Détail de l'éditeur
Editions Libre |
Documents disponibles chez cet éditeur (2)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Comment la non-violence protège l'Etat / Peter Gelderloos
Comment la non-violence protège l'Etat : essai sur l'inefficacité des mouvements sociaux [texte imprimé] / Peter Gelderloos, Auteur ; Francis Dupuis-Déri (1966-....), Préfacier, etc. ; Nicolas Casaux, Traducteur ; Arthur Fontenay, Auteur . - Editions Libre, 2020 . - 1 vol. (235 p.) : couv. ill. en coul. ; 19cm.
ISBN : 978-2-9556782-4-4
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.21 Militantisme Participation Engagement
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . GuérillaIndex. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur
Parlons franchement, au vu de la situation, la grande majorité des mouvements sociaux et écologistes échouent lamentablement, depuis des décennies, ne serait-ce qu’à freiner la catastrophe sociale et écologique en cours (de la sixième extinction de masse aux inégalités économiques phénoménales et croissantes qui caractérisent notre temps).
La plupart de ces mouvements se targuent de respecter scrupuleusement les principes de la non-violence, qu’ils considèrent comme la seule méthode de lutte acceptable. Et pourtant, ainsi que Peter Gelderloos l’expose brillamment dans ce livre, cette adhésion dogmatique au concept de la non-violence est injustifiée et injustifiable. En outre, il s’agit d’une des principales raisons pour lesquelles ils sont inefficaces.
En démystifiant les figures historiques inexorablement citées par la majorité de ceux qui défendent la non-violence comme un absolu — Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela —, en exposant les réalités complexes derrière leurs accomplissements (souvent réduites à des simplismes mensongers), et en exposant les nombreux problèmes d’éthique qui découlent de l’absolutisation de la non-violence, Gelderloos nous offre ici un ouvrage essentiel qui devrait nous aider à sortir de l’impasse manifeste dans laquelle s’enlisent les mouvements militants.
Loin de faire l’apologie d’une violence irraisonnée, ce livre déboulonne l’argumentaire fallacieux de ceux qui affirment que la non-violence est la seule méthode acceptable de lutte face à la violence du capitalisme et de l’État.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre : Comment la non-violence protège l'Etat : essai sur l'inefficacité des mouvements sociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter Gelderloos, Auteur ; Francis Dupuis-Déri (1966-....), Préfacier, etc. ; Nicolas Casaux, Traducteur ; Arthur Fontenay, Auteur Editeur : Editions Libre Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (235 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9556782-4-4 Langues : Français (fre) Catégories : 316.47 Relation sociale . Violence . Torture
323.21 Militantisme Participation Engagement
323.25 Résistance passive . Désobéissance civile. Lutte non armée
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . GuérillaIndex. décimale : LUTTE En Lutte / Engagement / Contestation Résumé : Site éditeur
Parlons franchement, au vu de la situation, la grande majorité des mouvements sociaux et écologistes échouent lamentablement, depuis des décennies, ne serait-ce qu’à freiner la catastrophe sociale et écologique en cours (de la sixième extinction de masse aux inégalités économiques phénoménales et croissantes qui caractérisent notre temps).
La plupart de ces mouvements se targuent de respecter scrupuleusement les principes de la non-violence, qu’ils considèrent comme la seule méthode de lutte acceptable. Et pourtant, ainsi que Peter Gelderloos l’expose brillamment dans ce livre, cette adhésion dogmatique au concept de la non-violence est injustifiée et injustifiable. En outre, il s’agit d’une des principales raisons pour lesquelles ils sont inefficaces.
En démystifiant les figures historiques inexorablement citées par la majorité de ceux qui défendent la non-violence comme un absolu — Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela —, en exposant les réalités complexes derrière leurs accomplissements (souvent réduites à des simplismes mensongers), et en exposant les nombreux problèmes d’éthique qui découlent de l’absolutisation de la non-violence, Gelderloos nous offre ici un ouvrage essentiel qui devrait nous aider à sortir de l’impasse manifeste dans laquelle s’enlisent les mouvements militants.
