Archavir Chiragian (1900-1973) est à la fois le témoin du génocide arménien et l’acteur de la longue traque qui s’ensuivit. Il rapporte, dans ses souvenirs, comment âgé d’une vingtaine d’années, il a pourchassé à Rome l’ex-Premier ministre du gouvernement jeune-turc, et à Berlin l’idéologue du mouvement, tous deux en tête de la liste noire dressée par les victimes de l’extermination.Note de contenu : Table des matières :
Le temps des assassins, par Gérard Chaliand
1. L'armée des greniers
2. Le sang dans les rues
3. Baptême du feu
4. Arménie indépendante
5. Torture en Géorgie
6. Chasse aux Jeunes-Turcs à Rome
7. Assassinat du premier ministre ottoman
8. Retour à Constantinople
9. Mission à Berlin
10. La Traque
11. Coup double
12. L'art de la fuite
13. Embuscade en Bulgarie
14. L'Adieu aux armes
Notice sur les principaux noms citésPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La Dette de sang : un Arménien traque les responsables du génocide Type de document : texte imprimé Auteurs : Archavir Chiragian (1900-1973) Editeur : Bruxelles : Complexe Année de publication : 1984 Collection : Historiques num. 10 Importance : 332 p. Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87027-133-6 Langues : Français (fre) Catégories : 341.485(479.25) Génocide arménien
343.1 Justice pénale. Instruction pénale. Procédure pénale
912 Atlas Cartes Plans
94"19" Histoire du XXe siècle
94(4) Histoire de l'Europe
94(560) Histoire de la TurquieIndex. décimale : 940 Histoire de l'Europe / Goulag / Génocide Arménien / Guerre d'Espagne Résumé : Site éditeur :
En 1915-1916, plus d’un million d’Arméniens sont déportés et massacrés par le gouvernement jeune-turc. Pourtant, au lendemain de la guerre, aucun « procès de Nuremberg » ne châtie les auteurs du premier génocide du XXe siècle. La Fédération révolutionnaire arménienne décide alors de rendre justice elle-même. Des militants chargés d’exécuter les responsables majeurs du carnage se lancent sur leurs traces à travers toute l’Europe. C'est le cas de Archavir Chiragian (1900-1973), à la fois témoin du génocide et acteur de la longue traque qui s’ensuivit.
Son récit, à la fois haletant et froid, se lit avec émotion et passion.
Argumentaire :
En 1915-1916, plus d’un million d’Arméniens sont déportés et massacrés par le gouvernement jeune-turc. Malgré l’effondrement de l’Empire ottoman, allié de l’Allemagne et de l’Autriche, au lendemain de la guerre, aucun « procès de Nuremberg » ne châtie les auteurs du premier génocide du XXe siècle.
La Fédération révolutionnaire arménienne (Dachnak) décide alors de rendre justice elle-même. Des militants chargés d’exécuter les responsables majeurs du carnage se lancent sur leurs traces à travers toute l’Europe.
Archavir Chiragian (1900-1973) est à la fois le témoin du génocide et l’acteur de la longue traque qui s’ensuivit. Il rapporte, dans ses souvenirs, comment âgé d’une vingtaine d’années, il a pourchassé à Rome l’ex-Premier ministre du gouvernement jeune-turc, et à Berlin l’idéologue du mouvement, tous deux en tête de la liste noire dressée par les victimes de l’extermination. De capitale en capitale, de train en train, de service secret en service secret, ce roman vrai d’une vengeance froide se lit avec émotion et passion.
Un témoignage unique qui peut figurer en bonne place dans la littérature concernant le terrorisme. Non point du terrorisme aveugle et publicitaire tant pratiqué aujourd’hui, mais, terrorisme du dernier recours au nom d’une collectivité, dans le droit fil de la tradition du tyranicide.
Auteur (avec Yves Ternon) de 1915, le Génocide des arméniens aux Éditions Complexe en 2006, spécialiste des questions politiques et stratégiques du tiers-monde, Gérard Chaliand, dans sa présentation, fournit les données d’un dossier qui reste ouvert, et situe le contexte historique des événements relatés.
Auteur :
Archavir Chiragian (1900-1973) est à la fois le témoin du génocide arménien et l’acteur de la longue traque qui s’ensuivit. Il rapporte, dans ses souvenirs, comment âgé d’une vingtaine d’années, il a pourchassé à Rome l’ex-Premier ministre du gouvernement jeune-turc, et à Berlin l’idéologue du mouvement, tous deux en tête de la liste noire dressée par les victimes de l’extermination.Note de contenu : Table des matières :
Le temps des assassins, par Gérard Chaliand
1. L'armée des greniers
2. Le sang dans les rues
3. Baptême du feu
4. Arménie indépendante
5. Torture en Géorgie
6. Chasse aux Jeunes-Turcs à Rome
7. Assassinat du premier ministre ottoman
8. Retour à Constantinople
9. Mission à Berlin
10. La Traque
11. Coup double
12. L'art de la fuite
13. Embuscade en Bulgarie
14. L'Adieu aux armes
Notice sur les principaux noms citésPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31293/1 940/CHI Livre Libre-accès Adultes Disponible La deuxième mort de Staline / Hélène Carrère d'Encausse
La deuxième mort de Staline [texte imprimé] / Hélène Carrère d'Encausse (1929-....), Auteur . - Bruxelles : Complexe, 2006 . - 1 vol. (276 p.) : couv. ill. ; 22 cm. - (Questions à l'histoire) .
ISBN : 2-8048-0077-6
Langues : Français (fre)
Catégories : 321.6(47) Stalinisme
343.8:341.48(47) Goulag (URSS)
929 Staline (Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili) (1878-1953)
94(47)"19" Histoire de l'URSS au XXe siècle (depuis 1917)Index. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : Argumentaire (site éditeur) :
14 février 1956 : devant le XXe Congrès du PC d’Union Soviétique réuni à huis clos, Khrouchtchev dénonce les « erreurs » et les « crimes » de Staline. La déstalinisation est engagée. Ainsi, à peine trois ans après la mort du « guide génial », les délégués apprennent avec stupeur la falsification des grands procès, les machinations policières, les faux aveux obtenus par la torture, l’épuration systématique des cadres du parti, de l’armée et de l’industrie, la déportation massive de citoyens soviétiques innocents…
L’Allemagne posthitlérienne avait choisi d’exorciser ses démons en « imposant » le silence à la mémoire collective. Les successeurs de Staline ont opté pour la solution opposée. S’ils l’ont fait pour des raisons multiples, dont l’attachement à leur sauvegarde personnelle n’était pas la moindre, ils ont cependant ouvert les portes à une révision de tout le système. Avec la dénonciation du stalinisme commence une période de libéralisation relative : des victimes sont réhabilitées, des déportés rentrent chez eux et la littérature est autorisée à refléter la réalité de la vie quotidienne ainsi que la vérité des camps (Une journée d’Ivan Denissovitch, de Soljenitsyne). Période lors de laquelle se bousculent espoirs et désarrois, la déstalinisation sera, par-dessus tout, le temps où le peuple soviétique, la mémoire rendue, part à la conquête de la vérité.
Hélène Carrère d’Encausse montre comment, derrière la révolution politique qui ébranla tout l’Est européen et le système communiste mondial, il y a la volonté d’un homme : Khrouchtchev. Personnage apparemment fruste et peu préparé à la conduite d’un tel bouleversement, celui-ci pressent néanmoins l’absolue nécessité de la tâche qu’il entreprend.
Et pourtant, bien que très souvent justes, les intuitions de Khrouchtchev débouchent, en 1964, sur un formidable échec. Pourquoi ?
Le caractère équivoque de la déstalinisation tient sans doute à l’ambiguïté du problème posé, celui du « changement ». Khrouchtchev pouvait-il aller plus loin – ainsi que le désiraient ardemment les intellectuels – sans remettre en cause les fondements même du système soviétique ?
Moment essentiel du XXe siècle, cette « deuxième mort » de Staline aura été un événement pivot dans l’histoire du monde communiste, et son récit permet de nous donner une brillante analyse des problèmes touchant le pouvoir – et sa succession – dans une période totalitaire.