Loin de faire l’apologie d’une violence irraisonnée, ce livre déboulonne l’argumentaire fallacieux de ceux qui affirment que la non-violence est la seule méthode acceptable de lutte face à la violence du capitalisme et de l’État.Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53052 LUTTE/GEL Livre Libre-accès Adultes Disponible Histoire du sabotage, 1. Des traînes-savates aux briseurs de machines / Victor Cachard
Histoire du sabotage, 1. Des traînes-savates aux briseurs de machines [texte imprimé] / Victor Cachard, Auteur . - Editions Libre, DL 2022 . - 1 vol. (306 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-490-40336-3
Bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : 316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
323.21 Militantisme Participation Engagement
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
Domination / HiérarchieIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Quatrième de couverture.
Il faut rompre avec l’idée que le sabotage est une invention des résistants et résistantes durant la Seconde Guerre mondiale. Le sabotage naît dans les milieux anarchistes à la fin du xixe siècle comme une résistance au travail et une alternative aux poseurs de bombes. «?À mauvaise paye, mauvais travail?» est le slogan retenu et répété par l’un de ses principaux inspirateurs, Émile Pouget, au sein de la toute jeune CGT, le fer de lance du syndicalisme révolutionnaire. La pensée anarchiste pénètre alors parmi les travailleurs et travailleuses qui cherchent à contester subtilement la production sans courir le risque de se faire licencier. Le sabotage désigne ainsi le travail fait de mauvaise grâce et toutes ces petites pratiques contre-productives qui libèrent le temps de l’emprise économique. Il commence donc par le ralentissement, comme une manière de reprendre en main nos existences, d’éveiller notre autonomie, de réaffirmer le rythme de la vie et des belles lenteurs de l’existence contre la cadence des machines.
Mais le sabotage s’élève aussi à un niveau collectif?: la multiplication des actes l’emporte au-delà du monde du travail pour le diriger plus largement contre toutes les structures de domination, l’empire marchand et les instruments du pouvoir en priorité. Il se confond alors avec l’action directe et la grève générale qui rejoignent les tentatives actuelles de démantèlement du capitalisme.
Des PTT aux cheminots, en passant par le sabotage de la mobilisation militaire à l’aube de la Première Guerre mondiale, l’histoire du sabotage interroge et renouvelle nos pratiques. Toujours réactualisée, elle entre en résonance avec nos luttes et leur insuffle un regain de vitalité.
Après avoir étudié la philosophie contemporaine, Victor Cachard s’est intéressé à l’histoire des résistances aux techniques et à l’histoire des techniques de résistance. Il est également le coordinateur de l’ouvrage Émile Pouget et la révolution par le sabotage (Éditions Libre, 2022).Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Une double source étymologique : un mauvais travailleur ou mauvais outil
Sabotage et technique militaire
Bartleby, le scribe saboteur
Les trois étapes qui façonnent l’histoire du sabotage
Les trois caractéristiques qui façonnent la définition du sabotage
En deçà du syndicalisme révolutionnaire
1. LE SABOTAGE AVANT LE MOT
Contre les dispositifs Scripturaux
Contre les dispositifs de défense
Contre la mesure du temps
Le Luddisme : un ancêtre du sabotage
2. LE SABOTAGE, UNE PROPAGANDE PAR LE FAIT REVUE ET CORRIGÉE
Anarchistes contre réformistes
Les jeunes poseurs de bombe initiés à l’anarchisme par les anciens communards
Les représailles : Charles Gallo, Ravachol, Emile Henry, Sante Geronimo Caserio
Premier moment de basculement : répression policière, clémence pénale et mesures sociales
Deuxième moment de basculement : critique de la violence et philosophie de l’action
Troisième moment de basculement : dangers et contrôle des nouvelles matières explosives
Révolution des pratiques : vers le sabotage
3. DEFINITION DU SABOTAGE
L’instrumentalisation des règles : une diminution quantitative et qualitative du travail
Une forme d’action directe : une action ciblée pour un minimum d’effort
La grève générale : blocage définitif de l’économie capitaliste
La logique du sabotage
4. TROIS SABOTAGES DÉCISIFS : 1886, 1909, 1914
Résistance face aux bureaux de placement
Résistance sur le chantier du métro parisien
1909-1910 : l’ère du sabotage est ouverte
Sabotage chez les PTT
Une organisation secrète de combat au cœur des sabotages ?