Une première version de ce livre est paru en 1984 sous le titre 1956, La Déstalinisation commence. Il y a eu depuis la perestroïka, puis la chute de l'Empire soviétique, l'ouvrage a donc été revu et enrichi d'une réflexion sur le système soviétique et sa chute.Note de contenu : Table :
La mémoire retrouvée
- Mort d’une idole
Le réel : l’Empire de la Peur – Le mythe : « Le plus grand homme de tous les temps »
- Craquements sous la glace
La Grande Peur des héritiers – « Méthodes illégales d’instruction » – « Aller au peuple » – Fin de l’état de siège
- Tortures, déportations, exécutions
XXe Congrès : la déstalinisation contrôlée – Le rapport secret – Une vérité qui divise ?
- Du dégel à la débâcle
Le « petit livre rouge » de Khrouchtchev – Un rapport « attribué à … » – Varsovie, Budapest: la déstalinisation en pratique – Combats d’arrière-garde
- De la révolution du parti à la révolution de Khrouchtchev
Retour aux normes léninistes – La déstalinisation par les réformes – Défaite des "conservateurs" – Retour au pouvoir personnel – Renaissance de l’esprit – "L’ingénieur des âmes" en procès – Le Docteur Jivago au pilori – Vers le XXIIe Congrès – Culture et pantalons
- La deuxième mort de Staline
Chasse aux sorcières – Pour en finir avec Staline – La déstalinisation freinée – Les victimes de la déstalinisation
- Khrouchtchev contre le parti : la fuite en avant
L’avenir radieux est proche – Un nouveau Parti pour un monde nouveau – Avec Soljenitsyne contre les « héritiers de Staline » – Avec la base contre la nomenklatura – Avec la société contre les appareils
- Le parti contre Khrouchtchev : la chute
Défaite de Khrouchtchev – Un complot selon les règles – La sécurité de l’emploi pour la nomenklatura – La déstalinisation redéfinie
- En guise de conclusion…
Staline est mort. Que reste-t-il du stalinisme ? – L’histoire et l’individu – Changement nécessaire. Changement impossible – Et l’idéologie ?
- Postface
- Notes – Documents – Glossaire – Chronologie – Repères bibliographiques – IndexPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : La deuxième mort de Staline Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Carrère d'Encausse (1929-....), Auteur Editeur : Bruxelles : Complexe Année de publication : 2006 Collection : Questions à l'histoire Importance : 1 vol. (276 p.) Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-8048-0077-6 Langues : Français (fre) Catégories : 321.6(47) Stalinisme
343.8:341.48(47) Goulag (URSS)
929 Staline (Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili) (1878-1953)
94(47)"19" Histoire de l'URSS au XXe siècle (depuis 1917)Index. décimale : 329FNS Totalitarismes : fascisme, nazisme et stalinisme Résumé : Argumentaire (site éditeur) :
14 février 1956 : devant le XXe Congrès du PC d’Union Soviétique réuni à huis clos, Khrouchtchev dénonce les « erreurs » et les « crimes » de Staline. La déstalinisation est engagée. Ainsi, à peine trois ans après la mort du « guide génial », les délégués apprennent avec stupeur la falsification des grands procès, les machinations policières, les faux aveux obtenus par la torture, l’épuration systématique des cadres du parti, de l’armée et de l’industrie, la déportation massive de citoyens soviétiques innocents…
L’Allemagne posthitlérienne avait choisi d’exorciser ses démons en « imposant » le silence à la mémoire collective. Les successeurs de Staline ont opté pour la solution opposée. S’ils l’ont fait pour des raisons multiples, dont l’attachement à leur sauvegarde personnelle n’était pas la moindre, ils ont cependant ouvert les portes à une révision de tout le système. Avec la dénonciation du stalinisme commence une période de libéralisation relative : des victimes sont réhabilitées, des déportés rentrent chez eux et la littérature est autorisée à refléter la réalité de la vie quotidienne ainsi que la vérité des camps (Une journée d’Ivan Denissovitch, de Soljenitsyne). Période lors de laquelle se bousculent espoirs et désarrois, la déstalinisation sera, par-dessus tout, le temps où le peuple soviétique, la mémoire rendue, part à la conquête de la vérité.
Hélène Carrère d’Encausse montre comment, derrière la révolution politique qui ébranla tout l’Est européen et le système communiste mondial, il y a la volonté d’un homme : Khrouchtchev. Personnage apparemment fruste et peu préparé à la conduite d’un tel bouleversement, celui-ci pressent néanmoins l’absolue nécessité de la tâche qu’il entreprend.
Et pourtant, bien que très souvent justes, les intuitions de Khrouchtchev débouchent, en 1964, sur un formidable échec. Pourquoi ?
Le caractère équivoque de la déstalinisation tient sans doute à l’ambiguïté du problème posé, celui du « changement ». Khrouchtchev pouvait-il aller plus loin – ainsi que le désiraient ardemment les intellectuels – sans remettre en cause les fondements même du système soviétique ?
Moment essentiel du XXe siècle, cette « deuxième mort » de Staline aura été un événement pivot dans l’histoire du monde communiste, et son récit permet de nous donner une brillante analyse des problèmes touchant le pouvoir – et sa succession – dans une période totalitaire.
Une première version de ce livre est paru en 1984 sous le titre 1956, La Déstalinisation commence. Il y a eu depuis la perestroïka, puis la chute de l'Empire soviétique, l'ouvrage a donc été revu et enrichi d'une réflexion sur le système soviétique et sa chute.Note de contenu : Table :
La mémoire retrouvée
- Mort d’une idole
Le réel : l’Empire de la Peur – Le mythe : « Le plus grand homme de tous les temps »
- Craquements sous la glace
La Grande Peur des héritiers – « Méthodes illégales d’instruction » – « Aller au peuple » – Fin de l’état de siège
- Tortures, déportations, exécutions
XXe Congrès : la déstalinisation contrôlée – Le rapport secret – Une vérité qui divise ?
- Du dégel à la débâcle
Le « petit livre rouge » de Khrouchtchev – Un rapport « attribué à … » – Varsovie, Budapest: la déstalinisation en pratique – Combats d’arrière-garde
- De la révolution du parti à la révolution de Khrouchtchev
Retour aux normes léninistes – La déstalinisation par les réformes – Défaite des "conservateurs" – Retour au pouvoir personnel – Renaissance de l’esprit – "L’ingénieur des âmes" en procès – Le Docteur Jivago au pilori – Vers le XXIIe Congrès – Culture et pantalons
- La deuxième mort de Staline
Chasse aux sorcières – Pour en finir avec Staline – La déstalinisation freinée – Les victimes de la déstalinisation
- Khrouchtchev contre le parti : la fuite en avant
L’avenir radieux est proche – Un nouveau Parti pour un monde nouveau – Avec Soljenitsyne contre les « héritiers de Staline » – Avec la base contre la nomenklatura – Avec la société contre les appareils
- Le parti contre Khrouchtchev : la chute
Défaite de Khrouchtchev – Un complot selon les règles – La sécurité de l’emploi pour la nomenklatura – La déstalinisation redéfinie
- En guise de conclusion…
Staline est mort. Que reste-t-il du stalinisme ? – L’histoire et l’individu – Changement nécessaire. Changement impossible – Et l’idéologie ?
- Postface
- Notes – Documents – Glossaire – Chronologie – Repères bibliographiques – IndexPermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42529 329fns/CAR Livre Libre-accès Adultes Disponible Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? / Forum "Le Monde" Le Mans (2001)
Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? [texte imprimé] / Forum "Le Monde" Le Mans (2001), Auteur ; Thomas Ferenczi, Directeur de publication . - Bruxelles : Complexe, 2002 . - 281 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Interventions) .
ISBN : 2-87027-941-8 : 19,90 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : note de l'éditeur :
La France serait-elle malade de sa mémoire? Certains le pensent. Ils dénoncent la manie française des commémorations et considèrent que les Français sont obsédés par leur passé, un passé qui nourrit tantôt leur fierté, tantôt leur mauvaise conscience. Le souvenir de la Shoah, en particulier, est jugé parfois envahissant. Face à ceux qui veulent que jamais ne s’efface la mémoire du génocide nazi, il en est pour mettre en garde contre « un passé qui ne passe pas ». Ou pour faire valoir des mémoires concurrentes, qui appelleraient, disent-ils, la même attention, comme la mémoire du comunisme, l’autre grand criminel du XXe siècle. « Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donnent le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs » écrit par exemple, au début de son maître-livre La Mémoire, l’oubli, l’histoire, le philosophe Paul Ricœur, avant de plaider pour « une politique de la juste mémoire ».