Le sabotage chez les cheminots
CONCLUSION
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di
Titre de série : Histoire du sabotage, 1 Titre : Des traînes-savates aux briseurs de machines Type de document : texte imprimé Auteurs : Victor Cachard, Auteur Editeur : Editions Libre Année de publication : DL 2022 Importance : 1 vol. (306 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-490-40336-3 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : 316.48(091) Histoire des conflits sociaux , des luttes sociales
323.21 Militantisme Participation Engagement
323.26 Résistance armée . Lutte active. Sabotage . Guérilla
Domination / HiérarchieIndex. décimale : 32 Politique Résumé : Quatrième de couverture.
Il faut rompre avec l’idée que le sabotage est une invention des résistants et résistantes durant la Seconde Guerre mondiale. Le sabotage naît dans les milieux anarchistes à la fin du xixe siècle comme une résistance au travail et une alternative aux poseurs de bombes. «?À mauvaise paye, mauvais travail?» est le slogan retenu et répété par l’un de ses principaux inspirateurs, Émile Pouget, au sein de la toute jeune CGT, le fer de lance du syndicalisme révolutionnaire. La pensée anarchiste pénètre alors parmi les travailleurs et travailleuses qui cherchent à contester subtilement la production sans courir le risque de se faire licencier. Le sabotage désigne ainsi le travail fait de mauvaise grâce et toutes ces petites pratiques contre-productives qui libèrent le temps de l’emprise économique. Il commence donc par le ralentissement, comme une manière de reprendre en main nos existences, d’éveiller notre autonomie, de réaffirmer le rythme de la vie et des belles lenteurs de l’existence contre la cadence des machines.
Mais le sabotage s’élève aussi à un niveau collectif?: la multiplication des actes l’emporte au-delà du monde du travail pour le diriger plus largement contre toutes les structures de domination, l’empire marchand et les instruments du pouvoir en priorité. Il se confond alors avec l’action directe et la grève générale qui rejoignent les tentatives actuelles de démantèlement du capitalisme.
Des PTT aux cheminots, en passant par le sabotage de la mobilisation militaire à l’aube de la Première Guerre mondiale, l’histoire du sabotage interroge et renouvelle nos pratiques. Toujours réactualisée, elle entre en résonance avec nos luttes et leur insuffle un regain de vitalité.
Après avoir étudié la philosophie contemporaine, Victor Cachard s’est intéressé à l’histoire des résistances aux techniques et à l’histoire des techniques de résistance. Il est également le coordinateur de l’ouvrage Émile Pouget et la révolution par le sabotage (Éditions Libre, 2022).Note de contenu : Sommaire :
INTRODUCTION
Une double source étymologique : un mauvais travailleur ou mauvais outil
Sabotage et technique militaire
Bartleby, le scribe saboteur
Les trois étapes qui façonnent l’histoire du sabotage
Les trois caractéristiques qui façonnent la définition du sabotage
En deçà du syndicalisme révolutionnaire
1. LE SABOTAGE AVANT LE MOT
Contre les dispositifs Scripturaux
Contre les dispositifs de défense
Contre la mesure du temps
Le Luddisme : un ancêtre du sabotage
2. LE SABOTAGE, UNE PROPAGANDE PAR LE FAIT REVUE ET CORRIGÉE
Anarchistes contre réformistes
Les jeunes poseurs de bombe initiés à l’anarchisme par les anciens communards
Les représailles : Charles Gallo, Ravachol, Emile Henry, Sante Geronimo Caserio
Premier moment de basculement : répression policière, clémence pénale et mesures sociales
Deuxième moment de basculement : critique de la violence et philosophie de l’action
Troisième moment de basculement : dangers et contrôle des nouvelles matières explosives
Révolution des pratiques : vers le sabotage
3. DEFINITION DU SABOTAGE
L’instrumentalisation des règles : une diminution quantitative et qualitative du travail
Une forme d’action directe : une action ciblée pour un minimum d’effort
La grève générale : blocage définitif de l’économie capitaliste
La logique du sabotage
4. TROIS SABOTAGES DÉCISIFS : 1886, 1909, 1914
Résistance face aux bureaux de placement
Résistance sur le chantier du métro parisien
1909-1910 : l’ère du sabotage est ouverte
Sabotage chez les PTT
Une organisation secrète de combat au cœur des sabotages ?
Le sabotage chez les cheminots
CONCLUSION
Permalink : https://bibliotheque.territoires-memoire.be/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_di Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 53720 32/CAC Livre Libre-accès Adultes Disponible