Cette interrogation n’est pas propre à la France. Toutes les nouvelles démocraties se demandent comment gérer les années sombres dont elles viennent d’émerger. Doivent-elles tourner la page au nom de la réconciliation nationale? Ou doivent-elles juger leurs anciens dirigeants au nom du droit des victimes, qui demandent justice? Faudrait-il renoncer à remuer les vieux souvenirs pour ne pas rouvrir les blessures? Ou combattre l’oubli pour permettre le travail de deuil? Chaque nation cherche sa voie. En Europe de l’Est on a choisi celle de l’apaisement plutôt que celle des procès. En Amérique latine, l’affaire Pinochet a fait resurgir un passé que l’on avait d’abord tenté de mettre entre parenthèses. En Afrique du Sud une commission a tenté de concilier paix civile et recherche de la vérité. Partout s’est posée la question que soulève Nietszche dans sa Seconde considération inactuelle: comment « fixer la limite où il devient nécessaire que le passé s’oublie pour ne pas enterrer le présent »?
Au-delà des affrontements politiques auxquels donnent lieu les diverses révolutions démocratiques qui ont marqué la fin du XXe siècle, c’est une véritable éthique du vivre-ensemble qu’engage l’insurmontable dialectique de la mémoire et de l’oubli. Au « devoir de mémoire » qu’invoquent, avec raison, ceux qui refusent toute forme d’occultation ou de refoulement du passé s’oppose un « droit à l’oubli » qui est aussi la condition de la survie. « Toute action comporte l’oubli, de même que la vie de tout organisme comporte non seulement de la lumière mais de l’obscurité », écrit encore Nietzsche. L’oubli, ou du moins ses substituts que sont, dans l’ordre juridique, l’amnistie et la grâce ou, dans l’ordre religieux, le pardon et l’absolution.
Face aux abus de la mémoire se tiennent aussi les exigences de l’histoire. L’historien ne se confond pas avec le mémorialiste, affirme René Rémond en ouverture de Notre Siècle. Certes il n’échappe pas au poids des souvenirs parce qu’il vit dans son temps et qu’il en partage la mémoire collective. Mais il doit aider à les mettre à distance pour tenter de penser le lien entre hier et aujourd’hui. Ce lien est fait à la fois de continuité et de rupture. L’une et l’autre doivent être prises en compte. La dialectique entre mémoire et histoire est ainsi au cœur de la connaissance du passé. Là où la mémoire offre un « tableau des ressemblances », estimait Maurice Halbwachs, l’histoire propose un « tableau des changements ». Ce sont les deux faces complémentaires de la vérité.
Le treizième Forum organisé conjointement par la Ville du Mans, le Journal Le Monde et l’Université du Maine, tenu en cotobre 2000 sous la direction de Thomas Ferenczi, a décliné cette problématique sous trois axes thématiques: les traces du passé, les blessures de l’histoire et les exigences du savoir. L’ouvrage que voici en propose les Actes.
Contributions de: Christian Boltanski, Peter Brooks, Jean-Louis Bruguès, Jean-Luc Einaudi, Valérie Haas, Alexandra Laignel-Lavastine, Nicole Lapierre, Bernard-Henry Lévy, Françoise Lucbert, Isabelle Neuschwander, Claire Paulhan, René Rémond, Paul Ricœur, Régine Robin, Jean-Michel Rodes, Benjamin Stora, Yves Ternon, Stéphane Tison, Claude Torracinta, Nathan Wachtel, Nicolas Weill, Annette Wieviorka.Note de contenu : Sommaire :
1. Les traces du passé
Esquisse d'un parcours de l'oubli / P. Ricoeur
Des intellectuels contre la mémoire / A. Lagnel-Lavastine
L'exigence de mémoire et ses limites / R. Rémond
Le traumatisme de la Grande Guerre / S. Tison
La face cachée d'une ville / V. Haas
La mémoire retrouvée de l guerre d'Algérie / B. Stora
De l'Indochine à l'Algérie / JL Einaudi
2. Les blessures de l'histoire
La discordance des temps / N. Lapierre
Une juste mémoire, est-ce possible ? R. Robin
Mémoire marrane / N. Wachtel
Mémoire et pardon / JL Bruguès
Le malheur de l'autre / Y. Ternon
LA déchirure helvétique / C. Torracinta
Aveu, mémoire et trauma devant le tribunal / P. Brooks
3. Les exigences du savoir
Entre transparence et oubli / A. Wieviorka
Un service public de la mémoire et de l'histoire / I. Neuschwander
Mémoire et archives littéraires : du manuscrit à l'édition, du secret à l'historicisation / C. Paulhan
L'archivage au temps d'internet / JM Rodes
Y a-t-il un bon usage de la mémoire ? / N. Weill
La mémoire infinie / BH Lévy
La responsabilité de l'artiste / F. Lucbert
Rencontre / Ch. Boltanski
Fiction : "En toute bonne foi, Madame..." d'André VersaillePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Forum "Le Monde" Le Mans (2001), Auteur ; Thomas Ferenczi, Directeur de publication Editeur : Bruxelles : Complexe Année de publication : 2002 Collection : Interventions Importance : 281 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87027-941-8 Prix : 19,90 EUR Langues : Français (fre) Catégories : 316.35 Groupes / Identités / Communautés
316.7 Sociologie de la Culture / Vie Intellectuel
37:17 Travail de Mémoire
82-94 Mémoire/Historiographie
930 Science historique
94 Histoire généraleIndex. décimale : 37:17 Travail de Mémoire Résumé : note de l'éditeur :
La France serait-elle malade de sa mémoire? Certains le pensent. Ils dénoncent la manie française des commémorations et considèrent que les Français sont obsédés par leur passé, un passé qui nourrit tantôt leur fierté, tantôt leur mauvaise conscience. Le souvenir de la Shoah, en particulier, est jugé parfois envahissant. Face à ceux qui veulent que jamais ne s’efface la mémoire du génocide nazi, il en est pour mettre en garde contre « un passé qui ne passe pas ». Ou pour faire valoir des mémoires concurrentes, qui appelleraient, disent-ils, la même attention, comme la mémoire du comunisme, l’autre grand criminel du XXe siècle. « Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donnent le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs » écrit par exemple, au début de son maître-livre La Mémoire, l’oubli, l’histoire, le philosophe Paul Ricœur, avant de plaider pour « une politique de la juste mémoire ».
Cette interrogation n’est pas propre à la France. Toutes les nouvelles démocraties se demandent comment gérer les années sombres dont elles viennent d’émerger. Doivent-elles tourner la page au nom de la réconciliation nationale? Ou doivent-elles juger leurs anciens dirigeants au nom du droit des victimes, qui demandent justice? Faudrait-il renoncer à remuer les vieux souvenirs pour ne pas rouvrir les blessures? Ou combattre l’oubli pour permettre le travail de deuil? Chaque nation cherche sa voie. En Europe de l’Est on a choisi celle de l’apaisement plutôt que celle des procès. En Amérique latine, l’affaire Pinochet a fait resurgir un passé que l’on avait d’abord tenté de mettre entre parenthèses. En Afrique du Sud une commission a tenté de concilier paix civile et recherche de la vérité. Partout s’est posée la question que soulève Nietszche dans sa Seconde considération inactuelle: comment « fixer la limite où il devient nécessaire que le passé s’oublie pour ne pas enterrer le présent »?
Au-delà des affrontements politiques auxquels donnent lieu les diverses révolutions démocratiques qui ont marqué la fin du XXe siècle, c’est une véritable éthique du vivre-ensemble qu’engage l’insurmontable dialectique de la mémoire et de l’oubli. Au « devoir de mémoire » qu’invoquent, avec raison, ceux qui refusent toute forme d’occultation ou de refoulement du passé s’oppose un « droit à l’oubli » qui est aussi la condition de la survie. « Toute action comporte l’oubli, de même que la vie de tout organisme comporte non seulement de la lumière mais de l’obscurité », écrit encore Nietzsche. L’oubli, ou du moins ses substituts que sont, dans l’ordre juridique, l’amnistie et la grâce ou, dans l’ordre religieux, le pardon et l’absolution.
Face aux abus de la mémoire se tiennent aussi les exigences de l’histoire. L’historien ne se confond pas avec le mémorialiste, affirme René Rémond en ouverture de Notre Siècle. Certes il n’échappe pas au poids des souvenirs parce qu’il vit dans son temps et qu’il en partage la mémoire collective. Mais il doit aider à les mettre à distance pour tenter de penser le lien entre hier et aujourd’hui. Ce lien est fait à la fois de continuité et de rupture. L’une et l’autre doivent être prises en compte. La dialectique entre mémoire et histoire est ainsi au cœur de la connaissance du passé. Là où la mémoire offre un « tableau des ressemblances », estimait Maurice Halbwachs, l’histoire propose un « tableau des changements ». Ce sont les deux faces complémentaires de la vérité.
Le treizième Forum organisé conjointement par la Ville du Mans, le Journal Le Monde et l’Université du Maine, tenu en cotobre 2000 sous la direction de Thomas Ferenczi, a décliné cette problématique sous trois axes thématiques: les traces du passé, les blessures de l’histoire et les exigences du savoir. L’ouvrage que voici en propose les Actes.
Contributions de: Christian Boltanski, Peter Brooks, Jean-Louis Bruguès, Jean-Luc Einaudi, Valérie Haas, Alexandra Laignel-Lavastine, Nicole Lapierre, Bernard-Henry Lévy, Françoise Lucbert, Isabelle Neuschwander, Claire Paulhan, René Rémond, Paul Ricœur, Régine Robin, Jean-Michel Rodes, Benjamin Stora, Yves Ternon, Stéphane Tison, Claude Torracinta, Nathan Wachtel, Nicolas Weill, Annette Wieviorka.Note de contenu : Sommaire :
1. Les traces du passé
Esquisse d'un parcours de l'oubli / P. Ricoeur
Des intellectuels contre la mémoire / A. Lagnel-Lavastine
L'exigence de mémoire et ses limites / R. Rémond
Le traumatisme de la Grande Guerre / S. Tison
La face cachée d'une ville / V. Haas
La mémoire retrouvée de l guerre d'Algérie / B. Stora
De l'Indochine à l'Algérie / JL Einaudi
2. Les blessures de l'histoire
La discordance des temps / N. Lapierre
Une juste mémoire, est-ce possible ? R. Robin
Mémoire marrane / N. Wachtel
Mémoire et pardon / JL Bruguès
Le malheur de l'autre / Y. Ternon
LA déchirure helvétique / C. Torracinta
Aveu, mémoire et trauma devant le tribunal / P. Brooks
3. Les exigences du savoir
Entre transparence et oubli / A. Wieviorka
Un service public de la mémoire et de l'histoire / I. Neuschwander
Mémoire et archives littéraires : du manuscrit à l'édition, du secret à l'historicisation / C. Paulhan
L'archivage au temps d'internet / JM Rodes
Y a-t-il un bon usage de la mémoire ? / N. Weill
La mémoire infinie / BH Lévy
La responsabilité de l'artiste / F. Lucbert
Rencontre / Ch. Boltanski
Fiction : "En toute bonne foi, Madame..." d'André VersaillePermalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 40594/1 37:17/FER Livre Libre-accès Adultes Disponible Dictionnaire historique des fascismes et du nazisme / Serge Berstein
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2482/2 329fns/BER Livre Libre-accès Adultes Disponible 2482/1 329fns/BER Livre Réserve - Exclu du prêt Les dilemmes et les silences de Pie XII / Giovanni Miccoli
PermalinkLes Droits humains / Marc Schmitz
PermalinkLes enfants de Shylock ou L'antisémitisme sur scène / Chantal Meyer-Plantureux
PermalinkLes enjeux du XXI ème siècle / Eric John Hobsbawm
PermalinkEurope 1946
PermalinkL'Europe de l'extrême droite / Anne-Marie Duranton-Crabol
PermalinkL' Explication politique / Alfred Grosser
PermalinkL'Extrême droite en France et en Belgique / Pascal Delwit
PermalinkL'Extrême droite en France / Ariane Chebel d'Appollonia
PermalinkLe génocide des Arméniens / Gérard Chaliand
PermalinkLe Génocide des Juifs / Florent Brayard
PermalinkLa Guerre d'Espagne commence / Émile Temime
PermalinkLa Guerre du Kosovo / BERNARD ADAM
PermalinkHistoire de la construction européenne de 1945 à nos jours / Marie-Thérèse Bitsch
PermalinkLes Historiens allemands relisent la Shoah / Dominique Vidal
PermalinkHitler prend le pouvoir / Georges Goriely
PermalinkImmigration et racisme en Europe / Andrea Rea
PermalinkIsraéliens / DORIS BENSIMON
PermalinkLéopold III
PermalinkÀ la lumière des sans-papiers
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